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Could it be worse? (Feldt)

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Feldt me taquina à son tour, appuyant sur le fait qu’un dîner romantique lui aurait bien plu. « Je savais que t’étais folle de moi… » rigolai-je alors. « Je demanderai au barman de nous sortir une bougie de derrière le comptoir si c’est ça que tu veux. » ajoutai-je ensuite, toujours avec humour. Boire un verre aux chandelles, ça c’était vraiment original. D’ailleurs, en marchant en direction du fameux pub, la rouquine me confia qu’elle risquait d’effrayer le dit serveur. Ma tête se tourna un instant comme pour vérifier la description peu élogieuse qu’elle venait de faire d’elle même. Oui, la demoiselle avait certes la mine fatiguée, mais qui la blâmerait après avoir passé son temps à veiller sa sœur, au chevet de sa chambre d’hôpital. « T’es très bien comme ça… » rétorquai-je avec un sourire sincère avant de passer ma main affectueusement autour de son épaule, l'entrainant vers l'entrée. « Puis comme ça, on est assortis. » Avec nos mines défaites et nos traits tirés, joli petit couple que nous formions ce soir. Je poussai la porte du bar et me dirigeai vers le comptoir. Je commandai directement des trucs à grignoter pour Feldt avant d'aller prendre place à une table libre avec la jeune femme. Le barman déposa devant nous, un bol avec quelques biscuits chinois, j’en saisis un pour la demoiselle, le lui ouvris pour récupérer le petit morceau de papier qu’il renfermait, lui laissant le soin de manger le biscuit, puisque rappelons le elle n’avait rien mangé depuis un moment. Je dépliai la prédiction pendant qu’elle picorait et lus à haute voix : « -Tu vas rencontrer l’homme de ta vie prochainement Je souris et désignai discrètement l’homme derrière le comptoir : « Tu vois, t’as toutes tes chances avec le barman en fait. » Je rigolai un instant avant de demander : « Tu veux boire quoi ? »
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Il y avait cette complicité avec Priape, ce quelque chose qui faisait que je pouvais facilement être moi-même avec lui, et c’était cela que j’aimais avec lui. Il ne poussait jamais, et c’était ce qu’il te fallait dans la vie, juste des gens pour être là quand tu en avais le plus besoin. Et là, lui et moi en avions vraiment besoin. La semaine passé a l’hôpital m’avait affaibli, m’avait fatigué, et il me fallait une distraction, juste un changement d’atmosphère. « Bon faisons cela alors. On lui demandera une petite bougie a mettre en nous deux. » C’était peut-être la première fois depuis une semaine que je rigolais vraiment, et que j’étais détendue un peu. C’était tellement fatiguant et demander beaucoup d’énergie de garder la tête haute quand tout tombait en morceaux autour de soi. Nous venions nous asseoir à une table, un peu au calme, loin du bar agité. Je commençais a manger le petit morceau de biscuit chinois écoutant Priape. Je soupirais. Moi rencontrer l’homme de ma vie? Impossible. Je veux dire, j’étais même pas capable a sortir toute seule la nuit sans paniquer. « Je pense pas que ça va être possible. » Dis-je en deviant le regard. « Un Long Island Ice Tea, stp. » Lui répondis-je alors que je continuais de grignoter sur l’autre morceau de biscuit.
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Voilà qu’on tombait d’accord pour le verre aux chandelles. La lueur d’une bougie serait surement mille fois mieux que celle des néons de l’hôpital c’était certain. Du changement, une ambiance différente, un peu de décontraction. Bref tout ce qu’il nous fallait. On s’installait à une table, devant des petits biscuits chinois dont la première prédiction ne semblait pas réjouir la demoiselle. « C’est pas ton genre le serveur là bas ? » demandai-je sans saisir vraiment son manque d’enthousiasme devant ce que le biscuit lui prévoyait. C’était quand même plus top que –tu vas tomber malade- ou bien –tu vas perdre beaucoup d’argent-. Bref je ne me laissais pas abattre, attrapant un autre biscuit, l’écrasant pour en sortir une nouvelle prédiction qui je l’espérais, aurait peut être un meilleur effet sur la rouquine. Je me raclai la gorge avant d’annoncer : «  -Tu vas rencontrer la femme de ta vie prochainementOk, impossible de garder mon sérieux, je me mis à rire avant de demander : « Ca te convient mieux peut être ? » Je ris de plus belle en commentant : « Je crois que les mots à l’intérieur ont du être sponsorisés par manix ou durex, ou un truc dans le genre… » Histoire de faciliter les rencontres dans ce bar quoi… Je me levai finalement pour aller passer commande au comptoir, un long island et un mojito et si possible une bougie. Je retournai m’asseoir en face de la demoiselle en attendant qu’on nous amène nos verres et notre chandelle.  
