≈ ça mousse ce soir

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Bon okay c'est grave bizarre là, même moi je suis gêner alors que je suis pas avec vous, je sais pas, ça me gêne. Faudrait que tu partes d'ailleurs, t'hésite, je comprend pas pourquoi l'hésitation te frappe d'un coup. T'avais était assez méchante et assez direct comme ça, suit tes propres règles ma grande. « J'aurai pu m'en servir contre toi, mais je l'ai pas fait, parce que comparer à toi, je me soucis de ce que tu ressent ! » bien, faut que t'arrête de gueuler maintenant, surtout que la meuf à côté à arrêter elle aussi. Tu t'en vas pour faire cours à la discussion, en fait le truc du : je me tait et je dit rien, ça ne fait que te rendre ultra énerver, genre énervée énervée – si on était dans un manga y aura des zigzag au dessous de ta tête ou encore de la fumé comme si t'étais un train près à foncer dans un mur. Ce qui t’énerve le plus dans cette histoire, c'est pas le fait qu'il est coucher avec Paulette, Géraldine et Jean Michelle, c'est le fait qu'il passe cette acte pour du boulot : ah oui elle, t'inquiète c'était juste pour qu'elle revienne ! Comme si tu sucer tout les mecs à qui tu refiler un sachet de meth. Ou encore qu'il dise que ce soit naze, bah oui si tu choisit mal tes partenaires c'est normale que tu te fasse chier, si c'était Zéphyr ça aurait été un rodéo de malade avec des confettis et de la musique country. T'avais jamais été aussi énerver, alors pendant que tu t’énerves en l'insultant dans toutes les langues que tu te rend même pas que tu fonces dans un... TROU.
Toi qui penses dur comme fer que c'était un raccourcis, en réalité le chemin était couper parce qu'il y a UN PUTAIN DE TROU AU MILIEU DE NUL PART. Tu paniques un peu, enfin ,non tu panique un max parce que c'est possible que tu crève dans un trou non, toi faut que tu crèves d'une manière plus extraordinaire que ça, mais sur le coup t'as même plus d'imagination pour imaginer autre mort que dans ce trouuuuuuuu. BON PAS DE PANNIQUE. Tu réfléchis à une solution, bien sur y a pas de réseau, ni de torche pour appeler Batman ce serais trop beau et trop facile, le destin est pas d'accord pour que t'es une vie trop beau et trop facile. D'ailleurs il te le fait savoir lorsque la seule solution à lequel tu finit par recourir est de mettre un appel SOS sur la tablette... Qui est en possession de Martin. Bien sur, bien sur, le destin plutôt satan qui veut te torturer. Sans autre choix, tu finit par envoyer des signaux de détresse via la tablette : « SAUVE MOI OU JE TE TUE (et si je meurt je viendrais te hanté jusqu'à la fin de tes jours. » toi qui disait ne plus avoir besoin de lui. ;

 

