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roylee ✰ keep running for love

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Je voyais bien que Royce se retenait pour exploser à cause de ce qu'il venait de faire, mais je lui avais tellement de fois reprocher qu'il était pas capable de se contrôler tout seul que forcement je peux comprendre qu'il se retienne du mieux qu'il peut. Mais au fond quand je lui disais des trucs comme ça je le pensais pas forcement parce que j'ai toujours acceptée sa maladie, c'est juste que quand je m'énerve je cherche toujours les propos les plus blessant pour l'atteindre autant qu'il pouvait m'atteindre moi. Malgré mon manque de force j'essayais de trouver les mots pour le rassurer même si je savais pas vraiment si ça marchait. Moi au contraire je pouvais que le remercier de s'être débarrassé de cette homme vu que ça me faisais clairement un ennemie en moins derrière le cul. Mais ferme-là. Lâchais-je quand il commença à vouloir me faire des reproches sur le fait de me faire confiance, il pouvait bien me dire ce qu'il voulait après mais pas maintenant alors que j'étais entrain de me battre pour rester en vie. Oui même quand je suis entrain de crevée j'ai mon salle caractère. Mais pour le moment j'essayais d'entendre rien qu'un petit signe du bébé pour savoir qu'il était toujours là et qu'il tenait à la vie comme sa maman. J'avais fais glissée ma main ainsi que celle de Royce sur mon ventre tout en restant ensuite silencieuse, j'avais beau essayée de tenir depuis le début mais là je perdais beaucoup trop de sang pour restée éveillée. Mes yeux se fermaient doucement alors que je pouvais entendre la voix de Royce sans vraiment réussir à comprendre ses paroles, je pouvais aussi le sentir essayer de me réveiller mais même si je le voulais avec beaucoup de motivation j'en étais malheureusement pas capable. Je voulais bouger, lui parler ou même faire n'importe quoi mais mon corps n'était pas d'accord avec ça. Les urgences finirent enfin par arrivé, quelques minutes plus tard et j'étais pas certaine qu'ils me retrouvent vivante. Plusieurs urgentistes vinrent à nous en me posant avec beaucoup de délicatesse sur un brancard pour ensuite me faire monter dans l'hélicoptère aux côtés de Royce. Une fois qu'il décolla, ils vinrent m'installer un respirateur tout en faisant en sorte que l’hémorragie de ma blessure s'arrête afin que la balle puisse être enlevé une fois arrivé à l'hôpital. Une fois que l'hélicoptère atterris à l'hôpital on vint rapidement s'occuper de moi en laissant Royce patienter. Pourquoi j'avais l'impression que ce genre d’événement nous arrivait beaucoup trop souvent ?
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Au fond de moi, j'avais déjà accepter ses excuses mais je n'arrivais pas à le réaliser. C'est vrai quoi, c'est la deuxième fois qu'elle m'abandonne et la deuxième fois qu'elle revient vers moi. Faut pas déconner non plus, je suis pas un jouet qu'on jette puis qu'on reprend car je lui manquais. Et ça, je lui avais déjà dit. Je me posais pleins de questions sur nous deux, sur ses sentiments envers moi et sur mes sentiments envers elle, sur le bébé, sur notre avenir. Je pouvais pas me permettre de foncer la tête la première sans savoir à quoi m'attendre. Si Leevy voulait refaire partie de ma vie, on allait devoir avoir une discussion vraiment sérieuse car je pourrais pas supporter ses crises de ' je me casse vivre toute seule ' tout au long de ma vie. Je ne faisais pas attention quand elle me disait de la fermer, j'avais l'habitude maintenant de l'entendre me crier dessus. C'est pas parce que j'ai appelé les secours qu'elle a regagné ma confiance pour autant. Soudain, la panique remonta. Leevy ne répondait plus et j'ai pas envie que les derniers mots qu'elle ait prononcé avant de mourir soient ceux-ci. J'ai déjà cru la perdre une fois il y a plusieurs mois, j'ai eu la peur de ma vie. Rapidement, Leevy fut transportée dans l'hélicoptère et pendant qu'on s'occupait d'elle, un infirmière examina mon bras et le désinfecta. J'avais pas trop le moral. Si jamais elle venait à mourir, cela voudrait dire que je perdais encore un bébé et probablement la femme de ma vie. Psychologiquement, je pourrais pas le supporter. Déjà maintenant, c'était limite. Je savais qu'il y avait un espoir que tout se passe bien mais je le cherchais toujours. Arrivés à l'hôpital de Phoenix, Leevy fut transportée d'urgences entre de bonnes mains. Quant à moi, j'avais aussi droit à ma petite zone de patient dans les urgences. J'avais juste un lit et les murs étaient remplacés par des rideaux verts turquoises. Il y avait pas mal de bruit et j'avais du mal à rester en place. Mais j'étais également blessé, et je devais attendre que l'infirmière me fasse un bandage avec une compresse pour que j'arrête de saigner. Ce n'était rien comparé à l’hémorragie de Leevy. Après avoir mis des fils pour soigner ma blessure, elle me donna quelque chose dans ma perfusion qui me fit dormir jusqu'au matin. Il devait être très tôt, sept heures du matin je dirais, quand une infirmière était venue me chercher pour m'annoncer que Leevy était vivante et qu'elle commençait à se réveiller. Je pouvais aller la voir et son médecin devait me parler. Je me précipitais à la chambre de blondie et je tombais nez à nez sur son médecin qui m'attendait.
