After HC : Mia

Le Homecoming avait finit en apocalypse artistique pour Noah. Grâce à Ladislava, il était recouvert de peinture orange de la tête aux pieds. Comme il vivait toujours à l’hôtel en attendant de ne plus être bizut et d'intégrer officiellement la Eliot, Noah était obligé de se rendre aux toilettes de l'université pour se débarbouiller un peu avant de prendre la route. Et grâce au ciel, les toilettes étaient encore ouverte. Il poussa la porte de celles des filles, et remarquant qu'il n'y avait personne, il y entra. Elles étaient bien plus confortables : les lavabos étaient plus grands ainsi que les miroirs, et il y avait toujours du papier ! Il referma la porte derrière lui, en vérifiant que personne le suivait, et s'installa devant l'un des lavabo. Il alluma l'eau, plongea ses mains, et se lava une première fois le visage, avant de remarquer soudainement dans le miroir la présence d'une jeune fille. Il la fixa un instant, avant de lancer : "Hé, ça va ?". Au moins par politesse.

J'avais tellement de mal a continuer a vivre... Tellement de mal a passé une journée sans m'éffondré de chagrin. J'en était incapable j'avais perdu trop de personne maintenant... Je ne savais pas comment je faisait pour continuer... Je m'étais réfugié dans les toilettes des filles, je savais qu'il n'y avait jamais personne dans ceux la. J'étais bien seul... Quand quelqu'un rentra un homme peint en orange en plus. Il se prend pour qui? En plus il commença a me dévisagé, il me demandais si sa allait. Je ne faisait même pas attention a sa!
"Non mais ho tu te prends pour qui? C'est les toilettes des femmes ici!"

La jeune fille, qui semblait très mal dans sa peau à l'heure actuelle, répondit à Noah d'un ton très agressif. Sans entrer dans son jeu, Noah esquissa un sourire, haussa les épaules, avant de replonger son visage sous l'eau et de bien se nettoyer. Il l'ignore un instant, avant de se redresser, de se diriger vers la droite, là où se trouve le papier pour s'essuyer, en prend une bonne couche et s’éponge les joues et la bouche. Il sourit en regardant la jeune fille : "Qui te dit que je n'en suis pas une, tu n'es pas allée vérifier après tout", d'un ton ironique, limite moqueur, souligné d'un léger clin d’œil.

L'homme présent dans les toilettes m'ignore, je suis prête a parié que c'est un eliot. Il me dit que je ne suis pas aller vérifié après tout.
"Alors a ton style de fringues, et vu ton comportement, t'es un Eliot, un Eliot tansexuel alors la je crois qu'il peut tombé des licornes ailé avec des moutons a dix patte avant qui est la moindre chance que sa arrive." Oui j'ai des expressions bien a moi mais c'est sur que le jour ou a sa arriveras il n'est pas près d'arrivé et bon faut pas être débile pour voir que c'est un homme.

Noah l'avait taquiné sur sa sexualité, comme une lapalissade, de manière à affirmer le fait qu'il faisait ce qu'il voulait. Peu importe que ce soit les toilettes pour filles, il en avait besoin, alors il y allait, sans se poser de question.
"Un Eliot ? Ciel, je suis démasqué, je prends ça pour un compliment", il souligna sa phrase d'un grand sourire, avant de lancer la boule de papier qui se trouvait dans ses mains dans la corbeille sous les lavabos. Il s'avança vers la jeune fille, et s'appuya sur le mur face à elle avant d'ajouter : "Tu vis ici ?", dit-il sur le ton de la plaisanterie en balayant la pièce du regard, : "cet endroit te ressemble assez." Une nouvelle pique envoyait, de manière à bien positionner ses cartes et montrer qu'il n'est pas prêt à se laisser marcher sur les pieds.

Alors lui était décidé a me les brisé SEVERE se soir! J'étais pas d'humeur, mais fallais que je me contrôle.
"Un compliment, ah, en même temps un Eliot je peux pas m'attendre a pire." Il continuait sur sa lancé en me faisant face, il me demandait si je vivais ici.
"Non mais en faite je suis la prostitué lesbienne de Harvard, aller vire tu va faire fuire la clientèle!" Il me disait que cette endroit me resemblais assez.
"C'est aussi pour mettre la tête des Eliots dans ton genre dans les toilettes, j'essaye de faire une extermination !"