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Je me soucie de ce que tu ressens blablablablablaaaaa Zéphyr ne s’était pas souciée beaucoup de ce qu’il ressentait quand elle épiait Martin comme un hamster en cage. Elle n’a juste pas apprécié qu’il invite une copine hamster dans son humble demeure. Et naturellement, que font deux hamsters dans une même cage ? Il fornique. CQFD. Il fallait s’y attendre, c’est de la biologie tout ça maggle, mais faut croire que ces cours-là avaient totalement échappé à l’ex taularde sociopathe et amoureuse…… Attendez, amoureuse ? Berrrrrkkkk, je dois tout de suite effacer ce mot-là du vocabulaire de Martin, elle n’était pas amoureuse de lui, berk berk, elle était juste psychologiquement instable et rejetait tout son manque d’amour sur lui, même si ça passait par du voyeurisme, du harcèlement et parfois du kidnapping. Tous les enfants sans môman font ça ? « Ouais c’est ça ! Palmyr a intérêt à passer demain chercher tes caméras et ta tablette de merde, sans quoi je les dissous dans de l’acide chlorhydrique. » La menace ultime. Il ne fallait pas le chercher le Peček. On parle d’un mec capable de fabriquer une bombe artisanale à partir d’une Gameboy Color et une version Pokemon Rouge (la Bleue ça marche pas essayez pas). Ça rigole plus wesh.
Il ne quitta pas le club longtemps après Zéphyr. Sa tablette l’empêchait de profiter de la soirée comme il le souhaitait, surtout qu’il n’avait pas le moral à s’amuser avec ses potes. Ouais, elle avait réussi à miner le moral de Martin en cinq minutes chrono, lui qui s’était promis d’éliminer le mot attachement de toutes ses relations avec les gens ici. Il ne serait que de passage à Harvard, il n’était pas là pour se faire des amis, et encore moins des amoureuses. Il rentra dans sa caravane (vide) et jeta la tablette sur la table avant de foncer sous la douche. C’est quand il se sécha avec sa serviette dans les parties communes (et après avoir fait une prise de kung-fu panda à l’une des caméras) que Martin remarqua que l’écran de la tablette clignotait. Un SOS ? De Zéphyr ? Il ne savait pas pouuuuurquooiiii, mais il avait l’impression que c’était une de ses combines à la con pour le manipuler encore. Il soupira et checka le GPS de son GSM – parce qu’il avait foutu un mouchard dessus à partir du jour où elle a décidé de devenir sa complice (question de confiance au cas où elle se jouait de lui) – et constata qu’elle était quand même vachement loin du camping cette folle. Du couuuuppp, il s’habilla en vitesse d’un short et d’un t-shirt et jeta son sac à dos sur l’épaule, puis quitta sa caravane en suivant son signal GPS jusqu’à ce qu’il glisse et dévale une pente boueuse pour s’arrêter sur quelque chose de mou. AAAAAAAAAAHHHH il venait d’écraser Zéphyr. « PARDON. » Ben au moins, ils se seraient mélangés au moins une fois dans leur vie hein. Il roula au sol, se défit de la jeune femme et tenta d’éclairer l’endroit avec la lampe de son téléphone. « Bon, Einstein, on remonte comment ? » Ben ouais. OK, il était là pour la sauver, mais elle aurait pas pu prévenir dans message de détresse qu’elle était coincée au fond d’un gouffre au lieu de le menacer ? Hein hein hein ? Ouais, le souci du détail n’est pas un truc qu’elle connaissait. Martin avait un tas de babioles dans son sac mais certainement pas une corde. Ils allaient devoir improviser et surtout faire équipe.
 