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Oui j'avais fais une grosse en erreur en décidant de tout bâcler du jour au lendemain, mais d'un côté faut quand même savoir que c'était pas totalement de ma faute. Quand Royce a perdu ses souvenirs j'avais beaucoup de mal à supporter la personne qu'il était alors forcement ça me rendais mal et je me sentais surtout très seule sans lui, alors normal que je me sois renfermée sur la seule chose qui me restais non ? Surtout quand y'a Effie qui me bourre le crâne à côté, certes je suis maître de mes propres choix mais il y a aussi eu beaucoup d'influence. Je savais pas si Royce était près à me pardonner tout ça et encore moins avec ce qu'il se passait aujourd'hui mais au fond on allait avoir un bébé ensemble alors forcement on pourra jamais se séparer réellement. Enfin bon je savais qu'il m'en voulait mais je préférais avoir ce genre de conversation plus tard en espérant toujours être parmi les vivants pour ça. L'hélicoptère venait donc d’atterrir pour nous emmener à l'hôpital. On me pris en charge rapidement pour enlever la balle et guérir au mieux la blessure. On me faisait ensuite des tonnes d'examen pour savoir si le bébé était encore en vie ou non, moi je me rendais compte de rien vu que j'étais remplie de sédatif. Et c'est donc le lendemain matin que je me réveillais doucement, j'avais complètement la gueule dans le cul, je devais sûrement être dopée à la morphine ou j'en sais rien. Mon première réflexe en ouvrant mes yeux était de regarder mon ventre de peur de le voir plat mais non il était toujours aussi arrondie, alors il était vivant ? J'avais vraiment l'impression que c'était la dernière chance qu'on me laissait et que là j'avais plus intérêt à faire de connerie avec cet enfant. J'essayais de bouger rien qu'un peu mais j'en étais vraiment pas capable, j'avais mal partout et je me sentais beaucoup trop faible pour ça. Je fronçais d'ailleurs mes sourcils en voyant que je sentais plus mes jambes, j'essayais de les bouger mais j'en étais pas capable, non ça c'était pas normal. Je voulais vite voir un médecin qu'on m'explique ce qu'il se passe. Le médecin était donc sur le point d'entrer dans ma chambre quand Royce arriva, il devina assez rapidement qu'il était le proche qui m'avait accompagné dans l'hélicoptère. Bonjour.. Monsieur Magyar c'est bien ça ? Il fit ensuite une petite pause pour regarder un dossier me concernant. Mademoiselle Cartwith vient tout juste de se réveiller et le bébé est en parfaite santé, la balle était proche mais elle ne l'a pas atteint, son cœur bat peut-être un peu vite mais la cause vient du stresse de mademoiselle Cartwith. Il  fit ensuite un visage un peu moins sympathique. Il y a quand même eu quelques soucis, la blessure risque de mettre pas mal de temps à guérir et malheureusement une partie de la balle à réussir à faire un choque cotre sa colonne vertébrale ce qui lui cause une paralysie des jambes. Mais heureusement ce n'est que temporaire et elle pourra à nouveau marcher d'ici quelques semaines. Il lui fit ensuite un léger sourire rassurant pour ensuite ouvrir la porte et rentrer aux côtés de Royce. En voyant le brun je ne pouvais qu'afficher un petit sourire, en fait j'étais vraiment heureuse de le voir après le terrible événement d'hier.
