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C'est moi ou il fait un peu trop chaud ici ? (w/ marc)

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C'est moi où il fait un peu trop chaud ici ?
MARC & ANTONIA

Innoncente Antonia. Elle n'avait jamais eu de chance en amour, mais en l'amitié, elle comptait énormément dessus. C'est aussi certainement pour ça qu'elle avait peur d'aller trop loin avec Marc. Elle se connaissait par coeur Antonia, et elle savait qu'elle était possessive, extrêmement jalouse et dans le fond, un rien pouvait la toucher, sans qu'elle le montre forcément. Elle ne souhaitait juste pas que sa relation avec Marc se dégrade à cause de ce genre de choses futile. Car une fois, juste une seule fois dans ses bras, dans son lit et elle pourrait terminer par penser autre chose avec lui que de la simple amitié. Selon Marc, elle était une belle femme et elle pouvait avoir qui elle voulais. Certes. Pour le moment elle n'avait pas besoin d'être le nombril du monde, à défaut de ce que tous les élèves de cette école pense des personnes qui sont à l'eliot house. Si elle pouvait juste être une femme normale, sans statut, sans rien, mon dieu ce qu'elle serait mieux. Pourtant, Marc lui rendait à ce moment là, une certaine richesse que seule une eliot pouvait avoir. Elle était éduquée, avait des coutumes, des principes, et cela grâce à qui elle était et à son éducation royale. Princesse ? Plus pour longtemps si elle se donnait à lui. "J'en sais rien Antonia si toi t'as le droit, t'es en couple non ?" Assise à côté de lui, elle soupira en même temps que lui. Il n'avait pas la même envie qu'elle alors. Et puis si elle lui disait qu'elle n'était pas en couple, cela casserait toute l'ambiance. Alors, elle ne comprit pas pourquoi, une pulsion certainement ? mais elle se tourna un peu plus vers Marc et commença par poser sa tête sur son épaule. Puis sans savoir pourquoi, elle déposa un baiser sur sa machoire, tout en caressant sa joue. Elle restait très tactile avec lui, c'était le genre d'Antonia. "Désolée darling." Elle ne savait pas pourquoi elle s'excusait mais elle avait juste une seule envie, c'était de s'asseoir sur les jambes du winthrop et de l'embrasser jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus.

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feat. antonia k-p. windsor


Je n'ai jamais tenté avec Antonia des avances depuis toutes ces années, parce que je ne la considère pas tout simplement comme toutes les autres femmes, je l'ai vu grandir, mûrir, passer d'une petite fille à une adolescente et d'une adolescente à une femme, je connais tout d'elle, elle est un livre ouvert pour moi comme j'en suis un pour elle, notre amitié dépasse mes simples pulsions d'homme mais aujourd'hui, en ce moment précis, j'ai craquer. Je l'ai rendu perplexe sur ce qui venait de se passer et surtout sur elle-même mais je ne voulais pas qu'elle doute un seul instant d'elle, elle n'en avait pas le droit, si elle avait perdue cette confiance en elle, j'allais tout faire pour la lui redonner, c'et une femme magnifique, à la plastique sublime, elle peut avoir tous les hommes qu'elle désire si elle le souhaite, elle m'a eu sans rien faire, en restant naturelle, elle me plait beaucoup je m'en rends compte qu'après avoir embrassé ses douces lèvres chaudes. Je l'ai laissé quand même se rhabiller, moi aussi j'étais assez chamboulé par ce que je venais de faire, je n'aurai jamais pensé embrasser Antonia et pourtant ce fut le cas, elle ne tardait pas à me rejoindre toujours aussi perplexe, essayant de trouver une réponse, je sentais sa main sur ma cuisse, ses lèvres tenter de me demander si on avait le droit de retenter l'expérience de s'embrasser une nouvelle fois. Je tournais mon regard vers elle, si dans ma tête il n'y avait que le gout de ses lèvres qui me restait, je me suis aussi souvenu qu'elle avait un mec et je ne me gênais pas pour le lui rappeler, elle enfouissait sa tête dans ma nuque, je fermais les yeux. je sentais sa tête se redresser, ses lèvres déposer un baiser sur ma mâchoire avant de s'ouvrir pour me dire qu'elle était désolé Le sois pas. lui fis-je savoir avant de tourner la tête vers elle, nos visage à quelques centimètres l'un de l'autre, je pouvais sentir son souffle sortir de ce petit espace entre ses lèvres, mes mains se posaient sur ses cuisseset sans savoir pourquoi une nouvelle pulsion me prenait et je la faisais s'asseoir à califourchon sur moi, adossé contre le mur, elle collée à moi, je passais une main derrière sa nuque Tu me plais vraiment beaucoup Anto'. lui murmurais-je frôlant ses lèvres.