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BON BON BON BON. Je sais pas si je doit rire ou pleurer, ou rire en pleurant ? Ou pleurer en riant ? Ou juste faire comme toi et rester allongé sur le sol, les jambes remplis de bout à attendre que le ciel te tombe sur la tête pour mettre fin à tes souffrances. Il était ton seul espoir et maintenant, il n'y avait plus aucun espoir, c'est comme dans la petite fille et l'allumette, quand y a plus d'allumette, alors elle c'est laisser mourir dans un coin de rue, c'était vachement triste et traumatisant pour les gosses d'entendre ça, mais dans un sens elle a bien fait, son corps serais passer en hypothermie et étant en manque de globule rouge elle aurait finit par mourir au petit matin. C'est pas le sujet, quoi que, c'est toi la petite fille qui doit vendre les allumettes et c'est lui le paquet d'allumette qui doit redonner de l'espoir, alors que tout ce qu'il t'as donner : C'EST UN ENORME COUP DANS LA CUISSE QUI VA DEVENIR UN BLEU ! Tu contres attaque et frappe son bras, de toute tes forces – c'est pas beaucoup étant donner que t'es toutes molles, c'est plus comme des caresse à ce niveau là - « ESPECE DE MAUVAISE ALLUMETTE ! » hurles-tu avant de soupirer, est-ce que vous allez mourir ici ? Parce qu'en plus de ça, tu manques d'air, il bouffes ton air, tu fais des grands gestes pour récupéré ton air, et comme par magie, Zéphyr la stresser de la vie et ses discours interminable sont de retour. « Je rêve, NON MAIS JE RÊVE ! Pince moi, pince moi pour que je me réveille de ce cauchemar. Tu penses que je t'ai envoyer ce message parce que je voulais qu'on baise au claire de lune avec Wake Me Up d'Aviicii en fond sonore ?? Ou encore que j'allais te dire : désolée Martin, tu es si important pour moi, reste dans ma vie pour toujours ?? NON JE SUIS COINCEE DANS UN TROU ! Et toi aussi maintenant, et on est.. » tu manques d'air, oh mon dieu tu veux pas mourir maintenant, c' est juste pas la mort que tu mérites. « Coincé pour toujours. Je suis pas prête à boire mon pipi, c'est dégueulasse, je sais que dans certain pays du centre d'Afrique et d'Inde ils trouvent que ça continent des vitamines utiles, mais c'est vraiment dégueulasse. » Non et puis, c'est dégueulasse c'est tout, je voit même pas pourquoi débattre sur le sujet, ils font ça en Inde c'est leurs soucis ,de toute façon ils font caca sur les plages là bas, et ils se promènes sur des éléphants, c'est pas du tout la même culture. BREF QUE FAIRE, le trous est trop boueux, on est trop loins de la population, et en plus avec lui !!! mais ça pouvais pas être quelqu'un d'autre ? Non, non,non,non, ce serais trop beau que ce soit Justin Bieber avec sa nouvelle mixtape et son remix de baby avec Ludacric, il fallait que ce soit Pecek et sa tronche de biscuit. Mais il a un sac à dos, tu te retournes soudainement vers lui, il a un sac à dos, si Dora a pleine de truc dans son sac à dos c'est que lui aussi. Tes yeux pleins d'espoir tu lui demande : « Dis moi que t'as une échelle ou une corde dans ce sac à dos ? Ou encore un vuvuzela, ou une radio ? Ou quelques choses à manger, parce que mine de rien j'ai quand même la dalle, j'ai sauter le dîner tout à l'heure et notre conversation dans les chiottes m'a couper l’appétit. » et pas seulement à cause de l'odeur et des gémissements, mais la discussion en elle même a refermer ton estomac.

 

