sur un terrain inconnu pv Jared :D

sur un terrain inconnu
mise en page par mad loveMon quotidien était devenu beaucoup plus supportable. Mes appréhensions s'évaporeraient peu à peu et mes habitudes reprenaient le dessus. Prétendre aujourd'hui que je n'aimais pas vivre ici, serais un mensonge. Je commençais doucement mais surement à apprécier les avantages de cette ville et de cette université. Sans vraiment savoir comment j'étais arrivée ici. J'étais assise tranquillement dans les gradins du stade de foot. L'évènement de l'année paraît-il. Une bière à la main, mon ami était partie depuis quelques minutes. Je ne lui en voulais pas, elle savait s'amuser moi j'apprenais tout juste à lâcher prise. Mon regard scrutait les environs à la recherche d'une petite tête connue mais rien à l'horizon. L'endroit était bondé, un peu trop à mon goût. Je buvais tranquillement ma bière en affichant un sourire horrible. Allez savoir pourquoi, mes joues commençaient doucement à rougir et l'alcool embaumait mon esprit. « bon Marin, il va être temps d'arrêter » me dis-je à voix haute. D'un geste mal assuré, je posais doucement ma bière avant de me lever de mon siège. Un bruit sourd attira rapidement mon attention, je venais de me prendre quelqu'un. « AAAAAAAIL » dis-je subitement avant de relever mon visage et d'avoir un petit moment de recul. « Mon partenaire d'étude... » dis-je en affichant un sourire. Je pointais du bout des doigts la sortie et lui fis : « j'espère que tu as bien reçu mon mail au faites" en affichant un sourire assez débile.

Marin-Rhym & Jared
It's better than nothing
mise en page par mad love
Les événements festifs n'étaient clairement pas son passe-temps favori. Mais puisque le Solitaire s'était décidé à rejoindre la confrérie des Quincy, il avait du donner de son temps aux Orangés. Et puis, de fil en aiguille, il avait choisi de rester davantage. Une bière en main, il profitait du spectacle, des étudiants qui se mettaient minables, d'autres qui venaient avec leurs gamins. Ridicule. Enfin surtout lui, son étrange sentiment de n'appartenir à rien, de perdre son temps, mais peu importe. Il se lève presque machinalement, et s'entête à descendre les gradins pour aller... dieu sait où ? Son regard se perd d'ailleurs dans la vague ambiant lorsqu'il sent une silhouette plutôt menue s'aplatit contre la sienne. Les yeux mentholés se baissent jusqu'à la source coupable de ce contact. « Je ne les ai pas encore regarde pour être honnête. » Et il se souvient tout à coup d'être parti comme un voleur la dernière fois qu'ils s'étaient vu pour bosser. « J'aurais du non ? » Ses pupilles se lèvent au ciel, fredonner une excuse est une chose dont il est encore incapable. Surtout depuis l'affront que la Douce a commis la dernière fois. Bien qu'elle l'ignore. « Tu te sens bien ? » demande-t-il en levant un sourcil inquisiteur. On dirait bien que la Demoiselle a abusé de la boisson. La faiblesse est donc de rigueur chez celle qui s'entête à tenir la compétition.

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sur un terrain inconnu
mise en page par mad loveForce est de constater que tous mes sens étaient en éveillé ce soir. Ma curiosité, ma maladresse, ma franchise et bien d'autres sentiments semblaient s'être décuplés. Pourtant, je n'avais pas dérogé à la règle. Une bière, une seule. La bouteille était certes un peu plus grande, le goût différent mais j'avais pourtant l'agréable sensation d'être plus légère. Mon regard se leva. Jared était bien plus grand que d'habitude pour faute, il n'était pas à la même hauteur que moi. « Je ne les ai pas encore regardé pour être honnête. » mes sourcils se levèrent surpris par sa réponse. Rares étaient les moments ou j'avais encore la possibilité de lui apprendre quelque chose. Il continua « J'aurais du non ? » j'affichais une moue avant de lui répondre sincèrement : « Tu aurais du oui... » mon regard se faisait persistant. La chaleur me montait petit à petit au visage et mon visage se rabaissa. Difficile de tenir cette même position. J'avalais ma salive et lui fis : « J'espère que tu prendras plaisir à lire mon travail, j'aurais aimé faire de même avec les tiens » dis-je en hochant la tête et en ajoutant un joli sourire sur mon visage. Frustrer voir même légèrement énervé par le faux bon de la dernière fois, les imprevus n'avait jamais été une chose que j'aimais. Je détestais sa et Jared sonnait comme un élément perturbateur à ma réussite et à ma routine. Bien trop rangé. Mes pensées vagabondaient. Le silence s'était d'ailleurs installé avant que le jeune étudiant ajoute « Tu te sens bien ? » mon regard se reporta sur lui et je lui fis : « J'ai l'air de pas aller bien ? » dis-je avant de croiser mes bras contre moi. « J'ai juste l'impression d'avoir mal supporté cette bière... » dis-je raisonnablement. « Je ne suis pas bourrée, si tu veux savoir » juste légèrement pompette mais ce légèrement serais déjà bien trop pour une fille comme moi.

