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I remember when, I remember when I lost my mind. There was something so pleasant about that place. Even your emotions had an echo in so much space and when you're out there, without care, Yeah, I was out of touch. But it wasn't because I didn't know enough...I just knew too much. Does that make me crazy?

Nemo n’a pas idée du courage que je suis en train de prendre pour l’affronter, j’ai envie de prendre mes jambes à mon cou et de m’éloigner le plus possible de lui à la simple évocation de cette attirance si singulière que j’éprouve à son égard. Mettre des mots là-dessus me parait tellement difficile, la tâche est ardue mais je ne lâche rien, il est grand temps d’arrêter les faux semblants si je veux avoir une chance de continuer à l’avoir auprès de moi. Il m’a tellement manqué ces deux dernières semaines, j’ai cru mourir sans lui, rien de tel que la distance pour vous faire prendre conscience de ce que vous ressentez pour quelqu’un d’autre. Cette relation est pourtant toxique, elle risque de nous détruire tous les deux en route, mais je ne parviens pas à écouter ma conscience, comment agir avec intelligence quand votre cœur vous dicte une route complètement différente, puissante, enivrante… Passionnelle ? Je n’ai jamais aimé prendre en compte les risques, mon impulsivité me perdra peut-être sur ce coup, peut-être que je m’apprête à vendre mon âme au diable mais je m’en fiche complètement, je veux juste être auprès de lui, le serrer contre moi, apprendre à embrasser ses lèvres, à en apprécier les saveurs, apprendre à l’aimer comme jamais je n’ai aimé un homme. « Écoute buddy, si je suis siiiiiiii con, t'aurais peut-être pas du r'venir m'parler. » Il me met des bâtons dans les roues, l’abruti ne se rappelle-t-il donc pas de ce que je lui ai confessé ce soir-là, en boite de nuit ? Vous savez, mon impulsivité et cette incapacité chronique à ne pas ouvrir ma gueule. « Si ça t’emmerde que je sois là je peux toujours partir hein ! » Je réponds, désabusé. Et voilà, je vais encore plus le mettre en colère et il n’écoutera pas ce que j’ai à lui dire. Pourquoi est-ce si compliqué de parvenir à s’exprimer correctement ? Pourquoi la simplicité ne prime-t-elle pas ? Ne lui laisse pas le temps de s’enfuir Graham, fais-le, maintenant ! J’ouvre la bouche, pas très assuré mais entièrement sincère et au fur et à mesure que j’évolue dans mon récit, dans mes aveux, je sens qu’il change, qu’il s’adoucit, ses traits sont tellement moins figés, il me parait à nouveau humain. « Donc... Tu m'as violé la bouche pendant que j'dormais... » Je ris, la pression aidant, et lui réponds, du tac au tac. « Tu n’étais pas censé dormir, qui parvient à s’endormir en aussi peu de temps d’ailleurs ? Deux secondes ce n’est pas assez ! » S’il était resté éveillé, alors nous n’en serions pas là, le réveil aurait surement été plus compliqué pour moi, les récents événements m’ayant beaucoup apporté, m’ayant permis d’entamer un travail sur moi-même. « Et alors..? T'en as tiré quelles conclusions..? » Pas besoin de répondre à cette question pour le moment, j’ai énormément de choses à dire avant cela. Je ne failli pas une seule seconde, je vais jusqu’au bout, je réduis la distance, je le touche, sa peau, ses yeux me donnent la force de continuer et de balayer mes craintes. J’aurais le temps de prendre peur plus tard, quand Nemo sera là pour me rassurer, quand il sera suffisamment impliqué pour ne pas me laisser faire le con. Les mots s’enfuient, volent, nous entourent et je me sens tellement soulagé, libéré d’un poids énorme. La pression redescend, l’adrénaline, elle, est toujours à son paroxysme. « T'es une vraie galère à comprendre, tu le sais au moins ? » Je souris, il l’a enfin compris ? « Je le sais, et tu n’as encore rien vu ! » J’aurais peut-être surement mieux fait d’éviter de lui dire cela, je veux dire… Ne va-t-il pas à nouveau prendre peur et s’enfuir ? Je ne le laisserais pas faire cette fois, hors de question. Je craque, perds cette capacité à mettre des mots sur mes émotions, l’embrasser, prendre possession de ses lèvres serait tellement plus expressif. Je le supplie de me libérer, de m’emporter avec lui, les dés sont jetés, il a le choix. Me briser en mille morceaux, refuser de m’offrir ce dont je rêve ou nous mettre le feu et ne plus se soucier des conséquences. Il me regarde, il n’hésite pas au moment de caresser mes lèvres. Mes yeux se ferment, abattus, pour pleinement apprécier ce qui est en train de se passer. Suis-je en train de rêver ? Tout est tellement… Parfait, Nemo est parfait ! « Tu vas m'tuer. » Il confesse en éclatant cette somptueuse alliance établie par nos lèvres. Je grommelle, lui dérobe un timide baiser, le sourire au bout des lèvres. « Tu m’auras emporté avant cela ! » Mes doigts remontent le long de sa nuque, je veux profiter de l’instant sans me soucier du reste, je recouvre à nouveau ses lèvres, lentement, appliqué. Mon cœur bat tellement fort, il va finir par ressortir de ma poitrine pour tout emporter sur son passage. Je me sens bien, invincible, heureux ! Il me rend heureux !
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I remember when, I remember when I lost my mind. There was something so pleasant about that place. Even your emotions had an echo in so much space and when you're out there, without care, Yeah, I was out of touch. But it wasn't because I didn't know enough...I just knew too much. Does that make me crazy?

