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JUNEL ∞ Mais t'es pas là, mais t'es où ?

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Junel
   Moi, le bébé...Et toi ?  
mise en page par .Stay Away &
Il y a plusieurs jours que je sais que je suis enceinte, très précisément deux semaines. J’avoue que ça n’avait pas été facile sur le coup, ça m’avait fait un petit choc, je ne m’étais jamais mise en tête d’être maman car pour moi j’étais stérile. Cela m’avait fait un effet monstre, et je n’arrêtais pas d’en parler à Elia. Mais la seule personne avec qui je voulais vraiment en parler c’était avec Gaël. Gaël, le père de mon bébé pour qui j’avais des sentiments de plus en plus grand mais je ne savais pas, je ne savais plus ce que lui ressentait pour moi…J’avais l’impression qu’on pouvait vivre quelque chose mais depuis qu’il savait que j’étais enceinte…Plus rien. Pas de nouvelles, je le voyais plus, je savais plus ce qui devenait. Tout cela me faisait très peur. Est-ce qu’il voulait vraiment être papa ? Je finissais par me poser la question en vue de son attitude. Qu’est ce qu’il comptait faire ? Partir dès que j’avais besoin de lui. Ma vie s’annonçait vraiment cool avec un enfant dont le père ne serait jamais là. Pour la première fois depuis qu’on se connaissait je finissais par douter de lui. Peut être qu’il était différent quand il était en couple, enfin est ce qu’on avait été en couple ? Je savais même plus. Je pensais à tout ça, dans le lit de ma caravane, une caravane qu’on avait loué pour nous deux mais maintenant…J’avais l’impression que je serais seule avec le bébé dedans. Une main sur mon ventre, je regardais par la petite fenêtre de la caravane dans mon grand lit vide. J’avais l’impression que jamais il ne reviendrait.

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Tu m'avais manqué

J'irais où tu iras...Enfin, Vous!
Si vous saviez a quel point je n'en peux plus. Je suis a bout de souffle, et il est vraiment temps pour moi de prendre des vacances. Pour faire un petit récapitulatif :: Il y a deux semaines, nous avons appris avec June, que dans son ventre, il y avait notre enfant. Non, ce n'est pas une mauvaise chose... Un peu compliquée, mais je suis ravi d'être un futur papa. Le soucis, c'est que sur le coup je n'avais peut-être pas su trouver les bons mots pour la rassurer. Et, je dois dire que nous n'avons pas trouvés les mots pour dire la relation qu'il y avait entre nous.
Mais le problème n'est pas la. Un élève de ma classe avait été le gagnant d'un genre de concours, et il devait partir en déplacement en France. J'étais content pour lui, sauf qu'il a eu un énorme imprévu et que le jeune homme a renoncé a ce voyage d'affaire. Mon professeur a donc trouvé bon de choisir le deuxième gagnant... C'était moi. J'avais été prévenu a la dernière minute, et j'ai quasiment oublié ma tête ici.
En France, j'ai réalisé des choses merveilleuses au niveau de mes études, et j'ai même pu profiter de l'occasion pour voir ma mère. Autant avouer que j'ai passé un instant magique en sa compagnie.
Mais tellement occupé, tellement dans mon boulot, et dans mes retrouvailles... Que j'ai la honte de dire que j'ai zappé des choses importantes. Comme donner des nouvelles a June. Elle me manquait, et je pensais a elle. Je réfléchissais a notre futur enfant, pour vous dire, j'en ai même informé ma maman. J'ai reçu des conseils, des avertissements, mais surtout une fierté de devenir mamie. Bref !
A mon retour a Cambridge, je m'étonnais de voir le campus vide. J'avais déposé mes affaires, et c'est une fois dans la Quincy House que ma lanterne s'est éclairée. ET MERDE ! Tout le monde était en Arizona. Sans perdre une minute, je m'empresse de refaire une valise - en pensant a ne rien oublier - et j'achetais en même temps un billet sur l'application de mon téléphone pour partir les rejoindre. J'avais envie d'appeler June, mais, au fond, une surprise serait peut-être mieux non? Je sais qu'elle va m'en vouloir de ne pas avoir prit le temps de lui écrire et tout... Mais je prendrais le temps de bien lui expliquer mon aventure.

