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DIAMANTIKA MUST DIE ₪ COKA

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feat. Kovache & Cody
Soit. Cody a un appétit pour l’autodestruction, ce qu’il n’avait jamais caché. Pas qu’il ne l’assumait pas. Bon OK, il ne l’avouait pas là, il n’avouait pas qu’il avait parfaitement conscience de détruire – tout du moins de fissurer – tout ce qu’il touchait. Mais c’est Cody Bleeker, c’est un homme, merde. On le sait tous que les hommes ne s’expriment que par des non-dits. Les sentiments, y a que dans les œuvres shakespeariennes que les hommes les lancent à tout va, ignorant toute pudeur. Cody Bleeker ne parlait qu’en non-dits et il lui semblait pourtant que Diamantika l’avait compris depuis le temps. Qu’il fallait lire au travers de ses sourires, détecter les larmes invisibles dans la muqueuse de ses yeux, écouter ses soupirs, palper son pouls et poser sa tête contre son torse pour entendre son cœur. User malicieusement de ses cinq sens était la seule clé pour discuter avec Cody Bleeker. Qui a dit qu’on ne parlait qu’avec la voix ? Pas Cody. Pas même Diamantika. Elle lui disait de s’en aller, à jamais, disparaître … Mais elle mentait. Son souffle, son sanglot à retardement, ses paupières closes et ses doigts creusant sa chair parlaient pour elle. On ment avec la voix mais on ne peut mentir avec le corps. Et vous savez ce que Cody tira de cet échange ? De la satisfaction. Elle l’aimait. Et ça la tuait. Ce qui signifiait que Bleeker avait encore du pouvoir sur elle. Evidemment et fatalement, elle en avait tout autant sur lui, mais Cody oeuvrait pour le dissimuler derrière un masque. Alors qu’elle était proche – si proche  - de lui, le Lowell s’arrêta de respirer, retenant sa respiration et priant pour que les battements de son cœur se transforment en bruits sourds et creux. Puis elle s’en alla, partit en courant et claqua la porte. Un instant, Cody fixa la porte a priori close, un mince sourire s’esquissant au coin de ses lèvres. Partir ? Rester ? Il ne souhaitait pas spécialement s’éterniser avec elle qui le rendait si faible et qui l’insupportait autant qu’elle l’attirait. Mais la passion le brûlait et ses pieds le guidèrent maladivement jusqu’à l’entrée – qu’il découvrait non-verrouillée. Et puis fallait qu’il use de ses pouvoirs. Vous croyez que Peter Parker a attendu d’utiliser son fil d’araignée quand il s’est rendu compte qu’il se transformait en Spider-Man ? Non ! Cody Bleeker est Peter Parker. Il entra puis grimpa quatre à quatre les marches menant à la chambre de Diamantika. Il se tint contre le chambranle de la porte et croisa les bras, regardant silencieusement la jeune femme qui serrait son drap contre elle. Pathétique. Puis, il parla enfin, signalant de ce fait sa présence ; « Tu veux que je parte ? » Il jouait avec ses nerfs. Il adorait ça.
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Tormented Sleeping...WTF ?.
