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Pause, je souffles - Solveig

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Solveig & Dean

Eh bien! La matinée était un peu trop longue il faut l'avouer. Hier soir, j'avais couché avec une élève, qui avait marqué son territoire sur mon corps, et qui m'avait épuisé. De plus J'ai eu des cours de sport toute a l'heure, et j'ai surtout eu la bonne idée de participer pour jouer avec mes étudiants. Du coup, j'avais prit une bonne douche avant de manger un bout rapidement. La, j'avais du temps libre devant moi et je pensais qu'il serait bien de me poser, de me reposer. Sauf que j'avais la flemme de rentrer chez moi, alors je creusais mon cerveau pour situer un endroit de l'université où je vais pouvoir aller. La bibliothèque!
Je marches en croisant de nombreux étudiants auxquels j'adresse des sourires et des signes de tête. Faudrait pas dire de moi que je ne suis pas poli, ou alors que je fais genre de ne voir personne. Une fois a la porte de mon lieu, je l'ouvres et en silence je rentre en cherchant du regard un fauteuil. Il y avait des chaises, mais merci mon dos. Je crois que j'ai de la chance, car dans un coin isolé, j'en vois un. Je presses le pas, et je m'effondre dessus en soufflant. Ca fait tellement de bien d'avoir le fessier assis, et surtout, avoir du temps pour ne rien faire. Je sors mon cahier de professeur, de mon sac en bandoulière. Je voulais juste vérifier que j'avais bien noté mon emploi du temps ainsi que mes programmes pour les différentes classes. J'étais plongé dans ma lecture, et je crois que c'est pour cette raison que je ne captais pas que mon amante régulière venait de rentrer dans la bibliothèque. Faut croire que le destin fait bien les choses. Mais pour m'en rendre compte, faudrait que mes yeux se lèvent et ce n'est pas le cas.    

Emi Burton
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Solveig ✧ Dean
Je soupire et je tourne en rond dans ma chambre, je n'arrive plus à penser, je n'arrive plus à réfléchir correctement. Je n'arrive même pas à étudier, j'ai l'impression de devenir folle. Je ne lui ai pas parlé depuis qu'il a passé le pas de ma porte l'autre soir, je n'ai pas réussi à formuler une phrase correcte quand je voulais lui envoyer un texto, je voulais qu'on est une conversation sur les petits mots, la tendresse qui avait emparé nos ébats il y a quelques jours. Je ne savais pas comment lui dire que je ne voulais pas qu'on continue, parce que je ne voulais pas qu'il souffre. Je ne voulais pas que cela fasse comme Chuck. Assise devant mon ordinateur, je fixais la page blanche, j'avais des choses à rendre la semaine prochaine et je voulais m'avancer pour ne pas être absorbée par le travail, pour ne pas avoir de retard. Serrant les dents, je referme mon laptop en le claquant et j'attrape mon sac à main, je vais aller étudier à la bibliothèque, parce qu'ici je vais devenir folle. Je me hâte de sortir en prévenant mes colocataires que je sortais pour travailler, je me verse un café bien corsé dans un mug isotherme et j'attrape le bus de justesse pour pouvoir arriver à la bibliothèque plus rapidement. Je ne voulais pas prendre ma voiture, j'étais bien trop perturbée pour conduire. Quelques minutes plus tard, j'arrive devant la bibliothèque, et je pousse la porte silencieusement, je cherche une place, mon mug entourant mes mains gelées. Je tourne la tête et je l'aperçois, je me rapproche alors de lui et je me poste en face de lui. Visiblement, cela ne l'a pas empêcher de coucher avec quelqu'un d'autre visiblement, ce silence. Me mordillant la lèvre, je brise le silence « Je.. Je peux m'asseoir ? » Il faut vraiment que je trouve mes mots avant d'engager cette conversation.
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Solveig & Dean

Depuis ma mission escalade pour voir Solveig, je n'avais pas eu de nouvelles. Oui, j'aurais pu en prendre, mais a vrai dire je ne voulais pas être fiché comme le mec qui n'écrit que pour coucher. Et oui, j'avais eu une relation sexuelle hier soir, ce qui n'était pas fortement malin vu les marques sur mon corps. Après, je ne suis pas en couple, et je suis assez connu pour cavaler les demoiselles. Sauf que la jolie rousse et la seule vers qui je reviens. Les autres, j'essaie une fois et je jettes sans regret. C'était impossible de la laisser.
