I'm searching for something that I can't reach || Tyson

I'm searching for something that I can't reach

I'm searching for something that I can't reach. I don't like them innocent, I don't want no face fresh, Want them wearing leather, Begging, let me be your taste test. I like the sad eyes, bad guys, Mouth full of white lies. Kiss me in the corridor, But quick to tell me goodbye. You say that you're no good for me, Cause I'm always tugging at your sleeve, And I swear I hate you when you leave, But I like it anyway. My ghost, Where'd you go? I can't find you in the body sleeping next to me. My ghost, Where'd you go ? What happened to the soul, that you used, to be?.

Deux jours, ça fait seulement deux jours que je suis sortie de l'hôpital. Les pauvres, je devais tellement leur en faire voir de toutes les couleurs, qu'ils priaient pour que je sorte au plus vite. Le pire, ce que ce n'est pas du tout dans on tempérament d'être aussi chiante, mais là, je n'en pouvais plus. Enfin, je n'en ai pas pour autant terminé, puisque je dois faire des séances avec un psy. Génial !. Aujourd'hui, je passe la journée seule, ce qui est plutôt incroyable, puisque Matthew et Diamantika surveillent mes moindres faits et gestes. Dans notre appartement, à Dia et moi, je me prend une bonne douche chaude. J'ai envie de faire du shopping, puis au moins je serais dehors, à me vider la tête. C'est vêtue d'une jupe à motif fleuries, un débardeur blanc et une veste en jean que je quitte l'appartement. Avant de me rendre au centre commercial, je décide de m'arrêter au Luna Caffe. Je commande un café, et un petit cookie que je range dans mon sac. Il sera pour plus tard, pour mon goûter, comme les petits. Je paye ma commande puis prend la direction de la sortie, où mon téléphone se met à sonner. Entre la porte à pousser, mon café, mon sac et mon téléphone, je dois avoir l'air d'une demeurée. Le tout dans mes mains, j'avance sans vraiment regarder devant moi. Et pauvre de moi, c'est la que je heurte quelqu'un, faisant exploser ma boisson à terre.. Et merde !!!, je écris en voyant ma boisson, avant de comprendre ce qu'il vient de se passer. Je suis vraiment désolée, finis-je par dire à la personne, après avoir ramasser mes bêtises. En relevant la tête, je remarque un jeune homme, plus que charmant. Sa tête me parle vaguement, peut-être l'ais-je vu sur le campus ? Ou bien c'est ma tête qui délire.

acidbrain

(Invité)

Tyson, que faisais-tu là à roder autour du campus ? Tu n'avais pas travaillé aujourd'hui. Tu n'étais même pas sur de pouvoir tenir encore longtemps à jouer sur deux tableaux. Mais tu étais à Cambridge c'était bien parce que tu avais appris une nouvelle qui t'avait pour le moins bouleversé. Boston c'était la porte à côté mais il est vrai que tu ne venais que très rarement par ici pour des affaires personnelles. Et là, pour une fois ça n'avait rien de professionnel et encore moins de familial. Oui c'était carrément centré sur ta petite vie indépendante à toi. Telle une bombe que l'on attend pas, tu avais appris qu'Adelaide aurait tenté de suicider. Qu'on soit bien clair, le jour où ta source t'en as parlé tu étais persuadé qu'il s'agissait d'une erreur. Oui, monsieur je sais tout que tu étais, restait persuadé que ce n'était pas le genre de Mlle Johnson. Comment pouvais-tu être persuadé alors que tu ne l'avais pas vu depuis déjà quelques années sans compter qu'au fond vous ne vous connaissiez pas vraiment. C'était amèrement prétentieux de ta part. Ce côté très protecteur que tu pouvais avoir mêlé à ce côté sur de toi, était finalement le plus gros de tes défauts. Quoiqu'il en soit, tu n'arrivais pas encore à savoir comment tu allais pouvoir l'aborder, après l'avoir fuit autant de temps. Mais sans que tu ne le saches, le destin allait tout faire pour toi. « Ça va ! C'est rien ! » Ah oui ? Pourtant il y a un petit ton légèrement agacé et bien emmerdé dans ta voix. Et d'un coup tu vins à laisser échapper... « Adel'.. » Ah ça t'en bouchait un coin, monsieur grande gueule ?! Tu n'avais même remarqué les petits impacts de boisson chaude sur la manche gauche de ta chemise, trop perturbé par la présence de la demoiselle. Tu n'avais rien prévu mais ça tu ne l'avais pas du tout imaginé ! Tu n'avais rien dit de plus, et ton regard contemplait les traits du visage de la demoiselle.