Tu t'étais jurée de ne plus jamais verser de larmes pour lui, mais faut croire qu'il avait définitivement trop de pouvoirs sur toi et de ce fait, tu auras beau lutter, mais tu n'arriveras jamais à te débarrasser de lui. Il te suivra partout où tu iras, enfin dans tes pensées évidemment, car tu ne voyais pas Bleeker en personne te suivre quelque part. C'est plutôt lui qu'on suivait vous m'voyez ?. Et être aussi proche de lui comme ça, avait réveillé tout ce que tu enfouissais totalement quelque part au fond de toi. Alors ouai, peut-être que tu étais encore et toujours faible face à lui. Peut-être était-ce le fait de vous criez dessus comme des minettes qui avait réveillé ce profond désir et puis, il y avait le manque surtout. Il te manquait terriblement et tu te rendais compte. 'Fin, tu le savais depuis l'instant où tu avais quitté Cambridge, mais t'avais tenu bon pour la première fois et ce soir, tout semblais voler en éclat. Cette passion qui brûlait entre vous était tellement flagrante que même un gosse de dix ans aurait pu le remarquer. Non sérieusement, tu venais de prouver que tu l'aimais encore, que tu ne pouvais tout simplement pas l'oublier bien que tu le souhaitais. Tu venais de lui donner raison que la Dia qu'il connaissait n'avait pas disparu, tu venais de lui donner raison du masque que tu portais pour te protéger de lui et maintenant, il prendra un malin plaisir à te mener par le bout du nez. Et c'était cela que tu ne voulais pas, alors oui tu étais aussi en colère contre toi, même terriblement. D'où le fait que tu t'en étais prise à ta coiffeuse et que tu avais fini par sangloter sur ton drap de lit. Et alors que tu croyais qu'il était parti pour de bon cette fois-ci, sa voix parvient soudainement jusqu'à tes oreilles. Ouvrant rapidement les yeux en essuyant tes larmes, tu relevais la tête afin de croiser son regard. QUOI ? Il n'était pas parti ? T'avais pourtant claqué la porte non ?. Tu ravalais difficilement ta salive en te levant et en te retournant dos à la petite table de chevet près ton lit. Ni vu, ni connu, tu ouvrais légèrement le tiroir en faisant glisser doucement la bague qu'il t'avait offert. Inutile qu'il sache que tu l'avais gardé encore ein, surtout que c'était la dernière chose que tu regardais avant de t'endormir et la première chose que voyais en te réveillant. Tu restais debout devant la table, tes doigts jouaient nerveusement avec ta robe de chambre. « Oui... !. » Répondis-tu en haussant la voix. Mais ce oui la, voulait clairement dire NON !. Non tu ne voulais pas qu'il parte, tu ne voulais pas non plus qu'il s'approche de toi, car c'était vraiment beaucoup trop dangereux. Ce désir brulait encore ton corps, de plus en plus que tu le sentais proche. Rien qu'à voir comment tu respirais pour le prouver. Même ton corps commençait à trembler. Que passa ? Pourquoi tu t'affolais autant ?. Et surtout que tu te mordillais la lèvre inférieure sans te rendre compte.
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Ce n’était pas des bons sentiments qui animaient Cody et le tirèrent jusqu’à la chambre de Diamantika. Pas qu’il allait la décapiter puis la dépecer pour faire un tapis de sa peau et une balayette de ses extensions, mais il ne voulait pas son bien. Ça c’est sûr. La faire se sentir inconfortable, voire complètement perdue, lui donnait graaandee satisfaction. Peut-être qu’en fait, le Codybleeker était avant tout un tyran. Il ne s’était jamais vu de la sorte, mais ces derniers mois au fond de son appartement ont été plutôt rudes, et sa rupture avec Diamantika a été difficile à gérer émotionnellement parlant. Il avait réellement souffert de son départ, même s’il ne donnait pas cette impression, là, maintenant, tout de suite. Il demeurait dans l’entrée de la chambre de Kovache, demandant une nouvelle fois si elle voulait qu’il parte. Owiiii, j’vous vois venir, trop gentil le Cody, trop attentionné, il s’inquiète pour la santé psychologique de Dia blablablaaaaa QUE NENNI. Il souhaitait sentir le manque dans la voix de Diamantika, le désir dans ses yeux, le besoin dans ses mouvements. Et avant de répondre, elle se leva, trafiqua quelque chose avec sa table de chevet avant d’assener le Lowell d’un gigantesque ’OUUUI’. Ben tiens. La dernière fois qu’elle avait crié un oui, c’était dans un tout autre contexte, Cody s’en rappelait même très bien (a). Wesh, c’est ça le talent, Cody c’est une bête, il fait crier les filles sans même les toucher, matez l’artiste, matez le tombeur wesh. On ne dirait pas comme ça, mais ce mec est un dieu ! Bon, j’arrête de lancer des fleurs à mon bébé cinq minutes. Comme face à un miroir, Cody se mordilla la lèvre inférieure puis répondit ; « Très bien. » avec une légèreté déconcertante. Il cessa de s’appuyer contre l’encadrement de la porte, puis détourna quelques secondes sont regard sur les objets étalés au sol, lâchant avec un petit rire une remarque moins piquante que les précédentes ; « Je t’ai connu plus organisée que ça. » Ouais, d’habitude c’est Cody qui pratiquait le rangement par terre, mais faut croire qu’il avait déteint sur elle. « Bonne nuit ? » termina-t-il en la fixant, bouche entrouverte, le regard interrogateur. Si elle ne le retenait pas, cette fois il partait pour de bon. Ce qui serait dommage. Cody avait encore matière à s’amuser avec elle. Ou, plutôt, s’amuser d’elle.