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MARC & ANTONIA

Antonia n'en revenait pas en réalité. Penser juste que Marc lui faisait de telles avances.. elle ne savait pas réellement quoi penser, mais elle savait qu'elle voulait recommencer juste histoire de retrouver la sensation qu'elle avait découverte. Une toute nouvelle sensation, un tout nouveau sentiment. Ca n'avait jamais été ambiguë entre eux deux pourtant. Anto avait toujours posé ses marques et Marc n'aurait jamais osé la toucher sauf s'il en avait vraiment envie, elle le savait très bien, elle le connaissait par coeur. Du jour au lendemain, Marc n'aurait pas pu vouloir la toucher comme ça, l'embrasser de cette manière. Qu'était-il arrivé alors à ses yeux ? Antonia se le demandait. En grande tactile qu'elle était, elle ne pouvait pas s'empêcher sur le coup de donner de petites attention au beau winthrop. Le baiser sur sa machoire en disait long, elle cherchait un contact avec lui tout en s'étonnant elle même d'être aussi audacieuse. C'est alors que Marc la prenait par les cuisses pour la faire asseoir à califourchon sur lui, et en posant une main derrière sa nuque, leurs fronts se retrouvaient collés. Elle le regardait droit dans les yeux, un regard pénétrant, troublant. "Tu me plais vraiment beaucoup Anto'." souffla t-il, à quelques centimètres de ses lèvres. Elle se mordit la lèvre inférieure, posait ses mains sur le torse du bel apollon. "C'est chiant à avouer mais toi aussi Marc.." Elle respira un bon coup en se souvenant que peut être que ce qui le bloquait, c'était le fait qu'elle ait dit qu'elle était en couple. C'était une ébauche, en effet. Elle était prête à sortir avec Ethanael, mais avec ce qui se prêtait en ce moment devant elle, elle en doutait fort. Il fallait qu'elle dise la vérité à Marc. "En fait je dois t'avouer que.. je ne suis pas vraiment en couple. Je ne le suis pas, mais.. ça ne pourrait pas tarder." Elle parlait peut être trop la princesse, mais elle avait besoin de faire comprendre à Marc ses intentions. "J'ai besoin d'avoir quelqu'un à mes côtés, et de montrer à tout le monde que je suis capable d'avoir quelqu'un dans ma vie. Alors forcément, ptete que prendre le premier venu c'est pas le top mais j' ai juste besoin d'une épaule sur laquelle me reposer." Elle haussa les épaules, en espérant qu'il ne se fache pas, qu'il ne se vexe pas, et qu'il lui propose d'être son épaule à elle.