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La croiser dans ce contexte changeait les choses. Ce soir, il avait décidé de se changer les idées, pour al première fois depuis la rentrée, alors tomber sur Elle, lui procurait une drôle de sensation. Comme lorsque quelque chose n'est pas à sa place. Il grimace à peine lorsqu'elle l'attaque sur son retard concernant son travail. La vérité c'est qu'il est bouclé depuis bien longtemps mais en bon egoïste, il ne l'a tout simplement pas envoyé. « J'avais complètement oublié que je devais t'en faire part. » Ses lèvres se froncent en coin. « Je te l'enverrai demain. » En même temps, elle n'avait pas donné signe de vie de son côté, sans doute bien trop occupée avec les mauvais garçons. La vérité était là, elle avait blessé son orgueil sur-dimensionné pour avoir osé le délaisser lui et leur semblant de lien imaginaire. Mais ça, il ne pouvait tout simplement pas se l'avouer. Il ne put néanmoins s'empêcher de rire légèrement lorsqu'elle avoua avoir mal supporter cette bière. « Tu ne fais pas grand honneur à ton sang écossais si tu es éméchée par une simple bière. » Dieu merci, ses gênes d’Écosse lui permettait de supporter très bien l'alcool, d'ailleurs il n'avait tout simplement jamais été ivre. « Ce n'est pas comme ça que tu vas me battre, en te dépravant le week-end.» Petite pique de retour, de bon aloi dirons-nous.

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sur un terrain inconnu
mise en page par mad lovePour être honnête, le silence était de loin la meilleure façon de répliquer. J'en étais convaincu même si parfois je dérogeais à cette règle. Difficile de garder ces paroles pour soient même, non ? C'était une science que je ne maitrisais pas encore très bien. Patiente, silencieuse et je-m'en-foutisme. « J'avais complètement oublié que je devais t'en faire part. » mon regard se releva aussitôt, Jared pouvait être un abruti, je le savais et pour être honnête ce n'était pas la première fois qu'il se comportait comme cela. Difficile à dire, mais, je n'avais pas aimé notre dernier entretien. Et il m'arrivait même à le détester. Il ajouta une nouvelle fois. « Je te l'enverrai demain ». Mes sens étaient un peu plus en éveillé ce soir et mes mots sortaient comme de l'eau de source. « C'est aimable de ta part Wentworth, rappelle-moi, de te faire attendre la prochaine fois » dis-je en affichant un léger sourire. C'était énervant de travailler en duo, c'est vrai ? Quelle idée de faire équipe avec son concurrent direct... Le rire du Quincy attira mon attention, voilà un son qui sonnait étrangement dans mes oreilles. « Tu ne fais pas grand honneur à ton sang écossais si tu es éméchée par une simple bière. » Mes yeux se plissèrent une nouvelle fois avant que je n'affiche un grand sourire. Maladroitement, je me relevais et me mis à sa hauteur. Lui faisant cette fois-ci face. « J'ai des origines, alors, on peut être amené à penser que je ne suis pas une vraie écossaise. Je te déçois ? » dis-je en le taquinant du regard. L'espace qui normalement nous séparait, semblait relativement proche ce soir. L'alcool semblait troublé bien plus que mes paroles. « Ce n'est pas comme ça que tu vas me battre, en te dépravant le week-end » je me mis à rire. Voilà, une drôle de phrase mais qui avait néanmoins les dons de me faire sourire. Dépraver ? Moi Marin-Rhym. « Arrête... j'ai encore le total contrôle de mon esprit. Je suis presque sur de te mettre à terre là maintenant.» dis-je en touchant mes bras avant de sourire à la jolie petite métaphore que je venais de lui dire. « Au contraire, il semblerait que je réfléchisse moins ce soir. Autant dire que je suis redoutable » dis-je en affichant un grand sourire coldgate.