« C'est toi qui m'trouve débile, si t'es là que pour m'insulter, oui, tu peux ! » Tu t'exclamais sous l'impulsivité, juste par mesure d'aller dans son sens parce que oui ça t'emmerdait qu'il soit là si c'était seulement pour te dire à quel point tu ne comprenais rien et que t'étais aveugle pour ne pas voir ou décrypter certaines choses qui étaient devant ta gueule. Parfois il te fallait un peu plus de temps pour assimiler les choses surtout quand les sentiments entraient en jeu, parfois t'étais comme brouillé, perdu même si qu'un et qu'un seul choix s'offrait à toi. C'était comme ça, fallait faire avec, il t'arrivait d'être dense et d'avoir deux de tensions. Si ça ne lui plaisait pas, il pouvait bien dégager oui, même si tes yeux noisettes essayaient de communiquer avec les siens silencieusement et non, non, reste, reste encore un peu, un tout petit peu. Tu te trouvais tout de même con – tiens voilà qui lui ferait plaisir – lorsque tu pensais qu'il t'avait dessiné sur le visage, alors que tu étais à des années lumières de te douter de la vraie raisons des questions suspicieuses de Graham il y a deux semaines. C'était bien différent d'une bite au marqueur sur la gueule, c'était vrai. Peut-être que t'allais plus avoir à lui voler tous ses stylos quand t'irais dormir chez lui maintenant – oups, comment ça tu voyais bien trop dans le futur ? C'était... C'était qu'une supposition, voilà tout. Il riait quand tu lui demandais l'affirmation qu'il t'avait violé la bouche – et au moins t'avais pas complètement servi à rien, t'avais réussi à un peu détendre l'atmosphère en redevenant un peu plus toi - et tu levais tes yeux au ciel, croisant tes bras contre ton torse, un léger sourire en coin faisant frémir tes lèvres. « Devrais-je te rappeler que j'ai du m'occuper d'un gosse bourré durant toute la soirée et que ça m'avait bien crevé ? On échangera les rôles la prochaine fois, tu vas voir si tu t'endormiras pas en deux secondes. » Tu lâchais avec une once de défi, même si devenir ivre comme il l'était n'était pas trop ton activité préférée ni dans tes mœurs. Tu ne pouvais ôter l'idée que ce serait quand même très drôle, un Gramou s'occupant d'un Nemo mal en point. Tu osais ensuite lui demander les conclusions qu'il avait retiré de ce baiser, mais il ne répondait pas, et tu faisais une petite moue. Même pas drôle, comment t'étais censé le prendre au sérieux là ? Oui Gramou, ouuui, ça marchait un peu mieux avec tes douces caresses sur le menton. Tu te sentais chavirer, tu savais que tu allais perdre pied car tu ne voulais plus lutter pour le moment. T'avais déjà trop lutté durant ces deux semaines, tu l'avais trop haït, maudit, fait souffrir dans ton imagination des centaines de fois, mais maintenant t'avais qu'envie du meilleur pour vous deux, si ce meilleur était ensemble. Tu haussais un sourcil interrogatif quand il souriait, et te répondait que tu n'avais encore rien vu de la galère qu'il était censé être... Ouah, merci, ça te rassurait tellement. « J'dois prendre peur c'est ça ? C'est par où l'accueil pour un remboursement de son Gramou ? » Tu plaisantais doucement, avant de t'insuffler du courage et d'avancer ce troisième baiser, puisque Graham te suppliait d'apprendre. T'étais une nouvelle fois un peu anxieux, mais quand au bout de trois secondes le wintrhop ne te repoussa pas, tu comprenais ça comme une petite victoire, et tu laissais tomber les barrières pour mieux explorer ses lèvres durant de longs instants. « Tu m'auras emporté avant cela ! » Tu riais doucement contre sa bouche, et tu tournais doucement ton visage en signe négatif, venant cogner vos nez ensemble. « Noooope, j'suis adorable moi, un vrai cadeau. » Tu répondais avec un sourire d'ange, puis tu répondais à son nouveau baiser, glissant tes mains autour de sa taille. Tu pouvais passer des heures, la journée même –  ta vie – à l'embrasser, à le toucher, à apprendre ce qui le faisait frissonner. Tu finissais par décoller doucement tes lèvres, et tu replongeais tes yeux dans les siens, indécis. « Alors quoi maintenant ? Ça veut dire quoi tout ça..? » Tu osais demander, faisant trembloter ta jambe gauche d'appréhension. Parce qu'un baiser, ça pouvait dire tout et rien à la fois.

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« C'est toi qui m'trouve débile, si t'es là que pour m'insulter, oui, tu peux ! » Qu’il m’énerve à me prendre de haut de la sorte, il ne sait pas pourquoi je suis venu et il pourrait bien ne jamais être au courant. Car oui, plutôt crever que de lui donner matière pour me faire du mal, je ne suis pas suicidaire à ce point-là. Et puis, et puis merde tiens, il m’énerve tellement que je recommencerais bien à mettre ma main sur sa bouche pour l’empêcher de prononcer le moindre petit mot, pour l’empêcher de former le moindre petit son qui pourrait me contrarier alors que je m’apprête à lui offrir mon cœur sur un joli petit plateau. « Et si tu te taisais pour me laisser te dire ce que je suis venu ici te dire ? Deal ?! » Je ne lui laisse pas le choix, et qu’il n’essaye pas de me contredire ou je vous jure que ma main viendra s’abattre tel un soufflet sur ses lèvres pour l’empêcher de grogner. Il peut tout à fait m’en vouloir, bien qu’au final je n’ai pas fait grand-chose pour attiser ses foudres, mais il doit m’offrir une chance de faire les choses bien. Il le doit, j’ai besoin de mon happy end, je ne veux pas obtenir un autre résultat pour nous deux. Quoi ? Les hommes aussi peuvent croire aux contes de fées, nous n’en sommes pas moins virils. Qui ne rêve pas de couler des jours heureux auprès de la femme, ou de l’homme, de sa vie. Par chance, je n’ai pas besoin de sortir l’artillerie lourde pour le faire taire, mes premiers mots lui font perdre progressivement sa suffisance, il est à l’écoute, les ampoules commencent à s’éclairer, il a compris maintenant… Il a compris qu’il m’a bouleversé le premier soir, lorsqu’il m’a embrassé, mais que j’ai vraiment commencé à tomber sous son charme au Summer Camp. Plusieurs mois sous la même tente, à partager nos joies, nos peines, nos délires, nos moments plus intimes, je peux vous assurer que cela rapproche. Certains n’en ressortiraient pas indemnes, dégoûté par l’autre, mais ce ne fut pas été mon cas, au contraire, ce fut une révélation. J’en profite également pour remettre les choses dans leur contexte, je n’ai pas tenté de violer ses lèvres, il ne devait pas être endormi. Il a tout raté le con ! « Devrais-je te rappeler que j'ai du m'occuper d'un gosse bourré durant toute la soirée et que ça m'avait bien crevé ? On échangera les rôles la prochaine fois, tu vas voir si tu t'endormiras pas en deux secondes. » Bon, d’accord, j’étais peut-être