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Je suis un coureur de jupon, depuis des années je cours après les femmes, jouant les séducteurs, usant de mon charme et pourtant Antonia n'y a jamais eu le droit, alors que je l'ai toujours trouvé très belle mais notre amitié, le fait que je l'ai vu grandir, je ne sais pas, une sorte de blocage. Mais là, ce blocage vient de s'évaporer à la seconde où j'ai posé mes lèvres sur les siennes, une pulsion, une envie qui m'ont dépassés, ça a été plus fort que moi et je me sens maintenant coupable. Coupable de lui avoir fait ça, car ce n'est pas elle, elle aurait du me repousser aussitôt que mes lèvres eurent touchées les siennes, elle aurait du me mettre une gifle parce que ce n'est pas ce genre de femme, n'oublions pas que c'est une princesse, une femme aux principes et aux valeurs bien fondés. C'est ce qui m'a le plus mit mal à l'aise, qu'elle partage ce baiser avec moi pour les quelques secondes qu'il a duré alors qu'elle m'a annoncé plus tôt qu'elle avait quelqu'un, je suis un connard quand je m'y met, je peux aussi le faire avec les femmes mais j'ai aussi mes principes, je respecte la gente féminine, celles qui sont en couple, je n'y touche pas, quitte à m'amuser avec elle à leur rendre folle juste avec les mots, un regard, un sourire mais ça s'arrête là mais avec Antonia, non, malgré tout j'ai agis et je m'en veux oui. Elle s'était assise à côté de moi sur le banc après s'être rhabillée, collée à moi, elle cherchait ce contact, elle est très tactile, ça ne m'étonne même pas, ça a toujours été ainsi mais son baiser sur ma mâchoire, c'était nouveau, elle voulait renouveler l'expérience mais je me sentais mal d'accepter alors qu'elle à quelqu'un. Je l'ai saisis par les cuisses pour qu'elle vienne s'asseoir à califourchon sur moi, nos font l'un contre l'autre, nos lèvres à quelques centimètres l'unes d'elles et franchement je ne me privais pas de lui avouer qu'elle me plaisait beaucoup quand bien même elle était indisponible. Je sentais ses mains appuyer sur mon torse et en me regardant dans le fond des yeux elle me sortait aussi que je lui plaisais Dommage que tu appartiennes à quelqu'un. je souriais faiblement sans quitter son regard puis elle baissait les yeux quelques secondes, soufflante avant de les ramener sur les miens et d'ouvrir ses lèvres pour m'avouer qu'elle n'avait en réalité pas de copain, sur le moment je commençais à froncer les sourcils, je déteste qu'on s'amuse de moi et c'est ce qu'elle vient de faire si j'en crois ses dires mais la suite me ravise de pousser une gueulante, Antonia est plus perdue que jamais Tu mériterai que je te plante là pour t'être foutu de ma gueule à me dire que t'avais un mec mais... je posais ma main sur sa joue Je te connais Anto'.. plus que n’importe qui et si t'as besoin d'une épaule comme tu dis, je suis là. ouais j'étais là pour elle, qu'elle puisse se reposer sur mon épaule, reprendre confiance sur mon épaule, qu'elle ne quitte plus jamais mon épaule.
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MARC & ANTONIA

Elle se retrouvait sur les jambes de l'homme qu'elle désirait. La princesse était aux anges, littéralement. Elle venait de lui avouer la vérité et ne pensait qu'à une seule chose, c'était d'être encore plus tactile avec lui. Antonia était très câlineuse, très bisous et compagnie et lorsqu'elle aimait quelqu'un, amoureusement parlant va-t-on dire, elle en donnait toujours trop. C'était cela son défaut, elle en donnait tellement que la personne pouvait la trouver trop étouffante ou simplement ne pas aimer ça. Cependant elle n'était pas du genre à s'afficher au grand jour avec quelqu'un, ce genre de couple qui se bécotent à longueur de journée. Avec n'importe qui, n'importe quand. Et si elle n'avait pas refusé les avances de Marc, c'est parce que dans le fond, elle avait eu envie d'essayer. Elle