Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(FF) Dans ses bras, c'était comme un rêve - Page 2
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(FF) Dans ses bras, c'était comme un rêve

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T'as raison.. J'veux pas qu'tu me dévoiles tout, tout de suite. C'est moins fun.. Tu voulais avoir l'occasion de passer de chaleureux et agréables instants en sa compagnie à maintes reprises, sans que cela ne vous paraisse barbant ou invivable. La conversation, c'était primordial, pour vivifier une relation, quelle qu'elle soit. Il faut néanmoins avouer qu'à votre rencontre, il n'était pas trop question de discussion, mais de sexe pur et simple. Ayant été strip-teaseuse, tu l'avais chauffée en salle privée, elle avait flashé sur toi, t'avais flashé sur elle, puis elle t'avait balancé un billet de 100. Elle t'avait semblée non pas hautaine, mais inaccessible, et tout de suite ça t'avait intriguée. Et voilà que maintenant, vous étiez encore potes, ce qui était plutôt ironique, n'est-ce pas? Tu pourrais pas m'dire ça plus souvent, tu crois...? Ça te plaît de savoir qu'elle te trouve mignonne. On te trouve généralement sexy, attirante, aguicheuse, désirable, bandante, et tous les qualificatifs dans le genre, ce qui n'est pas faux. Mais de réels compliments, des compliments qui viennent du fond du coeur et qui se veulent positifs et gentils, comme elle le fait, c'est encore meilleur à l'oreille, encore plus agréable, encore plus touchant. Et moi, j'adore quand tu t'mords la lèvre. Ça m'rend faible, avoues-tu timidement, la dévorant de nouveau du regard. Putain, elle est belle. Trop, trop belle. T'inquiète, tu m'retiendrais pas vrai? Tu lui fais un clin d'oeil en roulant des yeux, tentant de paraître sérieuse, mais au contraire tu éclates de rire. Ton rire se fait encore plus persistant en l'écoutant parler ainsi de Dieu. Te mettant à réfléchir un peu sur ses propos, tu lui réponds du tac au tac : J'aimerais ça moi, m'faire baiser sur un nuage. Tu comptes m'ramener un jour visiter le septième ciel? Toi, tu comptais bien l'y emmener. Un voyage à deux vers un monde tout autre. Tu avales ta salive en plongeant tes yeux dans les siens, alors que tu l'embrasses fougueusement, presque sauvagement le temps de quelques secondes. Sa prise se resserre sur ta hanche, tu apprécies ses doigts qui te chatouillent doucement. Ton corps frôle le sien dans un suppliant délice. Tu fermes les yeux, appréciant le contact, la sensation, le goût, l'odeur.. Mais si tu y mets fin aussi vite, c'est pour ne pas succomber à l'emprise qu'elle a sur toi. Elle a toujours eu cette emprise sur toi. Mais on aurait dit que là... c'était complètement différent. Les retrouvailles te faisaient un drôle d'effet. Tu t'diriges prestement vers le canapé, l'invitant à te rejoindre. Elle te dit d'attendre, se préparant un truc sur le comptoir. Tu souris, lorsque l'un de ses chiens te rejoint. Tu le caresses, gratouillant son ventre alors qu'il se tourne sur le dos. Tu rigoles, ça te redonne le sourire, puis tu te tournes vers Gwen. J'ai toujours rêvé d'avoir un chiot. Vrai. T'en avais jamais eu. Gwen.. t'as envie d'faire quoi, ce soir?, demandes-tu. T'avais plein d'idées en tête, mais.. tout dépendait de ce qu'elle, elle avait envie de faire. Tu ne voulais pas la gêner, ou quoi que ce soit. Ça fait un bail que... j'ai pas dansé.. pour quelqu'un. Si elle voyait c'que tu voulais dire, alors elle comprendrait le sens de ta réflexion soudaine.
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J'ai appris à faire languir, plutôt que de tout vouloir tout de suite... Encore une fois, je faisais une allusion à double sens. Ma voix était douce, comme si elle prenait un pas vers la séduction, alors que mon visage restait neutre, mis à part un sourire qui l'étirait. On avait un avantage dans cette relation qu'on entretient. C'est toujours un renouveau, on a pas le temps de s'ennuyer. puis en même temps, on est passées de sexfriends pures et dures à une véritable amitié où le sexe ne primait plus sur les relations humaines. Mais je ne regrette aucunement le déroulement que les choses ont prises entre nous, parce que dans un autre cas, on ne serait peut-être pas là où on en est aujourd'hui, à savoir chez moi, après des mois sans nouvelles, mis à part quelques messages au cours des dernières semaines. Elle me demandait si j'pouvais pas lui faire des compliments plus souvent. Je la regardais alors fixement, avec un léger sourire. Tu es une belle personne, que ça soit mentalement ou physiquement. T'es une personne qu'on a envie d'aimer, qu'on a pas envie de faire souffrir, une personne douce, attachante, qui sait illuminer des vies avec un simple sourire. Enfin, là tout de suite, tu illumines ma vie. Je baissais ensuite les yeux, un peu gênée de ces aveux, bien que ces compliments soient réels. Je me mordais la lèvre encore une fois, avant qu'elle ne me dise qu'elle adorait ça et que ça la rendait faible. Je relevais alors le regard, avec un sourire indescriptible aux lèvres alors que nos regards se croisaient à nouveau. Pourquoi elle me fait autant d'effet, putain ? J'aurai presque envie de me la mordre encore et encore, pour la peine... déclarais-je dans un presque murmure, presque comme une gosse qui avoue une bétise ou un truc du genre. J'te retiendrais toujours, tu sais ? Parce que j'suis musclor moi ! dis-je en contractant les muscles de mon bras et en tirant une tête pire que comique. On aurait dit Hulk qui fait caca. J'ai ri de ma propre connerie, c'est la honte. Puis elle a rebondi sur ce que j'ai dit sur Dieu, comme quoi il était trop occupé à baiser plutôt que de s'occuper des pauvres Sims que nous sommes pour lui. Comme quoi elle voulait que je l'emmène au septième ciel à nouveau. Un sourire charmeur se dessinait sur mon visage à ce moment précis. Quand tu voudras ma beauté. J'peux même t'emmener au dessus des nuages si tu veux. Les fois où Dixie et moi couchions ensemble étaient toujours explosives. Elle avait ce truc qui savait me mener là où personne n'avait vraiment su m'emmener, et je lui donnais toujours quelque chose de différent à nos rapports. Ce n'était jamais la même chose répétitive, monotone et monochrome. Il y avait toujours ces variations dans les mouvements de nos corps qui faisaient que c'était à chaque fois une nouvelle magie qui opérait. Et dans ce court baiser que l'on se donne, je retrouve un peu de cette magie de nos ébats passés, je retrouve aussi la douceur et la volupté de ses lèvres. Ca me faisait un drôle d'effet, mais c'était une sensation vraiment agréable, une sorte de montée de chaleur qui passe des pieds jusqu'à la pointe des cheveux, qui te transperce d'un frisson de bien-être. Heureusement quelque part qu'elle ait rompu ce baiser à cet