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░ feeling misunderstood (zorikha)

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L'événement que j'attends avec impatience pour passer une superbe journée, mais que je redoute en même temps. J'ai retrouvé ma soeur, j'ai passé un moment avec Dia à notre stand et pourtant je ressens comme un vide et mon estomac se noue. Il y a quelques jours, je suis tombé sur ce mec que j'ai rencontré dans le parc peu de temps après mon arrivé de Russie d'ailleurs. Il m'a tout de suite intrigué et ce feeling. Je n'arrive pas à expliquer ce qui s'est passé ce jour-là, le soir du dîner et quand je suis tombé sur lui dans les vestiaires du campus après la séance de sport. Je secoue la tête, je n'ai pas envie que cette journée soit gâcher par ce mec qui me fais perdre tout mes moyens. J'en ai profité pour trouver ma soeur que je n'ai pas vu depuis un très long moment. Elle m'a convaincu de revenir sur Cambridge et même si j'ai accepté, elle ignore encore que je frôle le même sol qu'elle en ce moment. Rien que d'imaginer sa tête, ça me redonne le sourire et puis j'ai tellement hâte de commencer le body painting qui va être excellent. Si seulement on peut utiliser de la peinture qui ne part pas rien que sur les Mathers, la journée serait parfaite. Je retourne vers le stand qu'on partage avec les Lowells. Une fusion d'une journée qui peut en étonner plus d'un vu qu'on est pas dans l'optique de partager les mêmes valeurs qu'eux, mais qu'importe. Posé au stand, la vente de ticket de tombola bat son plein et je n'ai pas hésité à en mettre dans mon décolleté pour en vendre plus et avoir mes mains libre pour pouvoir peindre. Le stade se rempli et je n'ai pas été voir les autres stands préférant rester sur celui de l'élite. « ORTIKHA ! » je fronce les sourcils quand j'entends mon prénom et je me retourne. D'un coup, je vois un petit garçon courir jusqu'à moi. Sur le coup, j'ai cru rêver, mais en faite pas du tout. C'est son fils. « Bonjour champion » dis-je en me baissant pour me mettre à sa hauteur. Je ne pensais pas le voir aujourd'hui surtout quand je vois son père arriver plus loin. Je ne le regarde pas, en réalité je n'ai pas trop envie de lui parler. Je n'ai pas oublié notre conversation de l'autre jour et encore moins l'annonce qu'il m'a faite. « T'es prêt pour la séance de peinture ? » je me concentre que sur ce petit homme sans faire attention si son père arrive avec ou sans sa femme.

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Les choses avaient mal fini lors de notre dernière rencontre avec Ortikha. Je voulais me persuader qu’il s’agissait d’un mal pour un bien. Ce n’était pas normal de penser à elle comme je pouvais le faire. Ce matin, en regardant à ma droite, j’avais trouvé ma femme endormie, et je voulais croire que j’avais laissé mes torts au passé, que plus jamais je ne ferais une telle erreur. Je risquais de la blesser, de les blesser et c’était bien loin de mon intention première. Pourtant, quoi qu je fasse, l’image des lèvres d’Ortikha contre les miennes revenait sans cesse. Merde, cette fille m’obsédait. Pourtant je faisais tout pour l’éviter, pour faire en sorte de ne pas la croiser. Mais plus je m’efforçais de la sortir de mon esprit, plus elle y revenait avec insistance. Hors de question d’aller au Homecoming, mais j’étais loin de m’imaginer que ma propre femme me jetterait en pâture dans la gueule du loup. Au petit déjeuner elle m’avait annoncé qu’elle partait la journée pour faire du shopping avec une amie qui avait besoin d’elle car elle vivait un chagrin d’amour. Aussi, elle me recommanda de sortir Nikola pour la journée, et elle avait eu vent du Homecoming et me priait d’aller y faire un tour, pour la bonne cause. Nikola réclamait d’ailleurs la peinture, et je n’eus pas d’autre choix que de m’y rendre. Je tentais de me rassurer en me disant qu’avec un peu de chance, je ne tomberais pas sur celle qui me déroutait et annihilait toutes mes capacités de réflexion. Belle illusion. A peine arrivés sur les lieux, mon petit garçon vêtu d’un jogging et d’un t-shirt, et moi de la façon la plus banale qu’il soit, me lâcha la main pour se mettre à courir à allure folle, ayant remarqué quelque chose, ou plutôt quelqu’un. Au cri strident de mon fils, je fermais les yeux de dépit. Je n’avais donc pas le choix. Rejoignant la jeune femme et Nikola au stand, je ne savais même pas quoi lui dire, alors je me contentais de m’adresser d’abord à mon fils : « T’es sûr que tu veux d’abord faire de la peinture ? » On pouvait d’abord aller faire un tour du côté des autres stands, mais Nikola semblait décidé à rester là : « Je veux qu’Ortikha me dessine dessus ! » Super. Osant croiser le regard de la jeune femme, je lui lançais alors : « Bon bah fais lui ce qu’il demande. Et puis il va prendre des tickets de tombola. Tu choisis les numéros, Kola ? » Mon fils s’exécuta énonçant ses chiffres préférés et tout sourire s’offrit à la jeune femme. Me mordant la joue, j’essayais de m’occuper l’esprit avec autre chose, mais c’était peine perdue. La savoir là me consumait à petit feu.