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Alors que je me dirigeais dans la chambre de Leevy, je rencontrais le médecin qui m'expliqua la situation. J'affichais un sourire de soulagement lorsqu'il annonça que le bébé allait bien. J'ai vraiment cru qu'il n'y avait plus d'espoir. Tout avait l'air de bien finir, deux personnes étaient sauvées, celles qui comptaient le plus pour moi dorénavant. Sauf que le médecin n'avait pas fini ses explications. Je l'écoutais attention puis je passais une main sur mon visage pour me masser le menton, l'air pas très rassuré. Espérons qu'il dise la vérité, je n'avais aucune envie qu'elle arrête de marcher toute sa vie. Cela pouvait bien la tuer. Leevy était du genre à se dépenser, à courir à droite à gauche, c'était une fille sportive qui n'était pas du genre à rester ses journées devant la télé. Alors si on lui enlevait cette part de liberté, en plus de ce qu'elle attendait, ça risquait d'être l'apocalypse. J'hochais plusieurs fois la tête pour lui dire que j'avais compris. Il me laissa entrer dans la chambre et avant même que je parle à Leevy, je regardais le médecin pour qu'il lui annonce les différentes nouvelles. Une fois le tout terminé, il nous laissa tous les deux et referma la porte de la chambre. Je ne savais pas trop comment me comporter avec elle, c'était encore totalement flou. Le bébé va bien. dis-je pour rompre le silence. Ouais bon, je ne faisais que répéter ce que le médecin avait dit mais je voulais lui montrer que j'étais content. Pour ce qui est de ses jambes, je savais que la nouvelle serait pas facile à entendre. Et toi aussi apparemment. si la paralysie n'était que temporaire, alors elle ne devait pas s'inquiéter et s'estimer heureuse d'être encore en vie. Je comprenais assez vite que j'allais devoir être très présent pour eux, car Leevy ne pouvait clairement pas s'occuper d'elle toute seule, surtout avec une grossesse. Moi aussi j'allais bien mais ce n'était pas très important. Je prenais une chaise et je venais m'asseoir à côté d'elle. Je frottais mes yeux fatigués puis je la regardais, encore la même image, couché sur un lit d'hôpital. J'avais quelque chose à lui proposer mais c'était plus une affirmation en fait, j'avais déjà demandé à Tessy de nous réserver deux billets d'avion pour la fin de la semaine. Ce n'est pas un bon endroit pour toi ici et le camping risque de te limiter pas mal de choses, tu seras en chaise roulante pendant un moment et je n'ai pas envie qu'il t'arrive quelque chose d'autre accidentellement. Il faut qu'on rentre. Retournons à Cambridge. au moins elle sera au calme et si y'a un soucis, c'est mieux d'aller voir les médecins qu'elle connaissait déjà, et pas ceux en Arizona. Je disais on car je n'allais pas la laisser seule, certainement pas.