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Je n’étais pas spécialement d’humeur à sortir et à m’amuser, mais il fallait que je me change les idées, et surtout que je sorte de l’hôpital. je m’enfermais depuis plus d’une semaine dans ses murs pour être aux cotes de ma soeur, et j’en oubliais carrément d’emménager dans mon propre appartement. C’était juste vraiment le bordel dans ma vie en ce moment, et peut-être que respirer un autre air me ferait du bien. Je répondais pas a la question de Priape par rapport au serveur. Il était certes assez mignon, pas exactement mon genre, mais il était mignon. Pourtant, il y avait un tas d’angoisse qui s’accumulait dans ma tête. Priape ouvrit un autre biscuit me laissant a nouveau manger les morceaux. « Peut-être, ouais. » Je m’en foutais pas mal de ce genre de mots. Je n’y croyais pas. Priape revenait avec nos verres et une chandelle. « Tu lui as vraiment demandé? » J’en revenais pas.
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Feldt continuait de picorer les morceaux de biscuits avec un petit air maussade, pas vraiment distraite ou amusée par les prédictions à deux balles que je venais de lui lire. Je me dis donc que c’était le moment de se lever, d’aller chercher nos boissons, ce que je fis, revenant avec nos cocktails et la fameuse bougie. La rouquine parut étonnée de me voir revenir avec l’objet. « Et oui, j’ai vraiment demandé. » Je posai son long island devant elle, mon verre en face et au milieu de tout ça, la fameuse –chandelle- que j’allumai ensuite à l’aide de mon briquet. « Il m’a regardé bizarrement du coup, je l’ai baratiné. J’ai dit que c’était notre anniversaire de mariage. » expliquai-je en parlant du serveur qui nous regardait du coin de l’œil depuis le comptoir de son bar. « Désolé j’ai grillé toutes tes chances avec lui hein… » Mais vu le peu d’intérêt qu’elle semblait lui porter… «Faut croire que les biscuits chinois racontaient n’importe quoi. » A moins que le barman ne s'intéresse aux femmes mariées... Une fois rassis en face de la demoiselle, je saisis finalement mon verre, le levai pour –trinquer- « A leur santé… » Je parlais bien sûr de Mila et de sa sœur, qui avaient plus besoin que nous de retrouver la forme. Puis je portai la boisson à mes lèvres.  
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Je ne m’y attendais vraiment pas à ce que Priape revienne avec une bougie. Je pensais que c’était juste pour rigoler qu’il allait le faire, et puis j’étais pas sure que bar ait des chandelles. Mais, j’étais quand même quelque peu amusée. « Je suis sûre il trouve ça louche. On a pas d’alliances. » Répondais-je en lui montrant ma main, pointant vers l’annuaire. Du moins, j’avais mon semi-diner au chandelle, et j’étais satisfaite. J’avais pas vraiment envie d’être la, c’était tout simplement une bonne distraction de l’atmosphère maussade de l’hôpital qui commençait a se refléter sur moi. Je regardais la boisson devant moi un très long moment. Il n’y aurait rien dedans. Priape était pas comme cela, et pourtant, c’était une panique qui montait en moi. J’avais eu la chance de ne pas avoir eu à faire à cette expérience-là, aux GHB. « T’en fais pas pour moi. Pas mon type. Et ouais, faut jamais croire ce que les biscuits racontent, c’est toujours faux. » Répondais-je d’un petit sourire, remuant ma paille dans ma boisson en attendant que Priape s’assoit en face de moi. Je levais également mon verre pour trinquer. « Oui. A leur santé. » Je pris une petit gorgé. « En fait, tu m’as pas dit. Fille ou garçon? » J’étais tout de même un peu curieuse.