Etant donc assis sur mon fauteuil dans un coin assez isolé, je trouvais au final que le lieu se vidait. Je relève les yeux quand j'entends une voix me demander si elle peut s'installer a coté. Je vois une silhouette et un visage que je connais très bien. Je souris, et je m'empresse de répondre    " Bien sur. "    Je ne quittes pas son visage quand elle vient mettre son corps sur le fauteuil a coté du mien. C'est dingue, suffit de penser un peu a quelqu'un pour le voir débarquer? Ou alors, nous sommes connectés et je l'ignorais. Je poses mon cahier de notes sur l'accoudoir, et je fous mon coude dessus avant de retourner ma tête pour capter son regard. Je gardes un sourire, et je demandes   " Tu vas bien? "   Ma voix était basse, nous sommes dans un lieu silencieux. Décidément, dès que l'ont se voient, faut pas faire de bruit. Après, le point positif, c'est que nous sommes dans un coin isolé, un peu dans l'ombre. Donc personne ne va s'amuser a nous scruter du regard.
Ma main passe dans mes cheveux en attendant ses réponses. Les souvenirs de notre dernière nuit revenait dans ma tête. La tendresse, la passion, et le coté bizarre de notre ébat me restait dans le cerveau. Je ne me posais pas trop de question, et pour preuve, je zappais le suçon dans mon cou. Heureusement que je ne suis pas torse nu! Ce matin pendant ma douche après le sport j'avais eu une surprise en regardant mon dos et mon torse. On pourrait croire qu'un tigre m'avait attaqué. Mais non, c'était une étudiante... Oui, en plus de coucher avec une autre, je choisis un statut que je m'interdisais. Franchement, je suis vraiment trop débile des fois.    

Emi Burton
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Je ne savais pas quoi lui dire, quoi penser. Depuis qu'il avait quitté ma chambre, j'avais pleins de questions qui m'étaient venues en tête et je m'en voulais de me poser ses questions, questions futiles, questions inutiles. Après tout, notre relation ne se limitait qu'à des ébats particulièrement intense, mais la tournure qu'avait pris cette relation l'autre soir, les mots qu'il avait employé, les petits surnoms qu'il m'avait donné m'avait complètement chamboulé. Mais je ne pouvais pas décemment lui demander pourquoi tout ça, pourquoi ces gestes tendres, pourquoi ces surnoms, je pense qu'il prendrait peur, lui Monsieur j'ai peur de l'engagement. Et puis comme si la bibliothèque n'était pas assez grande, il fallait que je me dirige vers lui, comme un aimant attiré par un autre. Et il fallait évidemment que j'ouvre ma bouche pour lui demander l'autorisation de m'asseoir. Mais pourquoi fallait-il que je m'engouffre dans des situations pareilles. J'étais venue pour bosser et je me retrouvais aux côtés de mon amant, à vouloir engager une conversation « Merci. » J'avale ma salive avant de poser mon sac sur le sol puis je m'asseois à ses côtés, jouant avec mes doigts, comme ce que je fais quand je suis stressée. J'ai envie de m'enfoncer six pieds sous terres. Tu vas bien ? Ses mots résonnent dans ma tête Non, ça ne va pas, je pense souvent à toi. Oui ça va très bien merci ! Toi aussi, visiblement. Tu me manques, j'avais envie de te voir. Tant de réponses trottent dans ma tête mais je me contente de répondre « Oui je vais bien merci. » Un sourire léger se dresse sur mon visage et je passe une main dans mes cheveux, j'attrape mon mug et je bois une gorgée de mon café avant de le reposer et de reporter mon regard sur le visage du brun après m'être attardée sur son suçon. Arrête Solveig, tu te fais du mal. Et tu lui en feras aussi. « Je.. Je voulais te parler d'un truc... » Je lève les yeux au ciel avant de secouer négativement la tête, puis je me ravise, je récupère mon sac et je me lève « Laisse tomber, c'était juste une mauvaise idée, de venir te voir, de te demander de rester l'autre soir... C'était juste.. » Et je pars, je fuis, je m'enfuis comme Cendrillon qui se casse le soir du bal, sauf que moi je n'abandonne rien, pas une chaussure, pas un prince, juste ma dignité.