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Il y avait quand même des bons côtés à tout ça, j'étais en vie et le bébé aussi, si il était mort je suppose qu'il serait pas resté dans mon ventre et que les médecins me l'aurait enlevé. Mais sur le coup ce qui m'inquiétais vraiment c'est que j'étais pas capable de sentir mes jambes ni de les bouger. Là oui y'avait un problème et je me doutais bien que la balle y était pour quelque chose. Je commençais à vraiment paniquer. Heureusement le médecin y compris Royce venait de faire son entrée dans la chambre, j'écoutais alors les mots du médecin en restant assez figée. J'étais dans la joie de savoir que tout va bien pour le bébé mais le fait de savoir que j'allais plus pouvoir bouger avant un moment me faisais penser que j'étais en plein cauchemar. En voyant le médecin partir je restais silencieuse un long moment, j'essayais d'assimiler tout ça mais j'avais beaucoup trop de mal à accepter. Il avait dit que je m'en remettrais mais je faisais pas confiance en ce médecin vu que je le connaissais pas et je pouvais pas être positive dans un moment comme ça. Et si je remarchais jamais ? Là oui je crois que je préfère crever. Mes yeux se posèrent ensuite sur Royce quand il parla, il avait une mine assez fatigué et un bandage sur le bras, je m'étais même pas rendu compte qu'il avait été blessé. T'appelles ça aller bien ? Non être une handicapée ça n'avait rien de bien, surtout pour moi qui veux constamment me débrouiller toute seule et pouvoir faire ce que je veux quand je le veux. J'allais maintenant devoir être indépendante de quelqu'un et merde qu'est c'que j'en avais pas envie. Mais j'allais pas me plaindre, déjà parce que c'était pas mon genre et que je préférais la plupart du temps tout garder pour moi et ensuite parce que toute cette histoire est de ma faute et j'avais pas envie de me prendre une réflexion de Royce sur ça alors je préfère rien dire de plus. Oui j'sais bien que je vais devoir rentrer. Dis-je d'un léger soupire, quand je repensais au summer camp de l'année dernière je me disais que tout avait bien changé, il y a un an j'étais en pleins bonheur et là j'avais l'impression d'être dans un cauchemar à cause de mes conneries donc. On ? Tu vas pas gâcher tes vacances à cause de moi, je trouverais bien quelqu'un pour m'aider. Surtout que j'avais abandonnée Royce au bout d'un moment après son accident alors il avait le droit de faire pareil. Mon regard finis par se plonger dans le siens, sur le coup j'avais envie qu'il vienne près de moi pour me prendre dans ses bras et qu'il m'embrasse, j'avais besoin d'être rassurée et j'avais surtout besoin de sa tendresse. Je savais que tout ça était de ma faute et que si je cherchais pas autant les problèmes tout iraient bien mais là je me sentais mal et j'avais besoin qu'il soit là pour moi. Approche.. Dis-je alors que ma main se glisser vers la sienne, je voulais juste qu'il comprenne que je le voulais près de moi.
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Je me doutais bien qu'elle allait répondre ça. Ah ma Leevy, je la connaissais que trop bien. Elle disait qu'elle ne râlait jamais mais c'était la première à montrer son mécontentement sur quelque chose qui ne lui plaisait pas, c'était ça être franche. Mais au lieu de lui dire qu'elle aurait pu avoir pire que ça, je souriais. J'avais pas envie de me battre avec elle, pas aujourd'hui, pas dès son réveil après tout ce qu'il venait de se passer. Si elle trouvait que c'était horrible de devoir être sur un fauteuil roulant pendant quelques temps, je la laisserais pense ce qu'elle veut. Peut être que si j'étais à sa place, je serais aussi en train de râler. Après mon petit sourire, je lui expliquais qu'on devait partir, on ne pouvait pas rester ici, ça risquait d'empirer les choses. Puis comme le dit je ne sais plus quel inventeur de dicton, on est bien mieux que chez soi. Je me mordis la joue et je l'écoutais me dire que j'étais pas obligé de l'accompagner, que je pouvais rester ici profiter de mes vacances. Premièrement, mes vacances sont déjà gâchées ici et deuxièmement, je ne pourrais pas être bien dans ma peau si je sais que la mère de mon enfant dont je suis amoureux est très loin sous une surveillance dont je n'avais pas confiance. Ah oui, qui donc? C'est quand même mieux de m'avoir à tes côtés plutôt que d'avoir un inconnu en guise d'infirmier. Sauf si tu insistes vraiment pour ne pas m'avoir dans les pattes, je resterai ici. elle m'a quand même dit qu'elle ne voulait pas un homme derrière son dos. Mais ce n'était peut être plus d'actualité, vu qu'elle était devenue plus calme et... plus humaine. Je la regardais pendant quelques secondes quand elle me demanda de m'approcher d'elle, d'une faible voix. J'attrapais sa main qu'elle me tendait et je me mettais debout pour poser une fesse sur son lit, face à elle. J'avais la main moite et elle restait immobile. Seul mon pouce caressait la peau de Leevy. Qu'est-ce que tu attends de moi? cette question résumait bien les choses. J'étais paumé, j'étais blessé par elle et j'avais tellement de craintes par rapport à nous deux. Si jamais on revit un truc similaire, je pourrais pas du tout l'accepter, je serais malheureux, et j'ai pas envie d'abandonner ma famille. Leevy m'a quand même dit des trucs blessants qui tournaient en boucle dans ma tête, assez souvent, ce qui m'empêchait même de dormir.
