Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityILS SE PAPOTENT AUTOUR D'UN JETSKI ⊰ CODIVE - Page 3
Le Deal du moment : -67%
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ ...
Voir le deal
4.99 €


ILS SE PAPOTENT AUTOUR D'UN JETSKI ⊰ CODIVE

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Plouf. Plouf. la vie parfois fait plouf. ILS SE PAPOTENT AUTOUR D'UN JETSKI  ⊰ CODIVE - Page 3 405920
Codive
Oui, tu avais touché une bourse. Mais ce n’était rien à côté de ce que ton père prenait en compte. Avoir un père à la tête d’un célèbre parc aquatique, ça aide. Et puis s’il acceptait de te payer tes études en diététique – c’qui n’avait rien à voir avec le management, soyons clairs – il était hors de question qu’il lui finance son école de soigneurs à Paris ou nul par ailleurs d’ailleurs. C’est pas du tout le même organisme qui gère ça. Ca m’ferait entrer dans des démarches administratives qui dureraient plusieurs semaines. Et ça ne couvrirait surement pas tous les frais des cinq années. Même avec un job à côté. T’avais le bracelet passé au bureau du parc, voilà tout. Tu t’y ferais, comme tout le reste. Et comme une envie soudaine, t’avais grimpé sur le garçon dans l’optique de lui masser le dos. Aouuuuuch, moi j’le vis ton rêve de vivre avec les orques. Sauf que c’est un cauchemar. se débatit-il en râlant, comme toujours. Du grand Cody. Levant les yeux au ciel, tu recules un peu pour pas lui casser la colonne vertébrale (c’est monsieur qui conduit au retour, on va éviter) de tes 56kg – ok, 57, c’est les vacances – de muscles de poisson-sirène. De nageuse quoi. Abuse pas, papy. J’fais pas les 4 tonnes de Jumper, estime toi heureux. Quatre tonnes deux, pour être précis. Un bon gros pépère. Assez geins, tu posas tes petites mains sur les omoplates du jeune homme et commença à le masser sans grande expertise non plus, le questionnant au sujet des Lowell et des ‘on dit’ qui courent. J’ai fait mon temps chez les mauves. J’ai besoin de vivre de nouvelles choses, je sais juste pas quoi pour le moment. Bein merde, c’était bien vrai. Tu te demandais tout de même vers quelle maison il se tournerait. Quincy ? Naaah. Eliot, bien sur que non. Mather ? Pourquoi pas. Après tout, c’était Cody le bide à bière et se serait assez sympa de l’avoir parmi vous. Dunster ? …. Ou bien les Winthrop. Tu verras bien. Cody semblait être un type plein de surprise et de rebondissements. J’trouve ça cool. Tu restes pas dans ton p’tit cocon confortable avec tes habitudes et la ‘stabilité’. C’est chouette ; carpe diem ! Beaucoup devraient en prendre de la graine, d’ailleurs. Tu t’appliques du mieux que tu peux sur le dos de Cody, glissant tes mains vers ses épaules et les redescendant doucement en tapotant du bout de tes doigts jusqu’à l’élastique de son short de bain. Tu veux apprendre le Français ? Tu te penches brusquement en avant et tourne la tête de façon à voir le visage de Cody. Tu parles français ? demandes-tu toute pleine de joie. Le français était vraiment une langue qui te plaisait. T’avais plusieurs fois essayé d’apprendre par toi-même mais se fut un échec total. J’ai mange baguette avec du fromage. Répète après moi ; [/i]baguette du fromage[/i]. Quoi ? Tu plisses les yeux et essaye de mettre de côté ton accent ‘ricain. Baguét du fomage. C’est bien comme ça ? Cody pouffa de rire et continua dans son français cariboutisé. J’ai … La … Tour Eiffel dans mes pantalons. Oh putain, t’avais compris ! Tour Eiffel, la grande dame de fer, ce magnifique monument qui brillait le soir dans la belle ville de Paris. Mais la suite…. Whut ? J’ai Tour Eiffel dans ma panta.. quoi ? Ca veux dire quoi, Cody ? demandes-tu en riant en voyant bien qu’il se moquait de toi. Et s’il t’avait fait dire n’importe quoi ? Après tout, c’était tout à fait son genre, non ? Ok, ok. A moi. Je n’sais pas dire grand-chose mais.. Bonjour, je appelle Olive. Embrasse moi. Hm, ça veux dire un truc genre enchanté, j’m’appelle Olive. J’suis plus bien sûr. C’était ce qu’il te restait de tes cours de français sur internet. Un peu maigre, n’est-ce pas ?