Me voila dans le magnifique Camping. Ma valise en main, mes lunettes de soleil sur le nez et la chemise blanche a moitié ouverte, je parcours les différents lieux. Je prie pour ne pas tomber sur ma jolie brune. Ayant les renseignements de notre caravane, je me dirige vers celle ci. Ont avaient fait la réservations ensemble, et je lui avais en quelques sortes promis de belles vacances... Ca commence un peu mal, mais je ne peux m'en prendre qu'a moi même. Une fois a la caravane, je pose ma valise et je commence a regarder par les fenêtres. Je ne la vois pas par la première, mais en me mettant devant la deuxième, j'aperçois son visage. Elle avait les yeux vers l'endroit ou je me tenais, alors forcément, June me voyait elle aussi. Je ne pouvais m'empêcher de sourire a travers la vitre...   


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   Moi, le bébé...Et toi ?  
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J’avais mis au courant quelques uns de mes amis, Avery, Elia, Priape et Sacha…Oui j’en avais parlé à Sacha pour lui expliquer aussi ce qui c’était passé avec Gaël et pourquoi j’avais agit ainsi avec lui en lui mettant plus ou moins un vent le jour du bal. A un moment je m’étais posé des questions sur Gaël, sur notre histoire. Est-ce que tout cela valait le coup. Je m’en voulais de penser ça car, oui j’avais des sentiments pour lui mais des sentiments pas réciproques c’est tout ce que je ne voulais pas. Or avec Gaël j’avais beaucoup donné et j’avais rien reçu. J’ignorais où il était parti, ce qu’il avait fait, pourquoi ne m’avait-il pas répondu ? Je crois que je n’avais rien fait de mal, je n’avais pas été méchante avec lui. Je suis sûre qu’il prenait ses distances parce qu’il avait peur d’être papa, au fond c’était pas si bien qu’il le pensait mais comment le blâmer, il n’a que 22 ans et j’aurais réagit sans doute pareil à son âge mais il pouvait juste me le dire clairement. Tout tourner en boucle dans ma tête et j’avais si peur, si peur d’être tout l’été toute seule avec mon bébé dans mon ventre.
Si ma mère était toujours en vie je lui aurais sans doute demandé conseil, j’aurais voulu aller en France pour la voir, lui demander ce qu’elle pensait de mon couple avec Gaël. Mais ma mère était mort et mon père à l’hôpital psychiatrique, aucun des deux ne pouvait m’aider et me donner un conseil, ma seule famille c’était mon enfant. Alors que je regardais par la fenêtre je vis le visage de Gaël, sur le coup j’étais vraiment très heureuse, un sourire énorme s’afficha sur mon visage et mes yeux brillaient. Mais c’était trop facile, je lui en voulais trop pour pardonner comme ça alors je tournais ma tête pour éviter de le voir. Bon de toute façon il aurait pas vraiment de mal à rentrer dans la caravane puisque ce genre d’habitation ne ferme pas à clé mais je voulais pas qu’il pense qu’il allait arriver comme un héros et que j’allais être à ses pieds. Non, je ne suis pas une femme faible, j’ai toujours été très forte et je m’aplatirais pas devant lui, même si il est important pour moi.


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Tu m'avais manqué

J'irais où tu iras...Enfin, Vous!
En tout cas, j'avais profité des nombreuses heures de trajet pour réfléchir et penser a la situation entre June et moi. Je pense, non, je suis sur d'avoir des sentiments pour cette demoiselle. Mais j'avais vraiment l'impression qu'ont tournaient autour du pot a chaque fois. Comme ci le sujet était trop tendu pour avoir lieu, ou alors, nous étions tout simplement trop peureux pour en discuter. Bien sur, j'ai peur qu'elle ne veuille pas être avec moi, ou alors que ce soit juste pour le bien de l'enfant. Mais au fond, je voulais de cette histoire d'amour, je voulais lui appartenir, et dire a tout le monde que je suis en couple avec la plus merveilleuse des filles. M'enfin, .. Je devrais profiter de ces vacances pour lui dire tout ça. Tenter, et voir.