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Tu le détestais d'avoir autant de pouvoir sur toi et tu te détestais d'être aussi faible face à lui. Faut vraiment que tu demandes de l'aide à quelqu'un pour qu'il t'aide à rester de marbre devant lui. Faut vraiment que tu partes en cure de désintox Bleekerienne. Car là, il se jouait amèrement de ta faiblesse et ça se lisait sur son visage. Il accepta enfin de partir, mais bien avant et juste pour te torturer encore, il traînait le pas en cherchant la conversation histoire de te faire changer d'avis au dernier moment afin qu'il jubile encore plus lorsque tu le retiendras à la dernière minute. Il t'énervait au plus haut point, mais tu l'aimais au-delà de ce plus haut point malheureusement. Et ta faiblesse sera ta perte, que dis-tu, elle est déjà ta descente aux enfers. Tu ne répondais pas vraiment à ses propos préférant reprendre ton calme parce que là, autant ton cœur l'appelait, autant ta raison t'interdisait de lui donner ce qu'il voulait. Gad. Lorsqu'il te souhaita bonne nuit en espérant surement que tu l'arrêtes encore, tu t'avançais à pas décidé vers lui et au passage, tu murmurais rapidement. « Suis-moi... » Passant ton chemin, tu descendis rapidement les marches afin de te rendre à la porte d'entrée remarquant que celle-ci n'était pas fermée. Anyway, tu l'ouvrais grandement et à ton tour, tu lui souhaitais « Bonne nuit !. » Et BAM ! Dans ta face Cody. Tu le mettais toi-même dehors puisqu'il se plaisait temps à vouloir te torturer de cette façon, tu venais abréger tout simplement tes souffrances en l'invitant à dégager. Ouai vous y avez cru ein ? Même toi Marie avoue !. Cependant, tu attendais qu'il soit proche de la porte avant de soudainement la refermer et de rester planter devant. Monsieur était maintenant ton prisonnier et il ne savait pas dans quel piège il était tombé. Un gros piège à rat si si. « Ou pas... » Une question néanmoins trottait ta cervelle, que cherchait-il à prouver ou à faire en voulant que tu le retiennes ?. « C'est ce que tu voulais non ? Que je te retienne. Et maintenant ? C'est quoi la suite ? » Il n'y avait pas pensé ein ? Parce que cela te prouvait à toi aussi qu'il n'en avait pas totalement fini de toi, que tu avais aussi un énorme pouvoir sur lui. Pouvoir que tu allais tester sur-le-champ. A commencer par t'approcher dangereusement de lui avant de glisser une main sous sa chemise en laissant juste tes doigts s'immobiliser sur sa peau et la sentir défaillir sous la tienne. Tu le poussais lentement jusqu'à le plaquer contre le bord du mur d'en face. « Pourquoi veux-tu que je te retienne ?. » Bonne question, non parce que s'il n'en avait plus rien à faire de toi, tu ne comprenais pas ce qu'il faisait encore ici et pourquoi il faisait ça. « Et si c'est simplement dans le but de me torturer pour te satisfaire, bien, tu réussis très bien ! Mais n'oublie pas que tu te tortures également. Parce que tu auras beau mentir, mais lui, ne le fera jamais. » Et pour accompagner tes propos, tu glissais lentement ta main jusqu'à son cœur que tu tapotais doucement. « Embrasse-moi. » Demandais-tu le souffle presque coupé, tu ne pouvais plus lutter là, t'en avais pas la force, le désir était bien trop puissant et tu le sentais également de son côté, alors pourquoi se mentir ?. « Sinon, pars !. » A lui de choisir maintenant. Ce qui s'était rallumé s'enflamma encore plus now. Ton regard mordoré plongea dans le sien et tu entrepris délicatement sa main enserrant son bras autour de ta taille. Et pour couronner le tout, tu te mordillais sensuellement la lèvre inférieure, chose qui avait l'habitude de le rendre fou.