instant, sinon j'aurai succombé à son charme. En préparant mon verre de vodka, je récupérais également mon paquet de clopes et un cendrier, avant de tout poser sur la table basse face au canapé. Mon chien avait prit sa place et grattait de l'affection, avant qu'elle ne me dise qu'elle a toujours rêvé d'un chiot. Ce que tu viens de dire, c'est pas tombé dans l'oreille de n'importe qui tu sais ? Il ne me reste qu'à savoir quel genre de chiens elle voudrait. Puis elle voulait savoir ce que je voulais faire ce soir. Je me contenais de dire certaines choses, de peur de la faire fuir. J'ai envie de passer une bonne soirée, avec une très jolie femme qui se trouve juste à côté de moi, la voir rire et sourire, passer un bon moment... T'embrasser, te toucher, te retrouver... Alors je te laisse choisir le programme de cette soirée. Comment dire que je sentais naître en moi une part d'humanité que personne n'a su voir durant toutes ces années ? Puis elle me dit que ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas dansé pour quelqu'un. Je comprenais alors tout le sens de sa réflexion précédente. Je coupais alors le son de la télévision. J'adore te regarder danser, alors si tu veux danser, je te regarderais... Instinctivement, je me mordais la lèvre inferieure, comme si je me languissais de la voir à nouveau danser devant moi. Qu'elle se dénude ou non, elle reste belle et sensuelle.
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On a sûrement été à la même école, dans c'cas. Ton sourire en coin, mesquin, provocateur, en dit long. Tu n'es pas dupe : il y a quelque chose dans l'air. De la séduction pure et simple, et vous jouez au même jeu toutes les deux, jeu auquel il n'y a que des gagnantes, jamais de perdantes. Elle te plaisait, autant de par son physique que par sa personnalité. Une Mather au sang pur, une vraie femme, le genre qui te plaît comme pas possible. Et il faut dire que dans l'instant, elle te plaisait tout particulièrement. Tu n'avais pas oublié dans quel état vestimentaire elle se trouvait : à peine vêtue, un débardeur léger recouvrant le haut de son corps et sa poitrine fournie, ainsi qu'un short, que tu t'imaginais plutôt facile à retirer. Putain Dix, fallait que tu arrêtes de t'imaginer des scènes pas possibles, on aurait pu te croire obsédée. Mais avec Gwen, il y avait toujours cette étincelle et cet aspect sauvage dans vos ébats qui se renouvelait chaque fois que vous vous trouviez dans le même lit - ou dans un même endroit, ensemble, quel qu'il soit.  Tes pensées prennent tout un autre virage à l'entente de ses aveux, qui te serrent le coeur de bonheur et illuminent ton regard. Tu la vois baisser les yeux, ça te touche. Tu as peine à répondre quelque chose de sensé, alors tu souris simplement. L'envie de la serrer contre toi te prend, ce que tu fais. Elle commence à te rendre folle, la Gwen. C'est comme ça que tu me vois? C'est ce que tu penses de moi? J'illumine ta vie... Tu dis ça dans un souffle, comme si tu ne réalisais pas l'impact que ça faisait en toi de le répéter. Mais tu rectifies, ajoutant : Si on avait pas envie de me faire souffrir, alors je serais pas en piètre état après trois ruptures. J'traîne la poisse derrière moi. Tu dis cela dans une mi-plaisanterie, mi-vérité, réalisant que c'est tout de même la réalité. T'es jamais capable de demeurer en couple sérieusement plus que quelques mois. T'es horrible, quoi. Une horrible amoureuse. Attends à plus tard, j'saurai pas rester sage, sinon.. Tu lui fais un clin d'oeil, mais elle continue à se mordre la lèvre. Tu maugrées presque férocement. Ouais, ça t'rend faible. Puis tu ris de sa plaisanterie, ta main se posant sur son bras qu'elle force en l'air pour te montrer ses muscles. Hum.. elle est bien foutue, la chérie. J'veux bien qu'tu m'emmènes plus haut qu'les nuages. J'suis curieuse de voir de quoi ça a l'air.. Ton clin d'oeil et ton sourire malicieux en disent long sur tes intentions, sur ce que tu ressens, sur l'envie qui monte en toi à mesure que tout ça se passe, que tu l'embrasses, qu'elle te complimente, qu'elle te serre contre elle, que vous vous regardez de cette façon, qu'elle se morde la lèvre. Mais tu résistes encore, et tu t'enfuis vers le canapé, ou tu peux prendre du répit ne serait-ce que le temps de quelques agréables petites secondes. T'essaies d'oublier cette rage qui te prend au ventre, cette sensation désagréable et agréable en même temps qui te chatouille le bas du ventre. Cette envie qui te frappe de plein fouet. Elle a ce putain d'effet sur toi, la Mather. Mais Gwen te tire justement de tes rêveries et de ton supplice. Quoi..? Non, tu vas quand même pas m'acheter un chien, si? Tu plaisantes bien sûr. T'as certes toujours rêvé d'avoir un chien, mais.. tu savais pas quoi dire. Alors, tu te contentes de sourire. La Mather t'avoue vouloir simplement passer une belle et bonne soirée en ta compagnie. Ce plan te va à merveille, puisque tu cherchais la même chose, ce soir. À voir comment la suite se déroulerait. Spontanément et presque inconsciemment, tu lui proposes de danser pour elle. Danser... tu veux dire, vraiment danser, comme autrefois. Une danse privée, un strip-tease. Parce que tu veux te sentir désirable. Tu veux avoir son regard à elle scotché sur toi, sur ton corps, admirant tes courbes, les désirant au plus profond d'elle-même. Tu veux voir l'envie dans ses yeux, tu veux la voir se retenir de ne pas te sauter sauvagement dessus. Mais... t'imagines-tu des choses? Si elle dansait pour toi, tu ne résisterais même pas deux secondes. Serait-elle capable, elle? Elle avait fermé la TV, tu en profites pour boire une longue et chaude gorgée de ta bière que tu lui déposes dans les mains. Tu te lèves, te dirigeant vers la radio. T'attrape ton portable, que tu branches à celle-ci, puis tu choisis une musique. Un truc sensuel. Rien de choquant. Juste.. sensuel, doux et envoûtant. Tu te laisses prendre quelques secondes par l'ambiance, les yeux fermés, appréciant la sensualité de la musique. Oh, j'vais danser pour toi, bébé.. Tu te passes instinctivement la langue sur les lèvres, entichée de l'ambiance et du moment. Tu te mets à mouver ton corps comme tu as toujours si bien su le faire. Tu passes tes mains sur ton corps, tes hanches, ton ventre, ta poitrine, tes cheveux.. Tu fermes les yeux, puis tu les ouvres pour les planter dans ceux de la belle brune. Tu gémis presque de bonheur à danser pour cette belle femme. Cette amie qui est aussi une amante. Cette amante qui est aussi une amie. Comme dans l'bon vieux temps.., murmures-tu d'une voix sensuelle, t'approchant d'elle d'une démarche divine, passant tes mains sur ton chandail pour, tentatrice, le retirer, dévoilant ta corpulente poitrine recouverte d'une soutien-gorge en dentelle rouge fort aguichant. J'vaux 100$ ou plus, tu crois..?