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Solveig & Dean

Le comportement de mon amante était un peu inquiétant. Je ne sais pas si je la connais par coeur, ou beaucoup pour affirmer ça. Mais, Solveig avait l'air timide, ou du moins perturbée par quelque chose. Peut - être par notre dernière nuit? La façon dont s'était déroulé notre ébat? Je n'en sais rien. Moi je ne me posais pas de questions, encore moins sur mes sentiments et tout les trucs dans ce genre. Tout ce que je sais, c'est que je souriais de la voir ici. Un hasard qui nous rassemble dans une bibliothèque. C'était un lieu assez grand, et la jolie rousse s'était dirigé vers moi pour s'installer a mes cotés. Elle me remercie d'accepter, et sans lâcher son regard du mien, j'écoute sa réponse afin de savoir si elle va bien. Elle met du temps a donner une réponse, qui pourtant, est positive. Franchement, je crois qu'elle me cache quelque chose, mais je ne vais pas relever. Quand ses yeux fuitent un peu vers le bas, je pinces ma lèvre en comprenant bien ce qu'elle regardait. Nous ne sommes pas en couple, mais je tentais de me mettre a sa place. Si je voyais un suçon sur son cou, je le prendrais un peu mal. Ouais, c'est bizarre ça aussi.
Je ne prends pas la parole, le silence était lourd. Mais c'est la jolie jeune fille qui vient le rompre en annonçant qu'elle devait me parler de quelque chose. Je fais un oui de la tête avant de fermer mon cahier de notes que je fous dans mon sac avant de remettre mon visage dans la direction du sien pour lui dire    " Vas y, je t'écoutes. Tu veux parler de quoi? "    En général quand quelqu'un commence a dire ça, faut avouer que ça ne sent pas bon. Pourtant, je ne veux pas être parano, je vais assez vite comprendre et entendre le sujet. Ses yeux se lèvent au ciel, et son corps aussi. J'affiche la ride du lion dans l'incompréhension. Et la, sa phrase m'inquiète encore plus.    " Attend attend. Qu'est ce qui... "   Pas le temps de finir, mon amante embarque son sac et commence a s'enfuir. Sans réfléchir je choppes la bandoulière de mon sac, et je suis Solveig. La demoiselle emprunte le couloir qui mène a la sortie, ou aux toilettes. Je suis un sportif, alors je n'hésites pas a courir pour lui attraper le poignet, sans forcer pour ne pas le serrer trop fort.   " Solveig, bordel. Restes la. "    Un ordre, oui. Je regardes autour de nous, et je vois des gens qui allaient rentrer dans le couloir. Tant pis.   " Viens la. "    Mes phrases sont courtes, mais claires. Je l'emmène dans les toilettes des hommes et je m'enferme avec elle dans un cabinet. Je colles mon dos a la porte, et je croises mes bras en la fixant de mes yeux plissés   " Tu m'expliques? Tu dis que tu veux me parler, et ensuite tu t'enfuis après avoir dit que ce qu'il s'est passé, c'est des mauvaises idées. J'ai un peu de mal a comprendre, et même a te suivre la. "    Croisons les doigts pour que personne n'entre dans les toilettes.    