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J'espère vraiment qu'il ne va pas venir alors que quelques jours avant je voulais tout le contraire. Quand je suis arrivé, cette pensé s'est évanouie. J'ai retrouvé les membres de ma maison où je suis fière d'appartenir, mais aussi ma soeur et d'autres connaissances. C'est un bon moyen d'oublier certaines choses le homecoming, mais c'est impossible de passer outre quand la personne en question se pointe alors que tu n'en as pas vraiment envie. Le cri strident d'un enfant me fait revenir à la réalité qui me consume à petit feu et pourtant son sourire me réchauffe le coeur qui est loin d'être très ouvert. Levant la tête, son paternel arrive. Je peux le saluer et pourtant je le fais pas. Mon objectif ? Faire en sorte que Nikola s'amuse comme un petit fou et oublier totalement son géniteur qui n'est qu'à quelques mètres de moi. « Et le s'il te plait, ça va t'écorcher aussi ? » dis-je en me levant pour me retrouver face à lui. "Fait ce qu'il demande" il a vraiment cru que j'étais à ses ordres et à sa disposition ? Faut pas rêver non plus. Quand il a choisi les numéros, je lui donne les tickets et c'est tout content qu'il met les petit bouts de papier dans sa poche. Un léger sourire se dessine sur mes lèvres et je vais chercher de quoi peindre en prenant le choix de prendre plusieurs couleur pour avoir le choix. Les pinceaux et la peinture en main je reviens vers ce petit homme qui est impatient de commencer « Dis-moi, où est-ce que tu veux ton dessin petit homme. » sans hésiter, il soulève son t-shirt pour me montrer son ventre. Il est ambitieux et je suis sûr qu'il ne veux pas se contenter d'un minuscule dessin sur son bras « Tu veux qu'on dessine quoi aujourd'hui ? » dis-je à l'attention de son fils avant de lever le regard et de croiser celui du père. Un regard transperçant et qui chamboule toutes mes pensées.

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« Il m’a pas semblé entendre de formule de politesse venant de toi. » Lui lâchai-je alors qu’elle semble m’accabler de tous les maux. Oui, j’ai manqué de sympathie, mais ce n’était pas voulu véritablement. C’était juste que je rechignais à être là suite à ce qu’il s’était passé. Et pourtant… J’aurais voulu que cette journée se passe autrement. Qu’on passe une bonne journée, comme lors de cette journée au parc, et je m’efforce de faire bonne figure devant mon enfant qui lui est jovial au possible. Autant ne pas lui briser son bonheur. Nikola a déjà bien des idées. Il soulève son t-shirt pour montrer son petit ventre de petit athlète et s’exclame avec envie et excitation : [colo=teal]« Je veux que tu me fasses un drapeau de la Serbie ! »[/Color] Je ne peux réprimer un sourire à sa demande. Il est très patriote pour son âge, et mon père n’y est pas étranger. Sauf qu’il s’agit de quelque chose de compliqué. Le drapeau serbe ne comporte pas que des couleurs, mais également un écusson représentant un aigle bicéphale et une couronne, autant dire que j’étais convaincu qu’Ortikha n’y parviendrait pas. « C’est difficile à faire bonhomme… » Lui annonçai-je posant le regard sur la jeune Eliot. Ne sachant pas quoi faire d’autre, mon fils regarde Ortikha et hausse les épaules avec le sourire : « Bon alors fais moi ce que tu veux ! » Je me demande bien ce qu’elle compte lui faire. Regardant autour de moi, je vois que tout le monde est bien occupé, et je sors mon téléphone de ma poche, prenant en photo mon fils qui s’est retiré le t-shirt pour envoyer le tout à ma femme, la rassurant sur l’engouement de Nikola pour cette journée. Je reporte mon attention sur ce qui va se dérouler devant moi, mon fils me souriant avec bienveillance et je pense irrémédiablement à Ortikha. Si Nikola n’était pas là, elle ne m’aurait même pas adressé la parole, pourtant je souhaiterais presque être seul avec elle, pour lui faire comprendre qu’elle n’est pas une distraction.