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La séduction est une arme qui me plait d'utiliser, quelque soit la situation. J'essaie même de séduire mes ennemis en sachant pertinemment que ça les énerve encore plus. Mais là, j'ai pas envie de la séduire juste pour parvenir à des fins sexuelles. J'ai envie de la séduire naturellement, un peu pour lui montrer que je la trouve toujours aussi désirable et qu'elle provoque toujours un petit effet chez moi, qui est différent que l'effet qu'elle a toujours su produire en moi. C'était comme si j'étais hypnotisée par son regard, par sa simple présence près de moi. C'est bizarre, je ne t'ai jamais croisée sur le campus... Je laissais échapper un léger rire d'entre mes lèvres, avec un petit regard provocateur. Je savais qu'elle aussi, jouait sur le terrain de la séduction avec moi, et toutes les deux on sait qu'à ce jeu là, on ne perd jamais. Du moins, on a jamais perdu. Je ne sais pas s'il y a quelque chose à perdre quand on joue au jeu de la séduction, quand on a rien à perdre sentimentalement. Je sais que je ne perdrais rien, je n'ai personne à perdre, personne qui m'attend quelque part avec son coeur entre les mains. Et mon coeur, lui, je l'ai mis dans ma poche, j'ai pas spécialement envie de le tenir, j'attends de voir si on veut me le voler. J'ai jamais empêché personne de le prendre, seulement peu de gens en ont voulu, ou on su le voler correctement. Voilà que je deviens philosophe et sentimentale. Faut que j'arrête. Elle a foutu quoi dans ma tête en rentrant là, Dixie ? Elle a tout chamboulé d'un coup. Puis elle me serrait contre elle en me demandant si c'était vraiment ce que je pensais d'elle. Tu sais que j'ai du mal à dire ce genre de choses, alors oui, c'est vraiment ce que je pense de toi, et oui, tu illumines ma vie. Puis j'écoutais sa remarque sur la souffrance, avant de lui répondre. Moi j'ai pas envie de te voir souffrir, et encore moins le faire. T'es tombée sur les mauvaises personnes, des personnes qui n'ont pas réalisé à quel point tu étais formidable. J'étais sincère avec elle, surement plus qu'avec n'importe qui depuis Willow. Et je crois même que j'ouvrais mon coeur pour la première fois depuis. Je devenais la Gwen qui cessait de se cacher derrière un masque de fille forte et sans sentiments ni attaches, la fille qui commence enfin à assumer son côté sensible et romantique. J'étais cependant pas vraiment à l'aise de m'ouvrir comme ça sur mes "sentiments", j'ai jamais eu l'habitude. Puis elle a réussi à me faire sourire en me disant d'attendre un peu avant de continuer de me mordre la lèvre. J'aime bien la Dixie pas très sage aussi... Je lui rendais son clin d'oeil accompagné d'un sourire en coin. Quand elle posait sa main sur mon bras contracté en me disant que j'étais bien foutue, j'ai pas su m'empêcher de laisser échapper un nouveau rire. Il faut bien que je devienne sexy pour toi bébé. Et je t'emmènerai où tu voudras... Je commence à céder. J'ai envie de l'embrasser encore, d'effleurer sa peau du bout de mes doigts, c'est même presque un besoin qui me tiraille. Quand elle va sur le canapé, je lâche un soupir, comme pour faire redescendre un peu cette envie qui ne cesse d'augmenter en moi. J'ai besoin de boire, sinon j'vais lui sauter dessus. Puis elle fut presque choquée quand j'ai laissé entendre que j'allais lui offrir un chiot. Bah pourquoi pas ? J'irai t'acheter le chien le plus mignon qui soit ! Tout ce que beauté veut, beauté l'aura. J'étais vraiment sérieuse sur ce coup là. Je lui souriais, simplement, tout comme elle. Ca me fait plaisir de la voir sourire d'un sourire sincère. Après que j'ai éteint la télévision, elle a saisi son téléphone et s'est dirigée vers la station pour mettre une musique sensuelle et envoutante. Elle me dit qu'elle va danser pour moi, en m'appelant bébé. Un sourire en coin se dessinait sur mon visage tandis que ce surnom me faisait un effet étrange. Elle était tellement désirable, ondulant son corps comme personne, caressant ses formes comme si elle voulait que je les vois bien mieux. Mes yeux sont rivés sur elle et ne peuvent la lâcher. Ma bouche s'entre-ouvre un peu plus à chaque mouvement qu'elle fait. Elle s'approchait de moi d'une démarche qu'elle seule a le secret, une démarche qui me rend folle, en murmurant d'une voix sensuelle que c'est comme dans le bon vieux temps où je l'ai rencontrée au Nirvana, puis elle retire son haut, me laissant face à sa magnifique poitrine et son porte poitrine très beau, me demandant si elle vaut les fameux 100$ ou bien plus. Il fallait que je me contrôle, mais dans ma voix presque tremblante, on entendait à quel point je la désirais. Je dirais que tu es inestimable... Mes yeux ne savaient plus où se poser. Chaque partie de son corps, encore habillée ou non attirait mon regard. Ses yeux, ses lèvres, sa poitrine, ses hanches... J'avais chaud, elle me donnait vraiment chaud, au point que je relevais un peu mon débardeur, laissant mon ventre tatoué et bien plus musclé qu'avant apparaitre. Je me mordais la lèvre inférieure, incapable d'attraper mon verre de vodka. Si je l'attrapais, je n'aurai pas pu me contrôler et lui sauterai dessus. Tu es si...sensuelle...