un petit peu, beaucoup, éméché, et alors ? « Je croyais que tu étais super neminem moi… Tu devrais résister à tout cela ! » Je tente d’ajouter avec une petite voix toute innocente, toute mignonne. Il ne peut pas m’en vouloir, je suis persuadé que je l’ai plus fait rire qu’autre chose. Peut-être pas sur le moment, mais je suis certain qu’il s’en remémore en souriant à présent. Puisque les mots ne suffisent plus, puisqu’ils me manquent terriblement pour exprimer ô combien il fait de moi un homme différent, une personne meilleure, plus heureuse, moins hantée par son passé, je décide de passer à l’étape supérieure. Je n’ai pas peur de m’afficher ouvertement sur le campus, je n’en ai rien à foutre d’être surpris en train d’embrasser un garçon, à quoi bon puisque j’ai envie d’être avec Nemo ? Braver mes propres interdits, c’est excitant ! « J'dois prendre peur c'est ça ? C'est par où l'accueil pour un remboursement de son Gramou ? » Il fait mine de chercher et je l’arrête immédiatement, boudeur. « Il n’y a pas de remboursement, tu m’as voulu, maintenant tu n’as plus qu’à assumer et faire avec ! » Car, soyons clairs, je ne compte pas m’en aller tout de suite. Oh que non, il est parti pour m’avoir sur le dos un petit moment le pauvre. Pas sûr qu’il soit vraiment résolu face à son destin, à le voir apprécier l’appel de mes lèvres. Il est plus fougueux que moi, c’est certain, mais je ne suis pas habitué à embrasser des garçons, comme je l’ai dit, j’ai encore beaucoup à apprendre de lui beaucoup de petites choses à expérimenter avant de pouvoir totalement me lâcher et lui montrer le meilleur de moi-même. Il caresse ma peau, ses doigts longent mes traits et s’arrêtent à ma taille, faisant déjà s’emballer mon cœur et d’autres choses plus gênantes, plus intimes. Je me mordille la lèvre, tâchant de refreiner ce genre de pulsions diaboliquement prenantes. « Alors quoi maintenant ? Ça veut dire quoi tout ça..? » La question qui tue, j’ai réfléchi à beaucoup de choses, pas à cela. Je ne doutais pourtant pas de notre capacité à dépasser nos aprioris pour céder à la tentation, je ne pensais pas qu’il me poserait cette question tout de suite. Je suis confiant malgré tout, mes lèvres s’amusent à taquiner le bout de son nez sur lequel je dépose un mini baiser. « Je ne veux pas trop m’emballer… Mais je veux plus que ce que nous étions, je te veux pour moi tout seul. Je ne sais pas à quoi ça va nous mener, je ne sais pas dans quoi je m’embarque mais je le veux… Ardemment ! »
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« Et si tu te taisais pour me laisser te dire ce que je suis venu ici te dire ? Deal ?! » T'avais vraiment l'envie de lui répondre « pas deal », de le faire chier jusqu'au bout, de le faire sortir de ses gongs, mais t'allais pas être aussi chiant – pas maintenant. Tu voulais pas qu'il s'enfuit, tu voulais pas qu'il parte, au moins que tu aies à entendre ce qu'il avait à dire, que tu puisses prendre tes propres choix par la suite. En plus, ça allait bientôt être de ta faute si tu n'avais pas senti le baiser caché de Graham. Parce que tu t'tais endormi trop vite pour un humain. T'étais fatigué, à cause de monsieeeeur Singleton-Je-Bois-J'inquiète-Nemo, et cet ingrat n'avait aucune reconnaissance, aucune, pour rien ! Tu secouais ta tête, lui faisait une petite et douce pinchenette sur le nez. « Super Neminem il avait déjà pas du tout envie d'aller à cette fête et comme tous les super héros il a très besoin de dormir quand on lui vomi, lui pisse ou lui cague dessus. » Oui bon, pour ton bien ça n'avait pas été aussi extrême ce soir-là, et bien heureusement. T'avais tellement eu peur pour ta chère voiture... Bon, pour Graham aussi, mais ce n'était qu'un détail. Par contre, il te disait que t'avait encore rien vu de ses indécisions à répétitions et tu sentais que vous alliez beaucoup vous engueuler si Gramou il changeait d'avis comme de chemise et qu'il s'attendait à ce que tu devines tout tout seul. Tu faisais mine de regarder autour de toi, cherchant l'espace de remboursement asap de Gramou endommagé, mais tu riais en voyant son expression de boudeur du dimanche. « Je peux tout faire avec ? » Tu demandais avec un grand sourire trop innocent pour être vrai. Des sous-entendus sexuel ? Ok, Nems était bel et bien revenu dans le magnifique monde des vivants.

Puis ouais, tu lui demandais ce que ça voulait dire, ces nouvelles confessions, ces doux baisers. Ouais t'avais osé lui demander ça, même pas quelques minutes après que tu l'embrasses pour la première fois depuis deux semaines. Tu aurais pu attendre, tu aurais pu lancer ce genre d'interrogation plus tard après avoir un peu observé ce que vous donniez ensemble, mais t'étais pas du genre à tourner autour du pot quand on arrivait à ce sujet, parce que tu ne supportais pas de ne pas avoir de réponses claires et précises à fournir à ton esprit, à ton coeur, à toi-même. T'aimais pas les peut-être, tu maudissais les on verra et tu préférais être certain d'un non plutôt que d'être paranoïaque auprès d'un oui indécis. C'était simple, et pour le coup c'était pour t'éviter des jours et des semaines de peurs incontrôlées, d'angoisses non apaisées et de flous trop abstrait sur est-ce qu'on est ensemble ? On s'est embrassé mais on en a pas parlé. Peut-être qu'il pense que c'est juste sans attaches. Ou pas ? Merde. On était bien exclusif non ? Ou il est possible qu'il soit avec son ancien plan cul là tout de suite ? Merde, on est quoi en fait ? « Si t'es exclusif... Alors je le suis aussi. » Tu répondais en souriant doucement quand ses lèvres embrassaient le bout de ton nez, et tes doigts se baladaient lentement au creux de son dos, frôlant le tissu de son t-shirt. « On peut juste commencer lentement, avancer à notre rythme ? J'sais que t'as pas l'habitude de ça, et que c'est pas le genre de truc facile à assumer, donc on n'est pas obligé d'aller l'crier sous tous les toits. » Même si t'en mouuuurais d'envie. De toutes manières, il avait pas trop le choix là Graham. Tu le voulais, depuis un moment, mais tu ne pouvais pas encore faire ce que tu voulais. T'étais marié, remember ? T'avais déjà beaucoup de chance d'être le Prince de Monaco et pas le Prince d'Angleterre, parce que merde qu'on te ferait chier à chaque pas que tu ferais, mais ça ne voulait pas dire que tu devais baisser ta garde et ne pas faire attention autour de toi. Déjà là, l'embrasser comme ça, pas loin du gymnase, à la vu de tous, c'était risqué. Tu le faisais parce que t'avais pas vu cette situation venir, parce qu'être avec lui te faisait complètement tout oublié jusqu'à tes principes les plus importants, mais merde, il allait falloir que tu fasses attention.