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« Pourquoi être poli quand on joue avec toi. » cette phrase c'est juste pour lui rappeler cette journée au parc qui n'a pas duré bien longtemps. Rancunière, je le suis énormément et même si j'adore jouer,j'ai cette impression d'être trahi. Je m'en veux tellement d'être entrer dans son jeu et je me sens tellement conne d'avoir baissé ma garde aussi facilement. Je n'arrive pas à expliquer pourquoi j'ai été si "gentille" à son égard et pourquoi il a cet effet sur moi. Je me sens impuissante face à cette situation et j'ai encore du mal à avaler la pilule. Pourquoi je n'y ai pas pensé ? Pourquoi j'ai pas fait attention à sa main et fait le rapprochement avec son fils ? Le fait qu'il accepte le dîner à éloigné cette possibilité de mariage et on en a pas parlé. Je ferme un instant mes yeux et me concentre sur son fils qui m'avoue vouloir le drapeau de la Serbie. Non pas que je ne sais pas dessiner bien au contraire, mais ça risque d'être trop compliquer sur un petit ventre comme le sien « Tu sais quoi ? Quand tu seras plus grand je te ferais le drapeau d'accord ? Il n'y a pas beaucoup de place sur ce petit ventre et j'ai pas envie de le rater. » Je suis la dernière personne en qui on peut avoir confiance, prêter des choses et surtout se confier, mais beaucoup ignore de quoi je suis capable derrière cette carapace de fille de riche. Je regarde la palette de couleur quelques instant et une idée me vient en tête. Je ne sais pas si il va aimer, mais on ne sait jamais. « J'espère que tu vas aimer. » dis-je en m'asseyant devant lui et de prendre mes pinceaux pour commencer mon dessin. Je ne fais pas attention à Zoran et son téléphone, j'ai bien mieux à faire sur le moment. Silencieuse, mon binôme ne bouge pas et reste très calme et posé pour mon plus grand bonheur. Je prends mon temps, rectifie, colorie doucement en prenant bien soin de faire quelque chose de beau pour qu'il montre qu'il a quelque chose de bien réussi. C'est seulement avec plusieurs minutes d'attente que j'ai fini le dessin représentant sur le coté un panier de basket avec un ballon et un petit bonhomme qui n'est autre que Nikola. Tout est en miniature pour manque de place, mais c'est assez ressemblant. Un de mes talent cachés que je tiens de ma mère qui à défaut d'être une très grande ballerine russe, elle avait un grand talent de dessinatrice. « Et voilà, j'ai terminé. » ce dessin, c'est Zoran qui m'a beaucoup inspiré inconsciemment mais si il est pas bête, il va vite comprendre le message.