Pour le moment, je me trouvais devant la fenêtre, et son regard avait croisé le mien. Bien que la demoiselle m'avait fait un sourire, elle n'avait pas tardé pour tourner sa tête. Elle boude? Je devais m'en douter. Je ne pouvais pas débarquer ici comme ci de rien n'était. Je me sentais con, oui. Je soupire, et je prends le pas en direction de ma valise que j'avais laissé un peu plus loin. Je la soulève, et je vais a la porte. Je soupire une seconde fois comme pour trouver le courage de tirer la porte, et je le fais. Ma valise pénètre avant moi, et hop je suis dedans. Je ferme la porte, je pose mon outil de voyage, et je marche lentement vers le lit. Son visage était tourné a mon opposé et June ne bougeait pas.  " Je ne suis qu'un idiot... J'aurais du te donner des nouvelles, t'expliquer mon absence et mon silence. Si tu veux m'en mettre une ou m'insulter,... Je l'aurais largement mérité. "   Je marque une pause, et je m'avance un peu plu. Mes genoux se cognaient doucement contre le genre de bois de lit   " Mais avant... Laisse moi te dire ceci...."    Je pince mes lèvres et dit   " Tu m'as manqué.. Vous m'avez manqués "   Que ce soit elle ou le bébé. Je voulais au moins lui faire comprendre que ce n'était pas la raison de mon absence. Et, je connais la jolie brune, je sais que je ne vais pas non plus m'en tirer avec une phrase. Elle va surement être un peu méchante, et ce serait totalement normal. Je ne voulais pas perdre plus de temps.. Je croise les doigts pour que ce froid passe rapidement, et que je puisse profiter avec la fille que j'aime. Oh oui je l'aime, et je réalise une fois de plus en la voyant allongée dans le lit.  


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   Moi, le bébé...Et toi ?  
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Je ne pensais pas que Gaël reviendrait ainsi, enfin si, je l’espérais mais j’avais finit par perdre espoir, me dire qu’il ne voulait ni de moi, ni de l’enfant mais même si il n’en voulait pas et si il ne voulait pas de moi il pourrait au moins de me le dire et me demander si il allait bien car je l’avais bien prévenu que quoi qu’il arrive j’allais garder l’enfant car c’était juste impossible pour moi d’avorter. Mais il n’avait même pas demandé si j’allais bien, j’allais bientôt faire mon échographie, j’allais avoir les premières photos de notre petit et il ne serait même pas là. Je lui en voulais beaucoup et quand il entra dans la pièce j’essayais de prendre sur moi, oui j’étais en colère, oui j’étais énervé mais non, j’allais pas le gifler, je n’allais pas non plus lui gueuler dessus. C’est ce qu’il voulait ? Une fois que j’aurais passé mes nerfs on pourrait discuter, ben j’allais faire pire que ça. En général c’est vrai que je me mets en colère et après tout est oublié mais là non, je garde un ton froid, méchant, comme si le fait qu’il soit avec moi me faisait rien. Je lui répondis simplement : « Tu m’as énormément déçu et je pensais simplement que tu étais un homme meilleur que cela… ». Et bam, ça, je vous assure que c’est pire que toutes les insultes, pire que toutes les claques ce genre de phrase. Je repose ma main sur mon ventre, ça me fend le cœur de lui parler comme ça mais il m’a fait beaucoup de mal, j’ai attendu longtemps un simple SMS, un petit mail, mais rien ! Il s’en fiche, de moi, du bébé. Il me dit que nous lui avons manqués mais je me doute qu’au fond ce n’est pas vrai, après tout un sms ça prend quelques secondes. « Et bien je ne ressens pas la même chose, mon bébé n’a pas besoin d’un lâche comme père… ». Bon je pense que j’ai signé mon arrête de mort et c’est à ce moment précis que je me rends compte à quel point j’ai changé, avant mon accident je lui aurais mis une bonne claque et je l’aurais serré dans mes bras. Maintenant je suis devenue plus cruelle, parce que je ne veux plus me faire avoir, toute ma vie j’ai été trop gentille, on m’a utilisé, il m’a utilisé. « Si tu es là pour satisfaire tes besoins sexuelles, va voir dans la tente en face, il y a une petite blonde, je suis sûre qu’elle te plaira… ». Et là je lui fait clairement comprendre que notre relation est juste sexuelle alors que Gaël est tout simplement mon tout, que je peux pas vivre sans lui, mais j’ai tellement mal. Je repose ma main sur mon ventre, j’ai envie de pleurer d’être aussi méchante.