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C'est presque instantanément qu'un rouge vif et éclatant colore tes joues, dévoilant ainsi un peu trop ouvertement ta réaction devant son aveu. Aucune de vous n'est très douée pour exprimer ses pensées, ses plus profondes, sincères pensées. Aucune de vous n'est très douée non plus pour dévoiler ses sentiments à quiconque. Et ce, même si vous aviez toujours été très proches l'une de l'autre. J'essaierai de l'illuminer longtemps. Parce qu'on avait tous nos hauts et nos bas, et que laisser tomber une amie comme Gwen n'était pas dans tes plans futurs ou rapprochés. Tu essaierais d'être une bonne amie. Non, une excellente amie. Mais il y avait bien plus que de la simple amitié, et si la relation spéciale que vous entreteniez depuis plusieurs années déjà ne te déplaisait pas, tu cherchais néanmoins à la faire évoluer pour ce qu'il y avait de mieux. Tu es sincèrement incapable de t'empêcher de rougir. Mais la faiblesse du sentimental, tu avais fait la promesse solennelle de ne plus t'y méprendre. Quelle honte avait-ce été pour toi que de te retrouver seule, cocue ou bien abandonnée par des gens auxquels tu tenais sincèrement et desquels tu croyais recevoir ne serait-ce qu'un minimum d'amour. Rares étaient ceux ou celles qui étaient vraiment restés pour toi. Pas besoin d'être constamment à tes côtés pour reconnaître leur sincérité et apprécier leur amour. Gwen faisait partie de ces personnes, avec laquelle il y avait d'ailleurs un petit plus inexplicable. J'peux faire de très, très vilaines choses, tu sais.. Ton regard en dit long sur tes pensées et sur l'état mental dans lequel tu te trouves. Tu avais baisé, dans les mois passés. Mais depuis longtemps déjà, - trop longtemps, tu t'étais sentie autant attirée et attirante par une femme. Les hommes avaient pris trop d'importance dans ta vie ces dernières années, et tu te rendais bien compte qu'aucun homme n'avait réussi à combler ce besoin constant d'amour. Aucun homme n'avait réussi à te comprendre, à te cerner de fond en comble. Si tu n'étais pas un livre ouvert, tu n'étais pourtant pas bien difficile à lire. L'impression que tu avais dans l'instant était fort étrange : tu sentais comme si ta belle amie lisait au travers toi sans difficulté. Étais-tu transparente? Translucide? Ses yeux perçant te cernaient, et tu te sentais petite devant cette belle, magnifique femme. Te te sentais fondre devant sa beauté, beauté que tu avais presque oublié avec le temps. Arrête de dire des conneries. T'as toujours, toujours, toujouuuurs été sexy. Tu ressembles à une petite démone.. Une dangereuse et tentatrice diablesse... Elle aussi, à ta connaissance, était rarement de nature sage. Et ça te plaisait. Ça te plaisait le jeu continuel qui alimentait votre relation et votre amitié. Comme pour affirmer tes faits, la jeune femme t'avoue vouloir t'acheter un chien, ce qui te laisse sur le cul. Tu ne t'attendais pas à un tel cadeau de sa part. Tu peux pas faire ça. J'suis pas une profiteuse, dis-tu en te mettant à rire de bon coeur. Ses chiens reviennent te voir et se frottent contre toi, mais tu te lèves bien vite pour démarrer la musique sensuelle et entreprendre ta danse, pour le moins érotique, destinée à la plus belle des femmes, des ex-prisonnières, des Mathers... la plus belle de toute, quoi. C'est ainsi que tu la perçois : comme une très belle femme. Pas une femme bonne à baiser, mais une femme désirable à qui on l'a envie de faire l'amour. Et ce, même si la technique est différente que de le faire avec un homme, il n'en reste pas moins que l'acte est le même et la sensation aussi. Et drôlement, ce soir, t'as envie d'elle. T'as envie de ça, avec elle. Elle t'avoue que tu es inestimable. Ton coeur se réchauffe. Il s'emballe. Tes joues prennent de nouveau une teinte rosée. Ton corps tout entier frissonne. Il s'emballe et s'excite un peu plus à la vue de son ventre bien fait, de ses muscles bien dessinés, de ses yeux ravis qui se posent sur toi et sur ton corps, de ses jambes longues, fines, de ses fesses que tu ne vois pas, mais que tu sais ferme. De tout à la fois. C'est toi qui craque la première. Dès qu'elle se mord la lèvre inférieure, tu passes une jambe par-dessus elle, bien confortablement installée sur le divan - bien que tu la sentes tendue par... l'envie? Tu passes l'autre jambe de chaque côté de son corps, et tes mains la poussent vers l'arrière pour qu'elle s'écrase dans son propre canapé. Tes doigts glissent.. ils glissent pour atteindre l'un de ses charme, l'un des objets de tes désirs les plus fous dans l'instant. Tu caresses sa poitrine au travers de son chandail. Avec un coup de tête, tu repousses ta crinière de l'autre côté, afin qu'elle ne se mette pas au travers de ton chemin, ce qui aurait nuit à la tâche. Tu descends toujours un peu plus, pour atteindre son ventre. Sans rien faire d'autre, tu te contentes de plonger ton regard envieux dans le sien, un sourire malicieux et une expression sérieuse scotchés au visage. Tu cherches à voir les signaux, à sentir son envie, à observer ses réactions. Encore, tes doigts s'entêtent à poursuivre leur chemin et ce, malgré la vilaine obstruction qui cherche à mettre fin à ton ascension. Mais rien ne t'arrête, et quelques doigts forcent l'élastique de son short de bain pour passer sous le tissu et frôler ce que tu considères comme LE paradis. Oui, elle t'avait terriblement manqué. Son corps aussi, bien que ce ne soit que secondaire. Mais dans l'instant, tu avais envie de lui faire plaisir. De lui donner du plaisir. Et d'avoir du plaisir toi aussi, avec elle. Rien qu'avec elle. Y avait-il un mal à cela? Emmène-moi en enfer, bébé.. Ton enfer, c'était ton paradis. Ton enfer, c'était là où tu voulais aller avec elle. Visiter à quel point il y avait de beautés cachées, à cet endroit mystique. Si tes doigts s'acharnent à trouver l'objet actuel de tes désirs, ton corps ne demeure pas immobile et se mouve toujours au rythme de la musique sensuelle qui rempli son appartement. Ton visage vient chercher ses lèvres charnues, sensuelles, pulpeuses, pour l'embrasser avec une fine délicatesse, puis tu enfouis ton visage dans le creux de son cou pour mordiller la peau douce et fraîche, mais bouillante contre toi.