Emi Burton
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Solveig ✧ Dean
J'aurais dû aller bosser dans un autre endroit, dans un café, mon café habituel ou encore dans un fast-food, même si je me serais enfiler des muffins à profusion, je ne l'aurais pas croisé. Je n'aurais pas poser de questions futiles, inutiles, débiles. Non, je me serais contenté de bosser comme c'était prévu. Mais non, de toutes façons, le jour où je ferais ce que me dicte ma conscience et pas mon coeur abîmé par mon divorce, mais un peu panser par la présence de Dean dans ma vie. J'ai l'impression d'être un personnage de roman, genre Bella dans Twilight mais en plus débile encore, je ne savais pas que cela pouvait être possible, d'être plus cruche qu'elle. Je ne peux pas dire les choses telles qu'elles sont, non, je devais tourner autour du pot. Ça aurait été tellement plus simple de lui cracher le morceau tout de suite, au moins on aurait pu avoir une explication digne de ce nom, mais bon. Non, Solveig Blackbird fait toujours les choses à l'envers. Peut-être que c'est parce que je suis trop lâche pour lui dire les choses « De... » Non, je ne peux pas, j'ai l'impression d'être dans une piscine et de ne pas savoir nager, j'ai l'impression que je vais me noyer. C'est pour ça que je prend mes jambes à mon cou pour partir, loin, très loin. Mais tout du moins pas assez, puisque j'ai malheureusement oublié qu'il était beaucoup plus doué en sport que moi et qu'il pouvait aisément me rattraper. Lorsque sa main se dépose sur mon poignet, j'ai le réflexe de le retirer, mais je n'y arrive pas, j'avorte mon geste et je me tourne vers lui « Je ne peux pas partir de toutes façons, et en plus je n'en ai pas envie. » Solveig, ferme la. Je lève les yeux au ciel et je le suis quand il m'attire dans les toilettes. Et après il voulait qu'on soit discret. Je ne supporte pas le ton qu'il emploie, la manière dont il me parle. Je le fixe et mon coeur bat à mille à l'heure. J'ai l'impression que ma tête va exploser. Je me rapproche de lui, pour caresser doucement sa joue avant de me reculer subitement. Il ne faut pas. Non pas ici. « Il ne faut pas qu'on fasse ce qu'on fait, je ne veux pas que tu t'attaches, je ne veux pas que tu souffres. Non, je ne veux pas... » J'ai les mains qui tremblent, comme une toxico en manque de sa drogue, sauf que moi c'est le stress. Je secoue la tête négativement aussi, comme une folle. « Laisse moi sortir s'il te plaît... » Je murmure cette phrase en posant une main sur son bras pour qu'il se pousse, et mes doigts caressent instinctivement son avant-bras délicatement. Fixant son suçon, j'espère au moins qu'il a pris son pied avec cette fille. Arrête d'être jalouse Solveig, tu n'es rien pour lui. Oui, Conscience, je sais. Merci.
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D'habitude, quand une fille s'en va, il y a un risque sur deux pour que je la laisse sans réagir. Mais pas Solveig. Je me sentais obligé de me lever pour la suivre afin de la stopper pour discuter. J'avais bien senti un malaise a son arrivée, mais je n'avais pas prévu la suite. Au début je pensais que mon amante avait juste un petit souci dans les cours ou avec un ami, je n'en sais rien. Après, j'avoue qu'en réfléchissant a notre dernier moment passé ensemble, il pouvait y avoir des interrogations. Pas spécialement dans ma tête, mais je connais un peu les filles pour savoir qu'elles se compliquent la vie. Une fois non loin d'elle, j'attrape son poignet pour stopper sa course. La jolie rousse tente de se débattre un peu mais n'y parvient pas ; pourtant je n'avais pas mit ma force complète. Sa phrase contre dit ses actes mais je ne relève pas. Je préfères l'embarquer avec moi dans les toilettes des hommes avant que des personnes ne soient dans le couloir. Normalement, nous avons étés assez rapides. Je m'empresse de nous mettre dans un cabinet, et par chance il n'y a pas de mauvaises odeur. L'entretien de l'université est vraiment nickel. Je fermes le verrou et je me colle a la porte pour ne pas la faire sortir avant d'avoir eu une quelconque explication.
Je vois son corps s'approcher du mien, et sa main se pose sur ma joue pour la caresser. Je la penches sous l'impact et je redresse quand Solveig se recule soudainement. Quoi? Mais qu'est ce qu'elle raconte. Je décroises mes bras pour mettre ma main en avant en faisant un signe du genre "oula mollo!"     et je prends la parole    " Qu'est ce qu'on fait? Pourquoi je souffrirais? Solveig, je n'arrives pas a te suivre la, faut vraiment que tu sois plus claire. Enfin, j'ai aucune raison de souffrir. "    Notre relation fonctionnait bien depuis le début non. Je vois ses tremblements, et sa main qui vient une nouvelle fois sur mon bras. Je refuses de la laisser sortir, c'est pourquoi je remets mon corps qu'elle tentait de décaler.    " Hors de question. Calme toi, t'es toute bizarre chérie. "    Encore un surnom. Je choppes sa main dans la mienne, et je la tires pour la prendre dans mes bras. Un calin lui ferait peut - être du bien. C'est pourquoi mes mains se joignent dans son dos.    