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Tu m'avais manqué

J'irais où tu iras...Enfin, Vous!
Je ne crois plus au père noël, mais j'aurais quand même aimé qu'elle se tourne vers moi, qu'elle montre que ma venue la touche en bien. Mais la, je suis a coté d'une statut. Sans hésitation je lui dis qu'elle m'avait manqué, et notre enfant aussi. Je pensais que c'est ce que June aurait aimé entendre, mais je me suis trompé. Elle m'enchaine directement en me claquant qu'elle pensait que j'étais un homme meilleur que ça. Première claque verbale. Je fronce un peu les sourcils , et je m'apprêtais a répondre quand elle s'empressa de me remettre une claque.
Je ne sais pas comment expliquer cela, mais a l'intérieur de moi, c'était comme ci il y avait un grand vide. J'étais triste et blessé. Je n'avais même pas de mots qui sortaient, je ne me défendais pas. A vrai dire, le seul truc que j'avais en tête c'était mon père. Il avait était médiocre dans ce rôle, et également dans celui du mari. Entendre la jolie brune me dire ça, penser qu'elle m'estimait au même niveau que lui, ça me brisait le coeur.

Je sais qu'envoyer un message ça ne prend que deux minutes. Mais je suis tellement a fond dans mes études que je passais mon temps libre a bosser. Je refusais de ne pas m'offrir le boulot dont je rêvais. De un, parce que je veux m'épanouir dans ce que je ferais, et de deux, je veux offrir une belle vie a mon futur enfant. Mais la, j'étais totalement désarmé. Et dégoûté. Franchement, je ne voulais pas répondre, je ne voulais pas l'affronter car elle venait déjà de me mettre K.O.
Je tourne le dos au lit, et je m'avance dans le fond de la caravane, oui, je tentais de m'éloigner au maximum sans sortir. J'appui mes deux mains sur le bord d'une autre fenêtre et je baisse la tête.
J'entends une nouvelle fois sa voix, et elle ne prononce toujours pas un truc qui me remonterait. Je soupire. Je ne pouvais pas rester silencieux...Ce serait réellement lâche    " Je suis désolé June... Mais je suis la maintenant. "    Nos retrouvailles ne sont pas ce que j'avais pu imaginé. Je regretterais presque d'être venu.   " Tu n'as qu'a me demander de partir... Et je le ferais "  Au final, je pense que c'est ce qu'elle veut. Je restais dos a elle, je refusais de lui montrer a quel point elle venait de m'atteindre. Je n'avais pas répondu a sa méchanceté, je ne voulais pas déclarer une guerre. Mais je bouillonnais un peu je ne le cache pas. Un mélange de petit énervement, et d'une immense tristesse d'avoir entendu ces mots sortir de sa bouche.  


