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∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE. ▬ milo

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∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE ✗ Le Summer Camp, j’avais décidé d’y aller cet été, après tout, tous le monde y allait et j’avais depuis quelques mois décidé de m’intégré complétement et donc faire comme les gens de mon âge. J’avais encore de vieux réflexe de jeune femme solitaire, dans ma tente, je passais mon temps à lire ou en dehors je profitais du décors paradisiaque qui nous entourait. Il faut dire que la seule personne que j’avais envie de voir en ce moment, j’avas pas envie de l’approcher car je pouvais tomber sur sa petite amie. Depuis quelques jours, je ressens ce nouveau truc, je sais pas, frustration, énervement et manque. Je peux pas croire qu’il se soit mi en couple alors que j’étais devant lui depuis cinq ans, bon d’accord depuis nos douze ans j’avais changé mais je pensais que lui et moi c’était évident. Bon en même temps, je ne lui avais pas dit clairement et surement que nous étions juste des amis pour lui. Je me pince les lèvres énervés à l’idée de savoir que je peux plus l’avoir rien que pour moi. Je déteste être seule, depuis la mort des parents, j’ai besoin d’avoir des gens autours de moi. J’esperais que ce soir il y ait une soirée, que je puisse me changé les idées et arrêté de pensé à tout ça. Bon j’attrapais ma serviette, une douche pour me changer les idées, histoire de remettre mes idées en place. Je traversais les tentes regardant autours de moi, à la recherche de visages familier, auxquels je souriais. Je me rendais au douche commune, je pensais qu’au moins à cet heure ci j’aurais au moins de la place dans une cabine. Seulement à mon arrivée, je tombais nez à nez avec Milo, on était genre une centaine ici, mais non il fallait que je tombe sur lui, sacré destin. Je me pince les lèvres et glisse nerveusement une main dans mes cheveux, une fois devant lui. Un petit silence s’installe et l’on se regarde fixement, intérieurement je cherche à savoir ceux à quoi il pense, je me demande même si je lui ais manqué, j’ai envie de lui sauter dans les bras, mais pensé à sa copine me calme directement. Euh, salut. Je peux y aller ? Non mais n’importe quoi, tu t’en fou de la douche Arwën, tu veux plus que tout le récupérer, puis savoir ce qu’il a fait sans toi, ce que t’as manqué, bon en même temps tu vas pas non plus lui facilité la vie, même si il sait pas pourquoi tu lui en veut.
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J'avais passé une sale nuit. J'étais sorti hier soir et pour changer j'avais trop bu, beaucoup trop bu. J'étais surement rentré jusqu'à ma tente en rampant et ce matin je m'étais fait réveiller aux aurores par mes super coloc de tente. Autant vous dire que j'avais la tête dans le pâté et que ma super gueule de bois ne m'aidais pas vraiment. J'étais sorti de la tente avec les yeux presque fermé, en me frottant le visage pour essayer de me réveiller. J'avais pris un caleçon propre, mon gel douche et ma serviette et j'essayais tel un zombie d'atteindre les douches communes. Le spectacle devait être epic : un mec en caleçon, éblouit par le soleil, qui essai d'avancer à travers les tentes. Cela me pris un certain temps mais je fini enfin par arriver aux douches. Sans même réfléchir davantage j'entrais dans la première douche, posant ma serviette sur la porte et fit couler l'eau froide sur mon visage. C'était pas super agréable les douches communes, toujours un peu sale et surpeuplé. Mais pour une fois il n'y avait pas beaucoup de monde et mon état me permettait même d'apprécier le moment. Après de longues minutes à faire couler l'eau sur mon visage je finis par sortir de la douche tout propre et bien plus réveillé qu'avant. Je me frottais donc les cheveux une dernière fois en me dirigeant vers la sortie quand je croisais un magnifique visage que je connaissais bien, il s'agissait de la sublime Arwën. J'avais légèrement honte, j'étais en caleçon, j'avais la gueule de bois et je n'avais pas eu de nouvelles depuis un certain temps. Euh, salut. Je peux y aller ? J'écarquillais les yeux, je m'attendais pas à ce qu'elle me dise ça enfaite... Je m'attendais à ce qu'elle soit contente de me revoir, mais visiblement non. Je me décalais alors du passage en bégayant :
« Heu.. oui vas-y.. désolé..»
