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ELIWAN ϟ Cause we are lost stars

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L'eliot avait du mal à croire la jeune lowell qui avait le don d'exagérer la moitié des choses qui sortaient de sa bouche. Mais pour une fois, elle était sérieuse. Elle connaissait parfaitement ses frères et leur tendance protectrice un peu trop envahissante. Depuis que Lizie s'était mise le nez dans son histoire pas possible avec Kol, les frères Leroy avaient toujours un oeil sur la petite dernière de la famille. Un peu moins depuis que l'oiseau avait pris son envol du nid, mais elle était sûre et certaine que si elle ramenait un nouveau prétendant à la maison, sa famille allait le harceler de questions. Elle connaissait parfaitement ce genre de situation oppressante et embarrassante et elle voulait à tout prix éviter cela à son petit ami. Tant mieux alors. répond la rousse un fin sourire aux lèvres. Je devrais peut-être essayer de faire un petit saut à Paris. pense un instant la rousse, tant qu'elle était tout près de la capitale française, c'était l'occasion ou jamais. Puis le simple fait de se retrouver avec des français, parler sa langue natale un court instant, lui rappelle tous ses souvenirs qui lui manquent terriblement. Un rire s'échappe des lèvres de l'artiste quand son petit ami lui confit qu'il n'a strictement rien compris à la conversation Je devrais te parler plus souvent en français. dit-elle en français un énorme sourire aux lèvres fière de sa nouvelle idée. Elle était capable de faire chier Antwan pendant des heures en lui parlant la magnifique langue qu'était le français. L'anglais cite tous les mots de français qu'il connait, cela étire un sourire à l'artiste. C'était mignon d'entendre Antwan parler avec son accent, ça a son petit effet sur la lowell. L'eliot sait comment s'y prendre pour faire craquer sa petite amie. Il avait bien appris à la connaître au fur et à mesure du temps. Lizie adorait les mots d'amour. Ses joues s'enflamment et son coeur s'accélère quand il lui dit les deux petits mots magiques. Les pupilles bleutées de la jeune femme se tournent vers son amoureux, elle a l'impression de marcher sur un petit nuage de bonheur. Ca serait parfait avec la bonne intonation. pendant un instant Lizie se remémore cette fois au théâtre où il avait joué roméo et juliette. Cette fois où tout avait basculé entre eux Je t'aime. dit-elle le plus simplement du monde avant de sceller ses lèvres à celles du brun.
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Je devrais peut-être essayer de faire un petit saut à Paris. Ca lui fera le plus grand bien. Voir sa famille après cette année est une petite récompense. L’an passé a été compliqué et éprouvant. Les agressions, les prises d’otages – même si grâce à dieu on a été épargné de cette affreuse épreuve – et pour elle son rôle de présidente. Aucun moment pour se reposer. Pour clôturer le tout ces vacances n’ont pas été les meilleurs. « Ca leur fera plaisir de te voir. » Je suppose. Mais peut-être que la rousse est détestée de toute sa famille, qui sait ? Pour ce qui est de mon français, je l’autorise à se foutre de ma gueule. Ma prononciation doit être degueulasse pour une francaise d’origine. Et ma liste de vocabulaire est très restreinte. Trois-quatre mots. Peut-être qu’en cherchant de ma mémoire, j’en trouverais d’autres. Je devrais te parler plus souvent en français. Qu’est-ce qu’elle diiiiit ? J’ai compris qu’un seul mot. « Je comprends rien, laisse tomber. » Et pour être honnête, j’ai pas envie d’apprendre sa langue. Je connais déjà le principal. La phrase pour la rendre heureuse pendant tooooout une journée. Ca serait parfait avec la bonne intonation. On peut pas tout avoir. Navré.  Je t'aime. Ouaip, ca s’est une bonne prononciation. On entend bien la française. Et on voit la romantique qui vient m’embrasser. « J’m’entrainerais à le prononcer plus souvent. » Ma main se glisse dans la sienne puis on reprend le chemin. Je lui montre plusieurs endroits qui ont marqué mon enfance. Mon lycée par exemple. Et les monuments que tous les touristes prennent en photos. Jusqu’à ce que la pluie revienne. Les trombes d’eau s’abattent sur nous. Obliger de s’abriter, j’entre la première boutique. Un ridicule magasion d’antiquités. « Puis-je vous aider ? » Une vieille femme, effrayante, à l’allure de sorcière vient de sortir de l’arrière boutique.
