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Il a du mal à s'en passer maintenant. Mather peut-être, mais c'est Maxym qui est devenu sa véritable drogue. Un moins loin d'elle, c'est intenable. Pourtant, il sait qu'il va devoir recommencer dans quelques jours. Alors, on profite de cette semaine ensemble. Au final, c'est pour mieux se retrouver. "C'est parce que je pense souvent à lui". Il sourit légèrement en hochant la tête. "J'ai entendu dire qu'il pensait souvent à toi aussi.." La regarde dans les yeux, se mord la lèvre. "Pour ne pas dire tout le temps". Parce que la vérité n'est pas loin. Elle hante ses pensées et il n'y peut rien. Lui, il doit se contenter de ça et compter les jours jusqu'à leurs retrouvailles. On abandonne ce côté un peu trop romantique. On le met de côté. On passe à ce que l'on sait faire de mieux. Ou plutôt la chose dans laquelle on est le plus à l'aise. Du coup, le jeu s'installe. La crème dans les mains, il commence à effleurer sa peau, pour finalement y aller un peu plus franchement. Montant ses mains jusqu'à la limite de son bas. Remercie Maxym d'avoir pensé à porter une robe aujourd'hui. "Tellement serviable et dévoué, j'ai de la chance". Il sourit en coin, lève les yeux vers elle et sort un instant de la concentration sur sa jambe. "C'est vrai que t'en a". C'est réciproque, évidemment. Mais ça lui ferait trop plaisir. Il sent le corps de Maxym se contracter un peu, lorsque ses mains remontent. Sourire sur les lèvres, il plonge son regard dans le sien. "Tu disais quoi encore.. ? Ca tombe bien ?" Il sourit à nouveau, rapproche son visage du sien pour poser son front contre celui de l'Eliot. "T'es pas si irrésistible que ça tu sais.." On y croit, vachement. Puis l'une de ses mains remonte encore, commence même à se glisser sous son bout de tissu. Mais on ne va pas trop vite, après tout aucun des deux n'en a envie, il parait.
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La première à clamer l'indépendance, à se dire que les relations à distance, ça doit être pour elle. Tu parles. Dépendante, elle l'est devenue. Se transforme en ces filles amoureuses, dont le moral est forcément affecté par l'absence de l'autre. Durant une semaine, Maxym s'efforcera de ne pas penser qu'ils n'ont subit que la moitié de l'épreuve. Que demoiselle, l'heure des véritables retrouvailles est loin d'avoir sonné. "J'ai entendu dire qu'il pensait souvent à toi aussi.. Pour ne pas dire tout le temps. " Et ça, ça aide pas. Lui et sa lèvre mordue, et ses mots agréables. Même si c'est des conneries, qu'elle sait qu'il s'amuse très bien sans elle, et que ses pensées ne sont pas toujours dirigées vers sa personne, la sincérité n'est pas si éloignée. On se manque, c'est tout ce qu'il y a à retenir, la seule chose qui est importante. Et maintenant qu'on a plus à se manquer, qu'on est face-à-face, que les peaux peuvent se retrouver, on s'amuse de cette excitation nouvelle. Parce qu'on a jamais vraiment eu l'habitude de devoir se passer de l'autre. Expérimente la frustration. Pas la futile, qui ne dure que quelques minutes. Celle qui s'étend sur des semaines. Que tu rallonges encore d'infimes instants. Juste pour te nourrir de la tension ambiante, te sentir désirée, autant que tu désires. "C'est vrai que t'en a" Ne lui renvoie pas la politesse, ce qui la fait sourire silencieusement. Allez amuse-toi de ça Ricardo. J'te laisse avoir l'avantage. Tu l'as déjà, de toute façon, puisque mon être défaillit déjà à l'avancée du parcours de ta main. Je pourrais balancer toutes les remarques que je veux, ma peau contredit les mensonges. Le souffle masculin contre ses lèvres, qui fait battre son cœur plus fort. "T'es pas si irrésistible que ça tu sais.." Défiante, de son regard joueur. Un fin sourire amusé. « Ah ouais ? » Frôle sa bouche de la sienne, ses doigts ayant descendus le long de son torse jusqu'à sa ceinture, empoignent cette dernière, tandis que ses dents s'emparent de sa lèvre inférieure quand il se fait plus entreprenant. Et croit bien qu'il faut toute la conviction du monde pour ne pas te débarrasser de tes vêtements et emprisonner tes lèvres. Déjà que j'ai oublié de respirer l'espace d'un instant. Quand à sa jambe qui s'amuse à remonter le long de l'intérieur de la cuisse du mather, flirtant avec son sommet, elle lui fait souffler, taquine : « Faudrait en informer ton corps, alors. » Il a pas l'air totalement d'accord avec le fait que tu sois insensible à mes charmes.