jealousy ♔ OLIVANDER

❝i'm not jealous, she's ugly❞

Indiana Jane tatadamdaaaaah. Ah non mais j’vous jure, il n’en loupait pas une pour faire l’idiot. Et le pire, c’est que ça te faisait rire. Certes, ce n’était pas la meilleure imitation mais il ne pouvait pas avoir tous les titres. Tu lui avais déjà décerné celui qu’il convoitait certainement le plus, la bite d’or. Alors bon, on pouvait pas être bon partout. Indiana Jane ? Tu m’as fait un remix d’Indi’ Jones et de Tarzan ? glousses-tu juste avant de lui confier que toi aussi ça t’plaisait d’être avec lui, que tu t’sentais bien. Peu importe l’endroit, tant qu’Alex était là. Et l’envie étant plus forte que tout, tu t’étais penchée pour lui mordiller les lèvres, entendant Alexander murmurer quelques mots avant d’atteindre ses lèvres. Ça m'fait du bien aussi. Mais le mordillement se transforma en un baiser et vos lèvres en réclamaient encore. Mais tu voulais te rafraîchir, par t’user un peu plus. Alors t’avais mis fin au baiser et t’étais redressée en chassant l’image de la bosse dans son short – oui oui, une fille comme toi remarque ce genre de chose. Alex, viens à la piscine avec moi. lui souris-tu en attrapant ta serviette pour l’agiter au-dessus de son corps avant de la reposer à tes côtés, laissant tomber ta main sur le torse du garçon. Beh, tant qu’à faire..

J'avais toujours eu ce côté d'humour décalé mais qui pouvait plaire aux filles des fois. Pas tout le temps, je l'accorde, on peut pas être parfait. Cependant ouais certaines craquaient et c'était à mon avantage. Olive était l'entre deux. Elle pouvait trouver ça drôle ou alors pas du tout. Fallait bien que je choisisse mes blagues en fait. « Ouais, ça pose problème ? » Évidemment que non, aucun problème et elle n'avait pas intérêt à en avoir en fait, parce que c'était cool comme blague n'empêche. Mais trêve de plaisanterie, nos lèvres venaient se rejoindre pour la seconde fois depuis qu'elle était là et, mh, like it. « Non » Je ne bougeais pas et j'avais toujours ce petit sourire sur les lèvres. Elle manquait d'informations donc j'enchérissais. « J'peux pas sortir là, ou alors va falloir que tu fasses quelque chose pour que j'débande. » Et voilà que j'agrandissais mon sourire à son encontre, avouant alors clairement mon état actuel. Ouais non, la piscine était pas vraiment conseillée dans ces cas là.

❝i'm not jealous, she's ugly❞

Ouais, ça pose problème ? Tu arques un sourcil avec un sourire amusé sur les lèvres. Non. Mais c’était nul comme association. réponds-tu en imaginant la belle anglaise – elle est anglaise hein ? ou américaine, j’sais plus – avec le chapeau d’Indy’, un fouet et courir dans la jungle en suivant son Tarzan bien aimé, meilleur pote d’un gorille et d’un éléphant. Vous voyez un peu le tableau ? J’m’en tiendrais à Jane, j’préfère. Pour le côté sauvage de sa vie. Après l’avoir embrassé, tu lui avais proposé de t’accompagner à la piscine. Sa réponse fut sans appel. Non. Non ? Mais pourquoi ? Et comme s’il avait lu dans tes pensées.. J'peux pas sortir là, ou alors va falloir que tu fasses quelque chose pour que j'débande. Quoi, c’était ça, son argument ? Oh, allez. D’toute façon une fois là-bas tu vas voir deux trois nanas bien foutu et elle remontrera le bout d’son nez. soupires-tu en levant les yeux au ciel. Tu soulèves sa tête pour te lever du canapé et vient t’accalifourchonner sur lui, posant tes deux mains sur son torse. Allez… s’il te plait. souffles-tu en frôlant le bout de son nez avec le tient.

