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Verdict : déclaré complice par alliance (Royce)

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Il n’insista pas sur le sujet Talya. Je trouvais ça presque suspect de le voir abdiquer aussi vite. Je m’attendais à ce qu’il ressorte cette –arme- contre moi au moindre faux pas de mon côté. Dans tous les cas, moi, c’était armé d’un bon whisky que je voulais poursuivre cette discussion. Royce m’arracha un petit rire en analysant l’étiquette tel un pro. « Je savais pas que j’étais en compagnie d’un caviste professionnel. » Il avait l’air fin connaisseur, en tout cas il approuvait mon choix de bouteille, s’en servant un verre. « J’aime les bonnes choses… » commentai-je. En matière de whisky, de bières aussi… Enfin même si d’ici quelques verres, qu’il s’agisse d’un grand bourbon ou d’un alcool bon marché, ça n’aurait plus grande importance, nos papilles seraient surement trop anesthésiées pour percevoir toutes les nuances et saveurs de ce grand classique parce qu’il était bien chargé. La grosse différence serait probablement la note qu’on laisserait pour finir. Et moi qui m’étais promis de freiner un peu mes consos au bar… Bref au moins ça nous permit de trinquer, de temporairement enterrer les sujets de désaccord. J’amenai mon verre à ma bouche pour prendre une gorgée du liquide ambré avec délice. Royce reprit la parole, soulignant avec amusement quelques ressemblances qu’il venait de nous trouver : notre statut de futur jeune papa et notre goût commun pour le whisky. « Effectivement. Ajoute à ça le fait qu’on ait tous les deux couché avec Delilah et ça nous fait déjà trois points communs. » répondis-je avec un petit rire. « Puis en creusant bien, j’suis sûr qu’on peut s’en trouver d’autres. » fis-je en posant mon verre. Ma façon un peu d’agiter le drapeau blanc et d’opter pour une discussion plus tempérée que la façon dont elle avait commencé par ma faute. « Comme par exemple, le fait qu'on soit à Cambridge tout les deux en été. Pourquoi t’es pas au summer camp au fait ? » La plupart des étudiants y étaient alors j’étais intrigué de le croiser ici en plein mois de juillet.  
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Ouais je m'y connaissais en whisky, mais certainement pas en vin. Je ne pouvais pas être un expert dans tous les domaines, sinon Priape se poserait vraiment des questions à se demander si j'étais pas alcoolique depuis ma naissance. N'empêche, j'aimais bien savoir plein de choses sur l'alcool, c'était un peu comme ma petite passion secrète. J'ai toujours rêvé faire ma propre bière. Enfin soit, nous étions en train de parler whisky. J'affichais un sourire, honoré de l'entendre dire que j'étais un caviste professionnel. Une fois que nous étions détendus, je disais au jeune homme qu'on avait des points communs et je ne m'attendais pas à ce qu'il en rajoute. Il a couché avec Delilah? Sérieusement? Qu'elle garce, je pensais que j'étais le seul qui qui couchait avec. Vous savez quoi? Cela ne m'étonnait même pas d'elle, elle était trop sage pour être innocente. Elle cachait bien son jeu. Je riais, amusé de sa répartie. Un sacré coup hein? lançai-je en levant un sourcil. Bah quoi, on est entre mecs, on a couché avec la même fille on a quand même le droit de parler de cul. Je me souviendrais toujours de la fois où elle était sous la couette en train de me faire une gatterie et que sa sœur est arrivée en mode furie. Ouais je gardais des bons souvenirs d'elle même si elle avait fait la fugueuse à nous abandonner. Je lui en voulais toujours. J'haussais les épaules suite à sa question. Je voulais très bien lui retourner la même chose, lui demander pourquoi il était ici et pas en Arizona. J'vais quand même pas lui dire qu'un mafieux à tirer sur Leevy et qu'elle a reçu une balle dans son ventre, mhnon. Leevy est fort fatiguée et il y a eu des complications avec sa grossesse. On est jamais mieux que chez soi, pas vrai? voilà, c'était simple et je n'étais pas en train de lui mentir car elle a vraiment eu des problèmes avec le bébé. Mais j'ai été trois semaines au Summer Camp et c'était pas terrible, t'as pas loupé grand chose. dis-je en reprenant une gorgée de mon verre. Moi je gardais un mauvais souvenir de ce séjour car c'était le moment où elle m'avait quitté une seconde fois. Puis j'ai tué un homme, donc bon... je savais plus entendre parler de cet endroit.