(Invité)

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Je suis seule dans les rues de la ville, sans avoir quelqu'un sur le dos. Pendant ces deux semaines à l'hôpital, Matthew s'occupait de moi. Même trop par moment, quand par exemple, il retournait mon lit pour voir si je ne cachais pas les médicaments que je devais prendre. Diamantika, quant à elle, voulait attendre que je sois prête pour parler, pour me confier à elle. C'est peut-être elle mon psy finalement. Pour le moment, je ne veux pas parler, à personne. Je veux juste me retrouver seule, bien que ça leur fasse peur, peur que je refasse une tentative. Enfin, pour le moment, la seule chose que j'ai en tête, c'est de boire un bon café, et manger ce délicieux cookie. Oui, sauf que la douée que je suis vient de renverser son café par Terre, et sur la manche d'une jeune homme. Je ramasse le gobelet du café, puis m'excuse auprès de l'homme qui semble être un peu énervé. Je fais une grimace, en voyant sa manche. Oopsy. Alors que je m'excuse, ce dernier m'appelle par mon prénom, enfin, plus précisément par mon surnom. On se connaît ?, dis-je en fronçant les sourcils. Son visage, ses yeux me disent quelque chose mais pour le coup, je ne vois pas qui il peut-être. Un ex ? non, je m'en souviendrais, je ne pourrais pas l'oublier. Je le regarde, un sourire débile sur le visage alors que j'écoute ce qu'il a à me répondre. Hum...je t'offre un café ?, dis-je en montrant le Luna Caffe.

acidbrain

(Invité)

Sans trop réfléchir tu avais balancé ça va c'est rien de manière bien sec, comme pour t'éviter tout le blabla des excuses, des joues écarlates et tout le reste. Seulement à ce moment-là tu n'avais pas vraiment remarqué qu'il s'agit d'Adelaide. Le moins qu'on puisse dire c'est que tu te prenais une belle claque. Tu t'étais préparé à la revoir sans savoir comment l'aborder mais tu n'avais pas imaginé les choses comme ça. Tu as légèrement plissé les sourcils en te demandant si tu avais à ce point changé depuis la dernière fois ? Peut-être bien. Une chose est sur tu étais bien moins jovial et moins souriant que quand tu avait été plus petit. « Difficile à dire.. » Au fond tu regrettais un peu qu'elle ne te reconnaisse pas. Cela étant dit, tu as fini par ajouter comme par pure suggestion. « Tyson.. » Tu ne savais pas vraiment si ça serait une bonne nouvelle ou pas pour la demoiselle. C'était compliqué et tendancieux pour le coup. Tu savais qu'à choisir, elle aurait préféré garder contact mais bon tu as toujours su pourquoi tu faisais les choses et tu avais été bien égoïste, rien plus. Si au départ tu voulais éviter qu'elle ne te voit différemment, avec le temps tu avais vite fini par comprendre qu'il ne fallait en aucun cas la mêler à toutes tes conneries. Ton regard s'est rapidement dirigé vers le sol entaché de café, et très vite tu as remarqué les tâches à café sur ta chemise. « Je suis méconnaissable à ce point ? » Continue et tu allais finir par te prendre une tarte en pleine tronche. Tu n'avais pas l'air de réaliser tu te pointais comme un cheveu sur la soupe après l'avoir rejetée. « Je veux bien si l'offre tient toujours. » Oui tu faisais bien de le préciser.