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Bon ben … Finalement oui. Bonne nuit. Bonne nuit à touuuus, bonne nuit Cody, bonne nuit Diamantika, faites de beaux rêves, même s’il est que dix-huit heures au moment où j’écris ce RP. Bonne nuuuuit, adieu, oui je sais, on laisse des fans frustrés derrière nous, mais au pire plaignez-vous à Chérine, moi j’y suis pour rien, j’ai fait durer le suspense et c’est elle qui a anéanti touuut le truc. Cody attendant près de la porte ouverte, s’attendant à être jeté dehors avec toute la délicatesse qu’on prête à une chaussette sale. Moi, personnellement, je les traite très bien et sont soigneusement posées dans le bac à linge sale. Mais le commun des mortels traite ses chaussettes sales comme de vulgaires chiffons. Bon, j’dis ça, mais les chiffons sont très bien traités chez moi aussi. Sauf que je sens qu’en général, les gens traitent les chiffons aussi mal que … BON J’ARRÊTE. C’est un cercle sans fin ça. Surtout que vous avez tous très bien capté où je voulais en venir. Et quand la porte claqua, Cody ferma subitement les yeux, s’attendant à la recevoir en pleine tronche et mourir dans de cruelles souffrances. Ou pire. Se retrouver le nez coincé au travers de la porte, style Woody Woodpecker au travers d’une planche en bois. Mais sa vie était saine et sauve, tout comme son nez, toujours fièrement érigé au milieu de son visage. En fait, Cody se trouvait encore à l’intérieur de chez Diamantika. Et la partie weird restait encore à venir. « Je n’ai jamais dit que je voulais que tu me retiennes. Je m’assurais juste que tout allait bien. » Bac – 10 mention Mythomanie ce lascar. Et Dia insistait. Pourquoi voulait-il qu’il la retienne ? Pourquoi pourquoi pourquoi ? Change de disque, il est rayé et il fait mal aux oreilles, putain. Et donc, la partie weird commençait. Ses doigts froids s’insinuèrent sur le torse de Cody Bleeker qui fut pris d’un violent frisson. Vous vous souvenez quand je vous ai parlé de Cody qui ne discutait pas qu’avec les mots ? Et bien là, il était très bavard. Ça faisait six mois qu’il n’avait pas été touché par une femme, et son organisme le traduisait par des vagues de chaleur en cascade et des effusions de dopamine en veux-tu en voilà. Si la relation de Diamantika Kovalevski et Cody Bleeker était un champ de bataille, elle serait une ville assiégée. Au final, qu’importent les remparts que le Lowell s’évertuait à bâtir tout autour de lui pour se protéger de l’envahisseur Kovachien, la menace se trouvait déjà à l’intérieur. Il pouvait faire preuve encore longtemps de mauvaise foi, la repousser, avoir autant de sympathie à son égard qu’il en avait pour les scénaristes de Game of Thrones après l’épisode 10 de la saison 5, mais il se fatiguerait pour rien. Son cœur – le traître – avait déjà rendu les armes et signait l’armistice. Seule la raison de Cody faisait cavalier seul et se battait encore contre ses sentiments à l’égard de Diamantika. Mais pourquoi ? Pour qui ? Elle était un cancer qui s’était déjà généralisé depuis des mois et des mois. On aurait beau enchaîner chimio sur chimio, l’amputer de ses deux jambes, de ses deux bras ou tout simplement de son cœur, rien n’y ferait. Son cancer était formé de lui. Il était formé d’elle. Il pouvait être le patient qui croyait encore à une guérison possible, enchaînant les traitements, ou proliférant des insultes ou même tentant de tout oublier avec d’autres femmes … Rien n’y ferait. Le malade se tuait en essayant de survivre. Et Cody se tuerait en laissant revenir Diamantika. Le pire, c’est quand elle l’ordonna de l’embrasser, ou de partir. Cody, manipulé comme un pantin, laissa son bras vagabonder contre sa taille alors que leurs corps se rapprochaient plus que dangereusement. Leurs visages étaient si proches que des flash par milliers aveuglaient l’étudiant, comme un PowerPoint de toutes les fois où ils s’étaient embrassés. Mille slides de baisers langoureux, passionnés – parfois ratés – mais toujours amoureux. Sa seconde main s’égara sur sa joue, dessina le contour de ses lèvres, que ses yeux ne quittèrent plus. Il ne pouvait affronter le regard de Kovache. Puis son visage s’approcha du sien, encore, encore, un peu plus … Et BAM. Il reprit l’avantage – enfin, pas vraiment quand on y pense – et plaqua à son tour Diamantika contre le mur en face, avec une force sauvage, presque bestiale. L’embrasser serait perdre cette bataille – déjà vaine, il en avait parfaitement conscience. Même si le désir l’embrasait, il ne pouvait se résoudre à céder si facilement à l’ennemi. Alors que leurs bouches se trouvaient à deux centimètres l’une de l’autre, il murmura à son tour – d’une voix plus semblable à un grognement de colère qu’autre chose ; « Toi. Embrasse-moi. » La défaite serait plus facile à accepter comme ça.


