sur un terrain inconnu pv Jared :D

sur un terrain inconnu
mise en page par mad loveL'alcool me donnait des ails, poussant mes limites plus loin qu'elle ne l'était normalement. Rares étaient les instants où je dépassais la conduite que je m'étais fixée. Et pourtant ce soir, beaucoup chose semblait permise. Je semblais d'humeur taquine. Un grand sourire sur mes lèvres et voilà que je venais de reprendre le dessus sur mon adversaire. Une position qui pouvait paraître étrange voire comprométante. Mais au diable les préjugés, voilà, que je me laissais aller à un plaisir soudain. L'effronté semblait surpris du moins s'était ce que je persevais et ressentais. « C'est donc ce genre de choses que tu souhaites m'apprendre Marin-Rhym ? » mes sourcils se fronçèrent annalysant tout doucement les paroles du jeune brun. L'annalyse était devenue un peu plus dure et longue que d'habitude. Le jeune homme afficha un petit sourire, je lui finis par lui dire : « absolument pas... j'apprends juste à une fillette à se défendre » dis-je en affichant un grand sourire, fière d'avoir toucher son ego de garçon. Le jeune homme attrapa mes bras et se redressa avant de me faire face. « Je ne suis pas intéressé par ce genre de chose, mais je suis certain que ça intéressera pas mal d'autres hommes de notre promo ». Mes yeux se fixèrent dans ceux du jeune étudiant. Voilà des paroles bien surprenantes venant de lui. Mon sourire se dissipa, comprenant subitement les allusions du jeune Quincy. Toucher et légèrement blesser, je me relevais subitement et finis par lui dire à visage fermé : « Je ne suis pas une aguicheuse... si c'est à cette référence que tu fais allusion ! » dis-je en tapant mes mains l'une contre l'autre. « Je devrais m'en aller avant que tu me traites de salope... » dis-je froidement en indiquant la sortie et en levant les yeux aux ciels.

Marin-Rhym & Jared
It's better than nothing
mise en page par mad love
Parce qu'il est incapable d'entretenir la soudaine légèreté dans l'air. Ce n'est pas en apesanteur qu'on lui a appris à évoluer mais plutôt dans les bas fonds. Forcément sa langue se fait alors acérée et sans compromis. Il plaisante encore un peu lorsqu'il argue. « La fillette risquerait fort d'écorcher ton doux minois alors méfie-toi. » Pour ce qui était de lui apprendre à se battre, il était certain de la devancer. Comme dans les autres de toute manière. La rudesse il n'avait toutefois pas pu la taire bien longtemps, comme une sournoise façon de lui faire payer l'affront d'avoir côtoyé d'un peu trop près certains ennemis de promotion. L'ironie c'est que la Brune ne peut être au courant des antériorités entre lui et le spécimen Nelson. Peut-être espère-t-il secrètement chez sa rivale des talents de Devineresse ? Elle prend la mouche en fait la tout de suite et c'est pas vraiment surprenant. Mais c'est pas comme si il était doué pour la communication. Il relève l'ambre incrédule de ses prunelles sur la silhouette féminine qui a repris une stature verticale, se relève à son tour. « Ce n'est pas le genre de mots que j'emploie. » Son visage se baisse doucement vers la Blessée, le Maladroit bien inconscient du heurt dont il est capable. « Et comme je t'ai dit tout à l'heure, on ne se connaît pas de toute manière. » Et même si l'envie me brûle de réaliser l'inverse, je m'appliquerai à garder mes distances, le sarcasme comme carapace. Je suis un des spécimen qu'on qualifie d'Indomptable.

(Invité)