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C'est vrai que j'avais eu de la chance de m'en sortir et qu'on aurait pu finir mort avec le bébé, mais bon pour autant être vivante j'aurais aimée l'être entièrement et non avoir des jambes que je sentais même plus. Je voulais même pas imaginer ce que ça allait être et la galère que je vais vivre constamment à cause de ça. Mais bon comme on me le dis souvent on récolte ce qu'on le sème et fallait bien qu'un jour la roue tourne et que je souffre autant que j'ai pu faire souffrir mon entourage ou même des inconnus. Je savais que j'allais être obligée de rentrer à Cambridge, au final ça me dérangeais pas tant que ça vu que j'aimais pas le camping mais bon j'avais pas non plus envie de priver Royce de ses vacances. Et je préférais d'ailleurs lui faire savoir, on avait tous les deux eu une année difficile et je pouvais supposer que des vacances ça lui fera du bien donc j'avais pas envie de gâcher ça surtout qu'il était ici avec tous ses amis. Mais je finis par faire une petite moue en entendant ses mots, il avait raison et je savais très bien que je ferais confiance à personne d'autre que Royce pour m'aider. Si tu rentres à Cambridge c'est sûrement la meilleure chose que tu peux faire pour moi. Lui dis-je d'un très léger sourire, et je lui en serais vraiment reconnaissante. Puis même ça me faisais plaisir qu'il veuille bien rentrer avec la façon dont je l'avais fais baver ces dernières semaines. Je le méritais clairement pas mais il était toujours là pour moi, comme y'a un an, un mois et encore hier. Mais là en le regardant dans ses beaux yeux bleus la seule chose que j'avais envie c'est qu'il me prenne dans ses bras, après tout j'avais pas été proche de lui depuis bien trop longtemps maintenant, entre sa perte de mémoire et mon problème de personnalité ça fait donc un moment. Je souriais légèrement quand il vint prendre ma main pour ensuite s'asseoir sur le lit face à moi, c'est pas ce que j'espérais mais tant pis. Je lâcha alors un petit soupire en entendant sa question, je savais que j'allais devoir m'expliquer mais j'en avais pas forcement envie parce que tout était logique dans ma tête et qu'au fond ça faisait un moment que je savais c'que je voulais. Là ça dépend de toi, pas de moi.. Ça dépend si t'es près à me pardonner ou pas. Dis-je en le regardant pour ensuite prendre une petite inspiration, un peu de courage Leevy. Je suis totalement consciente que j'ai déconné et que tout ce qui arrive en ce moment est de ma faute.. Mais j'ai jamais voulu que ça ce passe comme ça, quand t'as perdu la mémoire je me suis sentie pire que seule et je passais mon temps à la mafia et j'sais pas comment mais on a réussi à me retourner le cerveau.. Comment j'ai pu penser que la mafia pourrait passer avant toi et le bébé ? Je fixais toujours ses yeux, je voulais juste qu'il comprenne que c'était sincère et que c'était pas encore l'une de mes manipulations ou je ne sais trop quoi. Je t'aime Royce et j'ai jamais cessée de t'aimer, j'étais juste trop bête pour m'en rendre compte. Bon, maintenant il a compris ce que j'attend de lui ?