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Solveig ✧ Dean
Le jour ou une fille ne se posera pas de questions inutiles du genre Est-ce qu'il va me rappeler ? / Je dois le rappeler ? / Et s'il me rappelle pas ? / Tu crois qu'il me prend pour une conne ? , il tombera je ne sais quoi du ciel, je pense que je peux le promettre. J'étais dans cette phase d'incompréhension, de doute. Pourquoi est-ce que c'est devenu si bizarre d'un coup. Au début, je ne voulais que la tendresse prenne la place de la bestialité de nos ébats, mais la, ça me manque un peu. J'avais bien dormi la nuit où il avait dormi à la maison, mes insomnies m'avaient abandonnés au mois une nuit et je ne pouvais pas m'empêcher de penser que c'était parce que je dormais avec lui. Ou parce que je dormais avec quelqu'un tout court. Il me retient, je ne cherche même pas à me débattre je ne cherche même pas à fuir bien que j'ai failli le faire. Mais j'ai vite renoncé. On peut voir que je suis assez paniquée à l'idée d'avoir cette conversation parce que je me contredis toute seule. Chose que je ne fais pas habituellement, enfin j'expose les choses de façon claire et concise pas comme aujourd'hui. La discrétion que nous nous appliquions à mettre en place depuis quelques temps maintenant est légèrement en danger puisque nous sommes tout les deux, enfermés dans les toilettes de l'université. Je suis un peu comme une dynamite, je fais des choses que je regrette, comme le fait de caresser sa joue, quand je fais cela, j'ai le coeur qui se tord alors je retire rapidement ma main. Chose qui pourrait paraître très étrange pour lui. Mais encore plus pour moi. Mon débit de parole est tellement rapide que je suis étonnée qu'il est compris quelque chose mais bon. « Mais c'est tout, la tendresse... Les surnoms... Je veux pas.. Enfin si je veux .. Mais je ne veux pas te faire souffrir, je suis pas faites pour ça. Pour tout ça. » Je baisse les yeux, honteuse. Je venais légèrement de lui avouer que je voulais plus. Légèrement hein, on va mettre sur le fait que c'est un homme et qu'il ne comprendra pas. J'espère. Je veux sortir, j'ai l'impression d'étouffer, mais il me rassure et quand je suis dans ses bras, je pose ma tête contre son torse en fermant les yeux. Ses mains me rassurent. Chérie Encore. Je garde les yeux clos, silencieuse. « J'veux pas que tu me détestes... Laisse moi sortir... Je sais que t'as couché avec une autre fille...  » Parce que c'est comme ça, on s'aime, on se déchire, on se déteste. Mes phrases n'ont aucune cohérence, mais ça sort comme ça, comme ça vient. Je ne peux pas contrôler mes mots, mes pensées. Je ne veux surtout pas les retenir. Je reste néanmoins contre lui, mon rythme cardiaque reprenant un rythme normal. Je ne veux pas lui avouer que oui, je suis trop faible, que oui, je ressens des choses pour lui. Pas aussi forte que les choses que je ressentais pour Chuck, mais le fait de le savoir dans le lit d'une autre fille, le fait de savoir qu'il lui donne le plaisir qu'il me donne habituellement à moi, ça me déchire le cœur. Alors que ça ne devrait pas.
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Solveig & Dean

Il y a toujours un moment ou une fille part dans un délire lointain que les hommes ne comprennent pas. Et, bien que j'avais senti un petit problème a son arrivée, je ne pensais pas spécialement en être la cause. Quand Solveig s'était levée rapidement en emportant le sac, je ne pouvais pas faire autrement que de lui courir après. J'ai déjà vécu une dispute avec elle, et je n'ai pas envie de recommencer. Je veux savoir, et surtout l'aider si jamais je peux le faire. C'est donc bien pour ça que je vais la retenir avant qu'elle ne sorte du couloir, pour au final l'embarquer dans les toilettes des hommes. Effectivement, nous allons peut - être mettre en danger notre relation secrète. Il suffirait que quelqu'un entre, et qu'il entende deux voix. Et qu'ils nous voient sortir ce serait la fin du monde. Bref! Mon amante n'avait vraiment pas l'air bien, ses mains tremblaient, son regard avait du mal a rester dans le mien et elle ne tenait pas en place. Elle se mettait a parler de souffrance, et mon expression indiquait que je ne comprenais rien. Je tentes alors de la faire souffler pour recevoir des informations plus claires. A une vitesse de l'éclair, la jolie rousse balance des choses. Je hausses un peu les sourcils, et je soupire légèrement avant de lui dire   " J'ai du mal a saisir. Tu es contradictoire, enfin t'as l'air perdue sauf que je ne sais pas pourquoi. J'ai fait quelque chose de mal? "    Je marques une pause, et j'essaie de tout mettre en ordre dans mon cerveau     " Tu n'es pas faites pour quoi? Et je le répètes, tu ne vas pas me faire souffrir... Enfin, je n'ai pas souffert depuis le début pourquoi maintenant? Et c'est quoi le tout ça? "    Les garçons ont un peu le cerveau lent. Je n'arrivais pas a savoir si elle voulait stopper notre liaison secrète, ou si elle voulait plus.