« Trop pas non » Elle n'avait aucune idée de la beauté des mots que je venais d'associer. Tant pis, elle loupait gros. Mais bon elle préférait Jane, alors c'était déjà ça. Disons que ça m'donnait en plus de ça des idées quand on se retrouvera dans une chambre... Oh ouais. Mais là, il était question d'aller à la piscine. Eh, j'étais pas tellement en condition là et du coup, je répondais directement non. Parce que non quoi. « Sauf si tu fais en sorte que j'puisse pas » Une invitation ? Clairement ouais. Mais de toute façon elle se levait et si j'avais cru qu'elle irait à la piscine sans moi, elle venait s'installer à califourchon sur moi, ses mains sur mon torse. Son visage proche du mien, sourire en coin, je venais capturer ses lèvres sans lui répondre. J'avais pas tellement envie d'aller à la piscine pour être honnête, mais bon, j'allais faire un effort si je pouvais être avec elle.

❝i'm not jealous, she's ugly❞

Sauf si tu fais en sorte que j'puisse pas. Quand Strudwick avait un truc en tête, il l’avait pas autre part. Il était clair qu’il avait envie de toi, certainement autant que tu pouvais avoir envie de lui. Mais allez savoir pourquoi tu t’étais foutue une barrière aujourd’hui. Certainement à cause de la bimbo qu’était sortie en arrivant. Ahlala, les filles et leur comportement. C’est non, Strudwick. dis-tu dans un éclat de rire avant de te lever pour mieux t’installer sur lui, le suppliant de t’accompagner. Oui oui, toi, t’avais supplié quelqu’un. Une première, ou presque. Mais c’est par un baiser qu’Alexander te répondit. Tes lèvres ne se firent pas prier pour s’entrouvrir et laisser la langue du Mather venir à la rencontre de la tienne. Ses baisers, aah. Ne serais-tu pas en train d’essayer d’me retenir ici ? Et, putain, ça marchait. Attirée par ses lèvres, tu retournais les goûter en soupirant de satisfaction. A compter de maintenant tu m’dois une piscine, Alex. Compris ? Non parce que tu voulais vraiment y aller, avec lui. Mais le mâle en avait décidé autrement et ce n’était pas déplaisant non plus. Ta barrière ne tiendrait pas longtemps.

Forcément que j'avais envie d'une petite gâterie, qui n'aime pas ça en vrai ? Mais elle n'avait pas tellement envie de le faire elle donc ça m'gavait un peu mais je ne le montrais pas. J'pouvais pas la forcer après tout. Sauf si.. ouais non. J'étais pas du genre à aller contre le consentement de toute façon. « T'es pas drôle » Mais très vite, elle se retrouvait sur moi, à califourchon sur mon corps, mains sur mon torse et visage tout proche du mien. Si j'avais eu la chance de lui répondre, j'avais préféré opter pour l'embrasser, laissant mon envie prendre le dessus. Nos langues s'étaient retrouvées et j'étais bien là, presque comblé en fait. « Peut-être... qui sait ? » disais-je en rigolant avant qu'elle ne revienne goûter mes lèvres. « On pourra y aller ce soir si tu veux, quand y'aura plus personne et qu'on sera seuls au monde... » C'était une bonne façon de voir les choses. Non mais parce que ouais, c'était mieux quand on faisait attention à rien d'autre que nous. Un peu comme maintenant, tous les deux isolés dans mon chalet avec nos lèvres liées par des baisers plus langoureux les uns des autres.