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Je me suis libéré de tout ce qui était resté bloqué en moi, de tout ce qui me tenait enchainé depuis quelques semaines et j’ai enfin confessé cette attirance certaine que j’éprouve à son égard à Nemo. Si je me suis demandé comment il allait réagir, je dois admettre me sentir stupide maintenant, bien-sûr qu’il va être heureux. Il attend cela désespérément depuis le tout début, depuis le soir de notre rencontre, il serait vraiment stupide de ne pas sabrer le champagne alors que j’ai finalement cédé à ses avances. Attendez, imaginez le scénario, le mec, une fois qu’il obtient ce qu’il veut il décide de passer à une autre cible hétéro à rendre bisexuelle. Il n’a pas intérêt sinon… Sinon le cas de figure ne se présente même pas puisque je retrouve le Neninem qui m’a fait sombrer en premier lieu, toute la luminosité revient se poser sur son joli minois démoniaque et le voilà reparti à me charrier sur ce qu’il s’est passé l’autre soir, à quelques heures du moment où tout est parti en vrille entre nous. « Super Neminem il avait déjà pas du tout envie d'aller à cette fête et comme tous les super héros il a très besoin de dormir quand on lui vomi, lui pisse ou lui cague dessus. » Je ris, notant sans difficultés l’exagération des propos de Nemo, il y a intérêt qu’il pousse le bouchon un petit peu trop loin sinon… Attendez, il me met le doute ce con, j’ai vraiment fait des trucs comme ça ? Maintenant que j’y repense, je ne me souviens pas de grand-chose, je ne me souviens que de ce baiser avant d’aller au lit et de cette furieuse envie de le prendre par… Okay, stop, je ne me souviens plus de rien ! « Je n’ai rien fait de cela… Pas vrai ? Dis-moi que je ne t’ai pas cagué dessus ! » Je panique, il n’y a pas pire que de caguer sur quelqu’un, nous en avons déjà parlé au Summer Camp je vous rappelle et j’ai très nettement présenté ma position sur le sujet. Pitié, faites que je ne me sois pas donné en spectacle de la sorte ! De toute manière, quoiqu’il arrive, Neminem ne pourra pas m’échanger, il m’a dans les pattes à présent et il n’aura pas d’autres choix que de se contenter de cette version Gramou. Avec ses points positifs et ses quelques défauts. « Je peux tout faire avec ? » Il insiste largement sur le tout avec ce sourire coquin que je ne connais que trop bien. Mes lèvres s’étirent, mutines. « Tout si t’es sage… Ou alors très vilain, au choix ! » Tellement étrange de dire des choses comme ça, qui aurait cru… Et pourtant, je dois admettre qu’il ne me laisse pas indifférent non plus, d’un point de vue, disons… Plus sensuel. Une attirance classique quoi, lorsqu’on aime vraiment beaucoup une personne, on l’aime pour tout n’est-ce pas ! Dommage que je me retrouve à bafouiller sur une question on ne peut plus essentielle. A quoi rime toute cette histoires, ces déclarations, que suis-je en train d’attendre et d’exiger de lui ? Il m’en demande énormément et je ne suis pas certain d’être parvenu à relever le défi en intégralité, j’aurais essayé au moins, mon cœur n’a malheureusement pas un master en discours. « Si t'es exclusif... Alors je le suis aussi. » J’acquiesce, satisfait de cette offre. « De toute manière, si tu n’avais pas été exclusif, je te laisse imaginer ce que j’aurais fait à l’autre gars ! » Oh que oui, on ne touche pas à ce qui m’appartient. En couple, je suis en quelque sorte comme un animal à qui l’on donne un os, je refuse qu’on me le dérobe. Rien de plus normal, je suis très attaché aux valeurs du couple. « On peut juste commencer lentement, avancer à notre rythme ? J'sais que t'as pas l'habitude de ça, et que c'est pas le genre de truc facile à assumer, donc on n'est pas obligé d'aller l'crier sous tous les toits. » Une proposition plutôt honnête, même si je ne peux m’empêcher de l’observer, suspicieux. « Je dirais bien que ça me va, car c’est le cas, mais tu n’as rien à cacher dis moi ? Tu as honte de moi ? » Je me sens obligé de le questionner, parce que moi aussi j’ai besoin d’être rassuré, de m’assurer son honnêteté. « Dis-moi, tu as envie de faire quoi maintenant ? On ne va pas moisir devant le gymnase éternellement ! »
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« Je n’ai rien fait de cela… Pas vrai ? Dis-moi que je ne t’ai pas cagué dessus ! » Tu mordais fortement ta lèvre, essayant de ne pas éclater de rire, en vain. Alors il se souvenait réellement si peu de cette soirée ? C'était fou comment un peu - beaucoup - de grammes d'alcool dans le sang pouvait changer la vision des choses et flouter certains passages pour le moins important dans la plupart des cas. T'avais deux options qui s'offraient maintenant à toi, parce que tu adorais mettre Graham dans tous ses états, ce n'était pas nouveau. Soit tu le rassurais, lui épargnant un embarrassement pourtant mérité, soit tu jouais le jeu, tu lui avouais ta vérité. Tentant. Tu soupirais doucement, comme prêt à révéler quelque chose de traumatisant, quelque chose qui pourrait changer la vie entière d'un être humain. « Et bien en fait... tu commençais avec difficulté, avant de froncer un peu ton nez en frustration, et de reprendre d'une manière différente. Tu sais, j't'en veux pas. J'imagine bien que sur le coup, ton objectif c'était pas youpi, allons souiller l'poisson qui m'aide si gentillement ! T'avais juste envie, j'me demande si on t'avait pas mis un truc laxatif dans ton verre, parce qu'une fois commencé, t'étais comme une fontaine man ! Enfin... Sache que ça ne change pas la manière dont je te vois... » Tu finissais par dire, même si évidement que si tu l'avais vu dans de telles conditions, que tu le veuilles ou non, ce serait des images que tu ne pourrais plus jamais effacer de ton esprit ! Même l'échanger contre un autre n'y fera rien, donc il fallait que tu fasses avec apparemment, et que tu te contente de cette version du Gramou-qui-fait-caca que tu avais tant voulu. L'atmosphère lourde faisait rapidement place à plus de légèreté, comme avant, lorsqu'il n'y avait presque pas de tensions entre vous. Tu reprenais des couleurs, tu redevenais petit à petit le Nemo joueur et blagueur qu'il t'arrivait souvent d'être, et pour tout avouer, putain que ça faisait du bien. Ton nuage gris se transformait en explosion de couleurs à chaque secondes qui passait, et plus tard tu ne pourrais que remercier le ciel pour qu'il t'ai envoyé un Graham qui ne t'oubliait pas après deux semaines et qui osait même sa fierté de côté pour t'obliger à lui parler. Tu lui demandais si tu pouvais absolument tout faire avec ce magnifique Graham payé au prix fort, et peut-être que tu aurais dû attendre et t'abstenir de faire ce genre de sous-entendus, vu votre histoire et le fait que Graham était encore novice dans tout ce truc de relation avec un homme - quoi que ça ne soit pas si différent qu'avec une femme, c'était juste un détail de sexe - et qu'arriver au stade coucher avec un homme n'arriverait peut-être pas de sitôt si on prenait en compte qu'il avait été violé. Par chance il répondait d'une manière similaire à la tienne, et tu tapotais son torse. « Allons, c'est pas très précis tout ça, être sage, être vilain, que choisir ! » Tu t'exclamais avec une petite moue, secouant doucement ton visage de droite à gauche. T'étais un mec tout sympa, tout cool, tout sage, mais tu sentais bien que tu allais être attiré par le feu que représentait Graham, tu espérais juste que ce feu se trouve être bénéfique pour toi, même si tu avais conscience qu'il y aurait forcément quelques gouttes d'eau sur le chemin. Et afin d'éliminer le plus de méchantes gouttelettes dès le départ, tu voulais savoir où vous vous en teniez. S'il attendait quelque chose seulement de temps en temps afin d'essayer et de lui laisser le temps d'apprendre et de s'y faire, ou si ça ne lui dérangeait pas d'avoir tout tout de suite en mode vraie relation. Parce si de ton côté c'était clair que tu ne voulais pas le partager, tu ne savais pas ce qu'il préférait, ou s'il avait déjà vraiment été en couple. Tu riais alors qu'il te répondait quand tu lui disais que s'il était exclusif tu le serais aussi, et tu haussais un sourcil, amusé. « Et tu compterais lui faire quoi au méchant monsieur pas beau ? Tu l'intimiderai de tes muscles ? » Tu plaisantais, venant enfoncer ton index dans son biceps. Mais ça te plaisait, si Graham était un gros possessif. Tu lui proposais tout de même une alternative pour commencer, quelque chose qui pourrait vous mettre à l'aise tous les deux sans que ça devienne trop étouffant d'avoir ce tel changement d'un coup. Il était vrai, tu devais l'avouer, que cette proposition était intéressée et que tu pensais aussi à toi et à tes obligations princières pour le coup. Tu ne souhaitais même pas entrevoir le fait que Graham soit au courant de tout, car tu ne voulais pas lui faire du mal, mais pour se faire il fallait que tu te protège et que vous ne soyez pas en mode je montre trop mon affection en public. Ça te saoulait, mais t'avais pas le choix de ton côté. Il te répondait que ça lui allait, mais tu mordais doucement l'intérieur de ta joue quand il allait plus loin, te demandant si tu cachais quelque chose. Heureusement, tu pu rebondir sur la fin de sa phrase. « Mais bien sûr Graham, j'ai affreusement honte de toi, ton physique est tellement ingrat et ta personnalité si ennuyeuse, ô que j'ai hoooonte. " » Tu lui sortais, l'air monotone et le regard qui voulait dire tu te foutrais pas vraiment de ma gueule ? Il te demandait ensuite ce que tu voulais faire, et tu souriais doucement en coin. « Ce serait pas génial de mourir dans un gymnase pour des mecs qui adorent le sport ? » Bon, tu souhaitais pas mourir toooout de suite non plus quoi, surtout pas maintenant que t'étais accompagné de Gramgram. Tu sortais tes lunettes de soleil, puis tu montais sur le dos de Graham tel un sans-gène, t'accrochant à son cou. « Surpreeeeends-moi, ô grand romantique que tu es ! » Tu te moquais.