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Il y a des années de ça, j'avais pour voisin une petite famille agréable, dont les parents avaient un fils. Nous allions dans la même école, et au fur et à mesure du temps, nous sommes devenus amis. En même temps, j'étais la petite élève sérieuse, première de la classe qui se faisait toujours ennuyer. Tyson lui, était le contraire. Il m'a prit sous son aile, si on peut dire ainsi, et venait me défendre lorsque les autres m'embêtaient. Du jour au lendemain, il ne m'a plus donné de nouvelles. Quand j'allais frapper à sa porte, on me répondait qu'il n'était pas là. En gros, c'était sa façon de me sortir de sa vie, sans se compliquer la tête. Cela m'avait blessé, car il était leur de mes rares amis, et que nous étions proches. Puis bon, il était beau, j'étais plus jeune, vous imaginez donc ma tête quand j'étais avec lui. Là, le destin a décidé de recroiser nos chemins. Sur le coup, je ne le reconnais pas et vu ça réaction, c'est plutôt gênant. Il ajoute son prénom, et là mon sang ne fait qu'un tour, et mon petit cœur s'affole. Un oh sort de ma bouche, avant que je lui j'ajoute, aaah oui, mon ami d'enfance lâcheur, avec un grand sourire. Et bam, prend toi ça dans les dents. Je le regarde, le détail. C'est vrai qu'il a pas mal changé quand même. Non...je...euh...c'est-à-dire que c'était il y a un moment, je répond en rougissant, alors que lui, il a été capable de me répondre. Je hoche la tête, lorsqu'il me demande si du coup, mon offre pour le café tient toujours. Bien sûr, puis, c'est pour me faire pardonner pour cette tache, dis-je en regardant sa manche, avant de me diriger dans le café. On se positionne dans la queue, c'est un peu, gênant, je ne sais pas trop quoi lui dire. On ne s'est pas vu depuis longtemps, je me vois mal lui sortir un "au fait, j'ai essayé de me suicider, et toi, ça va ?". Non, je préfère lui demander Alors, quoi de neuf depuis le temps ?, avec un petit sourire.

acidbrain

(Invité)

« Oh ! » Oui effectivement. C'était bizarre de se retrouver face à quelqu'un qu'on depuis toujours tout en ayant l'impression qu'il nous ait étranger. C'était la sensation que tu avais avec Adelaide, tout en sachant qu'au final tu ne l'avais jamais vraiment perdu de vue. Tu as légèrement hoché la tête l'air de dire que le petit pic qu'elle t'envoyait était mérité. Après tout, c'était tout ce qu'il y avait de plus vrai. « Je vais même y passer un peu d'eau, je pense. » Tu avais légèrement grimacé en regardant ta chemise. Arf, tu détestais cette sensation.. Tu étais le genre qui aimait être propre sur soi. Tu la laissé passer devant, pas certain d'être remis de cette surprise, et tu l'as suivi à l'intérieur du Luna Caffe. Tu la regardais du coin de l'oeil, discrètement. Tu n'arrivais pas à te dire qu'elle était passé à l'acte et alors que tu étais plongé dans cette pensée, tu vins à être surpris en l'entendant répliquer. « Difficile à résumer le temps d'une file d'attente mais on avance comme on peut. Toi, comment ça se passe ? » Tu n'as pas précisé que tu la savais encore à Harvard, de peur de finir démasquer si tôt. Oui tu avais eu quelques nouvelles mais tu ne savais pas faire autrement. Si tu avais pu tu n'aurais jamais fuit la demoiselle.