© flappy bird.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Plouf. Plouf. la vie parfois fait plouf. ILS SE PAPOTENT AUTOUR D'UN JETSKI  ⊰ CODIVE - Page 3 405920
Codive
Pourquoi Cody avait l’impression que les complications dans la vie des gens étaient proportionnelles à leur richesse ? Apparemment, Papa Requin avait les moyens de payer l’école de sa fille, juste, il ne le voulait pas. Chelou. Cody se contenta d’une grimace avant de soupirer et changer de sujet ; il ne comprendrait jamais rien à ça, de toute façon. Puis elle lui écrasa le dos et enchaîna sur un massage, ce lui changea radicalement les idées. « Jumper, c’est l’orque de tes parents ? » Jumper l’orque et Olive la baleine ! Ils font dans la diversité, c’est bien. « On a tous besoin de bouger t’façon. Les Lowell m’ont apporté beaucoup et j’pense leur avoir rendu ce qu’il fallait en retour. Maintenant, faut que je prenne mon envol. » C’est triste, l’ambiance des violets lui manquera, mais elle ne sera sûrement pas comparable à la fraternité qu’il retrouvera chez les Winthrop. Puis, histoire de faire un pas vers le rêve de la Mather, Cody se mit à parler Français. Enfin, il n’y connaissait pas grand-chose, il puisant dans ses souvenirs du secondaire là. « Relativement peu. J’vivais à Toronto. On nous enseignait cette langue là-bas à cause de la proximité avec le Québec. » Aka la partie française du pays. Mais il était loin d’être bilingue. Y a juste certaines phrases qu’il rêêêêêve de sortir à une Française pour la draguer comme le gros lourd qu’il est. Olive tenta de répéter, mais c’était pas successful dis-moi. « À peu près. » pouffa le jeune homme avant de foutre une main dans son dos et glisser celle d’Olive vers son coccyx. « Ici j’ai un peu mal. » Ouais vas-y, touche-lui le cul pendant que t’y eeeeessss. Puis, après l’histoire de la Tour Eiffel dans le pantalon – traduction que le brunet laissa volontairement en suspens – Shark balança ce qu’elle connaissait. « Ton accent est adorableeeee. » la railla-t-il, sachant pertinemment qu’il avait approximativement le même. Puis elle, elle se garda bien de traduire le ’embrasse-moi’. Que Cody savait, btw. Attendez, c’est la phrase number one des lovers qui veulent pécho les Françaises. S’esclaffant, il cracha enfin le morceau ; « ça veut dire que j’ai la Tour Eiffel dans mon pantalon. » pouffa-t-il. NOOOOON, ce n’était vraiiii, enfin la Tour Eiffel n’était pas érigée et pointée vers le ciel quoi, inutile de vérifier ! Il croisa ses bras sur le sable et posa sa tête dessus, fermant doucement les yeux, bercé par les mains expertes d’Olive. Il répéta ses mots précédents, en Français ; « Embrasse-moi, alalaaaa .. » Il kiffait trop cette phrase, elle glissait sous la langue et se pendait tout au bout, telle une caresse sulfureuse.
© flappy bird.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Plouf. Plouf. la vie parfois fait plouf. ILS SE PAPOTENT AUTOUR D'UN JETSKI  ⊰ CODIVE - Page 3 405920
Codive
Et bein non, raté. C’est l’mien. Mon cadeau d’anniversaire à six ans. Un cadeau pas vraiment ordinaire, faut dire. Cadeau que tu ne comprenais pas plus les années passait puisque ton père refusait de te voir mettre les pieds dans un bassin. Soit. Et après ça Cody parla de sa nouvelle vie d’oiseau qui l’attendait. Si si, le petit oisillon qui prends son envol, sans fumée sans alcool, il vole ILS SE PAPOTENT AUTOUR D'UN JETSKI  ⊰ CODIVE - Page 3 1116103942 Tu m’tiendras au courant d’où tu vas ? Même si ça ne te serais pas d’une information capitale, tu aimerais savoir où il pourrait continuer sa vie de drôle étudiant. Etudiant qui parlait un peu français, en plus. Woaw. Il t’expliqua comment et pourquoi il connaissait quelques petites choses de français avant de te faire répéter quelques phrases sans oublier de se moquer de toi. Eh bein voyons. A peu près ? Allez arrête, j’suis sûre que c’était très bien ! Baguéteuh du fromage. T’appliquais tu à répéter encore alors que Cody déplaça ta main sur son coccys parce que monsieur avait un peu mal. T’essayes juste d’être gentille, t’es pas ostéo’ non plus. Mais t’es bien trop contente de parler un poil français pour lui faire remarquer alors tu t’appliques à masser le bas du dos du jeune homme, faisait glisser tes pousses du centre de son coccys vers le gras de son bidou, sur le côté. Puis tu avais lâché ce que tu toi tu connaissais. Je m’appelle Olive, enchantée. Voilà ce que t’avais dit. Du moins, tu le pensais. Ton accent est adorableeeee. Si un ‘ricain/canadien le pensait, attendez un peu