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Leevy ne pouvait pas rester ici, enfin si elle pouvait mais c'était de la folie et je crois qu'on a suffisamment été fou pour le moment. J'étais content qu'elle reconnaisse que c'était la meilleure solution que je l'accompagne. Cela semblait logique, je ne vais pas laisser la mère de mon fils en train de pourrir toute seule dans son coin. J'allais tout faire pour qu'elle supporte du mieux qu'elle peut cette mauvaise période. De toute façon, ce n'était que temporaire. Je sais pas pourquoi mais depuis mon accident à la tête, j'avais totalement confiance en les médecins, car ils ont dit que j'allais retrouver ma mémoire et ce fut le cas. Leevy n'avait pas à s'inquiéter. Une fois qu'elle sentira de nouveau ses jambes, elle fera de la kiné pour réapprendre quelques trucs et elle pourra courir de nouveau, toute réparée! Mais je savais qu'elle ne pensait pas la même chose, il suffisait de voir l'expression de son visage quand le médecin lui avait annoncé la bonne et la mauvaise nouvelle. Je venais m'asseoir tout près d'elle et je ne lâchais pas sa main qui était un peu moins froide qu'avant. Tant mieux, elle avait perdu beaucoup de sang et elle reprenait des couleurs. Après un petit silence gênant, je lui demandais ce qu'elle attendait de moi car j'étais totalement perdu. Pardonner, encore et encore. Je baissais doucement les yeux. Je me demandais bien ce qu'elle trouverait à dire pour sa défense, mais bizarrement, ses explications tenaient la route. Ça expliquait beaucoup de choses. Phoenix m'avait dit qu'il y avait surement quelqu'un derrière tout ça, quand je l'avais eu au téléphone. Si même son frère trouvait ça louche, c'était bien qu'il y avait un problème. C'était de ma faute, si je n'avais pas eu cet accident, Leevy n'aurait jamais été plus proche de la mafia. Enfin bon, il fallait essayer d'oublier tout ça et de penser à autre chose, au bébé et à nous. Je vois... J'espère que tu prends conscience qu'il faut vraiment que tu arrêtes tout ça. Et ne dis pas que tu nous mettras en danger. Je suis là moi, je suis assez fort pour vous protéger. la preuve, j'ai tué un homme pour elle. Je clignais plusieurs fois des yeux pour faire partir cette vision du corps inerte sur le rocher couvert de sang. La dernière fois qu'elle m'a dit qu'elle m'avait, c'était le premier jour du summer camp, où elle m'annonça qu'elle ne voulait plus de moi. Roylee c'est pas toujours parfait, un jour j'ai l'impression qu'on est les plus heureux du monde, l'autre j'ai l'impression qu'on fonce droit dans un mur. Mais quoi qu'il arrive, elle ne quittait jamais mon coeur, et je mentirais si je disais que je ne l'aimais pas. Ouais, t'es vraiment bête. répondis-je d'un petit sourire pour la taquiner. Je me mordis la lèvre inférieure en la regardant puis je me penchais pour l'embrasser en posant mes mains des deux côtés du lit. Mon coeur se réveilla et je n'arrivais pas à me défaire de ses lèvres. Je l'embrassais avec passion tandis qu'une main venait soulever sa nuque et que le bout de mes doigts caressèrent ses cheveux blonds. Je déposais même quelques bisous sur son cou mais j'arrêtais tout mouvement lorsqu'on entendait un petit bruit s'accélérer sur la machine qui comptait les battements de son coeur. Enfin, je crois que ça sert à ça. Doucement Leevy, j'ai pas envie que tu fasses une crise cardiaque! je riais puis je regardais la machine, rassuré de voir que son coeur battait moins vite.
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Quand on avait décidés de se remettre ensemble avec Royce on s'était promis de plus jamais se séparer mais au final je crois que les promesses c'est pas notre fort. Mais bon, si on veut se rassurer suffit de penser que si on s'est éloignés une deuxième fois c'est à cause des événements de la vie et non pas, parce qu'on ne s'aime plus, bien au contraire. Au final cet accident était peut être un mal pour un bien, parce que d'un côté ça me faisais réfléchir à beaucoup de chose. Comme le fait que je pourrais jamais être présente pour notre fils si je continuais à travailler, sois c'était parce que j'allais être trop occupée sois c'était parce que j'avais des chances de me faire tuer n'importe quand et je sais très bien que Royce ne sera pas toujours là pour moi. Et là le choix est vite fait si je dois choisir entre ma famille et mon travail. Puis avec notre futur enfant j'avais pas envie de faire la même erreur qu'avec Audrey, je voulais le voir grandir et être une maman présente pour lui. Oui, oui j'ai compris.. Vous êtes maintenant ma priorité et y'a plus rien qui passera avant, je te le promet. Dès que j'irais