Invité
est en ligne
Invité
Noah un un petit sourire rassurant lorsqu'elle lui eut parlé de son demi-frère : "Peu importe que ce soit ta mère qui ai fauté. Il est mon cousin, tu sais bien que les liens des mariages sont aussi fort que les liens du sang chez nous. Ta mère est ma tante, son fils est mon cousin". Noah avait un sens de la famille très aiguisé. Sans doute son éducation chrétienne et aristocratique, qui lui faisait considérer que les membres de sa famille, même élargie, même indirectement liés à lui, demeuraient être sa famille.
Il voyait bien qu'Abby faisait la moue et qu'elle ne voulait pas qu'elle s'en aille. Seulement, il s'agissait de Noah. Il était dans sa nature de fuir, de s'éclipser, chaque fois que quelque chose le troublait. Et puis, bien qu'il adorait Abby, il se sentait tout à coup vulnérable. Il détestait l'idée de se sentir responsable de quelqu'un, tant il avait peur de perdre l'autre personne, et de se perdre lui même.
Tout a coup, il se souvint du Petit Prince, "On est responsable des choses qu'on a apprivoisé", et de la voix de sa mère qui le lui lisait lorsqu'il était petit. Et puis, dans le même temps, il eut un regard triste, comme submergé d'impuissance et d'un sentiment de révolte. Il se souvint de la promesse qu'il s'était faite : ne jamais laisser ses émotions prendre le dessus. Ne jamais ressentir ni peine, ni compassion, ni pitié. Il se sentait faiblir, et ça l'agacé. Il ne voulait pas que quoique ce soit arrive à Abby, mais tout ceci était tellement énorme, qu'il ne pouvait s’empêcher d'avoir peur pour elle. Alors, il décida de partir, non sans regret. Plus pour se protéger de ce qu'il pouvait ressentir : rage, haine, colère ou peine, que pour l'abandonner.
Il enfila sa veste, en referma le zip, et lui dis : "Je t'en prie, ne fait pas la moue. Tu me connais, je .... enfin, arrête. Viens par ici." Il tendit ses bras vers elle pour l'embrasser une dernière fois : "On se voit vite, je te le promet. Et on va trouver une solution, ensemble".
Il voyait bien qu'Abby faisait la moue et qu'elle ne voulait pas qu'elle s'en aille. Seulement, il s'agissait de Noah. Il était dans sa nature de fuir, de s'éclipser, chaque fois que quelque chose le troublait. Et puis, bien qu'il adorait Abby, il se sentait tout à coup vulnérable. Il détestait l'idée de se sentir responsable de quelqu'un, tant il avait peur de perdre l'autre personne, et de se perdre lui même.
Tout a coup, il se souvint du Petit Prince, "On est responsable des choses qu'on a apprivoisé", et de la voix de sa mère qui le lui lisait lorsqu'il était petit. Et puis, dans le même temps, il eut un regard triste, comme submergé d'impuissance et d'un sentiment de révolte. Il se souvint de la promesse qu'il s'était faite : ne jamais laisser ses émotions prendre le dessus. Ne jamais ressentir ni peine, ni compassion, ni pitié. Il se sentait faiblir, et ça l'agacé. Il ne voulait pas que quoique ce soit arrive à Abby, mais tout ceci était tellement énorme, qu'il ne pouvait s’empêcher d'avoir peur pour elle. Alors, il décida de partir, non sans regret. Plus pour se protéger de ce qu'il pouvait ressentir : rage, haine, colère ou peine, que pour l'abandonner.
Il enfila sa veste, en referma le zip, et lui dis : "Je t'en prie, ne fait pas la moue. Tu me connais, je .... enfin, arrête. Viens par ici." Il tendit ses bras vers elle pour l'embrasser une dernière fois : "On se voit vite, je te le promet. Et on va trouver une solution, ensemble".
(Invité)