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En plus de six ans passés entre Boston, Cambridge, quelques passages éclairs à Los Angeles et les différentes destinations, paradisiaques ou plus simples comme l'Arizona, j'ai appris une chose. Enfin deux. On ne se connait jamais vraiment, et tout peut changer en l'espace d'une minute. L'être humain est surement l'espèce la plus compliquée qu'il puisse exister dans tout l'univers. Pourquoi j'pense ça ? Parce que si rien ne changeait en l'espace d'une seconde, j'n'aurai jamais eu envie de devenir une personne meilleure pour Willow il y a deux ans. J'avais tout arrêté pour elle, tout. Puis j'ai re-sombré pour et à cause d'elle. Puis j'ai vrillé, j'suis rentrée en taule, j'me suis endurcie, puis j'suis sortie, j'ai appris sa mort et je me suis apaisée. J'm'en étais voulu, de sa mort. Parce que j'ai pas su l'aider, j'ai un peu accéléré le processus en lui disant de tenter un traitement. Mais j'ai su me pardonner. Parce qu'au fond, je l'ai pas forcée à le faire, ce traitement. Puis, il y a toujours ce texte écrit dans ce cahier où j'lui parle. C'était ma façon d'exorciser tout ça. Pourquoi j'passe tout ce temps à parler du passé ? Parce que c'est du passé qu'on se forge un présent meilleur, avec nos erreurs, avec les coups qu'on a reçu, avec les pires merdes qu'on peut vivre. C'est pour ça que j'me sens aussi apaisée maintenant. Je ne fais plus acte de violence depuis la prison, j'agis avec mon cerveau. En fait, j'suis devenue un peu chiante. J'arrive à ouvrir mon coeur aux gens en avouant mes pensées les plus positives, et j'fais même plus ça comme si j'm'en battais les couilles. J'ai perdu ma nonchalance. Et de voir Dixie rougir devant mes compliments les plus profonds, j'ai un sourire gêné tant je n'en ai pas l'habitude. Et quand elle dit qu'elle essaiera d'illuminer ma vie encore longtemps, mon sourire s'étirait pour devenir un véritable sourire. Heureux. J'espère être à la hauteur de cette illumination...et illuminer un peu la tienne. Je n'ai jamais vraiment su illuminer la vie des gens. J'étais plus souvent la cause de chaos partout où je passais plutôt que la personne qui éclairait des vies par sa présence. Mais j'sais pas, avec Dixie, j'ai toujours fait en sorte d'être une personne assez bien. Même quand je merdais à fond, comme pour mes overdoses ou la prison, j'essayais toujours d'être un peu plus adulte que la fois d'avant. Et si j'avais su ce qu'il lui était arrivé, j'aurai pris le premier avion pour aller la voir, l'aider à s'en sortir. Mais je n'avais aucun moyen de la joindre, ayant changé de numéro de téléphone à ma sortie du centre pénitencier. Elle me manquait. Ses visites me manquaient, ses danses, sa voix, sa sensualité, cette relation qu'on avait, tout simplement. Les amantes amies, ou les amies amantes. J'saurai pas dire ce qu'on est en premier et en second. Elle a toujours été spéciale à mes yeux, et étrangement, ce soir, elle semble bien plus spéciale qu'avant. Elle disait qu'elle pouvait faire de très vilaines choses avec un regard qui me faisait monter au plafond. J'connaissais bien la signification de ce regard, je l'avais souvent vu, mais il semblait avoir une lueur un peu différente que par le passé. Tu veux devenir une vilaine fille ? Mon regard se plantait dans le sien, dans un esprit de provocation et de désir. Oui, je la désirais, vraiment. Pas comme les autres filles que je secouais juste par peur de la solitude ou juste pour m'amuser. Et dieu sait qu'un paquet de meufs sont passées sous mes doigts ces derniers mois. Mais elles n'ont jamais provoqué ce petit truc indescriptible chez moi. Ce petit quelque chose qu'elle a du décupler avec le temps, aux vues de mon état avancé d'envie de l'embrasser et de caresser chaque centimètre de sa peau. On est si différentes et pourtant similaires. C'est certainement pour ça que j'arrive aussi bien à la cerner. Et puis, j'ai un peu d'expérience, aussi. Et la voila, complimentant mon physique. Comme quoi j'ai toujours été sexy. Et comme quoi j'étais une diablesse tentatrice. Un sourire en coin s'étirait à nouveau sur mes lèvres. Je trouve que j'me bonifie avec le temps quand même...j'étais plus grosse avant. Et je sais que je suis une vile tentatrice... Je passais ma langue sur mes lèvres en lui faisant un clin d'oeil. Je suis loin d'être une petite fille sage, chaste et toutes ces autres conneries. J'ai toujours aimé jouer avec le feu, sans peur de me bruler les ailes, vu que j'suis pas un ange. Il n'y a que les anges qui tombent du ciel, et moi, j'ai toujours été l'enfant du chaos. L'archétype même de l'ange. Et mes yeux trompaient bien souvent, malgré leur clarté. Et pour le chien, j'voyais bien qu'elle était choquée, ce qui m'amusait. J'ai pas le droit de te faire un cadeau quand j'veux ? C'est dommage, j'vais le faire quand même ! Je riais de bon coeur avec elle. Elle est si belle quand elle sourit ou rit, quand elle semble épanouie, heureuse. Puis elle commençait cette danse sensuelle, cette danse qui m'a bien des fois fait perdre tous mes moyens par tant de beauté et d'érotisme dans ses mouvements. Cette danse qui m'a rendue folle à chaque fois qu'elle dansait pour moi, comme ce soir. Mais ce soir, les conditions ne sont pas les mêmes. J'ai le droit de la toucher, de la sentir bouger sous mes doigts, et pourtant, je n'ose même pas y penser. Mon regard est scotché à ses formes, à chaque ondulation de son corps, que je rêve de voir nu une nouvelle fois. Non pas pour la baiser comme j'aurai pu baiser n'importe