J'attrapais alors son poignet au passage, la regardant droit dans les yeux (comme dans les films à l'eau de rose).
« Ça va .. ?»
Demandais-je timidement, j'étais étrangement mal à l'aise et je ne comprenais pas pourquoi. Ça devait venir du fait qu'elle m'esquivait depuis un moment, c'est vrai que je me sentais mal pour ça, j'avais l'impression d'avoir fait un grosse erreure ou du lui avoir fait un sale coup. Alors qu'en  réalité je n'avais absolument rien fait à la jeune femme, j'avais toujours été égale à moi même avec elle et ce depuis qu'on était gosses. Mais je voyais bien que quelque chose n'allait pas, et je voulais comprendre ce que c'était.

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∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE ✗ Je dois bien avoué que mon intégration à été difficile ici, j’ai mi du temps à devenir une étudiante comme les autres, j’essaye de caché mon passé parce que je ne veu plus subir les moquerie que je connaissais étant enfant, puis c’est douloureux d’y repensé, à cause des cauchemar que je fais toutes les nuits, les voyant à nouveau étendue sur le sol. Je suis pas quelqu’un de solitaire même si on pourrait croire le contraire, rejoindre les Quincy à été bienfaiteur pour moi, j’ai pu trouvé une nouvelle famille, m’intégrer malgré mon manque total de discussion. J’ai vite apris les bases du monde dans lequels je suis, sans doute pour ça que j’aime la sociologie. Heureusement ici, je peux découvrir d’autre chose, d’autre paysage que je ne connais pas. Heureusement que mon patron m’a laisser prendre un congé pour venir. Toujours est il que je fais de mon mieux, vraiment. Je découvre aussi ce que c’est d’être amoureuse pour la première fois, ça me dévaste totalement, je suis pas préparé à ce flot de sentiment qui me plonge au bord de la noyade. Les souvenirs se joignent à ce méli-mélo de contrariété et la douche sera vraiment la bienvenue. Seulement à présent que je suis face à Milo mon coeur s’emballe, je ne sais pas quoi dire. « Heu.. oui vas-y.. désolé..» Je suis soulagée qu’il me laisse sa place, je vais pouvoir évité de lui donner une explication. Je commence à entrer dans la cabine et je sens sa main sur mon poignet, je me retourne, mon regard dans le sien, ça ne fait qu’augmenter les battements de mon coeur. « Ça va .. ?» Non, mais pourquoi il pose cette question, moi qui ne ment jamais, je vais devoir être honnête, merci les parents et vos valeurs. Je baisse les yeux avant de répondre s’en doute pour savoir quoi dire. J’ai connu mieux, je dois dire.. T’embête pas de ça, va rejoindre ta petite amie. Je le fixe du regard, après tout le message était clair, je lui en voulais ne pas lire entre ligne, de ne pas avoir compris que depuis que je l’avais revue, l’étincelle c’était rallumer en moi.
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Sans rien ajouté elle traça sa route jusqu'à la douche, je ne pouvais pas la laisser filer comme ça, il fallait que je sache qu'est ce que j'avais fait de travers pour qu'elle ne me parle plus. Arwën et moi étions super proche avant mais sans aucune raison elle s'était éloignée et elle me manquait énormément, même si je ne voulais pas l'admettre. Je l'attrapais donc par le poignet en essayent de savoir si elle allait bien, peut-être qu'elle avait eu des problèmes et que du coup elle ne pouvait plus me parler, ça paraissait stupide mais j'avais beaucoup réfléchi pour essayer de trouver une raison à son absence, du coup j'en étais arrivé a pas mal de solutions farfelus. J'ai connu mieux, je dois dire.. T'embête pas de ça, va rejoindre ta petite amie. Woaw elle était quand même froide avec moi, ces quelques mots me firent un pique au cœur. J'avais presque faillit lancer un "quelle copine?" mais j'avais vite repris mes esprits avant d'ajouter.