sur un terrain inconnu
mise en page par mad loveLes habitudes semblaient bien lointaines. Mon comportement était quelque peu différent, moins entêter, moins raisonnable. Finalement, je me comportais comme la plupart de ses étudiants. Une normalité qui faisait du bien. « La fillette risquerait fort d'écorcher ton doux minois alors méfie-toi. » je me mis à rire, voilà une attaque qui m'allait droit au cœur. J'étais surtout curieuse de voir sa, ma spontanéité me faisait faire n'importe quoi. Mon imagination vagabondait alors que la réalité me frappait en pleine figure. Les paroles de Jared me surprenaient et sa même bourrer. Elles avaient réussi à blesser mon ego encore pourtant endormi à cette heure. « Ce n'est pas le genre de mot que j'emploie. » mes sourcils se froncèrent avant de finalement opter pour l'attaque. « Non excuse-moi, c'est vrai, la subtilité sa te connaît mais au final sa veut dire la même chose » dis-je en le défiant du regard. Une certaine distance s'était installé, loin des quelques centimètres qui nous séparaient tout à l'heure. « Et comme je t'ai dit tout à l'heure, on ne se connaît pas de toute manière. » qu'est-ce qu'il pouvait être chiant quand il s'y mettait. Intrigant, séduisant mais complètement chiant et blessant. Je levais les yeux au ciel avant d'ajouter. « Tu as raison et plus on avance et moins j'ai envie de te connaître. » dis-je en utilisant les même mot? J'avançais doucement m'éloignant du jeune étudiant. Il fallait que je parte et malheureusement pour moi l'alcool et mon subconscient me poussèrent à me retourner pour lui faire une nouvelle fois face. Mon doigt se pointa sur lui. « Par contre, je t'interdis de me juger. Tu ne veux pas me connaître. Soite après tout c'est toi qui te conduis en abruti alors tes jugements tu te les gardes. » dis-je en le fusillant du regard.

Marin-Rhym & Jared
It's better than nothing
mise en page par mad love
C'était étrange de la voir de la sorte. Perdre le contrôle sur elle. Sur ses inhibitions. Elle n'avait jusqu'alors montrer que la façade sérieuse en elle. Mais elle avait bien plus de visages que celui qu'elle voulait laisser paraître. Jared admirait secrètement cela, car il était tout simplement incapable d'un quelconque lâcher-prise. La vie lui avait montré qu'il n'y avait rien de bon à baisser sa garde, juste à souffrir davantage. Et si se montrer détestable pouvait l'en empêcher alors il y était prêt. Mieux valait qu'elle ne s'intéresse pas à une personne comme lui. Elle dégageait quelque chose de pur qu'il ne ferait que ternir. « C'est toi qui interprète. » lâche-t-il froidement tout en contradiction. Juste pour ne pas avouer ce qu'il a pensé d'elle. Juste pour ne pas avouer qu'il n'aime pas voir d'autres tourner autour d'elle, alors qu'il ne veut simplement pas la cueillir. Encore faudrait-il qu'elle s'offre à lui et on en était bien loin pour le moment. De sa beauté, il ne redoutait que les épines. Il l'avait cherché cette réplique, cette fuite en avant, il ne demandait que ça par ses mots. Mais il se surprit à ressentir un mal en lui alors qu'elle les prononçait. Il n'en laisse toutefois rien paraître. Baisser sa garde maintenant c'est faire aveu de défaite. C'est accepter qu'elle lui soit supérieure et surtout qu'elle exerce un quelconque pouvoir sur sa personne. « Ne fais pas comme si tu en avais un jour eu envie, ta seule motivation, c'est de trouver ma faiblesse. » argue-t-il totalement convaincu de ses propos. En plus de son orgueil, ajoutons un peu de parano. Le tableau parfait de séduction. Mais c'était à croire qu'il avait trouvé la sienne en la provoquant de la sorte. « Tu fais bien ce que tu veux ça m'est égal mais tu ne pourras jamais empêcher les autres de penser des choses sur toi tu sais. » Ses billes ambrées se baissent sur le visage de la jeune femme. « Tu devrais apprendre à être indifférente aux jugements. » ajoute-t-il doucement. Parce que c'était la seule façon d'avancer et de rester fort, poings serrés.

(Invité)