qui. Je veux lui faire l'amour, la respecter, la sentir fébrile sous chaque baisers qui viendront se déposer sur son corps, ces baisers qui sauront être aussi doux que passionnés. La sentir se cambrer sous mes doigts, laisser nos corps se consumer dans un plaisir sans égal. Et la voilà qui vient se mettre sur moi, continuant à onduler son corps, me poussant dans le fond du canapé tout en laissant ses doigts se balader sur mon corps. Elle fait naître en moi un frisson qui traverse tout mon corps tant je brule de désir pour elle. Je sens que mon regard a du changer, qu'il est bien plus envieux, plus brûlant que jamais. Et son regard plongé dans le mien ne fait qu'augmenter cette sensation en moi. Mes doigts se décident à se poser enfin sur sa peau dénudée, partant de sa nuque, passant par ses épaules lentement, comme si je redécouvrait ce corps si souvent caressé. Ses doigts cherchaient à passer la barrière que formait mon short vers le sommet de l'ascension qu'elle souhaitait accomplir, me laissant échapper un léger soupir noyé dans un sourire. Elle voulait que je lui montre l'enfer. L'enfer, c'est le paradis, mon paradis à moi. Avec le plus grand plaisir, bébé... Ses lèvres venaient capter les miennes délicatement avant qu'elle ne vienne jouer dans mon cou, qu'elle sait, est mon plus gros point faible. Mes lèvres, elles, venaient alors rencontrer à nouveau cette poitrine magnifiquement fournie, et remontèrent dans son cou à leur tour, tandis que mes mains, elles, caressaient son corps qui se mouvait toujours au rythme de la musique. Dans un élan de fougue, je me levais, la gardant contre moi, et l'allongeais dans le canapé, prenant le dessus et plantant mon regard dans le sien. Tu me rends folle, ce soir...
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Tout n'est qu'illusions. La vie se compose de rêves, de fantasmes et d'illusions, parfois réalisables, parfois même inconcevables. Les attentes qu'on se fait de la vie ne sont pas toujours réalistes et s'avèrent parfois être au-dessus de nos capacités. Le bonheur, par exemple.. Est-ce quelque chose de réel, de concret, d'atteignable, ou n'est-ce qu'une illusion? Tous souhaitent l'atteindre, et dès que tu croyais l'avoir attrapé, il te tentait prestement de s'échapper pour ensuite fuir loin de toi, et ne revenir que dans tes moments de plus grande faiblesse, afin de saisir la nouvelle opportunité offerte. Avais-tu jamais été heureuse? Aux bras de Sören? Tu croyais l'avoir été : mais en réalité, non. Il avait fuit, emmenant tes espérances loin de toi, avec lui, tu ne sais où. Avec Charlie? Peut-être t'étais tu laissée tromper par les illusions un peu plus longtemps, mais au final le résultat était le même. Et puis.. avec Adam. Avec ton «faux» bébé. Dès lors que tu croyais avoir atteint le bonheur, il te fuyait comme la peste, et tu te retrouvais sans ressource, désarmée, malheureuse et déprimée. Il n'était pas très facile de savoir et de comprendre ce que la vie avait à nous offrir et ce qu'elle cherchait à nous enlever. Présentement, près de Gwen, tu te sentais bien, aux anges, dans un état de plénitude rare duquel tu ne souhaitait aucunement te poser de questions, de peur de réaliser qu'il ne s'agissait là que de pures illusions, encore une fois. Ne sais-tu pas que tu le fais déjà? Avec elle, rien n'est compliqué. Vous ne vous posez pas de questions farfelues sur le pourquoi du comment tout ça arrive. Vous sautez dans le tas, et vous vous faites plaisir, peu importe la manière pour y arriver. La belle te demande si tu souhaite être une vilaine fille. Sans répondre tout de suite, tu penches la tête sur le côté, analysant son regard, la lueur dans ses yeux, les traits de son visage. Elle veut que tu le sois. Elle veut que tu sois vilaine. Tu veux qu'elle soit tienne pour la soirée. Quand tu fais quelque chose, tu y mets du coeur et toute ta personne. Ton toi tout entier. Encore plus lorsque tu fais l'amour ave quelqu'un. Tout s'enchaîne, vous parlez encore, vous vous provoquez encore, vous souriez, puis riez encore. Tout est beau, tout est bon, tout est simple. C'est ça que tu aimes ; la fluidité d'une conversation, d'une relation. Ta relation avec Gwen a évolué au fil des années, et ce pour le mieux, toujours. Elle est sublime, elle l'a toujours été, et pourtant, lorsque tu t'y mets vraiment, tu découvres tous les détails de sa beauté, autant extérieure qu'intérieure. Jamais tu ne l'as trouvée grosse, mais il est néanmoins vrai qu'elle a pris en muscle, avec la prison. Après tout, elle n'avait pas beaucoup de quoi s'occuper, derrières les barreaux. Peut-être en avait-elle profité pour se muscler un peu, qui sait? Peu importe, elle était absolument sublime, sexy, désirable, attirante, tout pour te plaire, tout pour attiser ton regard, nourrir ton envie pour elle. Elle n'avait pourtant pas besoin de fournir tant tellement d'efforts pour que tu la désires à ce point. L'instant était unique, tu sentais toute cette tension sexuelle entre vous, cette tension en toi, ce feu qui bouillait. C'est elle, elle seule qui le nourrissait, qui le faisait grimper. Ou descendre, selon l'image : de la tête, jusqu'à la pointe des orteils.. On aurait bien dit que cette envie ne faisait que décupler, alors que c'est toi qui cherchait à la faire baver devant toi, pour toi, comme tu l'avais vue si bien le faire lors de votre première rencontre. Tu frissonnes. Ton corps s'active, tu danses, tu te mouves, tu te déhanches telle une déesse. Athéna, n'est-elle pas la déesse de la beauté et de la