La jeune fille était définitivement décidée à faire passer à Noah un sale quart d'heure. Et c'était tant mieux, c'était tout ce qu'il adorait. Plus on s'énervait face à lui, plus il devenait agaçant voire insupportable.
Lorsqu'elle eut critiqué les Eliot, Noah pris son air hautain et impérieux avant de répondre : "Un peu de respect. Si aujourd'hui tu as le droit de t'habiller comme tu veux, le droit de parler, et peut te permettre de vivre en liberté, y compris en insultant les Eliot, c'est parce que nos ancêtres ont fait du monde dans lequel tu vis ce qu'il est aujourd'hui. Si tu n'es pas contente, tu peux toujours allée en Corée du Nord ou en Russie, tu te peindras bien moins". Il esquissa un sourire satisfait avant d'éclater de rire : "Toi ? Mettre ma tête à moi dans les toilettes ? Je t'en prie, tu n'as pas la force d'une mouche". Et il ajouta : "Et personnellement je n'ai rien ni contre les lesbiennes ni contre les prostituées. Moi même je suis très lesbienne et j'ai beaucoup d'argent". Il rit aux éclats sans cacher le fait qu'il se moquait d'elle avant de lui jeter un billet de 20$ aux pieds : "Tiens, je m'offre ta compagnie. Mais ne t'inquiète pas, je n'ai pas envie de te toucher, je ne le ferais pas, même avec un bâton et des gants en latex". Une nouvelle pique pour la faire rougir de rage. Ce passage au toilette était une excellente idée, Noah en était tout émoustillé.

Monsieur monte sur ces grand chevaux.
"Non mais qu'elle rapport avec les Eliots! T'es serieux? Tu crois que tout les fils de son Eliot? Tous les politiciens actuel de toute façon ne rime a rien. Tu m'en veux pas mais Nelson Mandel, Ghandi, de gaule, tu crois franchement qu'ils sont passé par Harvard et la Eliot house toi? Non mais reviens sur terre un peu!" Il me disait que j'avais la force d'une mouche.
"Comportement tipique, tu juge avant de connaitre!" J'étais loin d'avoir la force d'une mouche. Il me jettais un billets de 20 $ au pied non mais je rêve.
"Je ne risque pas d'accepté un centime de ta pars et encore moins aussi peut d'argent" Il me disait qu'il me toucherais pas.
"J'ai aucune envie que tu me touches! C'est pas pour rien que je me suis fait lesbiennes!"

Le ton montait à une vitesse fulgurante. Il sourit lorsqu'elle eut déblatéré ses psittacismes sur la politique : "Sérieusement, t'es naïve au point de penser que la politique et le monde libéral a commencé au 20ème siècle ? Ces gens fabuleux que tu cite ne sont que la continuité de nos ancêtres. Les miens par exemple, sont au cœur des familles royales depuis le Moyen-âge. Alors s'il existe des États tel que tu les connais aujourd'hui, c'est parce que ceux de mon sang ont tout fait pour que ce soit le cas. Et c'est le cas de toutes les familles chez les Eliot.". Inutile de souligner le fait que Noah était très fière de ses origines et de l'histoire de sa famille. Puis il se dit qu'il ne valait mieux pas insister sur ce sujet avec une fille comme elle, aussi révoltée.
"Aussi peu d'argent ? Ah parce que tu pense que tu vaux plus ? Moi qui pensait faire un geste de charité en te surévaluant. Si je m'étais écouté, je t'aurais lancé .... une petite pièce". Il sourit en clignant grossièrement des yeux, "donc tu te convertis au lesbianisme comme on se convertit à une religion ? C'est vraiment n'importe quoi, tu es complètement allumée".

Ah mon dieu, c'est bien pour sa que je ne parlais jamais de politique ici, encore moins avec un Eliot.
"Il me semble bien que la princesse héritère de Hollande et le prince héritier de Norvège sont a la quincy et qu'il en a certaine chez les Cabots aussi! J'ai jamais parlé politique, je te parle de la Eliot c'est toi qui t'emballe!!" Il me balance que je vaux pas plus, je vaux même moins, qu'il a fait ça par charité.
"Nous n'avons pas les même valeurs" ca c'est une certitude, il continue en me disant que je m'étais convertie comme on se convertie dans une religion et surtout que j'étais totalement allumé
"Je préfère être totalement allumé que te ressemblé!"