de ce qu’un français, un vrai, pourrait dire. Gosh, il t’ouvrirait la couverture de son lit sans aucun problème. Juste avec Baguéteuh du fromage. Ou pas. Mais ça, tu l’savais pas. Merci beaucu. chantonnas-tu pour le remercier, quand même. N’empêche que tu savais toujours pas ce qu’il t’avais dit mais il ne tarda pas à te le révéler. ça veut dire que j’ai la Tour Eiffel dans mon pantalon. Tu te mets à rire, lui donnant une tape sur le sommet de sa tête. Oooh, prétentieux ! rigoles-tu en fixant tes yeux sur tes doigts qui continuaient de se balader sur le dos de Cody. Cody qui prenait ses aises, les yeux fermés, la tête dans ses bras croisés. Mieux qu’en institut. Embrasse-moi, alalaaaa .. Tu secoues la tête, amusée de l’entendre chantonner ce petit mot en français avec un accent so sweet. Et puis plus rien, juste une petite brise de vent qui glisse dans les arbres et fouette ton visage. Juste le rire des enfants, les cris des vacanciers et les broumbroum des jet-ski voguant au loin. Tu te penches en avant, collant tout ton petit ventre contre le dos du garçon, et pose tes lèvres contre son oreille. Hey, Robinson. T’endors pas, j’ai besoin d’un chauffeur pour rentrer. C’est que même si t’étais une bonne nageuse, t’avais vachement kiffer le jet-ski et t’avais follement envie de recommencer. Tu te laisses glisser sur le côté et retombe le dos dans le sable. Les jambes pliées, tu poses tes petites mains de part et d’autres de ton nombril et tourne la tête vers le bide à bières à tes côtés. T’as vraiment la Tour Eiffel dans ton pantalon ? J’veux dire, proportionnellement. Enfin, pas en taille réelle mais.. C’est juste que c’est grand la Tour Eiffel alors.. Hein, quoi ? Non, laisse tomber. Ouais, c’est pas comme si t’avais envie de savoir, after all. Hum. Tu détournes la tête, du coup, et ferme les yeux et faire ton lézard au soleil.
©️ flappy bird.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Plouf. Plouf. la vie parfois fait plouf. ILS SE PAPOTENT AUTOUR D'UN JETSKI  ⊰ CODIVE - Page 3 405920
Codive
Baguéteuh du fromaaaageeee. Voilà, maintenant ce serait le nouveau slogan de Cody et Olive pour leur candidature à la présidence du monde. Ça pétait encore plus qu’un fox terrier à qui on aurait donné du cassoulet. C’était la classe, sisisiiiii. Et puis puisqu’ils étaient partis dans leur quart d’heure français, voilà que Cody complimenta Olive sur son accent trooop craquant. Elle le remercia, même si en réalité elle compliment Cody sur son boule. Bon, une chance qu’il ait exactement le même Français qu’elle, sinon il ne se sentirait plus pisser le pauvre pépère. « Des rein. » Bon, j’vous traduis heinggg, c’est bien sûr un ’de rien’. Puis, il avoua que sa phrase voulait en fait dire qu’il avait la tour Eiffel dans son pantalon, ce qui lui valut d’être traité de prétentieux. Il s’esclaffa avant de poser sa tête sur ses bras et juste profiter de l’instant présent. Ça faisait du bien de se poser, de s’oublier, bercer par les vagues que lançaient Olive sur les rochers de son désir chaque fois que ses mains se faufilaient sur sa masse graisseuse. C’est triste à dire, mais Cody avait commencé à oublier ce que c’était qu’être touché par une femme. C’est simple, en sept mois, une seule l’avait touché une seule fois et c’était Diamantika le mois dernier. Mais Olive le sortit de ses songes, rappelant qu’elle avait besoin d’un chauffeur.  Son dos contre lui et son souffle dans son oreille agissaient comme une douce caresse sur lui, même si ses mots eurent l’effet d’une douche froide. Enfin presque. Plus de la sonnerie stridente du réveil après un long rêve. « Maintenant ? » grogna-t-il, lui qui voulait lambiner encore quelques minutes sur le sable chaud. Il se tourna sur le dos comme un steak qu’il faut cuire des deux côtés, étira ses bras et ses jambes et tourna la tête vers Olive qui demanda si c’était vraiment la tour Eiffel là-dedans, avant de lui insuffler de laisser tomber. Cody éclata de rire, avant de lâcher ; « Tu sais, à l’école on apprend que le plus haut sommet canadien, c’est le mont Rubson. Mais c’est des mythos. Le point culminant, il est dans mon caleçon. » Wesh, le mont Cody, celui qui fait même de l’ombre à l’Everest ! Pour celles qui se demandent pourquoi ce bel étalon est encore célibataire, vous comprenez maintenant ? « Mais t’as raison, va falloir qu’on y aille. » soupira-t-il en s’asseyant maintenant sur le sable. Allez, un peu de motivation, t’y es presque, gros tas.  
© flappy bird.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)