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   Moi, le bébé...Et toi ?  
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J’étais horrible, je m’en rendais compte mais comment faire autrement, je voulais vraiment lui faire prendre conscience qu’il m’avait fait souffrir, qu’il m’avait fait mal. Il aurait pu me répondre, au moins une fois, je m’étais même demandé s’il n’était pas mort. Oui, mon ex petit ami est mort alors je ne trouve pas ça si débile que cela. Je voulais le blesser, je voulais qu’il réagisse, qu’il comprenne pourquoi j’avais fait ça. Même si mes mots ont clairement dépassé ma pensée, je ne voulais pas être aussi odieuse et ça me ressemblait pas mais je croyais avoir fait un enfant avec le mec le plus merveilleux du monde et il m’avait beaucoup déçu. J’étais un peu plus douce dans mes paroles, même si mes propos étaient durs : « Et quand j’accoucherais, tu seras là ou tu seras en voyage ? Quand ton fils fera ses premiers pas ? Quand ta fille perdra sa dent et qu’elle aura besoin d’un câlin de son papa ? Je croyais qu’on serait une famille, que tu étais ma famille… ». Oui pour moi avoir un enfant avec quelqu’un c’est comme un membre de la famille et je n’avais plus de famille, avec Gaël j’avais retrouvé l’espoir d’être heureuse et de fonder un foyer mais je n’avais pas envie que tout se casse la figure. Partir…Si il partait, est ce qu’il allait revenir cette fois ? Pas sûre. Et je serais bien trop fière pour aller lui courir après. « Et bien explique toi puisque tu sembles avoir toutes les raisons valables… ». Là je faisais clairement ma gentille mais mes poings étaient serrés et ma voix toujours froide, mais j’avais fait un effort, un énorme effort vu comme j’étais énervé cela n’avait pas de prix. J’aurais tellement voulu que pour les vacances on forme la petite famille idéale mais je crois que là c’était clairement mal parti. « C’est peut être le mieux… ». Purée, je ne pouvais pas dire ça. « Tu comptes faire quoi pour être pardonner ? ». J’étais consciente que j’avais été méchante et peut être qu’il avait une idée pour que je lui en veuille moins, même si je l’avoue j’étais capable de l’insulter pour toute proposition qu’il ferait. Bon, si je pouvais crier c’est que ma colère redescendait.

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Tu m'avais manqué

J'irais où tu iras...Enfin, Vous!
 Je peux comprendre sa façon de réagir, mais de la a être autant méchante... Non. Comme ci me voir était pénible, comme ci elle aurait préféré que je ne viennes pas ici pour profiter ensemble. En tout cas, ma jolie brune commençait a me pousser a bout. Je veux bien en prendre un peu pour mon grade, mais fallait s'arrêter. Elle m'avait donné la sensation d'être comme mon père, et elle continuait.
Je serrais les dents, et je fermais les yeux pour tenter de me contrôler. Mais je ne pouvais pas la laisser dire... Je me retourne alors, je regarde vers elle, et je dis en dirigeant mon doigt vers elle et en haussant un peu la voix   " Ne t'en fais pas, j'ai eu un exemple a ne pas suivre. A part si je veux que notre futur enfant me déteste. "    Je fais un non de la tête, et je met ensuite mes mains sur mes hanches avant de continuer  " J'ai assez souffert de ce que mon père a fait pour reproduire la même chose June. Et au fond, tu le sais. "    Je ne pouvais pas croire qu'elle pensait vraiment tout ça de moi. C'est ma meilleure amie, elle m'a déjà entendu parler de mon paternel.

Ensuite, la demoiselle me proposait de m'expliquer. Je m'avance un peu plus vers elle et je réponds   " Je n'ai jamais dit qu'elles étaient valables... Mais ce serait bien de les entendre ouais "   Bah oui, elle aurait du commencer par me les demander au lieu de me descendre comme ça.   " J'ai un gars de ma classe qui devait partir en formation a Paris car il avait fini premier d'un concours. Mais il a annulé a la dernière minute. Mon professeur a trouvé logique de choisir le deuxième dans l'urgence, et c'était moi. "    Je marque une petite pause, et je continue  " Alors je suis parti rapidement, et j'ai carrément oublié ma tête ici. J'avoue que j'ai fait l'idiot a ne pas te donner de nouvelles, je le sais. Mais tu me connais mieux que personne, tu sais que je me plonge a fond dans mon travail. Et, j'avais des grosses journées, mon temps libre je le passait a dormir... Ou a revoir ma mère "    Je souris un peu en pensant a ma mère, et je finis en disant  " Et je lui ai parlé de nous... Tu vois, j'ai pensé a toi, et a notre bébé "   Je savais que ça n'arrangerait pas tout non plus de dire ça, mais c'était une petite preuve que je ne pouvais pas garder pour moi.