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Espèce d’allumette ? De mauvaise allumette, même ? OK, c’est comme ça qu’on insultait les gens dans son ghetto maintenant ou quoi ? Est-ce que Martin était fin et avait un petit bout rouge ? Noooon, son petit bout était loin d’être rouge et loin d’être petit d’ailleurs, chose que Zéphyr savait puisqu’elle avait déjà vu le petit bout rouge de Martin qui n’est ni petit ni rouge. Bref, anywayyyy, puisqu’il avait mal au ul, il la laissa rager dans son coin, azi, c’est bien Zéphyr, j’te sauve la vie et tu t’énerves BLABLABLA tu me saoules. Elle venait lui décapiter les oreilles, ce qui faisait que Martin oubliait durant quelques secondes son mal de coccyx, comme si, soudain, ses fesses s’étaient déplacées jusqu’à ses oreilles. Quelle étrange sensation, je ne vous dis pas. « Tu ne vas boire ton pipi. Tu vas boire le mien et je boirais le tien. T’as du bol que je mange cinq fruits et légumes par jour, j’ai un organisme très sain. » lâcha-t-il très sérieusement, jaugeant la tête que tirait son amie. « Héhooooo, calmos, je déconnais, j’essayais de détendre l’atmosphère, youhouuuuu Zéphyr, jooooke, je ne te mettrais pas mon Martin-Piqueur dans la bouche pour que tu boives mon zizi. Je le mettrais jamais dans ta bouche d’ailleurs, berk, pourquoi on parle de ça … C’est quoi la chanson déjà ? Ah oui, réveille-moi quand tout sera fini lalala … » Non mais Martin, je t’aime bien, mais tu es arrivé sur ce terrain par toi-même heiiiingggg. Il se redressa et se frotta les mains dans son short pour se les nettoyer quelque peu. Il leva la tête, essayant d’examiner la hauteur du trou. Difficile à dire. En plus, ils n’étaient absolument pas aidés car il n’y avait pas de pleine lune ce soir. Résultat des courses ; démerdez-vous les mini-keums ahahaha ou dormez là-dedans. Mais Martin ne se laisserait pas abattre car, comme le rappela Zéphyr, il avait … *roulement de tambour* UN SAC A DOS. Par contre, rien de ce que réclamait Zéphyr était à l’intérieur. Tant pis. « Oui, j’ai des briochettes et du Pepsi. » Il sortit ça de son sac et tendit à Zéphyr. « J’ai une corde mais elle n’est pas assez longue. Vuvuzela, radio, niet. Et on n’a pas de réseau au fond de ce trou. » Captain Obvious. « Par contre, j’ai ma trousse de survie. » Il dégaina une petite mallette dans laquelle se trouvait des dizaines de flacons de produits chimiques. Chacun survit à sa façon. Puis il retourna là où il s’était pété la gueule, se rappelant qu’il avait cogné son pied contre une pièce de métal. BINGOOOO. Il s’agissait en réalité d’un crochet tout de même assez grand. C’est donc avec fierté qu’il annonça ; « Je vais nous fabriquer un aimant avec ce crochet, puis on l'accrochera à ma petite corde. J’ai vu qu’il y avait un câble en fer par terre relié à quelque chose sous terre. Je vais essayer d’attirer le câble jusqu’à nous avec le crochet, on l’accrochera solidement et on montera en rappel au sommet. » ça va, son plan tenait la route ? Il s’assit dans la boue et commença à jouer avec ses produits, essayant de fabriquer la substance qui rendait les métaux magnétiques. « ça risque de prendre du temps Zéph, donc si tu veux on parle. Ou on peut aussi jouer aux rois du silence si tu veux encore me faire la gueule. »
 

