Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE. ▬ milo - Page 3
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∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE. ▬ milo

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∟EMBRASSE MOI IDIOT J'OUBLIERAIS TA COPINE✗ Le plus dure pour moi c’était d’être une handicapé de l’amour, une handicapé des sentiments amicaux aussi, j’avais jamais connu tout ça avant de débarqué il y a cinq ans et j’avais encore beaucoup, beaucoup de mal. Je ne savais pas encore tout à fait le fonctionnement de tout ça ni même comment déchiffrer ce qui se passait en moi à chaque nouveau sentiments. J’étais tout le temps dans le brouillard, sauf quand il s’agissait de peine, la mort de mes parents avaient été si affreux que je pouvais me rappeler des émotions que j’avais ressenti ce jour là. Je me souviens encore être étendu à leur côté, baignant dans leur sang lorsqu’un policier m’avait trouvé. « C'est important de ce souvenir du passé.» Devais je vraiment me souvenir de tout ça, devais je vraiment revoir toutes les nuits cette scène, allait elle me hanté jusqu’à la fin de mes jours. Je me demandais combien de temps, il me faudrait pour guerir de cette douleur, de ce trou dans mon coeur. J’ouvrais les yeux et reserrais un peu plus Milo, face à ces souvenirs douloureux qui venaient de s’emparer de moi. Tout ce qui me revient c’est eux, sur le sol.. Murmurais je en soupirant, les yeux embrumé, il fallait que j’arrête de souffrir de tout ça pourtant ça me semblait la chose la plus facile du monde.
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Elle me serra davantage contre elle. Tout ce qui me revient c'est eux, sur le sol.. En effet ce n'était pas le genre de choses dont on voulait se souvenir et je savais bien de quoi je parlais. J'avais à peine 13 ans quand mon père est mort et je gardais cette image de lui avec la peau brulé et relié à toutes ces machines, je regrettais amèrement d'être allé le voir à l'hôpital, mais je savais que si je n'y étais pas allé je l'aurais d'autant plus regretté. La vie est faite comme ça, tout ce qui nous arrive en bien ou en mal est écrit quelque part du moins c'est ce que je crois. Tout ça m'a permis de grandir, de murir et de devenir l'homme que je suis aujourd'hui, je continue de penser que mon père me regarde de là haut et qu'il est fier de moi. Je serrais Arwën un peu plus fort en caressent ses cheveux doucement.
« Je sais que c'est pas facile..»
Je déposais un baisé sur son front. Je ne savais pas vraiment quoi lui dire, même en comprenant sa souffrance c'était compliqué de se mettre à ça place, elle avait perdus ces deux parents d'un coup, d'une façon beaucoup plus traumatisante que la mort de mon père et c'était donc compliqué d'essayer de la réconforter.

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∟EMBRASSE MOI IDIOT J'OUBLIERAIS TA COPINE✗ « Je sais que c'est pas facile..» Il avait recerrer ces bras autours de moi alors qu’en ce moment, j’étais pas au mieux, j’arrêtais pas de me remettre en questions, depuis la mort de mes parents ma vie c’était arrêté, j’étais comme une autre personne et il était tant que ça chang. J’avais pas mal de retard dans la vie et je voulais en profiter au maximum. Je repensais à Milo et à son faux couple, décidément pourquoi les gens faisaient ça. Je me redresse pour le regarder alors que comme je l’avais déjà dit, je suis complétement perdue en ce moment, je sais plus où j’en suis. Je te remercie de m’avoir dit la vérité, je comprends mieux maintenant. Je caresse sa joue, avec tendresse alors que je sais encore pas trop ce que je dois faire, je devais prendre ma douche avant tout çà.


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Je te remercie de m'avoir dit la vérité, je comprends mieux maintenant. elle passa doucement sa main sur ma joue. Je la dévorais des yeux, elle était vraiment sublime, elle l'avait toujours été d'ailleurs. De la voir juste la contre moi me donnais envie d'aller parler à Liesel et de lui dire qu'on devait tout arrêter. D'un côté je n'avais pas envie de laisser Lili, j'ai promis de l'aider et d'un autre coter j'avais un de mes plus grands rêves qui s'offrait à moi : sortir enfin avec Arwën. Enfin elle m'avait laissé entrevoir cette possibilité et je m'imaginais déjà à ces coté en tant que petit copain. Je lui souris pour la remercie avant de déposer un dernier petit baisé sur ses lèvres.
« Aller file à la douche, avant que quelqu'un nous voit.»
Lui lançais-je avec un clin-d'œil. J'allais aller voir Liesel pour lui parler de tout ça je devais lui dire que j'avais raconté notre secret et que j'étais beaucoup trop amoureux d'Arwën pour continuer à jouer au faut couple.
« Je vais aller parler de tout ça à Liesel.»
Je lui souri bêtement, je me sentais comme un gamin, j'avais envie de courir partout et de crier haut et fort qu'Arwën m'avait embrassé. Je commençais à partir à reculons pour sortir des douches communes sans lâcher ces belles prunelles bleu du regard un sourir niait toujours dessiné sur mon visage. J'étais heureux.



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∟EMBRASSE MOI IDIOT J'OUBLIERAIS TA COPINE✗ J’avais appris avec le temps que j’étais quelqu’un de très tactile, j’avais besoin du contact physique avec mes proches, alors je caressais sa peau tandis que j’étais toujours contre lui, je me pinçais les lèvres, alors que je pouvais sentir son regard sur moi, dans les yeux de Milo, j’avais la sensation d’être une princesse, d’être la plus importante et je devais avouer que parfois ça me faisait peur car je n’y étais pas habitué. Je lui rendais son baiser alors qu’il m’embrassait sans doute pour la dernière fois. « Aller file à la douche, avant que quelqu'un nous voit.» J’hochais la tête, c’est vrai que j’étais venue prendre une douche au départ et que les filles devaient se demander se que je fabriquais depuis le temps que j’étais partie. « Je vais aller parler de tout ça à Liesel.» Je levais les yeux sur lui, alors que je ne voulais pas qu’il arrête de jouer au faux couple, je voulais qu’il continu d’aider son amie, puis tout ce qui comptait pour moi maintenant c’était de savoir la vérité, je ne supportais pas le mensonge alors maintenant ça n’avait pas tellement d’importance. Fait moi plaisir, n’arrête pas ce jeu, ton amie à besoin de toi et puis maintenant je suis au courant. Dis je avant d’embrasser sa joue et de le laisser filer, je le regardais partir er je souriais, il semblait comblé et je ne savais pas vraiment si c’était grace à moi ou non. Je le perdais de vue et en souriant je finissais par prendre ma douche.


FIN
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