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Parce que commettre l'attaque avant la blessure est une stratégie qu'il a adopté depuis longtemps, jouer au type détestable est devenu une seconde nature. Le Provocant adopte un sourire en coin alors que la Frivole d'une soirée tente une réplique. « ça ne me dérange pas d'attendre quand il le faut. De toute manière ne cherche pas, j'aurais toujours une longueur d'avance. » Comme une façon de mettre de la distance entre Toi et mon orgueil. Il avait néanmoins décidé d'opter pour des provocations plus légères, comme si il ne pouvait s'empêcher d'attiser la flamme de leur combat. C'est toujours plus salvateur qu'un morne ennui. « Pour me décevoir encore eut-il fallu que je te connaisse. » Et il s'appliquait à ce que ce ne soit pas le cas. Pour autant, ça ne lui plaisait pas de savoir que d'autres lui tourne autour, que d'autres récoltent sa provocation et ce regard meurtrier qu'elle lui lance à l'instant. L'envie exulte dans un soupir qu'il monte en rire léger. Elle lui assure de façon surprenante que cet alcool qui coule dans ses veines n'a aucun effet sur son sang, ni même sur son corps. « La preuve que tu as tord, puisque tu ne ferais jamais ce genre de proposition autrement, mais je demande à voir. » Sa tête se baisse sous l'affront avant de se relever vers la Demoiselle qu'il toise de ses billes moqueuses et ambrées. Essaie pour voir, frotte-toi à moi que je vois si ta force est aussi faible qu'elle en l'air. Il saisit bien entendu le double sens de ses paroles, et cette façon qu'il a de ne pas se démonter c'est comme pour la mettre au défi d'essayer. Histoire qu'elle se pique sur sa carapace d'acier.

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sur un terrain inconnu
mise en page par mad love« ça ne me dérange pas d'attendre quand il le faut. De toute manière ne cherche pas, j'aurais toujours une longueur d'avance. » mes sourcils se levèrent aussitôt, pauvre homme. La futilité l'emportait mais les choses étaient loin d'être aussi simple. J'étais une concurrente redoutable, j'étais assez intelligente pour le savoir. J'affichais un sourire et répondis à son assaut : « Tu as juste la chance d'être quelqu'un de patient moi je ne le suis pas. Ton ego est bien plus gros que je croyais... » dis-je en hochant la tête. Il voulait jouer . J'étais une très bonne joueuse et quelques choses me disaient que la partie valait le détour. Nous le savions tous les deux. La réflexion semblait être mise de côté ce soir. Mes mots venaient et sortaient sans aucune retenue. « Pour me décevoir encore eut-il fallu que je te connaisse. » j'affichais un grand sourire, sourire qui s'étira un peu plus de seconde en seconde. Il ne me connaissait pas et le mystère semblait pour moi la meilleure des choses. J'arrivais à instaurer ce trouble qui lui permettait de ne pas me connaître. J'aimais ça, vraiment. « Encore faut-il que je te fasse confiance, or, ma mère m'a toujours appris à me méfier de mes concurrents. » dis-je en bougeant de haut en bas mes sourcils. Jared était cependant plus facile à cerner, quoique, il y ait ses limites. Mes yeux le fusillaient du regard et mes mains s'attardèrent sur bâtons ramasser sur une chaise. Mes doigts s'enroulaient autour de l'objet. Lui faisant face, Jared ajouta « la preuve que tu as tort, puisque tu ne ferais jamais ce genre de proposition autrement, mais je demande à voir » j'affichais un sourire. Il n'avait pas tort, mon obstination pour le contrôle prenait souvent le déçu sur mes idées stupides. Or, ce soir, les choses semblaient légèrement différentes. Mes yeux se plissèrent, toucher par l'affront du jeune Quincy. « Le truc s'est que tu me connais pas » dis-je en approchant mon visage avant de finalement mettre mes mains sur les épaules du jeune étudiant. Je me mis derrière lui et d'un mouvement brusque, je me retrouvais sur son dos. La manière la plus simple de le déstabiliser un peu. Mes bras s'enroulaient machinalement autour des épaules du jeune étudiant. « quoi tu pensais vraiment que j'allais continuer à te regarder sans rien faire ? maintenant tu dois tomber » dis-je en rigolant.