« Elle peut bien se débrouiller seule. Dis moi d'abord ce qui ne va pas ?»
Je ne lâchais pas son poignet j'avais bien trop peur qu'elle esquive encore en s'enfermant dans la douche. Je ne voulais pas laisser passer occasion j'avais besoin d'avoir une explication, comprendre pourquoi elle ne voulait plus me voir.
« J'ai fais quelque chose de mal ?»
Voilas c'était dit, au moins ma question avait le mérite d'être claire, j'espérais que sa réponse le serait aussi, parce que moi et les femmes c'était plutôt compliqué, j'avais toujours l'impression de ne pas tout comprendre.

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∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE ✗ Je me montrais froide sans vraiment le vouloir, le pauvre il ne devait rien comprendre c’était pas vraiment sa faute. Je repensais à notre relation depuis le commencement, à la manière dont j’avais apprit comment l’amitié fonctionnait, la manière dont j’avais doucement fait confiance à ce petit garçon et à ce que j’avais ressenti quand il avait disparu ne revenant plus dans la forêt. Je ne lui avais jamais donné de raison de prendre des distances, au début pour l’éviter je racontais que j’allais étudier, ou que j’avais du boulot au bar, ça avait fonctionner un temps. Ce qu’il pouvait me manqué. Je pensais qu’il allait abandonner après ce que je venais de lui dire, mais non il me tenait toujours. « Elle peut bien se débrouiller seule. Dis moi d'abord ce qui ne va pas ?» Une nouvelle question, décidément je partirais pas d’ici sans avoir à lui dire pourquoi j’ai pris mes distances. Il ne va pas me lâcher, son regard semble inquiet et triste ça me touche en plein coeur, vraiment. Je sooupire parce que je veux pas le perdre, je tiens trop à lui, même plus que ça. Puis il est si beau ça me perturbe. « J'ai fais quelque chose de mal ?» Au moins çà c’était direct, je ne peux pas m’empêcher de baisser la tête puis je me pince les lèvres, avec ma main de libre, une main ce glisse dans mes cheveux. Pourquoi t’as jamais parlé de ta petite amie ? Je m’attendais pas à devoir l’apprendre dans la bouche d’un étudiant. Voilà la bombe lâché seulement, je ne voulais pas qu’il découvre à quel point j’étais jalouse.
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Pourquoi t'as jamais parlé de ta petite amie ? Je m'attendais pas à devoir l'apprendre dans la bouche d'un étudiant. Je lâchais sa main, choqué ; c'est vrai que je ne lui avais jamais parlé de Liesel, enfaîte je n'en parlais que très peu puisque pour moi ce n'était pas une vraie relation c'était juste une amie et parfois j'en oubliais presque qu'on était "en couple". Le summer Camp était d'ailleurs une grosse épreuve pour nous car nous devions jouer le jeu beaucoup plus qu'à Cambridge, nous étions dans la même tente et nous devions du coup jouer les faut couple à plein temps. Je regardais un peu partout autour de moi avant de lui dire en baissant un peu la voix :
« C'est plu compliqué que ça ...»
Je me raclais la gorge doucement avant d'ajouter :
« Je t'expliquerais tout mais pas ici, quand on sera que toi et moi au calme.»
Ça allait surement la faire psychoter encore davantage mais je ne pouvais pas prendre le risque de lui balancer l'histoire du faut couple au milieu des douches communes, quelqu'un pourrait entendre et ça foutrait tout en l'air. J'avais promis de ne pas en parler mais Arwën était beaucoup trop importante pour moi, je ne pouvais pas la laisser croire que j'étais en couple alors qu'en réalité j'avais énormément de sentiment pour elle. J'avais juste peur d'être déçu encore une fois et de me faire de faut espoirs, une magnifique femme comme elle ne devait surement pas s'intéresser à un mec comme moi. Mais malgré tout je sentais un brin de jalousie dans sa voix, et c'était ça qui me poussait à vouloir lui dire la vérité, ça me donnait l'impression d'avoir une chance avec elle, et j'en rêvais depuis tout petit.