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Je plaisante, je fais le mariole et je m’amuse de mon propre état lors de cette fameuse soirée mais, d’un autre côté, je ne peux m’empêcher d’émettre quelques inquiétudes lorsque Nemo commence à faire référence à certains détails pour le moins perturbants. Rendons-nous à l’évidence, je n’ai pas pu faire tout cela ? Pas vrai ? Je ne peux pas avoir pris envie de caguer en plein milieu de la soirée ou même sur la route, je ne peux encore moins lui avoir demandé de s’arrêter et… Non, pitié, dites-moi qu’il s’agit uniquement d’une mauvaise blague et que l’enfoiré s’amuse à me torturer parce que mon amour propre ne s’en remettra jamais. Lui vomir dessus, okay, j’ai envie de dire que c’est tout à fait possible, il l’a bien élégamment fait au Summer Camp et de manière nettement plus inattendue qu’en ayant cinq grammes dans chaque poche. J’accepte d’avoir dégueulé partout, lui compris, mais pas d’avoir été plus loin. « Et bien en fait... » Je suis pendu à ses lèvres, le teint pâle, pourvu qu’il ne m’annonce pas quelque chose de dégoûtant, merde, plus jamais j’irais boire à un verre à une soirée, plus jamais vous m’entendez ! « Tu sais, j't'en veux pas. J'imagine bien que sur le coup, ton objectif c'était pas youpi, allons souiller l'poisson qui m'aide si gentillement ! T'avais juste envie, j'me demande si on t'avait pas mis un truc laxatif dans ton verre, parce qu'une fois commencé, t'étais comme une fontaine man ! Enfin... Sache que ça ne change pas la manière dont je te vois... » Chaque mot qu’il prononce achève de m’enterrer plus bas que terre. A cet instant, si je le pouvais, je crois que je m’enfuirais et ne reviendrais plus jamais affronter son regard. A mon tour d’avoir la honte de ma vie, il reste sérieux en plus le con, j’ai l’impression qu’il a ce petit sourire moqueur qui accompagne chacune de ses bêtises mais… Mais il pourrait très bien simplement se moquer de mes mésaventures. « Non mais tu te fiches de moi hein ? Je n’ai pas pu faire un truc pareil, pas devant toi… » Je vous jure que si je l’ai vraiment fait… Qui est l’enfoiré qui m’a mis un laxatif dans mon verre ? Qu’on le dénonce et je retournerais volontiers en prison faire un petit stage. Le ridicule ne tue peut-être pas, mais il amoche sérieusement. Comment faire preuve de sexappeal après cela ? Non parce que clairement, le mec le plus irrésistible au monde se grillerait auprès de cent pourcent de la population avec un tel comportement, nous sommes d’accord ?! La suite des événements est nettement plus agréable pour nous deux puisque les nuages se dissipent pour laisser place à un soleil éclatant. Je ne sais pas combien de temps mettront les nuages à pointer de nouveau le bout de leur nez, ce que je sais en revanche, c’est que j’ai très envie de m’investir à fond dans cette relation, j’en ai besoin, depuis le temps que j’en rêve secrètement sans même oser me l’avouer. « Allons, c'est pas très précis tout ça, être sage, être vilain, que choisir ! » Je caresse sa peau toute douce, on dirait même celle d’un bébé, laissant planer le suspense un moment. « Je te fais confiance pour prendre la bonne décision, celle qui me convaincra le plus ! » Je plaisante, je fais à nouveau le mariole mais le moment venu j’ignore comment je réagirais face à cette nouvelle expérience. Je suis déjà passé par la case sexuelle avec un homme, contre ma volonté, à plusieurs reprises et avec trois partenaires différents en l’espace de cinq minutes. Je me suis fait avoir en prison et je m’étais promis de ne plus jamais laisser un mec s’approcher de moi. Malgré l’excitation certaine qu’il provoque en moi lorsqu’il me touche, serais-je un jour capable d’offrir à Nemo ce qu’il est en droit d’attendre de moi ? Je me sens obligé de préciser que, dans son propre intérêt, il n’a pas intérêt à briser l’exclusivité pour aller voir ailleurs. Il me connait plaisantin, cool, il m’a parfois côtoyé lorsque j’étais énervé mais il ignore tout de mon comportement lorsque je suis en couple. Romantique, appliqué, passionné… Possessif et très jaloux ! « Et tu compterais lui faire quoi au méchant monsieur pas beau ? Tu l'intimiderai de tes muscles ? » Je souris amusé, attendri par le doigt qui se balade contre mon biceps. « N’oublie pas que la prison ressemble à une arène de gladiateurs, je saurais le faire fuir sans jamais se retourner pour te tenter à nouveau ! » Mes sourcils se redressent plusieurs fois pour faire monter le suspense autour de ce que je pourrais faire ou non, la dernière fois que j’ai été en couple remontant à trois ans. Époque où tout était différent, mon corps le premier et ma manière de voir la vie également. L’alternative qu’il m’offre, plus discrète, m’inquiète autant qu’elle ne me plait. Qui ne craque pas pour le côté pour vivre heureux vivons cachés après tout. « Mais bien sûr Graham, j'ai affreusement honte de toi, ton physique est tellement ingrat et ta personnalité si ennuyeuse, ô que j'ai hoooonte. " » Je souris bêtement, et lui plaque un bon petit coup sur le torse. « T’as intérêt petit con ! » Il m’a retiré cette impression d’être le dindon de la farce, pour le moment… « Ce serait pas génial de mourir dans un gymnase pour des mecs qui adorent le sport ? » Me répond-il après ma petite remarque. « Ce serait le comble ! » Il me saute sur le dos et s’accroche à mon cou, le pire dans tout cela ? Je ne ressens quasiment pas la difficulté, il est léger le petit. Je lui attrape malgré tous les jambes pour éviter qu’il glisse à cause de mon t-shirt. « Surpreeeeends-moi, ô grand romantique que tu es ! » Je pouffe de rire, incapable de m’empêcher de lui faire remarquer, taquin. « Le grand romantique que je suis, pour ne pas faillir à sa réputation, aurait eu besoin de quelques heures de préparation ! Mais j’ai une idée ! » Une vilaine petite idée. « Suis-moi ! » Il n’a pas bien le choix de toute manière, il est sur mon dos après tout. Je m’élance, au galop, enfin presque, et traverse la pelouse du stade de football pour rejoindre le parking et ma voiture. « Grimpe, vilain ! » Quelques kilomètres et nous voilà arrivés à mon appartement. L’ascenseur, mon étage, nous arrivons à mon petit chez moi. « Je vais aller faire quelques rapides petites courses au supermarché en bas de chez moi, je te laisse te déshabiller et t’allonger dans ma chambre ! » Et je n’en dis pas plus, pourquoi suis-je en train de lui demander de se dénuder ? J’ai une petite idée derrière la tête.