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« Ca leur fera plaisir de te voir. » La française se contente d'esquisser un sourire en guise de réponse. Elle prenait sa proposition en compte et ne manquera pas d'aller faire un saut à Paris sous peu dès qu'elle en aura l'occasion. Le temps était précieux avant la rentrée, une nouvelle année à Harvard qui commençait, l'année du changement car la lowell avait décidé de quitter ses artistes pour de nouveaux horizons. Elle avait longuement réfléchi, et avait jugé qu'elle avait fait son temps à la Lowell. Elle était arrivée simple bizut pour finir présidente, un joli parcours qui restera longtemps gravé dans sa mémoire, mais qui prenait aujourd'hui fin. Le simple fait de penser qu'elle ne serait plus une Lowell à la rentrée lui paraissait enocre étrange et c'était se mentir de se dire qu'elle n'était pas triste par ce départ. Voir l'anglais ne part comprendre un mot de français rend le sourire à Lizie, et elle ne peut s'empêcher de le taquiner. Tu devrais car c'est pas beau quand je m'énerve en français. Je t'ai évité ça pour l'instant. énorme sourire innocent aux lèvres, déjà que ce n'était pas très jolie en temps normal, une Lizie en colère qui hurle les pires jurons dans sa langue natale, c'est vraiment magique. Un jour, ce jour viendra, pour le plus grand bonheur d'Antwan. Trêve de plaisanterie, parfois Lizie savait se montrer sérieuse. Et outre le nombre incalculable où elle embêtait son amoureux, il lui arrivait de temps à autre de lui dire des mots d'amour et quand il s'agissait de ça, Antwan savait tout à fait comprendre, quelque soit la langue. La main du jeune homme se glisse dans celle de la rousse qui lui répond Tu devrais. Puis t'es tout à fait capable de comprendre le français quand tu le veux. petit clin d'oeil complice. L'amour était un langage universel, pas besoin de parler la même langue pour se comprendre, juste les gestes suffisaient. Un regard, une sourire, une étreinte, un baiser, des doigts entrelacés qui voulaient dire je t'aime dans toutes les langues. Les monuments défilent devant les yeux de la française, elle découvre l'environnement où l'eliot a grandi, elle reste silencieuse, profitant de l'instant et de la beauté du paysage quand soudainement, la pluie s'abat sur les deux amoureux. Ils rentrent dans le premier magasin qu'ils trouvent sans regarder la devanture. Lizie pouffe de rire découvrant le magasin d'antiquités, c'est pour les vieux ça, Eliwan est déjà un vieux couple. La rousse décline poliment la proposition de la vendeuse avant d'entraîner son petit ami un peu plus au fond du magasin Oh mon dieeeeeu elle fait peur. chuchote-t-elle à moitié morte de rire accrocher au bras de son Antwan.
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Tu devrais car c'est pas beau quand je m'énerve en français. Je t'ai évité ça pour l'instant. Mooh merci de m’avoir épargné ta langue natale. En polonais ou en chinois les engueulades doivent être violentes. Ou en .. allemand. Rien qu'un mot d'origine allemande passe pour une agression. Une salutation, une petite histoire, tout absolument tout est violent dans cette langue. Alors une engueulade. « Merci. » La France, c’est le romantisme et la beauté. Rien de violent voyez. « Tu devrais. Puis t'es tout à fait capable de comprendre le français quand tu le veux. » Rarement.  Seulement quand c’est nécessaire. Les ruelles défilent sous nos yeux. La pluie tombe. Nous voilà dans la boutique. D’antiquités. Puis la sorcière. Toute ridée, flasque, datant du siècle derrière. Elizabeth décline l’offre avant de m’entrainer dans le fond de la boutique. Oh mon dieeeeeu elle fait peur. C’est le cas de le dire. J’acquiesce sans rire pour autant. « Londres et sa pluie. Ce n'est pas très romantique. » dit la vieille en s’approchant de nous. Son large sourire me transporte dans un film d’horreur. « Ouais, j’confirme. » Mais on est pas obligé de faire la conversation. « En attendant que cela cesse, vous voulez boire du thé ? » Boire ici ? Elle veut nous lancer un maléfice avec sa boisson.