mieux je me chargerais de qui prend la relève et ça sera finis pour de bon.. C'était bizarre de me dire qu'à partir de maintenant je refermais une page de ma vie, mais je regrettais pas parce qu'au fond je savais que c'était le bon choix à faire. Je sais très bien que tu peux nous protéger, j'aimerai juste que t'en ai pas le besoin. Parce que oui je voulais sérieusement plus de problème, je voulais être en sécurité même quand Royce était pas près de moi, je savais que ça allait mettre du temps pour ça mais un jour ça ira. Je lui avais maintenant fais comprendre que je l'aimais encore et que j'avais jamais voulu que ça ce passe comme ça, j'étais bien consciente que je lui faisais peut-être un peu trop souvent ce genre d'excuse mais j'aimerais vraiment que ça soit la dernière. Mais même si je savais que les prochaines semaines vont être carrément difficile je sens quand même bien que ça ira mieux entre nous. Mais quelle belle déclaration. Dis-je d'un petit sourire amusée en entendant ses paroles, il avait pas besoin de mot pour me dire qu'il était d'accord pour passer à autre chose, suffit que je le regarde pour deviner. Je le suivais ensuite du regard quand il se commença à se pencher vers moi pour ensuite le sentir m'embrasser. Olalala comme ça fait du bien, j'avais le morale à zéro à cause de cette paralysie mais là ça allait déjà mieux. Je prolongeais doucement son baiser avec passion en ayant laissée ma main se glisser contre sa joue, je voulais plus lâcher ses lèvres c'est pas possible. Mais je souriais ensuite amusée en entendant le bip bip de la machine pour ensuite le voir s'éloigner, c'est pas de ma faute si il me fait de l'effet comme ça et que mon coeur peut pas s'empêcher de s'exciter. Faut pas écouter les machines, c'est un bip bip qui veut dire que tu rends une Leevy contente. Dis-je en gardant mon petit sourire alors que je revenais lui voler deux ou trois baisers, j'voulais vraiment que ça aille mieux, j'en pouvais plus des problèmes je voulais juste être heureuse avec mon homme et bientôt notre petit garçon.
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J'ai cru que ce jour n'arriverait jamais, celui où Leevy renonce à la mafia. Est-ce que ça allait vraiment durer? Je craignais d'ici quelques années, si l'avenir nous veut toujours ensemble, qu'elle recraque par moment, car même si c'est le métier le plus cruel du monde, ça faisait partie d'elle et je sais qu'elle prenait plaisir à faire tout ça. C'est un bon sacrifice qu'elle fait et je lui en suis vraiment reconnaissant de tourner cette page pour sa famille, pour notre bébé, et pour moi. Je confirmais qu'elle avait été bête, mais moi aussi je l'ai été, et plus d'une fois. On fait tous des conneries, des erreurs et ça nous permet de grandir un peu plus. Et oui, même à vingt-cinq ans j'étais pas toujours un grand garçon. Quel bonheur de retrouver la chaleur de ses lèvres. Je ne me rappelais même plus du dernier baiser qu'on avait échangé, il remontait à très longtemps. Si cela ne tenait qu'à moi, je serais déjà en train de lui sauter dessus et de l'étouffer avec mes baisers. Mais je ne devais pas oublier qu'elle ne pouvait pas bouger, qu'elle devait rester calme pour éviter que l’hémorragie revienne. Heureusement que les bruits de la machine me déconcentrèrent pour retrouver mes esprits. Je souris à sa remarque et mon sourire restait sur mes joues alors qu'elle redemandait quelques baisers. Une Leevy contente faisait un Royce content, c'est pas beau tout ça? Cela me faisait tout bizarre de ressentir mon cœur battre rapidement car j'étais heureux et amoureux. J'avais presque mal aux joues à force de sourire comme un enfant. Au fait... dis-je pour capter toute son attention. Je glissais le bout des doigts sur sa joue rose et j'affichais un air totalement détendu. ... je t'aime aussi. c'était important de se le dire, elle me l'a dit, je lui ai dis, tout était mis en oeuvre pour qu'on reparte sur de bonnes bases. Ne me quittes plus. je ne la suppliais pas et je ne lui demandais pas de m'en faire la promesse, je lui disais juste de ne plus jamais me laisser comme elle l'avait fait. Les gens vont penser que je suis fou de me remettre encore avec elle, car se séparer une fois, ça arrive, mais deux fois en si peu de temps, c'est mauvais signe. Et bien ceux qui penseront ça, je les emmerde et c'est tout. Je l'aime, elle m'aime, on va vivre ensemble pendant un bon bout de temps et je pouvais pas espérer mieux. Mais j'ai tellement peur que tout parte encore en fumée en un rien de temps. La vie est précieuse, jamais plus je ferais des choses absurdes.
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