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Cette fille ravivait le feu en lui qu'il essayait pourtant avec ardeur d'éteindre. Mais une provocation en encourageait une autre et l'Imperturbable se surprend à prendre un malin plaisir à entrer dans cette danse singulière tel celle du chat et de la souris. Qui est la proie et qui est le chasseur ? C'est la question à laquelle sans doute il n'y a pas de réponse. Regard en biais, paupières closes puis sans ciller, le Mégalomane ne se dégonfle pas sous l'assaut. « Je sais ce que je vaux et je n'en ai pas honte c'est tout. » La vérité c'est que la honte est un sentiment dont il ne s'est jamais vraiment embarrassé, la crainte de déplaire également. Peu importe ce qu'on peut bien penser de lui, ceci n'a pas d'importance à ses yeux. Il argue qu'il ne la connaît pas, tente de la déstabiliser par la même, mais l'Agile s'en sort par une nouvelle pirouette en évoquant la figure maternelle. Jared se mordille la lèvre doucement, sa tête se penchant de côté comme pour mieux placer une réponse en apparence anodine mais qui en dit long. « Tu as la chance d'avoir une mère certes, mais elles ne sont pas pour autant toujours de bon conseils. » Trop maternantes, trop protectrices. C'est par la seule carapace qu'il s'est forgé qu'il s'est lancé dans le gouffre de la Vie. Ceci expliquant sans doute cela. Il l'observe se rapprocher de la chaise et écoute la suite. Sourd au trouble qui l'inonde soudain alors qu'elle se rapproche de lui, c'est pourtant la faiblesse qui s'empare de son être alors qu'il sent la Frêle se plaquer dans son dos, amenant le déséquilibre sur la stature pourtant solide du Quincy. Son mètre quatre-vingt mis à mal par une brindille inférieure de vingt centimètres, si ce n'est pas pitoyable. Et que dire du spectacle qu'ils offrent en plein homecoming. Il y a bien pire heureusement. Le Rigoureux se surprend à amorcer un sourire alors qu'il se laisse franchement tomber en arrière, ce qui amène la Dunster à détacher son emprise pour préparer sa propre chute au sol. Jared se retourne furtivement et épouse le sol mains en avant, la jeune femme se retrouvant ainsi entre ses deux bras. « Je réagis vite tu sais. » dit-il alors que son visage est seulement à quelques centimètres du sien. Des années de boxe lui ont appris à réagir furtivement lors d'une attaque et entre autre d'apprendre la chute. Il tend ensuite ses bras pour remettre un semblant de distance entre leurs deux corps et se laisse finalement glisser de côté avant de se reposer sur le dos à côté de Marin-Rhym. « Effectivement, je ne te savais pas adepte des galipettes. » ajoute-t-il avec un sourire moqueur aux lèvres. Ça change des cours, y'a pas à dire.