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Regardez-moi ce gros mensonge là. Alors comme ça ? Monsieur s'assurait que tout allait bien c'est ça ? N'importe quoi quand on lit sur son visage, l'envie brulante qu'il a de vouloir rester. T'arriverais pas à croire qu'il osait te traiter de Mytho alors que lui, excellait parfaitement bien dans ce domaine. Cette réponse te fit plutôt sourire qu'autre chose. Car pour toi, c'était la preuve même qu'il attendait impatiemment que tu l'empêches de partir, rien qu'à voir sa tête lorsque tu avais ouvert la porte dans le but de le laisser partir ou plutôt, le chasser carrément de chez toi. Sans déconner, tu étais capable de le faire, mais là, tu n'en avais tout simplement pas envie. Tu voulais surtout taire ce désir qui t'empêchait de détourner ton regard de ses lèvres. Voilà pourquoi tu avais fait le premier pas en espérant qu'il fasse le suivant. Mais il faut s'attendre à tout avec Bleeker. Néanmoins, lorsqu'il glissa sa main contre ta joue, tu fermais rapidement les yeux afin de laisser ton esprit retrouver sa douceur quelques secondes et lorsqu'il caressa tes lèvres du bout des doigts, tu frissonnais en sentant ton corps défaillir sous sa tendresse. Tendresse qui ne dura pas bien longtemps puisqu'il renversa la situation et te plaqua sauvagement contre le mur. Ta colonne vertébrale se heurta quelque peu et t'obligea à grimacer, mais tu ne sentais pas la douleur, ou du moins, que très peu comparé au plaisir qui remontait de plus en plus à la surface. Comme Cody restait fidèle à lui-même, il t'ordonna de l'embrasser. Tu reportais ton attention sur ce magnifique mythomane qui rendait tes hormones complètement folles. Tu n'avais même pas besoin de forcer pour lui faire comprendre, non, t'avais qu'à te mordre les lèvres pour que ton envie le frappe de plein fouet. Pendant un petit laps de temps, tu l'imaginais déjà en train de grogner son plaisir contre toi ou encore ses lèvres prenant possession de ta bouche dans un baiser dominant. Tu en frissonnais même d'avance. Sayez, ta main frôlait la sienne avec douceur, bien que lui de son côté, avait préféré la sauvagerie. Tu ne pensais pas l'avoir manqué à ce point vraiment. Pour toi, il aurait fait sa vie, il aurait rencontré d'autres femmes, mais là, il te prouvait bien que tu n'avais pas cessé d'exister dans son cœur. Mais alors qu'est-ce que tu attendais pour l'embrasser ? Peut-être que tu voulais le faire languir encore et encore d'où le fait que tu frôlais à peine ses lèvres avec le bout de ta langue. Finalement, tu glissais une main dans sa nuque plaquant à ton tour -sauvagement- ses lèvres contre les tiennes. Une vague de chaleur t'emporta soudainement, du désir, de l'envie, du manque, de l'amour, trop pleins d'amour. Bon sang qu'il t'avait manqué piting, tu ne pouvais même plus décrire à quel point. Même que ton envie faisait vibrer ton bas ventre. Ta langue jouait pleinement avec la sienne tandis que tu te déplaçais l'obligeant à faire de même jusqu'au fauteuil où tu le poussais sauvagement à s'asseoir. « Je te déteste tellement ! » Traduction, "je t'aime tellement". Cherchez pas comprendre, c'est l'histoire de Coka. En manque de sa bouche déjà, tu prenais place sur ses cuisses en posant tendrement tes lèvres sur sa joue que tu parsemais d'un tendre baiser reprenant possession de ses lèvres ensuite. Ce baiser méritait un oscar pour la passion dont il faisait preuve, pour sa sauvagerie, son amour profond, sa bave délicieuse, sa sensualité inégalable et ce, jusqu'à ce que tu ne puisses plus respirer. Et lorsque tu libéras enfin tes poumons, tu stoppais tout mouvement en gardant ton front contre le sien et en récupérant ton souffle petit à petit. Juste que tu voulais le sentir à nouveau proche. T'imprégner de lui, de son odeur, de sa chaleur et de sa douceur. « Je t'interdis d'avoir autant de pouvoirs sur moi... » Murmurais-tu contre sa bouche ne pouvant pas lutter contre la vérité. C'était malheureusement trop tard, depuis longtemps tu l'avais dans la peau et il t'était impossible de le chasser. Il est et demeurera toujours présent dans ton esprit et dans ton cœur, ne laissant aucune place à un autre homme.

