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La guerre est déclarée entre l'eliot et toi. La préparation de votre pizza est momentanément interrompue par une énième chamailleries entre les deux amoureux. De vrais gamins. Deux vraies têtes de mules aussi, de qui celui allait être le plus fort et surtout celui qui allait faire céder l'autre en premier. Bien évidement que tu avais fait exprès d'embrasser le brun au creux de sa joue au lieu de l'endroit attendu. Sauce tomate et farine s'abattent sur vos visages, quel gâchis, vous qui êtes si beau en temps normal. Sauf là. On ne pouvait pas dire que tu étais à ton avantage, ton teint encore plus blafarde que d'habitude et ta crinière rousse qui est devenue à moitié blanche. C'est la douche froide quand l'intrépide eliot se saisie de la carafe d'eau pour te la déverser (avec amour toujours) sur ta chevelure. Il a osé. Par réflexe, tu le pousses en hurlant un Antwaaaan ! qui résonne dans toute la cuisine. On ne sait pas si tu es énervée, juste surprise, ou alors que tu rigoles de sa bêtise. Ton petit ami essaye alors de se rattraper en te proposant une douche. Oh ouais la parfaite occasion pour le noyer tiens. Petite vengeance. Tu me comprendras Antwan. Tu viens d'arroser ta jolie princesse. Tu secoues tes mains, dégoulinante encore d'eau. Tu décides d'enlever ton haut au lieu de lui répondre. Tu lui balances à la figure même. Tu te défais de pantalon, un sourire en coin aux lèvres avant de te barrer de la cuisine et t'éclipser dans la salle d'eau. Nan tu n'auras pas la suite du strip tease improvisé Antwan. Ca se mérites. Tu lui avais volontairement pas donner de réponse, c'était trop facile, il avait qu'à te rejoindre, s'il voulait complètement se faire pardonner. Une fois dans la salle de bain, tu enlèves tes derniers vêtements avant de te glisser sous la douche.
(Invité)
T’essaye désespérément de trouver une solution à ta bêtise car Antwan il est devenu tout blanc comme un cachet d’aspirine à cause de sa chute. C’est pas très beau à voir d’ailleurs. Le voilà maintenant qui rit de la situation. Cela étire un sourire sur tes lèvres quand le brun réclame une infirmière. Ton rire se mélange au sien et tu ne le quittes pas des yeux. « Tu as bon gout » tu réponds en approchant doucement ton visage de celui de ton amoureux. « De toute façon, je n’avais que ça à te proposer » tu dis taquine. C’était tout ou rien. Tu es à présent à quelques centimètres de ses lèvres masculines. Tu peux sentir sa respiration contre ta peau. Ta main se faufile sur son torse « Il parait » tu répètes comme un écho, un petit sourire en coin pour accompagné tes mots. Tu finis par rompre l’espace à vos deux visages, scellant tes lèvres aux tiennes. Tu l’embrasses d’un baiser passionné, tes yeux sont clos, ta langue va chercher la sienne et pendant un instant, tu oublies complètement ce qui t’entoure, c’est juste lui et toi.