sur un terrain inconnu
mise en page par mad love« C'est toi qui interprètes » mes sourcils se levèrent instinctivement avant d'arborer cette mine d'incompréhension sur mon visage. Il était presque impossible de le comprendre même si parfois j'avais cette étrange impression d'avancer. Son attitude me déstabilisait, comment pouvait-il penser que j'attirais ou que je fricotais avec tous ces inconnus ? J'avais pourtant l'impression de me tenir à l'écart de tout ce qui me paraissait compliqué. « Tu t'empresses pas à éclaircir tes pensées ! » dis-je sur le ton de la défensive. Voilà où nous en étions depuis le début et pourtant malgré tout je m'attachais à lui. Ou d'une moins une partie profonde de moi s'attachait à ce mystère. « Ne fait pas comme si-tu en avais un jour eu envie, ta seule motivation, c'est de trouver ma faiblesse. » Mon regard se stoppa sur l'étudiant avant de finalement baisser le regard pour souffler un bon coup. Voilà donc ce qu'il pensait de moi. Certes je ne perdais pas de vue ma priorité mais j'étais loin d'être celle dont il peignait le portrait. « Tu sais quoi ? Je suis triste pour toi. Oui, j'ai souvent envie de te faire manger le gazon quand tu ouvres la bouche mais tu vois contrairement à toi j'essaye de me comporter en humaine. » dis-je en bougeant les bras. « mais tu sais quoi, au final, tu as raison ! Pourquoi m'entêter à vouloir devenir ton ami, tu n'es clairement pas prêt à renvoyer l'appareil » dis-je en croisant mes bras contre moi. Jared pouvait être vraiment un imbécile finit et les relations entre être humain n'étaient définitivement pas son genre. « Et puis pour information, j'ai déjà trouvé ta faiblesse. Tu es trop buté pour accorder ta confiance. » dis-je sur la défensive. « Tu fais bien ce que tu veux ça m'est égal mais tu ne pourras jamais empêcher les autres de penser des choses sur toi, tu sais. » les autres sa les regardaient mais ce qu'il y avait de plus dérangeant dans cette histoire, s'était que lui le penser. « Tu devrais apprendre à être indifférente aux jugements. »mon regard se reporta sur l'étudiant. « Et toi tu devrais arrêter de croire que les gens sont imbus de sentiment. » dis-je aussi doucement que lui. Difficile à croire mais me voilà plus calme que tout à l'heure. Mes sentiments et émotions étaient mis à rude épreuve et le seul qui semblait avoir un impact là-dessus semblait être Jared. Géniale.

Marin-Rhym & Jared
It's better than nothing
mise en page par mad love
Elle n'avait pas l'air de la comprendre et il ne pouvait pas jouer le surpris. Il était incompréhensible. C'était bien simple même lui ne parvenait pas à éclaircir le trouble qui noyait son cerveau. « Je n'aime pas que ce soit facile d'accès. » réplique-t-il sur un ton plus léger, soulagé qu'elle ne se soit pas enfui en courant. Pourtant c'est ce qu'il espère depuis le début de leur rencontre, et ce qu'il redoute en même temps. Quand on ne sait pas écouter le cœur ou la raison, ça donne un grand n'importe quoi nommé Jared. « Je suis pas humain tu trouves ? » Pas étonnant quand on faisait tout pour éviter de l'être. A trop oublier son sang, on se forge une réelle carapace qui n'a plus rien de charmant. Elle voulait être son amie, elle venait de le dire là, et il ne comprenait pas vraiment. Ils étaient rivaux non ? Et si c'était lui le naïf et que ce n'était qu'une ruse de plus pour l'amadouer. Il ne savait plus sur quel pied danser lui qui n'accordait jamais sa confiance. Et pourtant, tout lui hurlait de baisser sa garde. Mais voilà, pas facile de laisser son instinct commander lorsqu'on ne fait que confiance à son mental. Question d'habitude. C'est à ce même instant qu'elle lui avoue son point faible. Les prunelles ambrées se relèvent sur les Noisettes de la Frêle. Il se rapproche d'elle , colle presque son torse à son corps, et baisse son visage vers le sien qu'elle lève machinalement. C'est bizarre cette attirance, corporelle, presque animale ? Pour un mec comme lui qui a toujours fuit ses bas instincts. « Fais quelque chose qui me prouve que je peux te faire confiance. » La main assurée du Quincy se porte sur le dos de la jeune femme, ni de façon sensuelle, ni de façon oppressante, simplement là, sa paume chaleureuse et vivante se pose au dos de son cœur. « Maintenant. » ajoute-il d'un regard déterminé. De ceux qu'on ne peut refuser, de ce qui vous appelle à obéir machinalement, parce que vous savez que quelque chose d'important se joue sous l'apparente légèreté.