(Invité)

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Oui bon, j'aurais pu avoir une autre réaction, mais c'est sorti tout seul. Cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas vu, que je ne suis même pas capable de le reconnaître. Et pourtant, je l'ai eu 24h/24h quand j'étais plus jeune. Lorsqu'il me rappel son surnom, ça me fait tilte, et je me souviens de lui. D'ailleurs, j'en profite pour lui lancer un pic, pour son abandon.Oh, je m'occuperais de ta chemise, t'inquiète. Enfin, pas sur toi hein, quand tu l'auras enlevé, je prend alors conscience de ce que je dis, que des conneries ! Nan laisse tombé, je te ferais un chèque hein..., j'ajoute en faisant sourire gêné. Je l'attire enfin dans le Luna Caffe, où nous prenons place dans la queue. Je réfléchis à ce que je peux bien lui dire, mais je ne trouve pas. Qu'est-ce qu'on peut bien dire à une personne qu'on a pas vu depuis des années ?. Finalement, je lui demande ce qu'il y a de neuf dans sa vie. Ouais, la question bateau, mais ce silence me rend folle. On avance comme on peut ?, je demande, un peu surprise de sa réponse. Il me demande ensuite comme je vais, c'est ça le problème, je ne sais pas comment je vais. Je...hum...c'est compliqué.... Oh ben c'est con, le serveur vient nous interrompre. D'ailleurs, il me regarde étrangement, étant donné qu'il m'a servit il y a 5 minutes. Je lui souris, puis lui dit il a renversé mon café, tout en montrant Tyson du doigt. Ce dernier reçoit un regard de tueur de la part du serveur, ce qui me fait plutôt rire. Je recommande un café, puis laisse Tyson commander avant de payer nos boissons. Je pars ensuite vers une petite table, afin qu'on soit tranquille. Un gros blanc s'installe, pendant quelques secondes. Quand je prend enfin la parole, c'est pour lui demander où est-ce que tu étais ?, tout en évitant son regard. Il m'avait abandonné du jour au lendemain, sans me dire pourquoi.

acidbrain

(Invité)

Bizarrement, ça devenait naturel petit à petit. Vous alliez boire un café ensemble, chose que tu n'avais pas vraiment prévu quelques petites minutes plutôt. Le hasard du destin qui faisait parfois bien les choses. Quand on y pense, la trouver suite à ce que tu avais appris aurait été bien compliqué. Qu'on se le dise tu y serais aller à reculons, c'était certain tant c'était délicat. Au moins là, c'était inattendu. Il n'y avait qu'à laisser faire la spontanéité. « Non pas besoin de tout ça, ne t'inquiète pas pour ça. Je me débrouillerai. » Le pressing ? Certainement mais chut. Toi, qui avais le sourire souvent difficile, tu avais presque été pris au dépourvu en l'entendant s’emmêler les pinceaux. Tu n'allais pas accepter un chèque c'était hors de question. Tu as hoché positivement la tête comme pour confirmer ta répliquer après qu'elle l'ait reformulé. Tu bossais, et tu essayais de faire profil bas au beau milieu des affaires de ton père. Tu savais bien que ta place au bureau du procureur était due à ton nom en plus de ton dossier universitaire mais si on venait à apprendre que tu couvrais ton père, tu perdrais ce boulot c'était certain. Jouer sur deux tableaux, ce n'était pas toujours simple. Ton regard s'étai posé sur la demoiselle, plus petite que toi et tu aurais pu t'y oublier. Tu comprenais très vite ce qu'elle voulait dire pas c'est compliqué mais tu n'as pas répliqué, difficile de le faire elle venait t'accuser face au vendeur. Sans prévenir ton doigts pointa la jeune femme tout en regardant le serveur en prenant la manche de ta chemise en illustration. « Miss Catastrophe, c'est comme ça qu'on l'a toujours surnommée. » Ben dis donc, il suffit d'un rien apparemment pour retrouver un semblant de complicité. Tu en étais surpris toi-même. Tu l'as remercié pour ce café et tu t'es installé face à elle. Tu t'étais contenté de la regarder au beau milieu de ce silence, et tu as pris une inspiration avant de lui répondre... vaguement. « Ici.. et là... je ne suis pas allé bien loin en fait.» Oui, à faire des trucs et des machins avec lambda et un tel. C'était tout bête mais tu t'en voulais de ne pas pouvoir lui dire ce qu'elle voulait vraiment entendre à savoir la vérité. Au fond tu vivais ta petite vie, ton quotidien assez contrasté. « Je suis installé à Boston depuis quelques temps. » Oui, pourquoi n'arrivais-tu pas en dire plus ? Peut-être parce que tu n'assumais pas tellement face à elle qui te demandait pourquoi tu avais fait le mort.