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La vieille sorcière avait l'air plutôt perspicace. Il fallait la comprendre, le Eliwan devait être ses seuls visiteurs de la journée. C'était pas le genre de boutiques qui attirait les touristes, c'était plutôt les passionnés qui se faisaient rares de nos jours qui entraient là dedans. Lizie avait beau aller se cacher au fond de la boutique, trouver un échappatoire, une sortie, n'importe quoi, la sorcière est un vrai pot de colle. Lizie jette un regard désespéré à Antwan en mode : sors nous de là, sois un homme pour une fois et je te ferais l'amour toute la nuit. Mais rien à faire. Les voilà en train de parler de la pluie et du beau temps. Le sourire de la vieille a le don de donner des frissons à la rousse, qui parcourt tout le long de son dos. Son regard est juste flippant, et Lizie essaye d'offrir un sourire le plus amical possible, même si c'est pas du tout le cas au fond d'elle. Elle flippe. Elle est mal à l'aise. Elle a envie de crier, de sortir de là mais elle se retrouve le cul coincé entre deux chaises. Le regard se perd dans les gouttes d'eau qui ne cessent de tomber à l'extérieur. Temps de merde. Antwan il ne prévoit même pas un parapluie en sortant. Il devrait être habitué pourtant. On ne peut refuser une offre si gentiment proposer. réponds la rousse un sourire amical, même si à l'intérieur d'elle, se retrouver dans cet endroit là fait légèrement flipper. La vieille dame se retourne et Lizie en profite pour glisser à l'oreille de l'eliot Rappelle moi de te tuer en rentrant, dans quoi tu nous as mis. soupire-t-elle désespérée. C'était pas le genre de balade romantique a laquelle la française s'attendait.
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On ne peut refuser une offre si gentiment proposer. PARDOOOOON ? On peut refuser et c'est ce qu'on va faire. Boire l'elixir d'une sorcière ne fait pas partie des choses à faire avant de mourir. La pretexte de l'allergie est bon, mais lache quand on entend Elizabeth accepter. Rappelle moi de te tuer en rentrant, dans quoi tu nous as mis. Hého, je dois te dire combien de fois que je ne suis pas un prince charmant qui vit que des belles aventures. « La prochaine fois je te laisse sous la pluie. » Arrête de râler sérieux. Sinon ce ne serait plus qu'une idée. La vieille sort trois tasses et une theire typiquement anglaise. Comme si elle avait prévu notre arrivée. Genre c'est une voyante ? C'est déjà mieux que sorcière. « Vous avez l'air heureux ensemble. » Je m'assoie à côté d'Elizabeth, regardant avec désespoir la pluie s'abattre dans les rues. POURQUOI ? « Je peux vous tirer les cartes si vous voulez connaitre votre avenir. » C'est bien une voyante. J'arque un sourcil. Elle est sérieuse la vieille ? Et déterminée.

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Ecoute Lison, il faudrait savoir, un coup tu m'entraîne dans ton histoire de vieille sorcière qui prend en otage le Eliwan et la minute d'après tu ne veux plus. Bon je reprends ma perruque rousse. Micro à Lizie. La française, c'était sentie obligé d'accepter cette proposition. C'était dans sa nature, elle arrivait difficilement à dire non aux personnes, surtout quand il s'agit d'une vieille dame qui doit rester des longues journése toute seule dans sa boutique d'antiquités. Elle avait un peu de compassion pour elle malgré son allure effrayante. Les amoureux finissent par s'asseoir autour d'une petite table, la dame sert le thé et vous complimente sur votre couple. Un sourire esquisse le visage de la rousse en guise de réponse. Mais la seconde qui suit, ses sourcils se froncent quand la vieille leur propose de lire leur avenir. Un instant silencieuse, la française se tourne vers son petit ami et cherche une réponse dans le regard masculin. Puis finit par dire Pourquoi pas.  même si, pour être tout à fait honnête, elle n'avait jamais cru à ses prédictions. Elle ne croyait que ce qu'elle voyait. Attentive, l'artiste regarde la vieille manipuler les cartes avec une certaine adresse. Elle demande à Lizie d'en tirer trois avant de les retourner. Lizie reste perplexe, elle ne sait vraiment pas à quoi s'attendre. Elle boit une gorgée de son thé observant la dame qui se tourne vers l'eliot avant de lâcher sûre d'elle. « Une de vos amies viendra semer le trouble dans votre couple, il sera donc préférable de ne pas la voir» je suis un ange, je sais (a). On dirait une mise en garde. Lizie reste silencieuse, même si le prénom lui brûle les lèvres. Maxym. Ca ne pouvait être qu'elle. La voyante se tourne ensuite vers Lizie. Les doigts de la rousse se crispent. Même si elle n'y croit pas, elle appréhende ce qu'elle va dire. Comme un pressentiment. La vieille met un certain temps à prédire son verdict, ce qui stress encore plus la française.  « Quand à vous.. je vois... que vous allez tomber enceinte. » Lizie manque de s'étouffer avec son thé, et le renverser sur la tapisserie. Elle repose sa tasse, les mains à moitié tremblantes. Pardoooooon ? lâche-t-elle encore sous le choc. Elle ne voulait pas croire à ses prédictions de charlatan. C'était du n'importe quoi.