(Invité)

sur un terrain inconnu
mise en page par mad love« Je n'aime pas que ce soit facile d'accès » sans déconner . Rien n'était simple avec le Quincy. Le jeune étudiant était d'une incroyable contradiction avec lui-même. Un pas en avant et voilà qu'il en faisait deux en arrière. Un vrai mystère, une vraie tête de mule et pourtant si attirant. Parce que, oui, il l'était. « Je ne suis pas humain tu trouves ? » si je trouve ? Rien ne me prouvait l'inverse. Les sentiments et les émotions semblaient deux choses totalement insignifiantes. Comment pouvait-il ne rien éprouver ? Pas même de l'agacement ou bien de l'énervement ? Il avait ce contrôle, un contrôle que je connaissais que trop bien puisque je faisais aussi partie de ses adeptes. Pourtant, lui, rien ne semblait lui échapper. Mon visage fit un mouvement de haut en bas, répondant à sa question. Sa perception des autres était tout aussi figée que lui-même. Une vraie illusion. Malgré tout, son manque de confiance était perceptible. La seule confiance se limitait au savoir qu'il apprenait, du moins, c'était l'idée que j'avais de lui. Le regard du jeune étudiant se releva et s'approcha rapidement de moi. Totalement dépourvu, j'assistais à la scène sans faire le moindre geste. Il s'approcha très près de moi, trop prêt d'ailleurs. Les limites et les obstacles s'envolèrent en quelques secondes. Mon regard interrogateur se plongea dans celui de l'intelligent, presque incrédule « fais quelque chose qui me prouve que je peux te faire confiance. » Il porta sa main dans mon dos, un frisson s'empara de tout mon corps. Mon subconscient sorti de son silence. La fraicheur n'était en rien la cause de ce frissonnement pourtant je m'obstinais à suivre cette direction. « Maintenant. » fit-il avec détermination. Et sans vraiment saisir ce qui se passait là maintenant. Mon corps se rapprocha de celui du jeune étudiant et mes mains s'enroulèrent autour de son cou. Un câlin. Simple et pourtant la preuve marquante qu'il pouvait me faire confiance. Mon corps était contre le sien et pour la première fois, je sentais qu'il n'était pas réticent à ce contact . Mon visage se nicha au creux de son cou « Tu vois être humain sa à du bon parfois » dis-je en ajoutant un sourire amusé.

Marin-Rhym & Jared
It's better than nothing
mise en page par mad love
Lorqu'on s'applique à être de glace, il est toujours étrange de faire une rencontre qui bouleverse vos certitudes. Marin faisait naître cette drôle de sensation chez lui sans qu'il ne sache l'expliquer. Lui habituellement, si distant, si peu tactile, se surprenait à rechercher le contact de la Brune, comme pour s'assurer de sa réelle présence entre ses mains. Il jouait à un jeu dangereux pour son cœur ensommeillé, mais voilà, il ne pouvait s'en empêcher. La plupart des filles attendaient qu'on leur parle, qu'on les rassure, qu'on les berce de paroles et d'encouragements. Mais pas Elle. Elle n'était pas comme ça, elle était comme lui. Elle s'était d'ailleurs cru sauvage mais elle n'avait tout simplement pas encore eu à faire à lui. Il lui avait lancé un défi. Défi ardu certes que celui de lui faire baisser sa garde, de le mettre en confiance avec elle. La précipitation de l'instant l'avait conduit à prononcer ces mots fantasques. Il ne s'étonna pas plus que ça, tout absorbé par l'instant, suspendu telle une bulle de savon, fragile et délicate par son éphémère mais pure et révélée. Les bras masculins reposent désormais dans la cambrure des reins féminines tandis qu'il sentait les mains frêles encadrer sa nuque solide. Ses paupières se ferment instinctivement et il ne réprime même plus le frisson qui anime son corps éteint lorsqu'il sent l'air chaud s'échapper de la bouche rivale pour venir réchauffer sa gorge asséchée. Ses paupières laissent place à ses billes dorées au son de la Charmante voix. Son regard se baisse vers Elle. « ça a du bon, mais c'est dangereux parfois. » De s'attacher, d'aimer, d'ouvrir son cœur, parce qu'alors plus rien ne vous protège. Mais de quoi ? Les mains du Quincy remontent le long du dos de la jeune femme pour venir se perdre quelques instants dans les boucles noisettes de la jeune femme. Encore quelques secondes semble murmurer son propre corps et peut-être même le sien. « Le temps nous le dira. » concède-t-il avec un sourire léger, presque timide mais authentique. Et puis la raison revient, il lâche-prise et s'écarte. « Je te souhaite un bon homecoming. » Il l'observe quelques instants puis reprend. « Je ne sais même pas de quelle confrérie tu fais partie ? » Même si il a une idée de la réponse, la sienne pourrait la surprendre.