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« Okay, okay, on va dire que ce moment gênant va être classer dans un dossier qu'on ouvrira plus jamais et je met cette blague nul et pas drôle sur le compte du stresse qui est actuellement sur tes épaules. » ouai parce qu'y avait pas moment plus weird et  gênant, en fait c'est toujours gênant quand vous vous mettez à parlez du Martin-piqueur et de Bonnie and Clyde, ça part rapidement dans des clash ou des discussions qui n'ont pas lieu d'être, surtout dans ce genre de situation, mais tu tiens tout de même à préciser quelques choses que tu avais appris en biologie, okay ton rayon c'est les étoiles et les astres et les nouveaux modèles de chaises, mais ça fait quand même de toi une scientifique non ? Si ? « Juste pour infos, pour tes futurs conquêtes, pour que le pénis est bon goût, faut pas manger des légumes mais des trucs sucrés. Genre des haribo, du chocolat, du soda, ça rend le bout du pénis plus sucrée en générale et le .. Et le.. Tu sais l'autre truc aussi. » L'éjaculation, je le dis pour toi, parce que t'es pas capable de le dire, BREF ON CLOS CE SUJET A PRESENT. Focus on the solution, il en a une d'ailleurs. Les étoiles dans tes yeux s'illumine de nouveau, ce mec ne sert pas à 90% à rien au final, on va descendre le pourcentage à 70% et si il est gentil, peut être à 69%, je continue de penser que c'est un connard, alors que tu te laisse attendrir par sa quête de solution et surtout parce qu'il parle de... CHIMIE. OH MON DIEU NE FAIT PAS CA MARTIN, NE FAIT PAS CA TU VAS LUI DONNER UN... « Orgasme intellectuelle. » dis-tu sèchement, alors qu'il sors les composants de sa mallette. Tu secoue la tête, NON NON NON. « J'veux dire, j'arrive pas à croire que tu te promène avec du Samarium cobalt sur toi, c'est genre pas commun du tout. » il n'est pas commun, pas du tout.  Et même moi j'en ai aucune idée de ce qu'est le Samarium cobalt, je suis aller voir sur google et c'est le trucs là qui permet de tenir mes polaroid sur mon frigo, sympa. BREF. Tu accepte le pitch et le pepsi, et te met assise dans la bout en face de lui, pour voir ce qu'il fait et surtout comment il fait. - À distance raisonnable bien sûr. - « Je suis super forte au rois du silence, au collège les gens m'appeler la reine du je dis rien. » dur à croire en sachant que tu parles sans cesse, mais il faut savoir qu'en dehors de Martin, Palmyr, Calypso et Wayne, tu ne parle jamais. Genre jamais, jamais, une personne dans la rue, un commerçant, les profs n'ont jamais entendu le son de ta voix, à se demander si tu es muette. C'est l'anxiété sociale qui choisit avec qui tu peut parler avec qui tu doit jouée la reine des silences, et ils ont décident que pour Martin c'était okay. « Je te déteste toujours, qu'on soit coincé ici ne changeras rien. » parce qu'il a fourré sa langue dans la bouche d'Elysia et qu'il s'en ai venter sur l'article du CS, et qu'il pense que c'est de ta faute si vous avez arrêter de parler, et aussi parce qu'il refuse de porter des tee-shirt assortie, je comprend pas ce délire pas, pourquoi il veut juste pas porter ce beau tee-shirt avec écrit « propriété de zéphyr » ?? ça a quand même coûté 15 dollars sur vistaprint ! Et livraison express au beau milieu de l'Arizona c'est pas rien. « Je t'ai pas menti tout à l'heure crétin. Je me soucis vraiment de ce que tu ressent, et c'est pour ça que je t'ai laisser du temps pour toi. Quinze jours sans Zéphyr, c'est un cadeau non ? Je pensais pas que t’allait passer ce précieux temps à te taper 10% de la population féminine et qu'en revenant vers toi, j'ai le droit à un : - tu prend une voix grave et des grimaces sur ton visage – Zéphyr t'es vraiment une malade mental, Zéphyr tu te crois trop dans secret story, Zéphyr pourquoi tu pètes un câble pour une photo sur instagram ? » hééé, t'es grave douée en imitation, si ça marche pas dans ta vie, fait un women show, moi j'te dit c'est l'avenir parfait pour toi. Tu mord dans ton pitch et mâche rapidement. « Et pourquoi ce serais toujours à moi de venir dans ta caravane ? Hein ? Tu sais très bien que dors dans l'arrière boutique de l'épicerie, ça t'es jamais dit de venir me voir ? En plus y a grave plein de truc gratuit. - Si on est en dehors de l'axe des caméra, faut tout de même précisé parce que sinon c'est du vole, et le vole c'est pas gratuit, logique – Je ne suis pas ton deuxième choix, d'accord ? C'est toi qui me l'a dit, je doit arrêter d'être le second choix de tout le monde. »