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Je sentis l’étonnement de mon interlocuteur devant ce nouveau point commun et me rendant compte que mes propos pouvaient porter à confusion je précisais : « C’était y’a longtemps hein, avant son premier départ… » Oui parce qu’elle avait déjà fui Harvard une première fois après la bombe, et notre liaison datait de l’époque. Je préférais le préciser même si, à la rigueur, maintenant j’étais célibataire j’avais de compte à rendre à personne. Je ne voulais pas que de fausses rumeurs circulent sur mon compte. « Et je crois que c’est un point commun qu’on partage avec plus d’un… » Il avait l’air d’ignorer ce versant là de la jeune femme. Del était peut être mon amie, je l’appréciais beaucoup, mais elle ne cachait pas son côté libertin, carpe diem, enchainant les coucheries sans avenir. C’était d’ailleurs ce qui lui avait un peu attiré tous ses soucis. Cela dit, j’hochais la tête pour approuver ses paroles : un sacré coup en effet. « C’est une de ses nombreuses qualités. » L’époque où je comptais la brune parmi mes sex friends remontait à un petit moment désormais, mais je me rappelais quand même bien de ses compétences au lit et des nuits agitées qu’elle m’avait fait passer. Après ma rupture avec Talya, j’avais croisé plusieurs fois Del, flirtant gentiment avec. Je m’étais tâté à remettre le couvert mais au final, j’arrivais pas à me sortir ma blonde de ma tête, ça n’aurait fait qu’empirer les choses je crois. Soulignant un autre point commun : notre présence ici, je l’interrogeai ensuite sur la raison qui l’avait fait rester. Leevy, fatigue, complication de sa grossesse. « J’espère que ça va mieux alors… » Quand même, même si je n’aimais pas beaucoup sa copine.  Il me confia ensuite qu’il avait passé début juillet en Arizona, que c’était pas terrible. « J’y suis allé cinq jours, pour le mariage de ma meilleure amie. Mais il faisait trop chaud, j’ai dit à Talya que c’était pas un endroit pour une femme enceinte mais elle m’écoute pas. Elle veut rester jusqu’à début aout là bas. » J’espérais juste que tout allait bien se passer avec ses contractions tout ça. Peut être que la nana de Royce était violente, mais au moins elle était raisonnable et elle était rentrée. Enfin Talya n’était plus ma petite amie, c’était presque logique au final qu’elle ne m’écoute pas.  
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What guys? On était vraiment en train de parler des prouesses sexuelles de Delilah entre mecs? C'était malsain d'un côté parce qu'elle n'était plus là et parce que c'est à cause de ça que ma meuf a voulu la tuer. Mais c'était trop tentant d'en parler car c'est rare quand je tombe sur quelqu'un qui a couché avec la même fille que moi. Le monde est vraiment petit à Cambridge. Une belle qualité qui l'a perdue. soupirai-je en repensant justement à la baston Leevy/Delilah, bien que ça m'étonnerait que cette dernière ait pu donner un coup à blondie. J'expliquais à Priape pourquoi j'avais quitté le summer camp et j'étais bien soulagé qu'il ne veuille pas plus d'informations. Ça m'aurait vraiment embêté de tout lui expliquer. Je nous resservais un autre verre de whisky en attrapant la bouteille. Elle n'allait pas vider toute seule. Leevy sera surement amusée d'apprendre que j'ai fais la connaissance d'un mec qui m'a payé à boire haha, surtout qu'elle avait appris récemment que j'étais bisexuel et elle n'arrêtait pas de me charrier avec ça. Laisse la faire ce qu'elle veut, elle est assez grande non? Faut jamais contrarier les femmes enceintes. La mienne je l'ai envoyée en ambulance car je pensais qu'elle allait crever alors qu'elle n'avait rien, c'était ce qu'elle m'avait répété sans cesse mais je pouvais pas arrêter de m'inquiéter pour elle. Crois-moi, elles gèrent leur truc elles-même, nous on est juste leurs esclaves qui doivent assouvir leurs envies. que ce soit niveau bouffe, niveau sexe, on devait toujours être là pour elle en cas de crise d'envie. Je me suis encore levé la nuit dernière car elle voulait encore manger des litchis. Je me rendais compte que je parlais trop, ça, c'était l'alcool qui montait à ma tête.