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C'était finalement une occasion rêvée, une vraie occasion en or cette soirée où dépravation et boissons étaient devenus les maîtres mots pour Graham. Qui aurait pensé qu'en vous souvenant de l'état pitoyable de monsieur muscle, tu aurais l'occasion de prendre une petite revanche sur ce qu'il t'avait fait subir ce soir-là, et que tu aurais apporté sur un plateau d'argent une petite farce à lui faire. Et non, ce n'était pas bien méchant : il n'avait qu'à tout simplement s'en souvenir et avoir moins bu, comme tu le faisais quand tu sortais. Alors tu jouais le jeu, comme le remarquable acteur que tu étais, le jeu d'un homme dont la mémoire est gravée à tout jamais d'images horribles mais qui les surmonte chaque jour afin d'apporter son support et son amitié à son pote. Ta (presque) vraie histoire, en somme. Tu tentais de ne pas rire quand tu voyais au fur et à mesure le visage de Graham se décomposer – et ô faites qu'il ne te claque pas de stupeur dans les bras, s'il vous plait ! « Non mais tu te fiches de moi hein ? Je n'ai pas pu faire un truc pareil, pas devant toi... » Tu te tâtais pour faire tourner court la blague, voyant que Gramgram avait l'air vraiment mal pour le coup, mais tu haussais tes épaules, essayant de rester le plus sérieux possible, car t'étais trop joueur et que ça te faisait tellement rire intérieurement. « Tu sais, on ne résiste pas aux besoins de son corps ni à celui du gros intestin, que ce soit moi ou pas, tu ne pouvais plus te retenir, ce n'était pas de ta faute Graham. Ça aurait pu arriver à tout le monde. » Tu tentais faussement de le rassurer, posant une main sur son épaule. Bon, tu te moquais mais au final, il avait réellement failli te pisser dans la voiture, alors ce n'était qu'une petite blague de contrepartie. Tu souriais ensuite, frémissant légèrement lorsqu'il caressait ta peau, soupirant d'aise. Oui, il allait falloir que tu joues bien tes cartes avec Graham, surtout que tout était toujours si incertain sur ce plan. Peut-être que t'allais devoir passer le restant de tes jours à te masturber, ce serait triste, mais tu n'aurais pas vraiment le choix si Graham avait une réelle difficulté, un vrai traumatisme tout à fait compréhensible de faire l'amour avec un homme. Mais il ne fallait pas que tu t'angoisses sur ça maintenant – vous verriez ça plus tard, bien plus tard. Vous aviez tout votre temps non ? Pas de pauvres mecs qui seraient intéressés par toi, Graham ne craignait rien. Tu te moquais un peu en lui demandant ce qu'il compterait faire si tu n'étais pas si exclusif que ça de ton côté, et tu riais en écoutant sa comparaison de la prison avec une arène de gladiateurs. « En lui coupant la tête d'un coup d'épée ? » Tu supposais en haussant un sourcil, avant de baisser tes bras afin de venir enlacer tes doigts aux siens.  « Je donnerai tout pour voir ça dis-donc... » Tu disais en souriant en coin, ton regard amusé dans le sien. Bon, t'allais surement pas chercher un mec juste pour observer un Graham possessif en action, t'étais pas un tel connard, mais ça avait l'air très sexy dans ta tête, ce blondinet en mode guerrier. Tu fus ensuite un peu pris de court quand il semblait voir que tu cachais quelque chose – toi et ta finesse légendaire – mais tu te rattrapais quand il te parlait d'avoir honte de lui – parce que sérieusement, comment tu pourrais ? Ta réponse toute monotone et pas du tout sarcastique le fit sourire, mais il se vengeait de sa paume contre ton torse, le méchant. « Mais t'en poses des questions aussi, tu sais déjà très bien la réponse ! » Tu riais, comme pour te défendre de ta réponse, avant de lui sauter avec tout le naturel du monde sur le dos, alors qu'il attrapait tes jambes afin de t'éviter de glisser à la longue. Tu lui demandais de te surprendre, car tu le suivrais un peu partout le blondinet, et en deux secondes le mec il te trouvait une idée, comme ça. « Mh tu m'intrigues. » Tu murmurais contre son oreille, venant déposer un simple baiser sur sa nuque, avant de rire contre son dos lorsqu'il se mettait à galoper comme un cheval plus vrai que nature, toi te tenant bien à lui. Tu levais tes yeux au ciel quand il osait t'appeler vilain – t'étais a real life bisounours, tu comprenais vraiment pas là manière dont il te percevait – et tu te dépêchais d'entrer dans sa caisse, le laissant vous conduire tranquillement chez lui. Tu posais pas de question pour une fois, même si t'étais très curieux, tu verrais bien. Une fois arrivé à son appartement – qui regroupait un bon mixte de bon et mauvais moments – et lorsqu'il repris la parole, tu devenais... Comme abasourdi. « Q-quoi ?! » Tu bégayais, mais il filait déjà,reprenant le chemin de l'ascenseur, et il te laissait planté devant chez lui, la porte ouverte. Dafuq. Nu ?Il ne pouvait pas déjà vouloir... Noooon, c'était pas possible. T'étais pas assez bête pour y croire vraiment, mais tu ne comprenais pas cette simple commande alors. Puis des courses... Putain, tu captais rien, pourquoi t'avais choisi d'être attiré par un mec si mystérieux hein ? Et toi aussi, t'étais con à lui demander de te surprendre. Maintenant tu savais plus quoi penser ! Tu finissais par entrer lentement dans le-dit appartement, fermant derrière toi, et tu regardais autour, posant ton sac de sport, avant de te diriger vers sa chambre. Tu soupirais, un peu tremblant d'appréhension, parce que tu voyais juste pas ce que pouvait être sa putain d'idée de génie. Tu te rassurais que rien ne pourrait être pire que Graham qui te cague vraiment dessus – vous aviez décidément un vrai problème avec ce sujet dans toutes vos conversations – et tu enlevais tes habits, finissant par garder ton boxer parce que... C'était comme une représentation de ta dignité vous voyez ? Tu montais sur son lit, et tu attrapais ta meilleure amie la télécommande, cherchant une chaine française pour rattraper un peu toutes les nouvelles le temps que Monsieur Mystère revienne.