(Invité)

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C'est bête, mais il me fait sourire. Depuis une semaine et quelque quand je souris, c'est léger, ou bien forcé, pour faire croire que je vais bien. Là, ça se fait naturellement. Je ne me l'explique pas, ça se fait tout seul. Je bafouille, mélange mes mots même quand j'essaye de parler de sa chemise. Bon, il faut dire que j'ai toujours tendance à former mes phrases, mais là, c'est de sa faute à lui. Cette vision de lui sans chemise, m'a clairement perturbé. Enfin bref, il me confirme qu'il s'en occupera lui-même. Tant pis, je hausse les épaules avant de me retrouver face au serveur, quelques secondes plus tard. Je prends de ses nouvelles, mais il ne me répond pas, enfin que très vaguement, je fais donc de même, avant de l'accusé d'avoir renversé mon café. Mais quel menteur !!, dis-je d'un ton faux, en baissant son bras, pour que le serveur ne puisse pas voir la manche pleine de café. Je me surprend à rigoler, à être complice avec le jeune homme, alors qu'on vient tout juste de se retrouver. On se retrouve dans un moment de silence sur nos fauteuil, alors que je regarde par la fenêtre. Je m'amuse avec le gobelet de mon café, avant de me décider à lui poser LA question. Où était-il ? Bon sang, de bonsoir !. Pas bien loin comme à l'autre bout du pays ? Ou bien pas bien loin, genre à deux rues de chez nous ?, j'ajoute en posant finalement mon regard sur lui. Je lui souris légèrement, alors qu'il me dit qu'il s'est installé à Boston de pas longtemps. Oh, d'accord, je ne sais pas quoi répondre, il semble ne pas vouloir en dire plus. Je prend une gorgée de mon café, puis lui dit j'ai intégré la Cabot House ! Enfin, je suis en mode Bizut mais bon.

acidbrain

(Invité)

Adel' avait du cran et okay il lui fallu trois minutes à peine pour t'amuser. Tu étais dans une position très délicate. C'était beau de la voir sourire parce que tu retrouvais celle que tu la connaissais depuis longtemps et surtout parce que tu la savais mal. C'était stupide de la soupçonner d'être fragile en ce moment alors que tu l'avais pas vu depuis des années, mais voilà monsieur fouineur que tu aies, savait tout, et forcément tu en étais inquiet quelque part. Hochant la tête positivement, tu appuyais le fait de t'être installé à Boston donc pas si loin finalement et oui, là tu espérais fortement que vous parleriez d'elle. Tu ne voulais pas parler de toi. « Tiens donc.. » Tu ne sais pas si tu l'aurais vu chez les Cabot ou ailleurs. Ça te rappelais bizarrement tes années universitaires qui s'étaient achevées il y a à peine deux ans, pourtant tu avais l'impression que ça faisait des lustres. « Comment ça se passe ? » Curieux ? Oui, tu étais en pleine investigation. Si la confrérie n'était pas un prétexte à son mal-être, il n'en avait pas été pour autant un détail l'empêchant de passer à l'acte. Bon sang, tu aurais fait un bon flic. Ca allait tellement vite dans ta tête. Tu semblais poser une question banale et pourtant. Tu as pu de ton café sans jamais la quitter du regard trop longtemps.

(Invité)

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