 

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Ouais, exit la saveur testiculaire de Martin, ce sujet l’embêta plus qu’autre chose. Et ne revenons pas non plus sur l’orgasme intellectuel. Martin fit comme s’il comprenait tout à fait ce qu’elle racontait, avant de gigoter sur place alors qu’il sortait de sa mallette les produits chimiques qu’il utiliserait pour faire son aimant. Et il mit bien en exposition le samarium cobalt, parce qu’apparemment ça le rendait unique aux yeux de Zéphyr. Mais comme elle n’avait pas la vision d’Augustus Waters (mon chat, pas le cancéreux) alors ne pouvait pas trop lire ce qu’il y avait d’écrit sur les étiquettes. VDM. Ils étaient coincés ici et Martin voulait que tout se passe bien, pas qu’il soit emporté par la tempête Zéphyr, déchaînée, à-même de détruire tout sur son passage. Et Martin a eu beau regarder le film Twister des dizaines de fois, il était encore incapable de contrôler une tornade. Elle souligna qu’elle le détestait toujours, ce qui ne surprit pas Martin qui reconnaissait la Zéphyr butée comme une bute ; « Et que ce soit clair ; je ne t’ai jamais demandé de m’aimer ou même de m’apprécier. C’est pas parce qu’on est coincé au fond d’un trou que ça changera quelque chose. Juste, garde ta rancœur de côté pour rendre ces minutes quelque peu vivable. » Puis il la laissa dans son Zéphyr Van Der Woodson Show (mon dieuuuun son patronyme est bien trop long pour faire un jour carrière là-dedans), alors qu’il agitait une éprouvette entre ses doigts pour mélanger deux substances. Il ne put s’empêcher de faire son monsieur je-sais-tout à la fin de sa tirade ; « 10% de la population féminine ? ça reviendrait à dire qu’il n’y a que vingt femmes sur Terre et que toutes les autres sont des organismes génétiquement modifiés qui font qu’on ne peut pas les compter dans l’espèce humaine et donc dans la population féminine. » Il fallait toujours que le mec corrige la Zéphyr qui fabulait là, à parler de pourcentage de baise. Oh c’est bon, il s’était tapé deux filles. Suffisait de lire CS pour comprendre que y avait pire que lui et que même Blake était à deux doigts de mouler sa teub dans de l’argile et en faire des vibro pour satisfaire tout son harem. Il ne fit aucun commentaire sur son imitation ratée, même pas elle savait faire l’accent tchèque tssk et revint à son blabla sur l’épicerie ; « Pour ton information, tu ne m’as jamais invité. Et moi j’me dis pas spontanément ’tiens et si j’allais passer la nuit chez Zéphyr au fond d’un débarras et m’exploser le dos sur des sacs de riz oh tiens, super programme Martin’. » Puis là, ce fut à son tour d’imiter Zéphyr, il s’en sortait beaucoup mieux qu’elle. « Arrête de croire que t’es le deuxième choix de tout le monde. Je t’interdis de penser ça. Ceux qui te mettent systématiquement au second rang n’ont juste rien compris à la vie. Parfois, j’me dis que t’es au monde ce que l’opium est à la morphine. T’es l’ingrédient indispensable à la vie de plein de gens. Mais certains le remarquent juste trop tard. » avoua-t-il en tout sincérité. « T’as un briquet ? » Il ne trouvait plus son truc à gaz, et il fallait que Zéphyr soit un peu utile. Puis fallait aussi qu’il change de sujet avant que ça ne tombe dans le larmoyant. 

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JE REVE OU IL A INSULTER TON EPICERIE D'AMOUR ? - 10 points pour Pecek, non – 20 parce qu'en plus il sent la transpiration et – 30 parce que quand même, il a même pas vu que t'avais fait couper tes pointes de cheveux, il aurait pu faire un petit commentaire sympa, je sais pas. Bref, tu fronces les sourcils avec tes pitch en main. « Héééé, j'te permet pas, je dors plus sur des sacs de riz, je dors sur un matelas en mousse que j'ai pris chez Roger, le concierge. Et puis passez la nuit avec Zéphyr, aurait dû te motivé au point de ne t'en foutre du sac de riz, parce que quand t'aime bien quelqu'un même si vous finissez dans un tente au bord de nul part – comme dans harry potter, y a pas un moment dans la vie ou cité harry potter n'est pas approprier, pendant mon bac de français je vais cité dumbeldor si ça parle des lumières parce que c'est une lumière. - ou sur un matelas en mousse. En plus je t'aurai laisser toucher mes seins. » dis-tu en levant les sourcils d'un air aguicheur avant de rire. OH T'AS RIS !!!!! (t'as riz mdr bol de riz). Tu met ta main devant ta bouche comme-ci c'était grave et on entre dans le moment émotion, après que t'es vidée tes couilles sur la table, cette métaphore est soit disant passante dégueulasse, vous imaginez si quelqu'un vide vraiment ses couilles sur la table quand il se sent mal ? Grandissez un peu les mecs qui font des métaphores là. Bref, tu lèves les yeux vers lui pendant qu'il touille le samarium cobalt et esquisse un sourire à la fin de ses paroles qui semble sincère. 5 points pour Pecek. Ça aurait pu être mignon, et larmoyant, mais on a éviter le pire, tu sors une boite d'allumettes (pourquoi tu as une boîte d'allumettes sur toi?) et lui tend le paquet. « Sors nous de là Pecek. » dis-tu en regardant le ciel et la hauteur des parois. « Je t'aurai embrasser, tout à l'heure, pendant le moment émotion et solidarité. Si je voyait pas les gros seins d'Elysia à chaque fois que je pose mon regard sur toi. » et pour être gros ils sont gros, mais genre GROS GROS GROS, t'en a jamais vu d'aussi gros, même ceux de Palmyr soit normaux à côté des siens. Les siens c'est genre deux melon bien mûre, ou trop mûre même. Des melons juteuses, trop mur et qui coule partout quand on veut les mangers.