sexualité? N'est-ce pas à elle que tu fais honneur, dans l'instant? N'est-ce pas dans son rôle que tu t'implantes pour plaire à l'une de tes plus belles connaissances, de tes plus belles amies, amantes? Réussiras-tu un jour à mettre un mot exact sur votre relation? Parviendras-tu à la décrire telle qu'elle est? Tu t'es alors installée à califourchon sur Gwen, ta tête dans le creux de son cou, au chaud, respirant son odeur, son parfum corporel inoubliable et si délicieux pour les narines. Tu t'enivres d'elle et de son corps, tandis que tes doigts cherchent son mont de plaisir, son intimité qui semble déjà s'humidifier et vibrer sous tes caresses. Tu entends son soupir. Fin, dissimulé dans le bruit de vos corps qui se frottent l'un contre l'autre. Tu frissonnes lorsqu'elle te surnomme "bébé." Incapable de parler, tu te contentes de sourire, les yeux fermés, appréciant le contact de son visage dans le creux de tes seins. Mais tout s'enchaîne, encore. Et alors que tu croyais avoir le contrôle, Gwen te le vole. Ses mains sur ton corps te rendent folle. Tu veux... tu la veux, tu la veux contre toi, tu veux sentir ses lèvres, sa bouche, ses doigts, tout. Tout d'elle. Tu veux la voir nue, tu veux posséder son corps, son âme, sa personne tout entière. Tu n'es pas là pour la baiser, tu veux lui faire l'amour. Tu le veux vraiment. Gwen prend le dessus du moment, elle te prend dans ses bras et te laisse tomber doucement contre le canapé, dos contre celui-ci. Tu souris à ses mots. Alors.. fait moi devenir folle. Fais-moi voir d'autres horizons, Gwen. J't'en supplie.. Tes supplications avaient été murmurées dans un soupir vibrant, la voix cassée. Tu passes tes mains dans son dos pour remonter son genre de t-shirt, découvrant sa poitrine nue dessous. Avoue que tu savais que je viendrais.. Tu soulèves alors ta tête pour déposer de chauds baisers contre sa poitrine nue. Tu caresses la pointe du bout de tes lèvres, tu mordilles pour enivrer le tout, pour la rendre ne serait-ce qu'un peu plus folle encore. Gwen, tu m'avais vraiment manqué... Vraiment. Et pas que pour son corps, mais il faut avouer que oui, sa sensualité et son corps t'avaient manqué, aussi..
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Je déteste la complexité des relations humaines. J'ai beau savoir cerner les gens, les analyser de part le regard et leurs mimiques, je ne saurais jamais vraiment les interpréter avec exactitude. Je n'arrive pas moi-même à comprendre ce que je veux vraiment, les signaux que je peux envoyer aux autres par ma façon d'être, par ce que mes yeux expriment d'un côté et mon regard de l'autre. Je sais que je suis une personne complexe, paradoxale, qui a du mal à nuancer ses envies et à les refréner. J'ai beau être une artiste, dans ma tête, c'est soit noir, soit blanc. Pas de nuances, pas de couleurs. Après tout, je n'ai jamais connu la notion du bonheur absolu, ou du moins, de très faibles moments où tous mes sens étaient en émois, où j'aurai pu être une licorne qui pète des paillettes et chie des arcs en ciel. J'suis pas le genre de fille à qui la vie fait des cadeaux bien longtemps, comme si j'allais tout casser et que c'était bien trop précieux pour moi. J'connais que le bonheur superficiel d'un shoot de coke dans le nez, du carton de LSD sous la langue, les trucs qui font planer mais qui à la redescente te rappellent que tu vis en enfer, que le monde est pourri et que le bonheur c'est qu'une illusion que donnent les gens bien pour donner l'espoir à ceux qui n'ont que ça pour tenir. Pourtant, quand j'ai vu Dixie derrière cette porte, j'me suis sentie poussée par le sol d'une sensation rarement ressentie. Une sensation de plénitude, comme un cadeau du karma qui a pensé que j'avais purgé ma peine. J'ai pas l'habitude de rendre les gens heureux, tu sais ? J'ai toujours merdé quand j'pouvais être heureuse moi-même. Comme si j'étais effrayée, trop absorbée par le chaos ou pire, bien dans mon malheur. J'voulais être la meuf rebelle et martyre, alors qu'au fond, j'voulais qu'on m'aime et toucher le bonheur du bout des doigts. J'ai appris à ne plus porter ce masque, à me dévoiler telle que je suis vraiment. La fille qui aime jouer, rouler des mécaniques mais qui est dans une quête d'amour vrai. Avec Dixie, rien n'a été banal. D'une simple rencontre dans un club de strip à plan cul et amies. Peut-être même bien plus, à la façon dont on se regarde, dont on se cherche, se provoque et dont on se comprend. Comme si nous étions une sorte d'âmes soeurs, liées par les événements qui nous rapprochent, par la complexité de nos vies respectives. Elle était comme un aimant à mes yeux. Attirante pour mon âme glaciale et dure. Nos corps se retrouvent et je me sens comme réchauffée, réchauffée par sa présence et par ce désir qu'elle m'inspire. Elle me suppliait de la rendre folle, d'une voix rauque de désir et murmurante. Elle soulevait mon t-shirt que je ne tardais plus à retirer complètement avant de poser mes lèvres dans son cou, que je mordillais par la suite alors qu'elle s'attelait à mes seins. Je n'attendais que ça... Mes doigts parcouraient son corps pour lui révéler mon envie d'elle, de toute la passion dont je suis capable et de toutes ces choses qu'elle a fait naître en moi en revenant. Toi aussi tu m'as manqué... Tout d'elle. Son visage, sa voix, nos discussions, nos ébats, nos conneries, cette sensualité... Mais je compte bien lui montrer que je veux la voir rester. Mes lèvres venaient capturer les siennes avec fougue, pour qu'elle ne puisse jamais oublier.