avait souvent eu vent de "l'effet Montet" lorsqu'elle parcourait les couloirs du campus. Et certaines mêmes la jalousait, car Antonia était peut être une des seules femmes de l'entourage de Marc auquel il n'avait jamais osé mettre la main. Antonia se sentait un peu fière de ce statut, elle se sentait comme privilégiée. Mais ça avait été de courte durée maintenant qu'il avait passé le cap. Ce n'était qu'un baiser, certes, mais la princesse s'en voulait presque de l'avoir fait. Tout en voulant continuer et re goûter à ce plaisir, ça lui brûlait les lèvres. Bien assise sur ses principes, elle savait que si elle se lançait dans ce genre de choses avec Marc, elle n'hésiterait pas à lui faire perdre la tête, ou plutôt le faire patienter. Princesse et grande femme, elle n'était pas du genre fille facile. ise de pousser une gueulante, Antonia est plus perdue que jamais "Tu mériterai que je te plante là pour t'être foutu de ma gueule à me dire que t'avais un mec mais... Je te connais Anto'.. plus que n’importe qui et si t'as besoin d'une épaule comme tu dis, je suis là." Elle baissait la tête, désolée pour lui. Ca n'avait pas été fin de sa part de dire ça c'est vrai, mais c'était un une petite vérité qu'elle avait essayé de transformer en gros mensonge. Elle posa une main sur sa joue, qu'elle caressa tellement tendrement, comme s'il était une pierre précieuse à conserver, prête à se briser. Antonia se rapprocha de son oreille, en déposant un tendre baiser sur le coin de ses lèvres au passage, et chuchota dans le creux de son oreille : "Alors sois le, et ne me quitte jamais." Elle s'écarta, plongeant son regard dans celui de Marc en attendant sa réponse.

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Elle venait de m'avouer qu'elle n'avait personne dans sa vie, qu'elle était une princesse libre et que son cœur n'appartenait à personne, au fond j'étais soulagé qu'elle me dise la vérité mais je reste accroché à mes principes et si il y a bien une chose que je hais par dessus tout c'est qu'on se paye ma tête. Me mentir, se foutre de moi, c'est ce qu'elle a fait là et je devrai l'envoyer chier royalement comme je sais si bien le faire mais qu'elle soit là, assise contre moi, que son visage soit si proche du mien, je suis partagé et même si je viens de lui dire à haute voix que je ne me serai pas gêné pour la planter là et partir, je passe au-dessus parce que je sais pas, j'ai envie d'être cette épaule dont elle a temps besoin. Je fermais les yeux quand je sentais sa main se poser sur ma joue, elle me portait une telle attention, ça me surprenait, certes oui je l'ai toujours connu d'une tacticité déconcertante mais qu'elle le soit autant avec moi en cet instant, c’était plus que plaisant. Ses lèvres venaient se déposer au coin des miennes, un frisson parcourut dès lors tout mon corps et lorsque sa voix si douche, si chaude résonnait dans le creux de mon oreille, je ne pu que sourire à ce que je venais d'entendre. Je ne répondais pas de suite, reculant légèrement ma tête de la sienne pour pouvoir la regarder du mieux que je peux, être hypnotisé par ses yeux si magnifiques, être tenté par ses lèvres si pulpeuses et désirables, ma main revenait près de sa joue, déposant une de ses mèches de cheveux derrière son oreille puis ma main se posait sur sa joue Je veux tellement être ton épaule Antonia mais tu sais pourquoi je ne veux plus m'attacher sentimentalement... je ne voulais en rien gâcher ce momententre nous mais elle savait très bien que j'ai perdu la seule que j'ai jamais aimé dans un accident de voiture il y a des années et que depuis je me suis fais la promesse de ne plus aimer comme je l'ai aimé, pourtant il y a eu Mackenzie qui à échapper à cette règle, un début de sentiments et en y réfléchissant bien peut-être qu'Antonia mérite cette chance, je le veux je le sais mais je reste sur cette promesse.