 

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Wesh, ben il était bien beau son discours, mais Martin ne se pèterait pas le dos pour se faire baver et transpirer dessus par Zéphyr, parce que ouais, la nuit elle bavait. Elle posait ses lèvres en mode Daffy Duck sur son torse et Martin se réveillait tout collant. Berk brrrrrkkk. Le seul truc qui fit sourire Martin ce fut son rire en fait. Comme quoi, même si Zéphyr voulait profondément le détester, elle en était incapable. Comme lui, il élaborait des tas de plans pour pas croiser Zéphyr qui le harcèle même quand il fait son popo du matin, mais ça n’empêche que si elle n’était pas là, sa vie serait bien vide. C’est triste quand même, il s’était attaché à la psychopathe qui se permettait de commenter la taille de son zizi à la sortie de la douche. « Y a rien à toucher. » lâcha-t-il avec ironie en continuant ses petits mélanges de scientifique. Mais bon il disait rien heinggg, Echo n’était pas le massif des Alpes non plus et il n’avait pas encore regardé leur sextape by Zéphyr, mais il était sûr que ce serait un genre de remake du clip Chandelier. « Bientôt, patieeeenceeee. » fit-il en craquant une allumette puisqu’il avait besoin d’une combustion. Là où Zeph lui avoua qu’elle l’aurait embrassé si elle n’avait pas l’impression de voir la tête (ou les boobs) d’Elysia chaque fois qu’elle regardait Martin. « Dommage. » lâcha-t-il, le regard charmeur avant d’ajouter très sérieusement, tout en se concentrant sur ce qu’il était en train de faire ; « Ils sont pas si gros. Elle se maquille les seins. C’est un trompe-l’œil, tu sais avec les ombres et les lumières. Y a pas autant de volume en fait. » Et voilà, vous savez tout sur le secret des boobs d’Elysia Vargas. Apparemment, se maquiller les seins permettait d’avoir n’importe qui dans son lit. Prends-en de la graine Cody Bleeker. Ouais, j’donne des conseils à mon DC, il a bien besoin d’avoir quelques techniques de drague. « Terminadoooo. » conclut-il fièrement avant d’attraper le crochet qu’il tartina de sa pâte magnétique. Il fallait attendre que ça se cristallise autour du métal, puis ce serait prêt à être utilisé. 