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Une belle femme. Tu aimes les belles femmes. De la tête, jusqu'aux pieds, en passant avant tout par le plus important : le coeur. Une belle femme, il y a longtemps que tu n'as pas vécu de relation au lit avec une belle femme telle que Gwen. Une belle femme... jamais une belle femme ne t'aura fait autant rêver, jamais une belle femme ne t'aura autant fait envie, jamais tu ne t'es sentie si impatience et si impuissante face à une belle femme comme la Mather. Elle te contrôlait sans le vouloir, elle tirait les ficelles du jeu sans même le savoir, et pourtant tu étais pendue à elle, pendue à ses lèvres, dominée par toute cette puissante sensualité. Comment lui montrer à quel point tu étais toute... chose de la revoir, sans que ça ne paraisse pervers? Car il n'était pas question de sexe, mais d'une amitié débordant peut-être un peu les limites. De sentiments forts qui ne naissaient pas d'hier, mais de l'avant-hier, et même l'autre jour d'avant. Une amitié plus que forte et plus qu'ambiguë qui ne semblait ni te déplaire, ni l'effrayer, puisque vous aviez toujours continué sur ce même chemin. Dans l'instant, t'as envie de l'avoir rien que pour toi : et quelle chance, c'est le cas! Elle n'est là qu'avec toi, que pour toi. Il n'y a que vous deux, et c'est le plus bel instant que tu as la chance de vivre depuis ton retour ici. Ça va très vite changer. Tu lui souris, comme pour la rassurer de tes paroles, soulevant tes mains pour caresser sa joue du revers de ta main. Sa peau douce et parfaite t'enivres presque, son sourire, son regard te donnent envie de passer à l'étape suivante, de faire avancer les choses, de te laisser complètement aller à votre envie, à votre besoin de vous retrouver à votre manière. Je n'attendais que ça... Pendant que tu l'embrasses, la cajoles de baiser bouillants sur sa poitrine tant désirable, elle parcoure ton corps qui ne sait plus vers quelle température aller : froid, ou chaud? Chaud ou froid? Mmh.. difficile à dire. Impossible, même. Elle te rendait toute chose, la Gwen. Toi aussi tu m'as manqué... Tu souris, rougis, tu te sens frémir, c'est drôle comme sensation, imprévu, imprévisible, agréable, mais désagréable. En fait, c'est ambiguë, quoi. Elle t'embrasse d'une fougue qui te rend dingue, qui te fait sombrer dans une émotion toute drôle. T'en veux toujours un peu plus, tu la veux toujours un peu plus avec toi, contre toi, près de toi, c'est drôle pas vrai? T'en as envie, Gwen? Ou bien est-ce qu'on gâche tout dès le début? Toi et tes peurs de tout perdre : car tu perds toujours ceux et celles à qui tu tiens le plus, que ce soit d'une façon ou d'une autre. Et Gwen, tu voulais pas la perdre, non, non, non. Tu rigoles, comme gênée. Ou c'est moi qui gâche tout à poser la question, là? Tu te lèves de sur elle, te retrouvant debout, les deux pieds au sol, comme au début. Si elle te donnait le go, alors.. Tu enclencherais le tout. Tu retirerais ces derniers bouts de tissus gênants, qui nuisait à vos ébats, à tout... ça. Sinon.. tu l'embrasserais, encore, et encore, et encore...
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Des femmes nues, j'en ai vu des tas. Peut-être même une centaine, qu'en sais-je au final ? Je n'ai pas de liste et pas toujours le souvenir de chaque ébat, de chaque nom, visage et autres conneries du genre. Mais aucune d'elles ne l'égalait question sensualité. Rien que de son regard, je devenais fébrile, comme absorbée par une force que je ne connaissais pas. Quelque chose de puissant, d'enivrant, d'inspirant. Mieux qu'une muse, mieux qu'une relation sans lendemain, mieux qu'une simple amitié, mieux que toutes les drogues que j'ai pu absorber depuis mon adolescence. Elle a ce truc que je n'ai jamais retrouvé chez quiconque, et je ne saurai pas dire ce que c'est, malgré toutes les fois où j'ai tenté de mettre un mot dessus. Elle est spéciale, à mes yeux en tout cas. Elle m'apaise, tout en me faisant perdre mes moyens, tout en me rendant folle. Comme si elle était maîtresse de mes émotions, qu'elle avait le contrôle sur moi. Et cette sensation là me plaît dans le fond. Je sais que notre relation n'a rien d'anodine, que ce n'est pas une amitié comme les autres, que c'est bien plus fort que ça, mais qu'on a jamais osé franchir le cap pour mettre un nom sur ce qu'on vit depuis cette rencontre. Surement parce qu'on se plaisait bien assez dans cette relation sans prise de tête, fluide et sensuelle, désirable. C'est vrai qu'après tant de temps sans la voir, j'ai l'impression que quelque chose ressort. Une sorte de sentiments longtemps enfouis au fond de moi mais jamais effacés. Une ambiguité sans pareille, un désir palpable, mais loin d'être effrayante et déplaisante. C'est même plutôt appréciable, cette relation qui nous lie. C'est comme si enfin, je me sentais vivre. Elle me rassurait, me caressait la joue du revers de sa main douce que j'ai pu sentir mille fois se poser sur moi sans en sentir autant la délicatesse qu'elle lui donnait. J'ai l'impression que les choses deviennent bien plus fortes qu'avant, plus importantes. Plus complexes mais tellement plus simples, au final. Puis ses craintes prirent le dessus, elle avait peur qu'on gâche tout en nous laissant aller à nos envies les plus folles, presque nues l'une sur l'autre. Elle se relevait et je la regardais, sans un mot pour la contempler. Dieu qu'elle est belle, même apeurée. Un léger sourire se dessinait sur mon visage alors que je me levais à mon tour, posant mes mains sur ses hanches pour la rassurer un peu. Bien sur que j'en ai envie. Et on ne gâche rien...tu devrais le savoir. Je venais alors passer l'une de mes mains dans sa nuque, mon regard planté dans le sien, avant de l'embrasser encore. Mais est-ce que toi, tu en as envie ? murmurais-je contre ses lèvres qui m'appelaient pour les embrasser encore et encore.
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