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 « Ou pas… Peut être qu’elle est mieux là où elle est… » Elle était peut être retourné à Paris, peut être qu’elle fricotait avec des petits français et de bastonnait avec leurs nanas… Enfin, je préférais l’imaginer avoir trouvé l’homme de sa vie et vivre épanouie quelque part. Elle avait vraiment eu l’air d’avoir envie de s’assagir et de se poser la dernière fois que je l’avais rencontrée à la pizzeria avant qu’elle ne mette les voiles je ne sais où. « En tout cas, elle va avoir les oreilles qui sifflent… » Parlons de nos autres points communs. Royce resta évasif sur son retour à Cambridge, mais l’important à retenir c’était que ça allait. Je soulignais que oui oui, Cambridge était plus adapté et plus acclimaté pour une femme enceinte, mais que mon ex m’écoutait pas ce qui me permit d’avoir une petite leçon du garçon : il ne fallait pas chercher à contrarier une femme enceinte. « Pour ça, ouais : Talya elle fait ce qu’elle veut… » Elle avait fait ce qu’elle avait voulu, avec qui elle avait voulu, et c’était bien là le problème… Alors au final, rester dans ce chalet avec Matthéo en arizona, c’était qu’une broutille de plus sur la liste mentale des raisons pour lesquelles je ne devais pas rester accroché à elle. Puis pourtant voilà : elle s’était encore immiscée dans notre conversation et dans mon esprit. Je souris néanmoins en écoutant l’histoire de Leevy, trainée en ambulance à cause des inquiétudes du garçon. « Rassure moi elle s’en est pas prise à l’ambulancier ? » plaisantai-je avant de  nous remplir à nouveau nos verres. Je ne pus m’empêcher de l’interroger sur le dernier point abordé : « Elle a eu beaucoup d’envies de fraises Leevy ? Parce que Talya de son côté, pas de caprice de femme enceinte de son côté.» Enfin en même temps, vu la situation, elle aurait été bien culottée d’exiger un panier de fraises de ma part au milieu de la nuit ou ce genre de trucs un peu fous que faisaient certaines futures mamans.  
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Les minutes filaient et au fur et à mesure, je m'entendais bien avec Priape. Je me comportais avec lui comme si j'étais son meilleur pote. Vous savez, ce genre de personne qu'on croise on soirée et qu'on a plus envie de quitter car on s'amuse trop. Cela devait être aussi à cause du whisky. On parlait d'ambulance puis de fraises et là dessus j'expliquais à Priape que non, Leevy son kiffe c'était les litchis. Puis tout commençait à devenir noir, très sombre, puis, plus rien. C'était comme si mon cerveau avait rendu l'âme. Je sentis quelque chose me secouer et je rouvris les yeux avec une nausée pas croyable. J'étais blanc comme un cachet d'aspirine et j'avais horriblement mal à la tête. Allez oust messieurs, on ferme, c'est l'heure de partir. lança le responsable du bar. Le bar? On y était encore. Je frottais mes yeux et je regardais Priape avec un drôle d'air. J'ouvris la bouche pour dire quelque chose, mais j'étais tellement épuisé que je refermais mes lèvres. On s'exécutait tous les deux, comme deux enfants punis qui n'avaient plus droit à leur récréation. Je titubais en me tenant de temps en temps aux épaules de Priape pour ne pas tomber puis je respirais profondément une fois dehors. J'me souviens pu d'rien. On a dormi combien d'temps? essayai-je d'articuler en fronçant les sourcils très fort comme si ça allait m'aider à trouver une réponse. Je sentais quelque chose qui me brûlait et qui me grattait l'avant bras droit. Je remontais ma manche et je voyais un prénom écrit sur ma peau, avec un fil protecteur dessus. J'écarquillais mes yeux et je montrais mon bras à Priape, mon nouveau besto. Qu'est-ce que ça dit? J'sais pu lire j'ai du perdre une lentille. c'était un tatouage, je le devinais, mais je me disais que c'était juste une blague et que j'allais pouvoir retirer ce truc. En plus de ça, j'avais la nausée, j'étais prêt à vomir dans la seconde qui venait. Mon dieu quelle soirée, c'était pas très rassurant tout ça.