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Antonia n'avait jamais été aussi proche avec Marc. Et ô grand jamais elle n'aurait un jour imaginé faire ce genre de choses avec lui, ou même échanger un baiser, et l'apprécier. Des milliers de question lui bourraient le crâne, mais elle était folle rien qu'en touchant ne serait-ce qu'un brin de sa peau. Elle venait de lui faire une déclaration, lui laissant une grande porte ouverte pour lui faire comprendre qu'elle voulait bien être plus qu'une simple amie à ce moment précis. Cependant la réponse de Marc lui fit perdre la tête, et pas dans le bon sens. "Je veux tellement être ton épaule Antonia mais tu sais pourquoi je ne veux plus m'attacher sentimentalement..." De nouvelles questions, mais plus de bonnes, se posaient à elle maintenant. Alors quoi, Marc se jouait d'elle ? Il l'embrassait, lui faisait des avances, lui montrait du dépit quand elle l'a repoussé et le voilà qu'il ressort cette histoire ? Certes, Antonia avait partagé sa peine, mais elle n'aimait pas qu'on ébranle sa fierté de cette façon. Si Marc voulait jouer avec elle à ce jeu, ce n'était pas chez Antonia qu'il fallait toquer. Elle n'était pas la poupée qui laissait ses lèvres à tout le monde. Cette dernière laissa tomber ses mains qui était sur les épaules de Marc. Elle aussi avait été très blessé par l'amour, son histoire tellement compliquée... autrefois fiancée à son kidnappeur, les hommes qu'elle avait eu lui avait tous mentis ou fais du mal. Bordel. Elle ne serait pas victime à nouveau d'un stratagème. L'eliot baissa le regard, baissa la tête et soupira, le coeur frétillant : "Je vois." Elle se dégagea de l'étreinte de Marc et revint s'asseoir à sa place, pensive, presque blessée pour son amour propre. Ca lui apprendra à trop en montrer, comme toujours. "Alors oublions tout ce qui s'est passé s'il te plaît, c'est mieux comme ça comme tu ne veux plus "t'attacher sentimentalement"."

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Non mais sincèrement, j'avais j'aurai pensé arriver jusqu'ici avec Antonia, toutes ces années nous avons réussis à rester sérieux, à ne pas franchir ce cap qui tant de fois aurait pu être franchi mais je respectais Antonia et ses principes, c'est une vraie femme, une princesse, elle ne se donne pas au premier venu et sait se respecter sauf que là, à croire qu'on avaient tous les deux outrepassés nos principes pour s'embrasser et sentir entre nous cette certaine alchimie physique. Le moment était parfait mais je venais de le gâcher, la belle anglaise m'a fait une sorte de déclaration, me proposer d'être cette épaule sur qui elle a irrévocablement besoin de s'appuyer, de l'être et de le rester mais j'ai rompu ce moment, lui disant que j'aimerai tellement mais que je tiens encore ma promesse de ne plus m'attacher à une femme sentimentalement parlant. Aussitôt, je sentais ses mains quitter mes épaules, sa tête se baisser, entendre un soupir sortir de ses lèvres et sentir le poids de son corps se lever pour rejoindre la place juste à côté de moi, je pouvais lire la déception et la tristesse sur son visage Je veux pas oublier Antonia, c'est fort ce qu'on a vécu là et je dois t'avouer que ça me fait peur de m'engager de nouveau. lui avouais-je, je prenais sa main essayant de capter son regard Faut me laisser du temps, ma dernière rupture sentimentale est encore trop récente, j'ai besoin de temps mais je veux tellement être là pour toi. ouais je voulais plus me passer d'elle, plus après ce qu'on a vécus là Je joue pas avec toi, je suis sincère quand je te dis ça, je pensais pas qu'on en arriveraient là toi et moi.. et pourtant si.. et ça me plait, je te jure. chercher son regard mais ne pas le trouver, elle a vraiment été blessée par ce que je lui ai dis, je voulais pas lui faire de peine, juste être des plus sincères avec elle.
