Je regarde une œuvre, je n’ai pas vu que mon ami Alejandro se trouve derrière moi. Je souris, et je lui dis : « Bonsoir monsieur, comment allez-vous ? Je ne t’ai pas vu arriver, mes pensées ont monopoliser mon cerveau durant un petit moment. » Parlant français cela me fait plaisir, je m’amuse bien avec lui et Bambi, à parler français très joyeusement. Je lui fais la bise et une petite étreinte amicale. Puis, il me demande si je connais Corno. Je lui réponds en souriant : « Mes parents oui, ils m’ont demandés d’acheter quelques œuvres pour eux. »
Une famille aisée, qui a réussi, une famille qui parfois est un peu mécène pour les artistes. Je tiens le catalogue, je sais que mes parents en ont vus des spécifiques. Je sais que je peux monter les prix si besoin. Je demande à mon ami : «Tu le connais d’où toi ? » Une simple petite question afin de prolonger notre conversation qui me plait beaucoup. Je patiente gentiment, j’espère bien qu’il va me répondre.