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« Je ne joue pas, Ortikha. » Comment pouvait-elle croire que je jouais avec elle ? Si je lui avais caché mon mariage, ce n’était pas pour me foutre d’elle, mais au contraire pour ne pas l’éloigner de moi. J’ai des torts, mais pas sur ce point. Je voudrais tellement qu’elle le comprenne et qu’elle arrête de m’en vouloir inutilement. Mais on ne pouvait pas en discuter devant Nikola, il n’était pas bête et je n’avais pas envie qu’il raconte n’importe quoi à sa mère. Ortikha expliquait à mon fils que la complexité du drapeau et que son petit corps ne faisaient pas bon ménage et elle lui proposa autre chose, mon fils complètement serein la laissa faire. Pendant le temps du dessin, Nikola racontait des anecdotes les plus folles mais restait étonnamment immobile. Cet enfant me surprendra toujours. Il y avait des jours où il était intenable, et d’autres où il montrait qu’il était bien plus mature que ce que l’on présupposait. Pendant de longues minutes, j’attendais les bras croisés que les deux compères du jour aient fini leur activité, regardant de droite à gauche, sans m’intéresser au reste. Je fus tiré de mes rêveries quand mon fils s’exclama bien fort : « Wow papa t’as vu ? C’est moi quand je serais plus grand ! Papy il va trop aimer ! Il vient quand au fait ? » Me retournant, je vis le ventre de mon fils arborer un magnifique panier de basket et un joueur, bien réalisé, on s’y croirait. Impressionné, je ne peux m’empêcher de la complimenter tout haut, mais en regardant mon fils : « C’est superbe. Je ne sais pas, tu sais papy doit être en Grèce en ce moment ! On lui montrera par Skype ! » Mon père revenu sans médaille de l’Eurobasket doit maintenant se concentrer sur son job d’entraineur au Panathinaïkos. Autant dire que Nikola ne le verra pas très souvent. Conscient qu’elle pourrait encore me faire une remarque, j’appuie bien mon regard sur elle, en la remerciant : « Merci, c’est très réussi. » Nikola ne veut évidemment pas remettre son t-shirt, et sautille sur place en implorant Ortikha de le laisser lui dessiner sur le ventre et je lui ébouriffe les cheveux en lui disant : « Je suis pas sûr qu’elle ait envie de se déshabiller devant tout le monde, bonhomme. Peut-être sur le bras, mais pas ailleurs ! » J’offre un sourire presque gêné à la jeune femme parce que je songe inévitablement à de mauvaises pensées que je chasse en posant mon regard sur mon fils, une fois de plus. Il est mon seul salut.
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Je ne mets pas longtemps avant de me décider sur le choix du dessin. Je pense à son père et l'idée me vient. Le dessin ne sera pas très grand vu qu'il est encore petit, mais j'ai assez de place pour faire quelque chose de potable sur ce petit corps d'athlète qui voudra sûrement être comme son père plus tard. Une fois terminé, je le regarde content du résultat et ça me mets un peu de joie de vivre en le voyant si content pour si peu de chose. Le fait de le voir ainsi me fait presque oublié cette histoire de femme et me ramène à cette journée au parc où il s'amusait avec d'autres enfants de son âge et où je rencontrais son père pour la première fois. De nombreux souvenirs agréables remonte à la surface, mais il me fait très vite sortir de mes pensées en me remerciant. Je pose mon regard dans le siens avec autant d'insistance que lui « De rien, ce n'est pas grand chose tu sais. » dis-je d'une voix un peu plus calme et plus posé que tout à l'heure quand il est arrivé sans trop de politesse. Rapidement mon attention revient sur ce petit garçon qui n'est toujours pas calmé et qui n'a qu'une envie c'est d'exposer ses talents d'artiste sur mon corps. Un sourire au coin de mes lèvres s'affiche. Pourquoi lui dire non ? Je me demande si c'est pas lui qui serait le plus gêné et non son fils alors je dis à Nikola « D'accord, mais que sur mon ventre, marché conclu ? » et là, il hoche la tête tout content de pouvoir dessiner à son tour. Du coup, j'enlève mon t-shirt laissant apparaître mon haut de bikini car oui, j'ai quand même prévu le coup vu le stand qu'on tient avec le Eliots et l'écriture ou le dessin de Dia qui est déjà bien ancré au dessus de ma poitrine. L'eliot à voulu faire un essai sur mon corps avant d'attaquer ceux des autres. « Je suis prête champion. » dis-je en m'allongeant à moitié et en prenant appuie sur mes coudes pour voir un peu ce qu'il va faire après lui avoir donner la peinture et un pinceau.