❝i'm not jealous, she's ugly❞

Tu ne comptais plus le nombre de fois où il t’avait dit que t’étais pas une fille drôle. Deux, en fait. Parce que tu avais arrêté de boire – résolution abandonnée lors de la Mather Party Hard – et puis là, parce que t’étais franchement pas fan de sa blague. Puis une chose en entrainant une autre, tu avais finir par te mettre à califourchon sur lui le suppliant de venir avec toi alors qu’il cherchait juste à te faire rester ici, d’un moyen ou d’un autre. Peut-être... qui sait ? Et le contact de ses lèvres contre les tiennes t’avait complètement fait changer d’avis, comme une girouette. Du moins, tu n’étais plus contre rester ici à l’embrasser des heures durant. On pourra y aller ce soir si tu veux, quand y'aura plus personne et qu'on sera seuls au monde.. Mais ce soir, c’était loin (puis se sera même pas dans le RP, duuh), mais l’idée d’être seule avec lui te plaisait plus que tu ne l’aurais imaginé. Ce soir, alors. C’est un rendez-vous, monsieur Strudwick ? souris-tu, amusée, en jouant de ton bassin contre le sien, attrapant du bout des dents sa lèvre inférieure pour la tirer doucement. Miam.

J'avais pas tellement envie de bouger, j'étais particulièrement bien dans le chalet. Je ne savais pas si c'était la présence d'Olive ou si c'était la clim, mais voilà, j'étais bien. Aucune raison de vouloir aller foutre mon cul dans la piscine. Non mais parce qu'en plus, la demoiselle était à califourchon sur moi avec ses mains sur mon torse, ses lèvres proches des miennes. J'avais tendance à vouloir les garder collées aux miennes d'ailleurs. Mais c'était pas forcément son avis là, préférant alors parler plutôt que m'embrasser. Dommage. Fier d'avoir trouvé un compromis qui pourrait l'intéresser, je me mis à rire quand je l'entendais parler d'un rendez-vous. « Un rendez-vous ? Non, on va juste dire un moment passé avec deux personnes du sexe opposé pour s'amuser à l'abri des regards. Ouais non, c'est pas un rendez-vous » Je faisais pas dans ce genre de pratiques. C'était même flippant de voir qu'elle pensait à ça, elle qui prétendait ne pas être jalouse depuis tout à l'heure.

❝i'm not jealous, she's ugly❞

Un rendez-vous ? Non, on va juste dire un moment passé avec deux personnes du sexe opposé pour s'amuser à l'abri des regards. Ouais non, c'est pas un rendez-vous. Sa réponse te plut, complètement. T’avais déjà hâte de braver les interdits et de pénétrer dans la piscine tard le soir avec le Mather. Dieu sait que vous trouverez mille et une façons de vous éclater. Parfait, alors c’est d’accord. Et tu plonges de nouveau sur ses lèvres tandis que ta main glisse vers son short pour caresser le fruit de ton désir. Puis, tu ne bouges plus. Et en attendant ce soir, on fait quoi ? Tu t’mords la lèvre et te lèves du canapé, le laissant dans cet état là : complètement prêt à te prendre comme tu l’attendais. Mais t’avais décidé d’le faire mariner un peu. Tu fais le tour du canapé, pars dans la kitchenette et ouvre tous les placards à la recherche d’un truc à manger. Finalement, c’est sur une pêche posée sur le plan de travail que tu portes ton dévolu.

Non mais ouais, c'était pas un rendez-vous. Beurk beurk beurk les rendez-vous. C'est nul. J'aimais pas cette étiquette donc je le lui disais très clairement. C'était pas un rendez-vous. Les lèvres collées avec nos langues jouant ensemble, sa main venait se retrouver entre mes jambes, me faisant alors réagir presque aussitôt. Je croyais qu'elle ne voulait pas, elle était quand même très contradictoire cette fille. « On fait ce qu'on a en tête... Autant toi que moi » Mais elle s'était barrée dans la kitchenette, me laissant seul avec mon membre dur dans le canapé. Soupirant, je regardais le plafond sans daigner bouger pour voir ce qu'elle faisait. « Revieeeeeens. Occupe toi de moi, tu m'as mis dans cet état, faut que t'ailles jusqu'au bout » Clairement. Sinon, c'était un peu comme une promesse qu'elle ne tient pas, et ça me briserait le coeur.