« C'est à cause de ça que tu m'évites ?»
Lançais-je alors en plongeant mon regard dans le siens, j'avais besoin de savoir si c'était de la jalousie ou juste une crise parce que je ne lui avais pas dit que j'étais "en couple".


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∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE ✗ « C'est plu compliqué que ça ...» Il avait lâchéé ma main après que je lui ai parlé d’elle, sans doute parce qu’il ne s’y attendait pas, mais en même temps je méritais de savoir. Je soupirais en l’écoutant, plus compliqué, bien sûr c’est tout ce qu’il avait trouvé pour me faire croire que peut être je me faisais des idées. « Je t'expliquerais tout mais pas ici, quand on sera que toi et moi au calme.» J’étais déçu qu’il se comporte ainsi, qu’il remette ça à plus tard, pour espérer que je puisse revenir pres de lui, que ça devienne comme avant. Il me prenait vraiment pour une idiote ou quoi ? Ok, j’avais aucune idée de ce qu’il fallait faire quand on était amoureuse, mais je savais comme on voulait me cacher quelques chose de plus, mes parents m’avaient appris la confiance. La personne à qui je faisais le plus confiance, ne m’avait même pas parlé de sa vie amoureuse, je me sentais tellement nulle. J’étais de plus en plus en colère après lui, il exagèrait au plus au point. Bien sûr, parce que tu pense que j’ai envie d’être seule avec toi, alors que tu me caches des choses, que je pensais pouvoir te faire confiance. Je déteste qu’on me prenne pour une idiote. La jalousie me rendait dingue et agressive, je en supportais vraiment pas l’idée de le partager avec cette fille, de plus j’étais tellement simple, loins de toutes ses filles du campus, j’étais moi, ça m’énervait encore plus. « C'est à cause de ça que tu m'évites ?» Il me fait encore le coup du regard intense, plongé dans le mien et ça me désarme complétement. Bon sang mais entre dans cette douche et laisse le, tu t’en fiches Arwën. Tu es censée dire quoi maintenant, hein, il va te griller c’est sure ! Oui, je veux pas être là, à tenir la chandelle alors qu’avant on passait du temps rien que tous les deux, ça a toujours été, toi et moi et le reste du monde. Je lle regarde fixement dans les yeux, j’ai envie de caresser sa joue, tellement il est beau, adorable et tellement il me fait perdre mes moyens. Laisse tombé, oublie ça et oublie moi. Retourne auprès d’elle, parait que vous êtes adorable ensemble.
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Arwën était très énervée, je n'avais pas l'habitude de la voir comme ça, elle pensait que je la prenais pour une idiote alors que ce n'était pas le cas. J'étais amoureux d'elle depuis tellement d'années jamais je me permettrais de lui manquer de respect. Je baissais la tête gêner, je l'avais énervé sans même le vouloir. Oui, je veux pas être là, à tenir la chandelle alors qu'avant on passait du temps rien que tous les deux, ça a toujours été, toi et moi et le reste du monde. Ces mots me désarmaient complètement, c'était super beau et touchant ce qu'elle me disait, mais en même temps ça me faisait beaucoup de mal. Je n'avais rien eu le temps de dire qu'elle en rajouta une couche. J'ajoutais alors rapidement de peur qu'elle s'en aille :
« Y'a pas de chandelle à tenir, je laisse rien tombé, je ne veux surtout pas t'oublier et on n'est pas adorable ensemble. On est juste amis.»
J'avais balancé tout ça d'une traite, je fronçais à présent les sourcilles en me frottant le visage pour essayer de me calmer.
« On oublie jamais son amour d'enfance...»