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« Pour lui c’est beaucoup, donc pour moi ça l’est aussi. » Si elle parvient à rendre heureux mon fils avec pas grand-chose, cela suffit pour que je lui en soit reconnaissant. Ortikha semble à mille lieux de celle qu’elle me dépeignit il y a quelques temps, lorsqu’elle disait que ce n’était pas d’elle de s’attacher ; or, il fallait croire que c’était le cas avec Nikola, et j’en étais juste ravi. D’ailleurs, mon fils s’impatientait, et trépignait sur place quand la jeune femme l’autorisa à lui peindre sur le ventre. Ce n’était pas la meilleure chose qu’elle ait faite, car en termes de crédibilité, mon rôle de père en prenait un coup, mais Nikola n’abusait pas et ne faisait rien de mal, alors je lui donnais mon aval tandis qu’il s’emparait du pinceau et qu’il attendait le feu vert d’Ortikha. « Vas-y mais tu fais attention. » Lui rappelai-je, détournant le regard de la scène perturbante qui se déroulait sous mes yeux : mon fils qui peignait le corps de déesse de la femme qui occupait un peu trop mon esprit et qui mettait à mal ma capacité de réflexion. Me retournant quand même pour surveiller mon fils qui n’est pas en mal de créativité, c’est une explosion de couleurs qui se trouve sur le ventre de la demoiselle. J’ai hâte de connaitre la justification de Djordjevic Junior qui m’épate et me fait doucement ironiser : « C’est vraiment magnifique ! » Je me retiens de pouffer de rire car il ajoute de gros pâtés de noirs, sans que je sache ce que ça représente. Quand il a terminé, il s’écarte et tend le pinceau à Ortikha. « Voilà, je t’ai fait un arc en ciel qui explose à cause d’une météorite ! » Je lève le pouce pour lui montrer ô combien c’est réussi. Cet enfant a beaucoup d’imagination, d’ailleurs moi aussi. Songeant à un truc, je regarde Ortikha, lui demandant le pinceau : « Je peux ? » Moi aussi j’ai une idée. Je sais que je peux lui prouver que je tiens à elle, et si c’est une mauvaise idée pour moi, je ne peux m’en empêcher. Je prends le pinceau, et délicatement je dessine 5 dés. Puis, je les remplis avec 5 paires de chiffres écrits à l’envers pour qu’elle puisse les lire devant un miroir. Mon numéro de téléphone dissimulé au milieu des météorites et de l’arc en ciel, histoire qu’on ne pose pas trop de questions. Le fait qu’il soit écrit à l’envers ne devrait pas interpeler beaucoup de monde. Je lui tends le pinceau et ajoute : « Je suis pas aussi doué que Niko. » Faussement résigné en regardant mon fils que je prends dans les bras, j’adresse un clin d’œil à la jeune russe.
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Accepté que Nikola dessine sur moi et aussi une façon de montrer à son père que je lui en veux, mais inconsciemment le faire réagir. Quand j'y pense heureusement que son fils est là entre nous deux. Il est comme celui qui nous calme, nous laisse éloigné, mais pas trop pour pouvoir communiquer de manière civiliser et puis le lieu joue beaucoup en la faveur de Zoran. Je n'hésite jamais à dire ce que je pense même devant tout le monde, mais la situation est si complexe et compliqué que je ne pourrais pas même si je le voulais. J'attendais quand même l'accord de Zoran car c'est lui son père et je n'ai en aucun cas le pouvoir de décider pour son fils de faire ce genre de chose, mais il ne va pas lui refuser si ? Mon regard posé sur le garçon qui a attrapé si vite le pinceau que je n'ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit, mais juste le temps d'entendre les paroles de Zoran lui disant de faire attention. Il a peur que son fils dérape ou alors qu'il soit trop "brutale" sur moi ? Mon regard jongle entre les nombreuses couleurs de Nikola et le visage de son père qui malgré tout jette quelques coups d’œil sur son fils et sur moi. Quand je l'entend dire que c'est magnifique, je penche un peu ma tête en voyant toutes ses couleurs et là un gros tas de noir qui vient s'étaler sur mon ventre un peu partout sur les autres couleurs. Instinctivement, je fronce les sourcils en essayant de trouver ce que peux bien représenter le dessin de cet enfant de quatre ans. « Je me demande ce que tu dessine » dis-je en le voyant se reculer d'un coup et me donner le pinceau une fois terminé. Je penche la tête sur le coté quand il me donne son explication j'arrive à bien imaginer le dessin qui me met bien en valeur on ne va pas se mentir. « Tu sais quoi ? Je crois que j'ai le plus beau dessin de