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Le temps fila, les verres également… Un troisième puis un quatrième, jusqu’à ce que je ne puisse plus les compter. Le débit de paroles augmentait en même temps que notre alcoolémie, parlant de tout, de nos nanas, ou ex dans mon cas, notre futur statut de papa, nous découvrant des délires communs que l’on aurait pas soupçonné de prime abord. Puis, je perdis le fil, la notion du temps et le contrôle… Mon esprit avait fini par s’embrumer complètement. Ce ne fut qu’après de longues heures à faire, je ne savais quoi d’ailleurs, que je revins à moi, à moitié couché sur le comptoir du bar. Un marteau piqueur semblait avoir élu domicile dans mon crâne et la voix du responsable de l’endroit me fit grimacer. Je relevai les yeux vers Royce, espérant qu’il avait gardé la tête sur les épaules plus que moi, mais dès le premier coup d’œil je compris que son état était tout aussi pitoyable que le mien… L’alcool et ses ravages. « Doucement, doucement… On s’en va… » réussis-je à ronchonner au barman qui nous pressait vers la sortie. Je chancelai d’un pas ralenti pour quitter les lieux, Royce à mes côtés. J’inspirai une grande bouffée d’air frais une fois à l’extérieur, espérant que cela dissiperait les effets du whisky et raviverait mes souvenirs mais en vain : le blackout. Royce retrouva la parole, me signifiant qu’il ne se rappelait plus grand chose de ces dernières heures non plus. « Il est deux heures du mat’… Bordel qu’est-ce qu’on a foutu ? » m’étonnai-je en regardant ma montre avant de fermer mes paupières un instant et de me masser les tempes de chaque côté de mon visage, espérant dissiper la violente migraine qui s’installait. Mes yeux se rouvrirent au moment où le winthrop relevait sa manche. Il brandit son bras devant mon nez, me demandant ce que ça disait et j’y découvris un tatouage. Je plissais des yeux comme pour m’assurer que je n’hallucinais pas. Un T un A un L un Y et encore un autre A étaient inscrits sur sa peau encore rougie. Je sentis la colère me monter au nez et m’emparais de Royce par le col de son T shirt. « Pourquoi t’as le prénom de mon ex sur ton br… ? » m’énervai-je avant d’être stoppé dans mon geste par une violente douleur dans mon propre bras gauche. Ma main se desserra, le relâchant pour relever à mon tour ma manche et découvrir avec horreur le tatouage qui ornait ma propre peau : un L, deux E, un V et un Y. Soudain, j’eus un flash de notre soirée et même pour mes neurones qui baignaient dans le whisky, ce qui avait du se passer devint clair. « Oh non… » laissai-je échapper avec dépit avant de me sentir pris d’un violent haut de cœur et d'aller déverser une partie du contenu de mon estomac dans le caniveau...
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Quelle soirée putain, j'en avais mal aux tripes. J'avais le ventre écrasé, comme si on m'avait donné un coup dans l'estomac. J'avais aussi une douleur à l'avant bras droit et j'arrivais pas à lire ce qui était marqué. Au début, je pensais que c'était une mauvaise blague, mais non, apparemment, j'avais bien un tatouage. Bordel de merde. J'étais contre les tatouages et les piercings, c'était le genre de truc que je ne savais même pas me payer en plus. Comment j'ai fais pour payer tout ça? J'ai surement pris la carte de crédit de Leevy, qu'elle me laissait de temps en temps, ou je lui prenais en cachette pour faire des folies haha. Lorsque j'ai tendu mon bras à Priape, celui-ci m'attrapa par le col l'air menaçant et je levais les mais pour me protéger le visage au cas où il voudrait me cogner. C'est pas moi j'te jure, arrête! j'étais trop bourré pour me bagarrer de toute façon, un pas de travers je tombais sur la route. Le dunster me relâcha et je frottais ma nuque en soupirant. Alors j'avais Talya à l'encre sur ma peau. Et lui avait le prénom Leevy sur la sienne. Juste, pourquoi? Je secouais la tête et je m'énervais. Retire-moi ça putain! Si elle voit ça, je suis mort. J'vais me marier, je peux pas me marier avec ce prénom sur mon bras! bon à vrai dire, j'allais faire ma demande à Leevy, elle-même n'était pas encore au courant. J'espère que Priape gardera bien le secret. Et comment j'enlève ça moi? C'est le genre de truc qui reste à vie! Je veux pas avoir des cicatrices sur ma peau, ma peau si douuuuce. j'étais à deux doigts de pleurer là. L'alcool triste l'emportait. Je sursautais en entendant un bruit immonde; Priape qui vomissait. Vide-toi c'est bien! Comme si la solution à notre fichu problème allait sortir de ton gosier!
