pour me some more | camilo & paloma

Dieu qu'elle se débrouillait bien. Sérieusement, elle était merveilleuse. Je sentis ses mains glisser contre mes hanches, ma respiration s'accélérait mais je gardais contrôle. Merci, pensais-je, après son compliment. Et elle aimait la position dans laquelle on se trouvait, la coquine. Et si... on inversait les rôles? Je souris. Lève tes belles petites fesses si tu veux que Don Camilo s'occupe de toi. Murmurai-je avec ironie. En fait, j'allais super bien m'occuper d'elle. Elle allait être gâtée ce matin ma Paloma. Elle aura un traitement "de choix", comme on dit.

J'aimais bien quand il me parlait comme ça, tout était permis entre nous il n'y avait pas de gênes. "De suite mon cher" Je me levai alors et lui laissait le temps de retrouver ses esprits afin que je lui prenne sa place et qu'il m'entretienne. Avant de me mettre allongée sur le ventre je vins déposer un baiser au creux de ses lèvres. Ouais c'est pas bien et j'en avais envie depuis un moment alors c'était l'occasion. J'étais sur le ventre en attendant que ses mains expertes se baladent sur mon dos. "Mes belles petites fesses sont à ta vu. Ne bave pas trop trésor" Ce moment de pure détente était attendu et allait être apprécié, c'est certain.

Elle déposa un baiser sur mes lèvres qui me laissa interrogateur, on se faisait des petites caresses et des trucs du genre parfois mais je croyais pas qu'on allait faire le grand saut. Et puis pas besoin de s'enflammer, ce n'était qu'un baiser. Je laissais son petit fessier rebondir tandis qu'elle marchait sur la pointe des pieds et se coucha sur le matelas, et toujours en boxer je me placais sur ses fesses, une légère érection déjà formée, qui malheureusement caressa son dos. Pas grave, on est potes non? Je commencais a glisser mes mains le long de son dos, je me débrouillais dans ce domaine d'habitude, j'étais pas un mauvais masseur loin de là. T'as beau avoir de super petites fesses, Camilo est un gentil garcon. Je laissais un léger rire s'échapper de ma bouche. Allez, c'était le matin, on était sur son lit en sous-vêtements, pourquoi ne pas la provoquer et jouer un peu?

J'étais bien installée sur mon lit et attendais qu'il se serve de ses mains pour me masser comme j'en rêvais. une fois qu'il s'était installé sur mes fesses, je pouvais sentir que je lui faisais de l'effet étant donné qu'il était en érection. Cela ne me gênait pas trop, au contraire, je pourrai le taquiner d'avantage. Rien que de sentir ses mains sur mon dos, ça me provoquait des frissons. Qu'est-ce que j'aimais ça. "Encore heureux que tu sois gentil trésor !" Je ne voulais pas qu'il se passe quoi que ce soit, ça ne se fait pas. Déjà que j'avais coucher avec mon meilleur ami, un c'est déjà bien, deux c'est le coup de trop. "J'aime ce que tu fais tu sais" J'étais apaisée et relaxée. Si seulement ce moment pouvait duré une éternité.

Je repassais ma paume sur son bas de dos, pesant assez fort pour détendre ses muscles, et vis son fessier bombé pointer vers le haut légèrement, elle prenait son pied et aimait ce que je faisais, ce qui me fit sourire un peu. Je me penchais et vins lui chuchoter à l'oreille avec douceur. J'aime le faire aussi, j'ai bien de la chance tu sais. J'allais mordiller son oreille avec douceur et commencait à masser ses épaules puis redescendais le long de son dos pour enfin faire retomber son derrière, qui m'excitait à mort en fait. Je descendais du lit et la vit me regarder interrogatrice. Je vais prendre une pause je crois... Je me mordis la lèvre en lui faisant un regard avec des yeux qui voulaient tout dire, et elle le comprenait à 100%, j'en étais sûr. Mais allait-elle plonger avec moi?

Il continuait à me masser parfaitement bien, tendis que mon fessier se levait sur le coup du plaisir. Faut avouer, il était parfait et je prenais mon pied. De la chance, il en a c'est certain. Ma respiration devenait saccadée quand il me mordilla mon oreille et qu'il finissait par mes épaules. Je lui en redemanderai c'est certain. Mais il se leva du lit et voulait prendre une pause ? Comment je n'étais plus d'accord. Je me redressai pour me mettre en tailleur et je lui disais "Tu sais pas ce que tu rates si tu prends une pause" Je le regardais avec des yeux de biche. A cet instant, ce que j'avais pensé tout à l'heure disparût et il pourrait bien se passer quelque chose. Il était en face de moi, et je laissais glisser mes doigts sur son torse musclé. "Tu veux pas revenir sur le lit trésor ?" C'est sûr que si on était pas des meilleurs amis, on l'aurait déjà fait, du moins j'aurais fait mon possible pour l'avoir sous mes draps. J'attendais qu'il fasse le premier pas.

Elle descenda du lit, fit un pas en avant, puis un autre, et leva la tête pour me fixer intensément avec pitié, faisant scinitller ses yeux avec douceur. Elle me voulait, disait-elle. Et m'appeler trésor en plus, elle savait que m'appeler comme ca c'était comme donner un pot de miel à un ours affamé. Elle laissa ses doigts caresser mon torse dessiné, remonter doucement et dangereusement vers mon cou, puis mon menton, et elle me demanda de la rejoindre. Je baissais le regard tandis qu'elle glissait vers moi, et me demandait si je devais vraiment sauter à l'eau. Je posais un sourire en coin et approcha mes lèvres des siennes, collant doucement ma lèvre inférieure à la sienne, partageant son souffle mais en faisant attention de ne pas toucher à sa langue. Oui, on allait commencer avec douceur. On devrait pas faire ca mon ange... Mes mains étaient dans le bas de son dos, et je la ramenais vers moi, nous deux qui étions en sous-vêtements, couplant nos lèvres ensemble et ne faisant rien d'autre que de partager des baisers. Le prenait-elle bien?

J'étais à présent debout devant lui et je le voyais hésité, si ce qu'on allait faire était une bonne idée. C'est sûr que ce n'est pas tout les jours qu'on est affronter à ce genre de dilemme, surtout entre meilleurs amis. Nos lèvres se touchaient, tout en douceur et en sérénité. J'étais tellement pas habituée à la douceur, d'habitude, que ça fait du bien de changer de méthode envers moi. "Y'aura pas d'autres occasion qui s'offriront à nous tu sais" lui murmurais-je avant de sentir ses mains sur le bas de dos qu'il ramena vers lui. Nos bustes ainsi que notre tailles étaient collés, l'un à l'autre. "tu sais si tu n'a pas envie, je ne t'oblige en aucun cas" C'est sûr qu'obligé quelqu'un à faire quelque chose qui n'a pas envie ce n'est jamais bon. Mes lèvres glissaient de son cou au haut de son torse tendis que mes doigts se promenaient sur sa hanche. Je mettais mes mains autour de son coup et murmurai de nouveau "C'est à toi de décider trésor"