Je décides alors de la tirer pour la prendre contre moi, pour la placer dans mes bras et recevoir sa tête contre mon torse. Mes mains se lient, et je poses ma tête sur la sienne tendrement. A sa phrase, j'ouvre grands mes yeux, et je pince mes lèvres. Je dis sans me décoller d'elle     " J'te détestes pas... Et je ne veux pas que tu sortes. "    Bah oui, je crois qu'il fallait avoir une bonne discussion. Solveig touche alors une corde sensible. Nous ne sommes pas en couple, mais j'ai l'impression de ressentir comme une trahison pour elle. Je me contentes de dire en la gardant dans mes bras    " J'vais pas te mentir. J'ai couché avec une fille, mais.. C'était idiot. "     Je ne trouves que ça a dire? Franchement Dean tu déconnes la. Bon, je vais tenter de rattraper en restant sincère    " Elle représente rien. J'ai pas envie de la revoir. "    Alors que toi, c'est différent, je ne demandes que ça dès que je te quittes.    

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Solveig ✧ Dean
Je m'en voulais tellement de lui faire vivre cela, de lui faire subir une crise inutile que j'avais l'habitude de faire à Chuck et je ne voulais pas imposer cela à Dean, surtout que les rapports que nous avions été différents de ceux que j'avais avec Chuck. Ce dernier était mon mari alors que Dean était uniquement mon amant. J'avais peur de l'avenir maintenant et depuis mon divorce je m'étais appliqué à faire attention à qui je donnais ma confiance, à qui je parlais et à qui j'avouais certaines choses. Dean avait visiblement acquit ma confiance et j'en étais heureuse, même si cela m'affolait comme il avait pu le voir. J'étais comme une pile électrique, une grenade prête à exploser. Mais il me rassure, il me console du mieux qu'il peut le pauvre, il est vrai que c'était très peu compréhensible ce que je disais et qu'il avait l'air totalement perdu. Je tentais de me calmer au mieux avant de lui balancer des phrases comme ça. Et comme je le pensais, il est totalement perdu. « J'ai le don de faire souffrir les gens.  T'as rien fait de mal, j'te promet. C'est moi.  Tout ça, c'est les histoires longues. J'ai bien vu comment ça s'est soldé. Mais, je sais que tu veux pas de ça non plus, c'est moi qui se fait des films. Je devrais pas. Et j'veux pas que toi tu souffres, je tiens beaucoup trop à toi pour faire cela... » Le faire souffrir, j'entend. Mon rythme cardiaque revient à la normal quand je suis dans ses bras, quand il me rassure et quand je nos mains s'enlacent. Je veux qu'il me laisse sortir, qu'on est une conversation plus tard dans un autre lieu que les toilettes des hommes de l'université où il enseigne et où j'étudie, loin d'ici. Mais il ne veut pas, il veut que je reste là. J'ai le coeur qui se serre alors quand je parle de cette fille, mais la sensation disparaît aussitôt puisqu'il me rassure. « Idiot ? »Je lève un sourcil interrogateur, et je le laisse continuer avant de reprendre. « Ah oui ..? » Un sourire s'illumine sur mon visage avant de continuer « T'as envie de me revoir moi..? » Je souris et je dépose tendrement mes lèvres sur le coin des siennes, pour me faire pardonner, pour qu'il ne pose pas d'autres questions.
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