Spoiler:

(Invité)

sur un terrain inconnu
mise en page par mad loveLe temps semblait s'être figé, fixé dans les méandres du paradis. Ma respiration s'alignait sur celle du jeune homme et mon corps appréciait ce soudain instant de complicité. D'un œil extérieur, le moment pouvait paraître futile voire même normal mais pour deux rivaux, ils étaient étrangement savoureux. Mon subconscient profitait de l’instinct au point de ne plus savoir réfléchir. Mes pensées se bousculèrent lentement. Une vraie brindille. Mon regard s'attarda sur celui du jeune homme qui répondit tout aussi calmement. « ça a du bon, mais c'est dangereux parfois. » je ne pouvais qu'approuver. Donner sa confiance s'était fait preuve de faiblesse mais mon instinct me poussait à vouloir le connaître, à baisser cette barrière qui avait souvent l'habitude de s’initier entre nous. J'affichais un mince sourire avant de grimacer. Un nouveau frisson parcourrait mon corps mais je me surpris à voir que ce n'était pas mon corps qui frissonnait mais le sien. L'attirance était là même si je m'obstinais à ne pas vouloir le voir. « c'est dangereux... mais ça reste moins angoissant que de terminer seul » dis-je en hochant la tête. Terminé seul, voilà une menace et un cauchemar qu'il m'arrivait de faire. Les mains du jeune étudiant remontèrent doucement « Le temps nous le dira » j'affichais un sourire et lui fit un clin d'oeil. Mes intentions n'étaient pas mauvaises et ceux malgré la compétition qui faisait rage. Il s'écarte doucement laissant place de nouveau à cette distance respectable. « Je te souhaite un bon homecoming. » ma tête se pencha sur le côté et lui fis un merci perceptible et délicat avant qu'il n'ajoute. « Je ne sais même pas de quelle confrérie tu fais partie ? » je me mis à rire et finis par lui dire : « Tu me poses réellement la question ? tu n'as même pas une petite idée ?» dis-je avant de répondre une nouvelle fois « Dunster » La maison par excellence selon moi, celle qui me convenait le plus et dont je n'étais pas prête de partir. « Par contre toi, ça reste un mystère ? » dis-je en le regardant fixement.

Spoiler:

Marin-Rhym & Jared
It's better than nothing
mise en page par mad love
En bon homme de maîtrise, il ne gérait plus rien en cet instant. Une partie de lui prenait conscience qu'il y avait une délicieuse sensation à ressentir dans ce lâcher-prise, d'autant plus parce qu'il ne durait que quelques instants. S'exposer ainsi à sa plus grande rivale était dangereux. Tout simplement parce qu'il ne la connaissait pas et qu'il avait habituellement besoin de temps avant de se laisser approcher de la sorte. Cette fille pouvait tout aussi bien être le diable en personne derrière sa façade angélique mais pourtant tout dans son corps lui indiquait que ce n'était pas le cas. Il se sentait irrémédiablement appelé par elle. C'était étrange de ne pas se maîtriser de la sorte mais cela lui rappelait sa condition humaine si jamais il en avait douté. Les billes dorées balaient le visage de la Brune alors qu'elle lui répond. « ça te fait peur d'être seule ? » lui demande-t-il d'une voix douce. Ce n'était pas son cas. Il se sent obligé de justifier. « Je me suis construis que dans la solitude. » Délaissé tôt par ses parents et élevés alors par des encadrants anonymes de pensionnat. La vérité était là et il venait de l'avouer à demi-mot sans en livrer pour autant les détails. Le sujet était ensuite devenu plus léger alors que leurs deux silhouettes reprenaient des existences distinctes. « Bien sûr Dunster. Quoi d'autre. » Il sourit à son tour. « J'aurais été déçu que tu sois Mather. » Parce que ce n'était que des dépravés dans cette confrérie c'était bien connu. Enfin disons, la majorité, qui faisait passer la fête avant leurs études. Honteux. « Je suis Cabot. » clame-t-il avant de rire légèrement tout en observant sa réaction. Il laisse planer le doute quelques instants puis avoue le vrai. « Quincy. » Il relève l'ambre de ses yeux sur la Douce. « Etonnant, n'est-ce pas ? » Parce qu'on le verrait plutôt Eliot ou sans attaches, mais le choix de sa confrérie révélait le plus profond de lui finalement.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)