tout le stade. C'est très beau, merci Nikola. » dis-je avec ce sourire. Un sourire qui revient et grâce à ce petit ange. Personne ne peut le croire que j'arrive à être tendre et gentille et pourtant dans le fond je le suis même si personne ne le sait vraiment. Nikola a ce don, comme son père sûrement. Je m'apprête à me redresser pour tout ramasser quand il me demande si il peut à son tour faire quelque chose. Sur le coup, je me sens un peu gêner et je ne pensais pas qu'il voudrait lui aussi faire un dessin et pourtant je lui donne le pinceau « Oui, si tu y tiens. » mon regard passe de ses yeux à mon ventre où ses doigts se promènent grâce à un pinceau. J'essaye de comprendre ce qu'il fait et je crois comprendre qu'il s'agit de dés, mais après je suis totalement perdu... J'ai cette drôle de sensation quand le pinceau touche ma peau. Une sensation que je n'ai pas eu quand Nikola dessinait. Est-ce parce que c'est lui qui me dessine dessus ou alors c'est moi qui abuse. Ma peau frissonne sous les traits de pinceaux qu'il donne avant de terminer et de me le rendre. Je fronce les sourcils, car je ne comprends pas ce que c'est malgré que le final rend plutôt bien « Qu'est-ce que c'est ? » je prends mon t-shirt d'une main et le matériel de l'autre et je me lève. Il faut bien laisser le tout sécher et puis montrer à tout le monde les merveilles que j'ai sur le ventre. « Profiter des autres stands, j'ai pas pu faire le tour encore, mais j'suis sûr qu'ils sont aussi bien » dis-je avec un sourire au coin de mes lèvres. Non pas que je ne veux pas accompagner Zoran est son fils, mais ça ne serait sûrement pas une très bonne idée.

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Je sais que bon nombre de choses ne sont pas dites parce que Nikola est là. Si elle m’adresse la parole plutôt que de me crier dessus, c’est parce qu’il est là également. Au fond, l’un comme l’autre on utilise la présence de mon fils comme bouclier, et je dois reconnaitre que je n’aime pas ça, car il ne devrait pas être entre nous. Mais si ma femme ne l’avait pas rappelé à Nikola, jamais nous ne serions venus ici aujourd’hui. J’en aurais profité pour l’emmener au parc, jouer au basket avec les autres enfants ou je l’aurais emmené à l’extérieur de la ville, vers Boston ou autre pour passer le weekend. Mon fils est facile à vivre, c’est l’avantage, je sais qu’il se comportera bien partout. Mais parfois son enthousiasme dépasse un peu les bornes et il ne fait pas attention à ce qu’il fait. C’est la seule chose à laquelle ma femme et moi nous prêtons attention, car nous savons qu’il n’est pas un enfant à problèmes. Au contraire, il s’exprime à travers toute chose, et j’ai bien compris que son dessin est une forme de message à faire passer. J’en discuterais avec lui. Quoi qu’il en soit, je ne peux m’empêcher de rire en voyant la réaction d’Ortikha, qui passe du scepticisme à de la bonté pure et dure. Je l’avais prévenue, c’était à ses risques et périls. D’ailleurs le dessin de mon fils me soulève une question pratique : « Question pratique, la peinture part à l’eau ? Je voudrais pas qu’il se fasse gronder à la maison si ça ne part pas sous la douche ! » J’essaie de sourire tant bien que mal. J’ai encore évité de mentionner la mère de mon enfant, mais une allusion claire y est faite. Pour autant, cela ne m’empêche pas de lui écrire mon numéro de façon dissimulée sur son corps, et la proximité est divinement dérangeante. Je me suis efforcé de me concentrer pour ne pas rater mon ‘chef d’œuvre’ mais je suis persuadé de l’avoir vu frémir sous les coups de pinceau. L’un comme l’autre on repousse les signaux de nos deux corps, résistant à la tentation de faire une connerie. Parce que dorénavant elle le sait que c’en est une. Elle me demande ce que représente mon dessin, et je ris alors lui répondant en russe pour ne pas que mon fils comprenne : « A toi de résoudre l’énigme, mais tu ne pourras pas le faire ici. T’as besoin de te retrouver face à toi-même. » Nikola m’indique alors qu’il a faim et Ortikha nous suggère d’aller voir le reste des stands. C’est donc comme cela que l’on se quitte, une fois de plus ? Je ne peux m’y résoudre, alors je lui propose : « Et si tu nous accompagnais, jusqu’à ce qu’on trouve de quoi manger ? Ca te ferait faire une pause ! » Mon fils acquiesçait, complètement d’accord. La balle était dans son camp, à elle de choisir.
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