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Un petit rire s’échappa de mes lèvres lorsque Feldt souligna l’absence d’anneau à nos doigts. C’était vrai que les filles remarquaient ce genre de détail… Pas sûr par contre que le barman y ait prêté un quelconque intérêt. « Donc en fait, t’es en train de me dire qu’en plus d’une chandelle, faut que je te trouve une bague ? Tu sais que j’aime les défis alors ça ne m’effraie pas… » Je m’étais débrouillé pour revenir avec notre bougie, je saurais trouver un moyen de dégoter un bijou qui ferait office d’alliance. Puis l’idée de tout ça, c’était surtout de se divertir, de se changer les idées, de se sortir l’hosto de la tête, et ça commençait à marcher. On discutait ensuite du type d’homme de la rouquine, apparemment le serveur n’en faisait pas parti. Quand aux dires des biscuits, je n’avais pas dit mon dernier mot. « En même temps, c’était pas écrit qu’il s’agissait forcément du barman… C’est peut être un des clients du bar… » J’étais un cupidon désespérant. On finit par trinquer à la santé de nos proches hospitalisés puis après quelques gorgées de mon cocktail, je pris le temps de répondre à la question de mon interlocutrice : « Une petite fille… » Un sourire fier se dessina sur mes lèvres avant que je ne lui révèle le prénom qu’on avait choisi de donner à notre petit trésor : «Mila. »
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J’avais pas eu une aussi bonne alchimie avec quelqu’un depuis longtemps. Je me sentais rarement en sécurité, mais avec Priape c’était different. Il avait jamais cherché à me pousser trop loin, a ce que je fasse des choses que je ne voulais pas, il avait toujours été respectueux envers moi, et c’était ce que j’aimais chez lui. Il y avait juste nous, nos soirées, et nos rires. « Euhm, oui, mais tu n’es vraiment pas obligé. La chandelle est amplement suffisante. » Finis-je par dire, en faisant une petite moue. J’allais pas non plus le faire galérer pour qu’il me trouve une bague. De toute façon, j’allais pas rencontrer l’homme de ma vie ou quoi ce soir. Je pense pas que j’allais en trouver un, un jour. Je jouais avec ma paille, regardant mon verre. « Je pense pas que ça va arriver d’ici vite. » Priape faisait parti d’une des rares personnes qui étaient au courant pour mon incident, et ce n’était pas parce que je lui avais explicitement dit. Il m’avait vu au commissariat, puis il l’avait deviné, et au final, il le savait. Je pouvais lui confiance. « C’est joli. Mila. »
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« Non mais le message est passé Feldt… Je vois que madame a des goûts de luxe. » rigolai-je alors qu’elle essayait de me convaincre que la chandelle était suffisante. Puis reprenant mon sérieux, je l’écoutais me confier que contrairement aux biscuits chinois, elle ne pensait pas un seul instant que la rencontre avec l’homme de sa vie se produirait de si tôt. Je passais ma main dans ma nuque, un peu gêné l’espace d’un instant d’avoir abordé le sujet. Parce qu’avec ce qui s’était produit l’an passé, c’était presque logique que sa confiance dans la gente masculine est diminué… Et du coup, je m’en voulais de faire mon boulet à insister autant. « T’as toute la vie devant toi… » fis-je avec une esquisse de sourire, espérant être rassurant et moi relou ainsi. Du temps, voilà ce qu’il lui fallait. Ca, et un mec bien et patient. C’était une fille géniale, elle aurait surement un jour la chance de faire THE rencontre. « C’est pas des biscuits chinetoc qui vont te dicter ta vie. » ajoutai-je avec humour avant qu’on ne se mette à parler de mon petit trésor à moi. « C’est un joli prénom pour une magnifique petite fille. » ajoutai-je avec un sourire gaga en pensant à ma fille. Je pris une nouvelle gorgée de mon verre avant de demander : « Et comment ils vont tes enfants ? Ils ont quel âge maintenant ? » C’était impossible en tant que parents de ne pas se mettre à parler de nos bouts de choux. Au moins, je savais qu’avec la rouquine, on serait sur la même longueur d’onde sur ce plan là étant donné qu’elle était maman.
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Il était rare que je sois aussi à l’aise avec un homme de nos jours. Si je comptais les hommes sur mes doigts, tout irait sur une main. Je n’avais plus cette confiance que j’avais avant, cette confiance en moi, en mon corps que j’avais dans mon temps au Nirvana. Avec Priape, je pouvais juste être moi, j’avais pas besoin de mettre ce faux sourire sur mon visage pour faire semblant que tout allait bien. « J’y peux rien. Mon ex est un prince, il m’a un peu trop chouchouté. » Blaguais-je. Un peu un mensonge, parce que malgré qu’Elios m’ai porté sur ses bras, je lui avais toujours fait comprendre qu’il m’avait déjà donné tout ce dont il pouvait me donner. Mais je ne parlais que très peu d’Elios. La pensée de notre ancien histoire me peinait encore, et le fait que tout pourrait changer car il allait épouser une jeune femme continuait de me briser le coeur. Au final, c’était mieux ainsi. Je pourrais m’occuper de ma soeur, apprendre à la connaître, sans que j’ai vraiment à me préoccuper de ce que pensait la famille d’Elios. Je fixais ma boisson, jouant avec la paille. « Ouais, mais on sait pas ce que la vie nous réserve. Qui sait ce qui va se passer demain? » Je m’étais pas attendue de perdre Hendrix il y a un an, ni à recevoir un appel l’anniversaire de sa mort de la part du père de ma soeur pour dire qu’elle avait eu un accident. Personne ne pourrait prédire ce qui allait se passer dans la vie. « Je suis sûre qu’elle va s’en sortir. C’est une battante, comme son père. » J’espérais de tout coeur que sa fille allait s’en sortir. Je ne savais que trop bien ce que c’était d’être dans l’insécurité de la survie de ses enfants. « Ils vont bien. Ils sont contents d’être à nouveau de retour à Cambridge, et de voir leur amis. Ils vont avoir deux ans, fin octobre. Le temps passe trop vite. » C’était étrange comme sensation, de voir ses enfants grandir. J’avais peur de me réveiller un jour, et qu’ils aient grandi pour voler de leurs propres ailes.
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