Je marche encore vers elle, et je me cogne légèrement les genoux sur le bois en dessous du matelas. Je baisse ma tête pour voir son visage. June venait encore de me blesser en affirmant qu'il serait peut-être mieux que je m'en aille maintenant. Mais, elle me permet de proposer une solution pour me faire pardonner. Alors sans trop réfléchir, je dis   " Je pourrais m'excuser encore une fois. Me mettre a genoux pour le faire. Ou te prendre dans mes bras et embrasser notre enfant pour lui dire bonjour. Vous expliquez a quel point vous m'avez manqués. Et je peux aussi te faire passer des merveilleuses vacances... "    Tellement de phrases tournaient dans mes tête. Mais je contentais juste de finir en posant ma main sur son bras et lui dire  " Mais si tu veux vraiment me voir partir, dis le et je le ferais.... "   


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Je soupirais quand il serrait ses poings et commençait à s’énerver mais quelque part je voulais qu’il réagisse, qu’il dise quelque chose, bon peut être pas à me menacer avec sa main là, je ne sais pas à quoi il joue, que cherche t-il ? Il va peut être me frapper en plus du reste, je soupire. Je suis agacée moi aussi et je commence à devenir moins froide. Je me lève à mon tour : « Qu’est ce que tu vas faire ? Tu vas me frapper peut être ? Tu vas frapper ton enfant…Bah vas-y ! ». Purée, il m’agace au plus au point. Il me parle de son père, je sais que le sien n’a pas été terrible et le mien n’a pas été mieux je pense. Il ne peut pas jouer au pire père avec moi, je sais qu’il en a souffert et moi aussi. Il sait qu’il est à l’hôpital mais ignore pourquoi. Il sait qu’il m’a fait du mal mais je ne lui ai jamais dit qu’il m’avait poignardé. Je lui enlève mon t-shirt pour de nouveau lui montrer mes cicatrices au cas où il ne l’est ai pas vu. « Mon père, tu veux savoir ce qu’il m’a fait, cet homme formidable qui m’a poignardé quand j’avais huit ans, je ne sais pas ce que c’est que d’avoir un père normal Gaël… ». Je lui avais caché cet incident jusqu'à maintenant. J’aurais voulu lui confier ça dans un moment beaucoup plus calme que celui-ci. « Tu le savais pas ça, n’est ce pas ? ». Je m’en voulais d’avoir dit ça comme ça, de lui avoir craché la vérité alors que pendant tout ce temps je m’étais retenue. J’écoutais ce qu’il me disait, il était allée en France oui et alors ? Je crois que les portables passent en France. Ce n’est pas la peine d’avoir ignoré mes appels, ne pas avoir répondu à mes sms. Je m’allongeais en boule dans mon lit, j’étais plus triste qu’autre chose : « Tu sais, je ne suis pas une femme jalouse ni rien, si tu aurais voulu partir tu n’avais qu’a me le dire mais de là ignorait mes appels, mes sms, c’était très long deux semaines…. ». Je voulais pas qu’il pense que si j’étais en couple avec lui j’allais être méchante et le priver de tout, non je voulais son bonheur. Je soupire quand il me parle de sa maman, j’ai peur de sa réaction à vrai dire car son fils est jeune, j’ai peur qu’elle pense qu’il a le temps de connaitre la vie de famille plus tard. De plus j’étais sa meilleure amie avant et ça n’a pas été un coup de foudre entre nous, l’amour est venu au fur et à mesure même si dès le départ j’ai trouvé Gaël très séduisant : « Ta mère a dit quoi ? ». J’étais curieuse de savoir. Je passe ma main sur mon ventre en lui disant simplement les larmes aux yeux : « Je voulais que tu sois le seul garçon qui ne s’amuse pas avec moi…Encore une fois je crois que j’avais tord… ». Ce n’était pas contre lui mais contre moi, j’étais trop bête de croire encore au bonheur. Je me tourne pour ne pas le voir mais en même temps il a fait un pas vers moi mais je ne sais pas, je lui en veux encore, alors je décide d’être un peu neutre par rapport à la situation : « Dis bonjour au bébé, lui il ne t’en veux pas… ». Je soupire, j’ai raison au fond, le bébé est innocent dans l’histoire c’est qu’un enfant et il a peut être envie de sentir son papa.
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Tu m'avais manqué