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Oh que oui elle était blessée. Elle détestait qu'on l'utilise ainsi et la réponse de Marc l'avait surtout vexée. Elle ne s'y attendait pas, elle était totalement obnubilée par le cocon qu'ils avaient formé tout à l'heure, prête à se relancer dans la gueule du lion, prête à recommencer encore et encore. Heureusement qu'il l'avait arrêté, elle était sortit de sa rêverie maintenant. Marc comprit qu'elle n'était plus à l'aise, qu'elle n'avait pas apprécié sa réponse. Il avait de quoi. Elle l'écouta attentivement reprendre le coup. " Je veux pas oublier Antonia, c'est fort ce qu'on a vécu là et je dois t'avouer que ça me fait peur de m'engager de nouveau. Faut me laisser du temps, ma dernière rupture sentimentale est encore trop récente, j'ai besoin de temps mais je veux tellement être là pour toi. Je joue pas avec toi, je suis sincère quand je te dis ça, je pensais pas qu'on en arriveraient là toi et moi.. et pourtant si.. et ça me plait, je te jure. " Elle n'avait pas envie non, pas envie de croiser son regard. Elle le fuyait parce qu'elle ne sentait plus comme tout à l'heure. De nouveau il avait réussi à la bouleverser et ça la rendait folle. Elle ne voulait plus être dépendante de quelqu'un, elle ne voulait plus ce genre de sentiment ! Les larmes aux yeux, Antonia releva la tête, fixant Marc. Elle ne voyait même plus son visage et elle se dégoûtait de se montrer aussi fragile devant lui. Mais tant pis. "La mienne aussi elle l'est Marc. Moi aussi j'ai mal à l'intérieur de moi, je suis blessée tu comprends ? Toutes mes relations n'ont été que mensonge, on m'a mentit, on m'a humilié, je suis sans cesse à la recherche de mon estime. Et je ne veux plus qu'on me blesse comme on l'a déjà fait avant. Bien sûr tu me diras que tu ne le feras pas, mais ça fini toujours de la même manière.. s'attacher c'est de la merde." Elle essaya d'essuyer ses larmes, rebaissant à nouveau le regard. "Tu me plais beaucoup Marc, et j'ai peur que ta réputation te précède. " elle posa ses doigts froids sur les lèvres de Marc. "Dans quoi on s'est lancé sérieux.." Elle repoussa une mèche de cheveux sur le visage du beau brun.

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C'était pas mon intention de la mettre dans un état pareil, je veux pas la voir si braquée sur elle-même, si triste et bouleversée, je ne permettrai jamais qu'un homme lui fasse subir ça, il le payerai de sa vie mais là c'est moi qui à réussit à la rendre si faible, la voir redresser là tête après avoir terminé mon monologue, voir ces larmes sur ses joues, je me sens mal oui, clairement. Elle m'avouait que pour elle aussi, sa dernière rupture lui était toujours en travers de la gorge, qu'elle aussi en a marre d’enchaîner les échecs, elle me fait part de ses plus grandes craintes et en toute franchise je la comprends S'attacher c'est humain, on en paye forcément le prix qu'il soit bénéfique ou malheureux mais on y peut rien Antonia, on a ouvert notre cœur, on a été blessés, les cicatrices seront toujours présentes. elle m'avouait que je lui plaisais beaucoup mais qu'elle avait cette peur que ma réputation me suive, je soupirais baissant la tête avant de la relever quelques secondes après vers elle Qu'est-ce qu'on en a à faire de ma réputation, ok ça a fait ma popularité ici mais ça me donne juste une image de tombeur, je veux pas éternellement ne pas m'attacher, toi aussi tu me plais beaucoup Antonia, vraiment beaucoup. je fermais les yeux quand je sentais ses doigts froids toucher mes lèvres, sentir sa main repousser une mèche de mes cheveux, je rouvrais les yeux J'en ai aucune idée mais ça ne me fait pas peur. je me rapprochais de nouveau d'elle, posant ma main contre sa joue Oublie juste tout, ne pense qu'à ce moment présent avec moi. je frôlais ses lèvres, mon autre main se posait sur sa cuisse dénudée.
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