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J’avais attrapé, un peu mollement certes aux vues de mon état d’ébriété avancée, le pauvre Royce par le col, m’énervant en découvrant son tatouage, et il se défendit aussitôt d’avoir quoi que ce soit à voir avec ça. Enfin, mon impulsion violente eut le mérite de réveiller une vive douleur dans mon propre bras gauche. Ma peau me brulait. Et relevant ma manche, je découvrais que le winthrop n’avait pas été le seul à se faire dessiner quelque chose sur le bras cette nuit. Royce s’énerva, réalisant lui aussi le malentendu qui avait du se produire un peu plus tôt. Ma main droite vint frotter ma peau à l’endroit où étaient inscrites les lettres du prénom Leevy, mais ça n’eut pour effet que de raviver un peu plus la douleur. Je grimaçai : « C’est pas un décalco c’est un vrai… » Puis je relevai ce qu’il venait de me révéler dans sa gueulante. « Tu vas te marier ? » J’étais quasi sûr qu’il m’en avait pas encore parlé ce soir, enfin en même temps l’alcool avait presque réussi à me faire oublier l’étape tatouage alors. « Mais quand ? » Et puis le garçon se lamenta de cette erreur qui ornait désormais à vie son bras. « Ca peut se faire enlever… » assurai-je à la fois pour le calmer lui et pour me rassurer moi. J’osais juste pas imaginer les délais et le coût. Espérons qu’il aurait le temps de se faire détatouer d’ici ses noces. Et pour la dernière crainte de sa phrase… « Les cicatrices tu vas en avoir par contre… Quand ta fiancée va découvrir ça sur ton bras. » N’oublions pas qu’il s’agissait de Leevy, qu’elle était dangereusement tarée. J’avais fini par dégobiller tripes et boyaux dans le caniveau, plié en deux. Au moins avec ça comme alcool en moins dans l’estomac, j’allais peut être y voir plus clair. Trouver autre chose à lui répondre que de la mauvaise ironie et peut être avoir un éclair de génie quand à notre problème de peau. Je me redressais finalement, plus léger d’une poids. « T’as qu’à… mettre du fond de teint là dessus… Une bonne couche. Ca fera l’affaire en attendant. Je vais me renseigner sur les procédures de laser pour effacer ça. »
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C'était une grosse blague, un fake, une caméra cachée. Qu'on me sorte de ce cauchemar bordel de merde. J'ai jamais apprécié cette Talya et ça m'emmerdait d'avoir son nom gravé sur ma peau. C'était le truc hyper chaud à faire partir et j'avais pas envie d'abîmer ma belle peau de bébé pour nos conneries. Plus jamais je me retrouve dans un bar avec Priape, plus jamais. Je le calmais bien vite lorsqu'il m'empoigna d'un coup de colère. J'avais rien fais man, c'était pas mon délire ça. Ouais enfin je sais pas, je lui ai pas encore demandé. c'est sur qu'avec un prénom pareil sur mon bras elle me dira non. Fuck, j'ai pas besoin de ça en ce moment. Mais j'en sais rien moi! Sans doute jamais, car si elle voit ça, elle me coupe le bras. je regardais mon tatouage avec un air de dégoût. On était vraiment cons, y'en avait pas un pour rattraper l'autre. Et Priape ne me rassurait pas avec sa réflexion. J'allais prendre cher oh oui. Je mettais ma main devant ma bouche lorsque le dunster vomissait dans la rigole. Moi je tenais encore bon, quoi que, mon ventre s'était retourné et je sentais que je devenais de plus en plus pale. J'écarquillais mes yeux comme un blowfish. Un laser? Mais mais... nan, ça va bousiller mon bras, y'a surement une autre solution. mis à part voler le fond de teint de ma meuf et d'en foutre des couches sur ma peau. Mais ça, c'était vraiment pas efficace, cela voulait dire que je pouvais plus me laver avec elle, plus faire la vaisselle et me balader avec des longues manches toute la journée. No way.
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