J'irais où tu iras...Enfin, Vous!
 Alors que je commençais a m'énerver, je parlais un peu avec des gestes. Malheureusement, June n'a pas très bien interprété la chose. Elle pensait que je faisais ça par envie de la frapper. Je me demandais si elle me connaissait réellement ou pas, encore une fois. Je ne suis pas violent, encore moins avec celle que j'aime. Je fronce encore une fois les sourcils et lui dit   " Mais n'importe quoi... Je ne poserais jamais la main sur toi, et je ne vais pas éduquer mon enfant a coup de baffe dans la tronche. J'ai des bonnes valeurs et la violence ne figure pas dans mes méthodes... Putain! "   Ce petit mot vulgaire était un peu comme un "bordel" mais je suis trop sur les nerfs pour être poli.
A un moment, elle soulève son tee shirt et me laisse entrevoir une cicatrice. Intérieurement je me demande ce que c'est, mais elle m'éclaircie très vite. Quoi? Son père était ignoble d'avoir fait ça. J'étais triste pour elle, mais encore un peu plus énervé qu'elle m'ait caché cette histoire.  " June... Je ne savais pas... Pourquoi tu m'as caché ça? "   Je pensais être le plus a plaindre pour avoir eu le pire papa; mais elle me bat largement  " Nous avons tous les deux eu des pères ... Enfin des géniteurs qui ne savaient pas comment s'y prendre. On sera des beaux parents, il suffit de faire le contraire "   Je la regarde toujours, et l'image de sa blessure tourne dans ma tête. J'avais du mal a imaginer qu'un papa puisse faire ceci a sa petite fille. Mon bébé, c'était déjà mes deux yeux, et je sais que je le ou la protegerai.

Quand je m'explique sur mon absence, ma meilleure amie insiste sur le fait que deux semaines c"était long et que j'étais vraiment idiot de ne pas avoir répondu.  " C'était long, et tu m'as vraiment manqué... Encore désolé "  Je ne savais pas quoi faire de plus. Mais par chance, ma jolie brune me demande ce que ma maman avait dit. Je passe une nouvelle fois ma main dans mes cheveux et répond  " Elle est ravie d'être grand mère. Après, c'est vrai qu'elle a été surprise du nom de la future maman. Mais elle me fait confiance, et elle sait que ce bébé aura tout ce qu'il faut "   J'ai eu un con comme père, mais une perle rare comme mère. Tout ce que je suis, je lui dois. Et, elle sera toujours la pour m'aider, ou m'épauler.
La fille que j'aime me tourne le dos, mais sa phrase me donne un petit sourire. J'avais l'autorisation de saluer mon futur enfant. Je m’assois sur le lit, collé a June. Je passe une main sous son haut pour caresser son ventre. Je souris sans m'en rendre compte, et ma bouche avance pour embrasser le bidou de June.  " Bonjour ma Merveille... Tu m'as manqué "    Encore un bisous sur son ventre, et je reprends  " J'ai hâte de te serrer dans mes bras.... "    Je me redresse, mais je laisse ma main sur son ventre et je dis en fixant le visage de ma jolie brune   " Il aura la plus belle et la plus merveilleuse des mamans ... "     


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