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Il est en train de jouer avec moi, c’est obligé, il est bien en train de se foutre de ma gueule non ? Je cherche autour de nous les caméras qui pourraient mémoriser tout cela. Imaginez la tête que je dois avoir ? Car je la visualise assez bien présentement, entre panique et exaspération, dégoût et colère envers moi-même. Je peux vous assurer que quelle que soit la vérité je ne serais plus jamais amené à être dans un tel état et à me donner en spectacle. Oh que non, j’ai retenu la leçon et même si c’est cette même soirée qui nous a permis d’en arriver là aujourd’hui, sans cela nous n’aurions probablement pas vécu tout cela, il ne m’aurait pas à nouveau embrassé et je n’aurais pas eu le temps nécessaire pour me rendre compte de tout ce que je ressens à son égard. La vie peut parfois être traitre, un mauvais événement en entraine une succession de plus sympathiques. Une justice existerait-elle vraiment ? « Tu sais, on ne résiste pas aux besoins de son corps ni à celui du gros intestin, que ce soit moi ou pas, tu ne pouvais plus te retenir, ce n'était pas de ta faute Graham. Ça aurait pu arriver à tout le monde. » Il me tapote sur l’épaule, vraiment sérieux. Oh no, oh HELL NO ! ais-je envie d’hurler, plus jamais je ne pourrais le regarder en face sachant qu’il aura pour le restant de ses jours une image de moi quelque peu dégradante en tête. Il me visualisera ad vitam aeternam en train de démouler un cake en pleine nature et… Et attendez, comment j’ai fait pour m’essuyer ? Oh non, je ne peux pas poser cette question… Je crois que je vais rendre mon petit déjeuné ! « Non… » Je répète, de plus en plus honteux. « NE ME REGARDE PLUS JAMAIS DANS LES YEUX ! » Message subliminal ? Évites-moi d’avoir la honte de ma vie à chaque fois que je te regarde ! De fil en aiguille nous en arrivons aux discussions bien plus sérieuses, celles qui déterminent ce que nous sommes ou non. Car oui, je lui ai peut-être ouvert mon cœur, je prends peut-être le risque de découvrir une autre manière d’explorer sa sexualité, une nouvelle vision de l’amour aux côtés d’une personne du même sexe que moi mais des limites doivent être fixées tout de suite. Pour que tout ce passe bien ! Je ne crache pas sur la fidélité, notamment. « En lui coupant la tête d'un coup d'épée ? » Il s’amuse à imaginer, après ma comparaison du système carcéral américain avec les arènes de gladiateurs. « Sans l’épée oui, nous n’avons pas d’épées en prison ! » Avouez, vous imaginez un Graham énervé arracher la tête d’un abruti à la main. Glaçant, n’est-ce pas ? « Je donnerai tout pour voir ça dis-donc... » Je souris, plus tellement concentré sur le sujet, ses doigts viennent me perturber, je ne boude pas mon plaisir pour autant en les enlaçant à mon tour. Les questions continuent de s’accumuler sans réellement obtenir de réponses au sujet de Nemo, parce que j’ai cette étrange impression qu’il ne joue pas franc jeu avec moi, pas sur toute la ligne en tout cas. Impossible de rester là-dessus pour le moment, cette boule d’énergie nommée Neminem est en train de m’exploser entre les mains. Elle réchauffe mon cœur, est éclatante et je ne peux simplement pas réfléchir en sa présence. Je veux juste vivre, en expérimenter tous les effets et être heureux. Heureux, j’ai oublié ce que cela faisait ! « Mh tu m'intrigues. » Je souris, fier d’obtenir l’effet escompté. Je m’élance comme un cheval au galop vers la sortie du stade, on ne peut plus motivé par ses rires, innocents ! Nous ne tardons pas à rejoindre mon appartement où je lui annonce le tout début de mon programme, et pour cela il a besoin d’être à moitié nu. Sa réaction est, à l’image de moi lorsqu’il s’est amusé à me faire une mauvaise blague plus tôt dans la journée, collector. « Q-quoi ?! » Tout mon argent qu’il est en train de s’imaginer plein de petites choses très coquines impliquant que je sois nu et très actif ! La simple idée fait s’étirer mon sourire, mutin ! « Surprise ! » Je répète en ressortant de l’appartement. La mission à laquelle je m’attèle est compliquée, mais j’ai une bonne idée derrière la tête. Je descends les escaliers cinq par cinq, au pas de course pour aller jusqu’au supermarché en face de mon immeuble. Par chance, il est suffisamment grand pour abriter tous les produits dont j’ai besoin, ingrédients pour le repas que je vais lui préparer, huiles parfumées pour mon plan diabolique, ouuuh, un bandeau pour l’obliger à faire appel à ses autres sens… Bougies ! J’ai tout ce qu’il me faut et je suis, de manière très inhabituelle, vraiment impatient. Je remonte par les escaliers, pas effrayé par l’effort et rentre dans l’appartement que je referme derrière moi à clé, une vieille habitude. Je dépose mes sacs sur la table de la cuisine et monte à l’étage où je le retrouve, allongé sur mon lit comme je le lui ai demandé, à regarder la télévision en français… Je le sais puisque j’ai commencé des cours avec Camille. Mes lèvres s’étirent devant cette vision, il est vraiment très sexy. « Eh, je ne t’ai pas dit d’allumer la télévision, éteins et tourne-toi, sur le ventre ! » Je n’en dis pas plus, je ferme cependant les volets, appuie sur l’interrupteur pour plonger la pièce dans le noir puis je le quitte à nouveau. Moins longuement cette fois, juste le temps de faire le tri entre mes deux sacs, je n’en monte qu’un seul dans la chambre. « Pour commencer, tes yeux ! » Je sors le bandeau de mon sac et, sans en dire plus, je le lui glisse sur la tête, fermement décidé à le provoquer, à le faire réagir à ma surprise. « Parfait ! » Mon plan diaboliquement romantique est en marche. Je commence par sortir les bougies du sac, j’en allume une, puis deux, puis trois, puis quatre et finalement cinq. Une parfaite ambiance tamisée s’installe, intime. Je poursuis sur ma lancée en sortant mes huiles et je le rejoins au lit pour m’installer à califourchon contre ses petites fesses bombées. « Je me suis dit que… Après un entrainement sportif, tu aurais besoin de te détendre un peu. » J’ouvre la première bouteille d’huiles que j’incline pour que le liquide s’écoule sur son dos, il est froid et sa réaction est immédiate, il frissonne. Mes mains ne tardent pas à s’élancer sur ses omoplates, il est temps de montrer que je sais être doux aussi.