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L'écoute paaas, t'es adorable quand tu dors, un vrais petit ange, ton père le disait tout le temps. Même que tu prend pas de la place non, tu te colle contre son torse pour écouter son cœur battre, comme quand t'étais petite. Et c'est que quand t'es super fatigué que tu baves et que tu ronfles, c'est moins glamour, mais c'est la preuve d'une bonne journée de travail ! Bref ton intention se détourne lorsqu'il te parle des seins tant fantasmer d'Elysia. OH MON DIEU. DITE MOI PAS QUE C'EST VRAIS. La pipelette, concierge et langue de vipère en toi se réveille, dont un bon, à qui tu vas le dire en premier ? À qui tu vas raconter en premier que : « ELYSIA VARGAS FAIT DU CONTOURING SUR SES SEINS ???? » mais le push up c'est plus suffisant de nos jours, faut vraiment être désespéré pour ce dire : aller je vais me mettre du bronze sur le téton pour qu'il est l'air plus gros ! C'est le pourquoi des tailles de maillot deux fois trop petite, et du fait qu'elle ne se mouille jamais, quel cochonne. Tu jouis intérieurement. Bien sur, des tonnes de filles sont mille fois plus jolie que toi, mais te dire que ton Martin à pu s'en taper une, c'était trop à porter. Tu effectues même une petite danse de la joie. « OUH ! Je pensais pas que ça pouvait être aussi jouissif d'entendre que la meuf sur lequel la moitié du campus fantasme est une grosse fake, j'adore. » Tu sautes aussi de joie, parce que la solution est finit, que dans quelques minutes tu aller pouvoir de nouveau faire la gueule dans le fond de ton épicerie en te gavant de chocolat en guimauve et laisser ce petit crétin à ses frottis vaginal. « J'espère que ça va marcher Pecek, je compte pas dormir dans ce trou, la tête sur les emballages en plastique non recyclable.  » tu remet les emballages de pitch et le pepsi dans son sac, parce que tu protèges la nature et qu'il était hors de question de laissez vos déchets dans cette endroit, trou ou pas trou. Tu prend suite le sac à dos sur tes dos, il était beaucoup trop occuper à finaliser la solution. « T'es près ? Faut que je m'accroche à la corde ? À toi ? T'es sûre que ça va tenir ? T'es pas tout fin c'est pour ça que je demande.. » toi oui, lui, il s'est un peu laisser aller depuis les vacances, avec les gros peau de ben & jerry's et les tacos, il va falloir reprendre le sport d'ici septembre. ET POUR UNE FOIS QUE C'EST TOI QUI FAIT UNE REMARQUE SUR LE PHYSIQUE ! Toi t'en prend toujours plein la gueule avec tes seins de petite fille et blah et blah et blah.
 

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Vas-yyyy, crie le plus fort encore qu’Elysia fait du contouring sur ses seins, les vautours l’ont pas encore entendu héhooo. Pauvre petite Elysia quoi, elle prenait cher avec Zéphyr, faut dire que la Van Der Trucmuche ne l’aimait pas beaucoup. Pourtant, elle était gentille l’Elysia, très chaleureuse, sisiiiii. Mais il ne fallait pas Zéphyr crie victoire aussi facilement, remember comme CS l’a appelé dans un de ses articles. « C’est pas toi qu’on appelait le pot de peinture sur le blog de CS ? » Mouahahahhah non fallait bien défendre un peu la Vénézuélienne quand même, le Tchèque avait pris du bon temps avec elle donc il n’allait pas casser du sucre sur son dos. Déjà que son mec avait l’air d’être un sacré con tiens. Une fois la solution terminée, il l’étala sur le morceau de métal pour le transformer en aimant. Mais la Zéphyr s’impatienta et posa mille et une questions pour savoir ce qu’il attendait d’elle maintenant. « Minute ! Je suis celui qui dirige là. Tu fais peut-être ta loi dans mon labo, mais dans ton trou je suis le maître. » Dans son trou dans la terre, pas son trou … Pas son … Pas le Zéphyr Vagin Der Woodson quoi. Il avait donc fini son super crochet radio-sonique – ou pas – et le lança par-dessus le fossé. Une chance qu’il soit assez musclé et sportif ! Il agrippa rapidement le câble et le laissa glissa auprès d’eux. « Là tu t’accroches. » Sur ce, Martin fit passer le câble autour de la taille de Zéphyr et le noua avec un nœud spécial, de façon à ce que ça tienne bien. « Tu montes les jambes fléchies contre la paroi et tu tires avec tes bras. Attends, j’vais t’aider à prendre de la hauteur pour que tu n’aies plus que le dernier mètre à escalader. » Sur ce, il essaya de la porter, mais ses mains se posèrent systématiquement sur ses fesses, plus rebondies qu’il ne le pensait. Pourquoi elle mettait que des pantalons larges celle-là ? Elle était tellement plus jolie et mieux foutue que ce qu’elle laissait paraître au commun des mortels. « JE SAIS JE SAIS ! C’est pas parce que je te palpe le boule que tu ne me détestes plus. Maintenant grimpe ! Je crois que y a des rats. » Il avait hâte de sortir d’ici, mais vraiment. Mais ils ne pouvaient monter qu’un à un et donc Martin attendrait son tour.   

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