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Ecoute Marie, c'est toi qui te plains tout le temps à cause la vieille, alors je te laisse faire ce que tu veux. Bref. La veille nous propose les cartes. La. Grosse. Blague. Jamais je n'étais venu ici et jamais plus je n'y reviendrais. Même s'il pleut autant. On aurait mieux fait de se cacher dans un fast food. Assis sur les chaises, la voyante demande trois cartes à Lizie qu'elle s'empresse de tirer. Mes pupilles regardent le plafond et mes bras se joignent sur mon torse. Hors de question de boire dans le service d'une vieille inconnue. « Une de vos amies viendra semer le trouble dans votre couple, il sera donc préférable de ne pas la voir. » J'arque un sourcil quand elle me regarde. « Ben voyons. » C’est le genre de phrase toute prete qu'on retrouve sur la page google des arnaqueurs. Manquerais plus qu’elle nous demande de l’argent. « Quand à vous.. je vois... que vous allez tomber enceinte. » HAHAHAHA. No way. J'explose de rire tandis qu'Elizabeth manque de s'étouffer avec son thé. Preuve qu'on est pas prêt d'avoir un gosse.  « Vous voulez pas nous dire quand ? Histoire qu'on achete tout le nécessaire voyez. » La vieille ignore mon sarcasme preferant se concentrer sur la dernière carte. « La santé d'un de vos proches va peser lourd dans vos préoccupations. » lance t-elle à la cabot. T'façon tout ca n'est que connerie.
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Même si la rousse ne veut pas y croire, cela lui a coupé toute envie de boire une nouvelle gorgée de son thé. Elle qui voulait se montrer polie, elle avait qu’une seule envie, c’est de sortir d’ici. Elle s’y sentait tellement mal à l’aise tout d’un coup. Son regard va de la pluie à travers la fenêtre, à son petit ami tout aussi surpris qu’elle puis se repose sur la vieille dame qui lui avoue l’air grave qu’un de ses proches va être malade. Ca n’est trop pour la jeune française qui se lève un peu trop brusquement. Stop ! ca suffit ! elle ne voulait pas entendre une de ses bêtises en plus pour lui ruiner le moral. Elle s’empresse alors de dire Nous sommes désolés, mais on doit y aller, on nous attend. invente-t-elle pour se sauver au plus vite de ce cauchemar qui tournait mal. Elle prend la main de son petit ami, l’entrainant avec elle vers la sortie. Tant pis s’il pleuvait encore, elle voulait sortir d’ici. Et ce n’est qu’une fois dehors, que Lizie peut respirer de nouveau S’il te plait, emmène moi où tu veux, sauf dans des endroits flippants comme ça. même si elle ne croyait pas à ses histoires, il y avait une partie d’elle qui lui disait, et si c’était vrai toute ses prédictions ? Si elles allaient un jour se produire dans sa vie ? Cette simple idée faisait paniquer la française qui n’avait pas envie de vivre tout ça, elle était quelque peu déboussolée à cet instant.
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Les cartes sont contre Lizie. Un de ces proches malades. Ele n'apprécie pas beaucoup, son expression le manifeste clairement. Si j’ai décidé de prendre ces informations par-dessus la tête, la jeune femme est quand à elle plus réceptive et donc plus touchée par les propos. « Très réjouissant ! Quel bonheur de profiter de votre présence enchanteresse. » Sarcasme glissé entre deux remarques de ma petite amie. Cette dernière empoigne fermement ma main. Elle est décidée à sortir de l’endroit. La vieille commençait à me faire bien rire pourtant. Je me lève me laissant guider vers la sortie. « Songez à faire carrière. » fis-je en la pointant du doigt. Une fois dehors, la pluie s’abat sur nous. Génial. Pendant quelques secondes, j’avais oublié la météo de Londres. « S’il te plait, emmène moi où tu veux, sauf dans des endroits flippants comme ça. » Elle pourra prétendre le contraire mais elle croit aux superstitions. Je me place devant elle pour retrouver ses yeux. « C’est que des conneries Lizie. La solitude a rongé son cerveau. » Là voilà folle, interprétant des cartes.
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