Invité
est en ligne
Invité
Besoin de me poser
Solveig & Dean
Eh bien! La matinée était un peu trop longue il faut l'avouer. Hier soir, j'avais couché avec une élève, qui avait marqué son territoire sur mon corps, et qui m'avait épuisé. De plus J'ai eu des cours de sport toute a l'heure, et j'ai surtout eu la bonne idée de participer pour jouer avec mes étudiants. Du coup, j'avais prit une bonne douche avant de manger un bout rapidement. La, j'avais du temps libre devant moi et je pensais qu'il serait bien de me poser, de me reposer. Sauf que j'avais la flemme de rentrer chez moi, alors je creusais mon cerveau pour situer un endroit de l'université où je vais pouvoir aller. La bibliothèque!
Je marches en croisant de nombreux étudiants auxquels j'adresse des sourires et des signes de tête. Faudrait pas dire de moi que je ne suis pas poli, ou alors que je fais genre de ne voir personne. Une fois a la porte de mon lieu, je l'ouvres et en silence je rentre en cherchant du regard un fauteuil. Il y avait des chaises, mais merci mon dos. Je crois que j'ai de la chance, car dans un coin isolé, j'en vois un. Je presses le pas, et je m'effondre dessus en soufflant. Ca fait tellement de bien d'avoir le fessier assis, et surtout, avoir du temps pour ne rien faire. Je sors mon cahier de professeur, de mon sac en bandoulière. Je voulais juste vérifier que j'avais bien noté mon emploi du temps ainsi que mes programmes pour les différentes classes. J'étais plongé dans ma lecture, et je crois que c'est pour cette raison que je ne captais pas que mon amante régulière venait de rentrer dans la bibliothèque. Faut croire que le destin fait bien les choses. Mais pour m'en rendre compte, faudrait que mes yeux se lèvent et ce n'est pas le cas.
Je marches en croisant de nombreux étudiants auxquels j'adresse des sourires et des signes de tête. Faudrait pas dire de moi que je ne suis pas poli, ou alors que je fais genre de ne voir personne. Une fois a la porte de mon lieu, je l'ouvres et en silence je rentre en cherchant du regard un fauteuil. Il y avait des chaises, mais merci mon dos. Je crois que j'ai de la chance, car dans un coin isolé, j'en vois un. Je presses le pas, et je m'effondre dessus en soufflant. Ca fait tellement de bien d'avoir le fessier assis, et surtout, avoir du temps pour ne rien faire. Je sors mon cahier de professeur, de mon sac en bandoulière. Je voulais juste vérifier que j'avais bien noté mon emploi du temps ainsi que mes programmes pour les différentes classes. J'étais plongé dans ma lecture, et je crois que c'est pour cette raison que je ne captais pas que mon amante régulière venait de rentrer dans la bibliothèque. Faut croire que le destin fait bien les choses. Mais pour m'en rendre compte, faudrait que mes yeux se lèvent et ce n'est pas le cas.
Emi Burton
(Invité)