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T'y prenais bien trop de plaisir. C'était fou comme faire croire des choses à quelqu'un, même durant quelques minutes seulement, pouvait t'être jouissif. Tu aimais observer la réaction des personnes de qui tu te jouais, les effrayer, les faire paniquer. Ne vous méprenez-pas, tu étais loin d'être un gros psychopathe sadique qui aimait faire souffrir ses victimes, et tu ne ferais surement jamais de profondément méchantes farces comme un j'ai roulé en voiture sur ton chien hier et il est mort ou un je t'ai trompé, je ne t'aime plus, car même si le résultat était un aussi grand soulagement, c'était juste pas cool. Par contre, faire croire à Graham que tu as tu certaines choses de cette soirée où il avait bu, ça te faisait bien délirer. Peut-être même que ça allait lui faire un électrochoc, peut-être même qu'il aurait le déclic de moins boire dans ce genre de fête, peut-être. Après tout, il était pas allé aussi loin que de faire caca, mais il avait été dans un tel état qu'il n'arrivait plus à défaire son pantalon, et qu'il avait même voulu que tu lui tienne la teub – ça voulait juste tout dire tu pensais bien. Il finissait par gueuler, te demandant de ne plus jamais le regarder dans les yeux, comme la diva dramatique qu'il semblait être parfois, et là c'était trop, tu éclatais de rire, quelques larmes perlant aux coins de tes lèvres. « Graham... Graham ! Je rigolais, c'était une blague ! T'es pas allé jusque là, je te promet ! … Mon dieu, ta tête... » Tu lâchais avec du mal, entre deux éclats de rire, l'une de tes mains attrapant son bras pour l'approcher de toi. T'avais réellement du mal à t'arrêter, t'étais presque triste de ne même pas avoir eu l'idée de le filmer. Tu essuyais doucement tes larmes de joie, relevant ton visage pour regarder le sien, un petit sourire en coin. « … C'est bon... J'peux regarder à nouveau ta gueule d'ange ? » Tu demandais, amusé. Vous parliez ensuite un peu plus de choses sérieuses, de fidélité, et tu riais alors qu'il se comparait à un gladiateur lorsqu'il était en prison. Tu croyais ce qu'il disait – parce que t'étais certain que la prison n'était pas un endroit facile, surtout avec ce qui lui était arrivé et que tu tentais d'oublier à chaque fois – et tu lui demandais s'il couperait la tête de ton amant à l'épée, ayant plutôt gardé le côté de gladiateur sexy que de prisonnier malmené. Tu levé tes yeux au ciel, souriant. « Tu lui arracheras de tes dix doigt alors ? Pour le coup, permet-moi de douter de tes aptitudes... Et s'il avait autant de muscles que toi hein ? » Tu lâchais, parce que même si c'était un peu ton Captain America le mec, t'étais pas sûr qu'il puisse réellement décapiter un mec avec ses doigts pour seules aides – et après tout, il avait bien tué quelqu'un déjà, tout semblait presque être possible. Tu venais ensuite enlacer doucement tes doigts aux siens, voulant essayer de profiter au maximum de l'instant présent. Tu ne voulais pas penser que ça risquait de ne pas tenir longtemps, tu ne voulais pas penser aux complications, aux choses omises pour son bien, au fait que ce soit sa première vraie expérience de cette manière. L'instant présent, ça c'était important. Le fait que ce que tu pensais être impossible auparavant le devenait, le fait que tu avais réussi – il semblerait – à t'immiscer encore plus dans sa vie que ce que lui aurait voulu, comme quoi ton charme naturel c'était pas que de la fiotte.

Une fois arrivé chez lui, il te laissait là, comme un con, s'amusant de ton air hébété avant de filer en te sortant un « Surprise ! » un petit peu trop amusé pour ton goût. Comment ça il fallait que tu l'attendes nu ? C'était quoi le truc, tu faisais la pute qui attendais sur le lit, offert, jusqu'à ce que monsieur se décide de venir te rejoindre ? Putain tu comprenais rien. Il fallait croire que vous étiez comme ça, que vous vous ressembliez sur certains points : vous adoriez jouer avec les nerfs de l'autre. Tu finissais tout de même par te plier aux règles – gardant ton boxer par sécurité – et tu te détendais durant son absence en regardant les infos en français – c'était pas le mieux mais quand tu appelais ton père tu lui demandais plutôt des nouvelles des jumeaux qui étaient nés il n'y a pas longtemps, alors ce qu'il se passait hors de la famille, t'avais pas vraiment fait attention. Tu l'entendais rentrer tu ne savais pas combien de minutes plus tard, et tu guettais son arrivée de la porte de sa chambre, souriant en coin quand il entrait et te voyait. « Il fallait bien que j'm'occupe. » Tu disais en haussant les épaules quand il te disait qu'il ne t'avait pas demander d'allumer la télé – attendre dans le silence total aurait été super glauque, sérieusement – puis tu mordais ta lèvre, ne résistant pas à commenter ce qu'il te disait. « A ouais, t'es comme ça toi, t'oublies les préliminaires, tu passes de suite aux choses sérieuses ? » Tu plaisantais – même si, eeeeuh... Sérieusement il voulait que tu foutes quoi sur le ventre presque nu ? On voyait bien à cet instant que toi, tout ce qui était attentions romantiques tu ne t'y connaissais pas, puisque tu n'avais toujours pas trouver quoi que ce soit. Tu riais doucement, pas trooop sur de toi, mais tu décidais de tenter de lui faire confiance et de te mettre sur le ventre – de toutes manières, si vraiment t'avais aucune confiance en lui, tu serais pas avec du tout. Deux secondes plus tard tu te retrouvais avec un bandeau forcé sur tes yeux, et tu sursautais un peu. « Euuuuh mec, me dit pas que tu prépares mon assassinat... Mes parents sont hauts placés, tu t'en sortiras pas comme ça ! » Tu disais entre mi suspicion, mi amusement – puis c'était pas faux hein, s'il pensait te tuer sans qu'on ne retrouve jamais tes traces, c'était raté mon coco. Le mec en plus il disait parfait en mode c'est parfait j'ai maitrisé la victime et je peux maintenant procéder au découpage de son pénis ! Effrayant. Tu eues peur pendant de secondes qu'il te foute un sac plastique sur la gueule en attendant le bruit, mais il semblait allumer des choses que tu ne pouvais voir – tant qu'il s'amusait pas à foutre le feu dans tes cheveux. Quelques secondes plus tard le lit s'affaissait de sa présence, puis il prenait place sur toi, à califourchon. « Qu'est-ce que tu- » Tu commençais, mais il s'expliquait, et tu mordais doucement l'intérieure de ta joue. Te détendre un peu hein ? Par un massage ? Ok, t'étais tombé sur l'homme parfait. Tu frissonnais du froid de l'huile contre ton dos – parce que le con romantique il te disait pas évidement quand il te foutait un truc glacé dessus – et tu frottais doucement ta tête entre tes avants bras, soupirant d'aise quand il commençait à faire des merveilles de ses mains. « Tu sors le grand jeu dans la première heure toi, je vois. » Tu commentais, les yeux fermés de contentement, un petit sourire aux lèvres caché.

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