Jacob Je dois l'accepté

J'étais dans un moment d'horreur, j'étais entrain de vraiment comprendre que Rome n'allais pas revenir, que c'était fini pour toujours mais que la vie continue... J'avais mal, c'était bien l'une des première fois que je pleurais. J'avais fini par m'ecroulé dans les bras de Jacob, qui me serrais contre lui. Je restais la a vidé toutes les larmes de mon corps... J'était tellement mal... J'avais l'impression que mon coeur se brisais a nouveau en 1000 morceaux... Une sensation plus que attroce... Je finisais par me décollé de Jacob. Je me retournais face a la tombe, mes larmes coulaient toujours sur mes joues. Je regardais les lettres gravé sur la tombe, en un souffle je lâchais un
"Je t'aimerais toujours..." On oublie jamais son première amour... Je crois que lui je serais loin de l'oublié un jour vu que je n'ai jamais cessé de l'aimé...

Tu avais hoché légèrement et positivement la tête en l'entendant confier à cette tombe qu'elle aimerait toujours celui qui y repose. Tu le savais, il n'y avait rien de plus réciproque. Le monde de Rome tournait autour de Mia. Elle était faite pour lui, et tu espérais vraiment un jour vivre une histoire semblable à celle de Mia et Rome. Tu as pensé, un jour avoir rencontré cette personne mais aujourd'hui tu sais que ce que tu as eu avec Leandra n'a rien à voir avec ce que Rome et Mia ont partagé. Voir à quel point elle y était accroché après son départ expliquait tout. Alors oui, à cet instant tu prenais conscience que tu n'avais pas encore rencontré la bonne, celle avec qui tu vivrais une belle histoire. « Tu veux que je te laisse un moment... ? » Avais-tu murmuré en ayant fait un pas en arrière. Elle avait commencé à parler et à se livrer, et tu ne voulais pas être de trop.

La douleur était la Rome était mon première amour et le resta toujours, je l'aimerais toujours, il est le tout premier a qui j'ai voulu me confier la toute première personne en qui j'avais une confiance infini. La personne qui faisait battre mon coeur. .. Maintenant il était plus et mon coeur en souffrait tellement... Je n'entendais même pas Jacob pour moi il faisait en quelques sorte partie de l'instant parce qu'il connaissait bien Rome et je savais parfaitement que Rome lui avait demander de veiller sur moi parce qu'une personne comme Jacob ne serait jamais resté a mes côtés autrement.
Tu me manques mais je sais que tu veille sur moi mon amour ... Je t'aimerais jusqu'à se que mon coeur arrête de battre. Tu sera a jamaoq et pour toujours le première homme que j'ai aimé, celui qui a fait battre mon coeur... Les larmes coulaient a flots mais il fallait que sa sorte...

Ces mots qui n'était jamais sortie depuis sa mort venait enfin passé le barage de mes lèvres. .. une delivrence. Une impression de lâcher un poids, même si c'était une infime sensation de bien être face au mal être de sa disparition ...J'étais un peu soulager. Je me retounais pour faire face a Jacob et lui demander se que je n'avais jamais eu le courage de faire...
Rome t'as demander de veiller sur moi non? je savais que c'etai oui la réponse. .. je connaissais trop bien Rome pour savoir qu'il serait partie sans avoir un ami qui veille sur moi

Rome était votre plus grand point commun à Mia et toi, et il suffisait amplement pour que tu te montres présent. La loyauté c'était la plus belle valeur qu'on t'avait inculquée. Tu avais entendu les paroles de Mia. Elle ne soupçonnait que très bien cette demande de son homme, et cette idée t'avait comme détendu. « Il t'aimait comme un fou, Mia. Il ne serait jamais parti sans s'assurer que tu pourrais compter sur quelqu'un en son absence. J'y tenais comme on tient à un frère, alors n'hésite jamais. » Tu le pensais vraiment. Tu verrais toujours Rome à travers Mia, certainement en partie grâce à cette promesse. La mort ne mettait jamais fin à ce genre de contrat.

Je ne me trompais pqs quand il me disait qu'il serait la pour moi, il en avait fait la promesse a Rome. J'en étais sur ...Il me disait qu'il m'aimait comme un fou ... je deglutissais difficilement. Il me disait qur je pouvais compter sur lui.
Ne te sens pas obligé de quoi que se soit, je veux pas être un poids poir toi d'accord! Je savais qu"il ne parrtirais pas Jacob est quelqu'un de gentil je l'aime bien d'ailleurs ...
Merci disais je en venant déposé un baiser sur sa joue. qui est pour moi une grande marque dz reconnaissance

Obligé ? En un sens oui tu l'étais, mais comme une corvée. Tu n'iras pas jusqu'à dire ce que c'est une responsabilité mais c'était une promesse, et encore une fois elle restait la seule personne qui te rappelait cet ami fidèle, et puis elle restait une amie, c'est ainsi que tu la considérais. « Je viens de te le dire, n'hésite pas Mia, je suis sérieux. » Tu lui as adressé un sourire avant de l'entendre te remercier. Elle n'avait pas besoin de le faire d'ailleurs. Un poil surpris par son bisou à ta joue, tu en avait sourit simplement.Toi qui aimait la loyauté, tu n'hésitais pas une seule seconde à la qualifiée ainsi.

Je savais qu'il la promis a Rome mais je ne veux pas qu'il se sente obligé, je ne veux être un poids pour personne. mais il me disait qu'il serait la pour moi, qu'il fallait pas que j'hésite... Je savais qu'il est quelqu'un de bien.
"T'es quelqu'un de bien Jacob, j'espère que tu trouvera une fille qui fera battre ton coeur comme Rome a fait battre le mien, j'espère vraiment que tu sera heureux comme Rome a pu me rendre heureuse, bien sur avec une fin heureuse pas comme la notre." Disais je en jettant un oeil a la tombe.

Elle avait peut-être raison. Tu étais surement quelqu'un de bien. Ton défunt père avait été un homme droit, fort et admirable. Peut-être que le dicton est vrai. La pomme ne tombe jamais bien loin de l'arbre. C'est ce qui expliquait la culpabilité que tu pouvais ressentir quand tu t'éloignais un peu trop de ce que tu étais. Décevoir, tu avais toujours détesté ça. « Peut-être un jour. » Avais-tu dit comme si tu te parlais à toi-même. Tu ne désespérais. En fait, tu avais aimé follement en pensant vraiment que c'était la meilleure relation à laquelle tu pourrais prétendre. La fin amère avait fini par te convaincre de l'inverse. Le meilleur restait à venir, tu le savais, tu l'espérais. Ton regard se posa une fois sur la tombe de Rome et tu as observé le silence ambiant un instant.