Je me mordais la lèvre un peu gêné en passant la main dans mes cheveux. J'étais décidément bien trop faible et amoureux. J'avais tout balancé comme ça, j'avais plus qu'à prier pour que personne n'est entendue. Heureusement pour moi j'avais laissé la dernière phrase en suspend, j'avais faillit ajouté quelque chose d'encore plus mielleux et qui m'aurait sans doute valu un sacré vent, quelque chose comme " surtout quand on en es toujours amoureux" ; dieu merci j'avais réussi à me taire à temps.

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∟EMBRASSE MOI IDIOT, J'OUBLIERAIS TA COPINE ✗ « Y'a pas de chandelle à tenir, je laisse rien tombé, je ne veux surtout pas t'oublier et on n'est pas adorable ensemble. On est juste amis.» Il avait parlé si rapidement que j’étais pas certaine d’avoir tout compris, comment c’était possible, j’avais entendu pas mal de chose sur son couple. Est ce qu’il se moquait de moi ? Amis ? Tu te moques de moi, je comprends rien du tout Milo. Pourtant à son comportement, je comprenais qu’il était sincère, il avait l’air mal à cause de moi et de mes paroles blessantes. « On oublie jamais son amour d'enfance...» Ces mots me touchèrent en pleins coeur, je sentais les battements de mon coeur battre un peu plus fort et je comprenais qu’il m’avait aimé lui aussi, à l’époque et je regrettais de l’avoir perdu pendant toutes ses années. Après tout moi aussi, je l’aimais depuis le commencement, je me sentais tellement malheureuse sans lui. Allé savoir pourquoi, je me jetais sur lui et plaquais mes lèvres sur les siennes, la scène tellement romantique. Mes lèvres collés au sienne, je fermais les yeux et profitais de l’instant, qui allait s’arrêter très bientôt. Après un élan de lucidité, je me reculais et m’appuyais contre le mur. Je.. je sais pas ce qui.. ce qui m’a prit, désolé. Je rentrais dans la cabine et fermais la porte, honteuse, je tentais de reprendre mon souffle.
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Amis ? Tu te moques de moi, je comprends rien du tout Milo. En effet c'était pas facile à comprendre, c'était compliqué comme je lavais dis avant. Je devais l'embrouiller plus qu'autre chose en réalité. Je n'avais rien eu le temps d'ajouter qu'elle se jeta sur moi et m'embrassa, j'avais rêvé ce moment tellement de fois. Dans mes rêves c'était moi qui l'embrassais et pas l'inverse, mais dans la réalité je n'avais pas le courage de faire ça. Les secondes passèrent alors comme des minutes et je profitais de l'instant le plus possible, j'étais agréablement surpris, je ne pensais pas qu'Arwën m'aimait à ce point, je pensais que les sentiments n'allaient quand dans un sens, mais grâce à ce baiser je comprenais que j'avais peut-être ma chance avec elle. Je.. je sais pas ce qui.. ce qui m'a prit, désolé. dit-elle en s'éloignant avant de s'enfermer dans la cabine de douche. J'avais les yeux écarquillés et je ne savais plus quoi penser. Je me rapprochais alors de la porte de la douche et chuchotais :
« Ne t'excuse pas, tu m'as juste devancé... j'allais faire la même chose»
Oui j'avouais, parce que ce baisé m'avait donné suffisamment de confiance en moi pour lui avouer que j'avais envie de l'embrasser, que j'avais envie d'être avec elle. Je touchais mes lèvres en asseyent de me remémorer la douceur de ce moment, je l'avais attendu tellement longtemps que j'étais un peu triste que ça n'ai pas duré plus longtemps. J'étais aussi un peu dégouté qu'elle se soit enfermer dans la douche sans quoi je l'aurais embrassé moi aussi pour qu'elle comprenne qu'elle n'avait pas à s'excuser.  J'étais à présent un peu mal à l'aise, j'étais seul dans les douches communes en caleçon et Arwën était enfermer dans sa douche, je savais plus vraiment quoi faire, si je devais la harceler pour qu'elle sorte ou si je devais la laisser prendre sa douche, parce qu'après tout c'était pour ça qu'elle était là à la base.

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