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sur un terrain inconnu
mise en page par mad love« Je sais ce que je vaux et je n'en ai pas honte c'est tout. » voilà une réponse qui valait le détour. Cependant, elle était loin de me surprendre. Il était fidèle à l'image qu'il renvoyait. Difficile à dire mais j'aimais ça. Il était finalement devenue l'adversaire que j'avais toujours voulu affronter. Celui en proie à satisfaire mon ennui. J'affichais un mince sourire en réponse à sa phrase avant de finalement lui dire : « J'aurais été déçu de savoir le contraire » difficile de ne rien ajouter, j'aimais avoir le dernier mot tout comme lui d'ailleurs. Un sourire sarcastique se dessina sur mon visage. Mes sens étaient en éveillé et se bousculaient à une allure remarquable. Mes joues changeaient doucement de couleur pour devenir rouge. Lâcher prise n'était finalement pas si mal comme sensation, ma pauvre sœur serait heureuse de m'entendre dire sa. Mes yeux s'arrêtèrent machinalement sur les lèvres du jeune homme qu'il venait de meurtrir. Je levais aussitôt mes yeux, me surprenant à mettre arrêter sur ce détail. « Tu as la chance d'avoir une mère certes, mais elles ne sont pas pour autant toujours de bons conseils. » Il n'avait pas tort mais lui avouer relevait du suicide. Je penchais légèrement la tête et lui répondis : « Laisse-moi au moins ce souvenir, c'est tellement rare de voir ma mère dire des choses censées. » dis-je en hochant ma tête. Ma famille n'avait rien de sensé, les années parlaient en ma faveur. Mes parents étaient tout saufs de bon conseil et ce conseil faisait partie des rares que j'avais voulu retenir. Et sans prévenir, j'avançais doucement vers l'étudiant devenu à ma plus grande surprise silencieux. D'un mouvement brusque mais contrôlé, je me retrouvais sur le dos du Quincy. Mes bras enroulaient les épaules de l'étudiant qui ne tarda pas à tomber au sol. La chute me fit lâcher prise. Je ne pus retenir un rire, la scène était magistrale. Digne d'être filmé et envoyer à vidéo Gag (ouaiiiiiii dédicasse aux vieux ). Mon regard se porta sur le provocateur qui se trouvait cette fois en position de force. Mon corps tout entier semblait épris d'une tension très perceptible. Je ne bougeais pas, mon corps captait les mouvements du jeune homme. Troubler, je restais immobile. « Je réagis vite tu sais. » son souffle effleurait mon visage. Mon regard lui vagabondait sur le visage de l'intrépide. « Je vois sa mais n'oublie pas que j'ai quand même réussi à te mettre par terre » dis-je en ajoutant un grand sourire, fière de moi. L'exploit était de taille, alors que je fêtais ma victoire. Il se glissa sur le côté. « Effectivement, je ne te savais pas adepte des galipettes. » j'affichais un grand sourire avant de lever les yeux au ciel. Mon visage se tournait et lui fit : « Tu as des choses à apprendre Wentworth » dis-je en osant de haut en bas les sourcils avant de me mettre à rire. « Comme sa tu réagis vite... voyons voir comment tu réagis si » dis-je en me retournant avant de m'asseoir rapidement sur le corps allongé du jeune homme. Mes mains agrippèrent les siennes et un sourire se dessina : « Eh bien ? J'attends votre riposte monsieur où vous semblez déjà affaibli ? »

bon et bien j'ai été inspiré sur un terrain inconnu pv Jared :D 1881463262

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Marin-Rhym & Jared
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La provocation avait quelque peu transformé la nature de leur échange et voilà que les deux Bornés se retrouvaient à terre, inattentifs aux regards interloqués qui pouvaient s'attarder sur leurs carcasses. Les autres étudiants ne s'attardaient toutefois pas sur leur pitoyable spectacle. Harvard avait vu bien pire. « Vraiment ? » lance-t-il avec un regard moqueur. Des choses à apprendre de sa part ? Il semblait bien vu qu'elle parvenait à faire fondre cette glace qu'il avait adopté comme rempart mais encore eut-il fallu le concéder. Il ne sait d'ailleurs pas trop comment réagir alors que l'Agile se retrouve sur elle telle l'Amazone enfourchant le Sauvage cheval. Les mains masculines se portent machinalement sur les avant-bras de la Téméraire tandis que les prunelles ambrées s'étonnent quelques instants d'un tel affront. Celui d'un contact, peu de gens s'y risquent pourtant mais la Demoiselle semble n'avoir peur de rien et sans doute pas de la dureté d'une carapace. Aussi austère puisse-t-elle paraître. « C'est donc ce genre de choses que tu souhaites m'apprendre Marin-Rhym ? » L'ironie habille ses traits alors qu'il feint de demeurer imperturbable. C'est pourtant son cœur qui galope dans son diaphragme alors qu'elle l'étreint de la sorte. Il va falloir qu'elle calme ses ardeurs. Le Brun se relève pour se retrouver face à elle. « Je ne suis pas intéressé par ce genre de choses, mais je suis certain que ça intéressera pas mal d'autres hommes de notre promo. » Le Pic est lancé, la défense solidement paré, l'attaque c'est encore la meilleure des ripostes face au désemparement. Quitte à y égratigner la Dignité de la jeune femme en passant.

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