Don't worry, je me suis régalé DIAMANTIKA MUST DIE ₪ COKA - Page 2 152426858 DIAMANTIKA MUST DIE ₪ COKA - Page 2 4205929361
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911, quelle est votre urgence ? On aimerait poser un avis de recherche. Oui, les centimètres séparant Diamantika de Cody semblaient avoir disparu dans la nature, nous sommes tous très inquiets quant à cette disparition. Pouvez-vous y faire quelque chose ? Bien sûr que non. Les seuls pouvant agir étaient les deux lascars qui cédaient à cette passion dévastatrice, passion qui poussa même Cody Bleeker à ordonner Diamantika de l’embrasser. Mon dieu, mais qu’est-ce qui se passait ? ça ne devait pas se passer comme ça. Il était venu pour l’engueuler, pour la maudire d’être revenue sur son territoire – car oui, Cambridge était maintenant le territoire de Cody, pas le sien, qui va à la chasse perd sa place héhéhéhéhé – la pousser à partir et la traiter de pute à frange pendant qu’il y était, même si elle n’a pas de frange, c’est juste qu’il a toujours trouvé cette insulte super cool. Mais la voilà qui dévorait ses lèvres, jusqu’à le pousser sur un fauteuil et le retenir prisonnier entre ses cuisses. Que calor mes amis, que caloooor. Le Lowell ne répondait plus de lui-même alors que ses mains dessinaient ses hanches et les méandres de ses reins, s’imprégnant de la valse du corps de Diamantika tandis qu’elle reprenait possession de ses lèvres. Qu’est-ce qui se passait, merde, Cody aussi la détestait tellement. On ne s’embrasse pas entre gens qui se détestent, non ? à moins que tout l’univers est upside down et que maintenant le tourbillon de la chasse d’eau tourne par la gauche. Shit shit shiiit. Ce serait la première chose que Cody vérifierait en rentrant ce soir. S’il rentrait. Oui, il rentrerait. Alors que Diamantika l’interdisait d’avoir du pouvoir sur elle, il s’empressa de répondre, la défiant du regard ; « J’ai pas de pouvoir. C’est juste que t’es faible. » Et ce n’était pas que pure provocation. Il parlait avec une franchise déconcertante. Ses fois-ci, plus de caresses, ses mains empoignèrent ses hanches pour la contraindre de descendre de son piédestal avant que Cody ne réponde plus de rien. « Tu fous quoi, là, putain ? Tu ne peux pas être en chaleur à ce point, c’est pas possible ! Moi aussi, je te déteste. » Et quand il disait qu’il la détestait, ça sonnait vraiment comme un ’je te déteste’. Il éprouvait une profonde haine pour Diamantika Kovalevski. Une haine pour ce qu’il avait subi avant qu’elle parte, une haine pour son départ, une haine pour qu’il est devenu après son départ. Haine compte triple. Il la regardait, à la fois essoufflé par cette passion dévorante, et constatant avec effroi ce qui venait de se passer. Il passa sa main devant sa bouche, comme conservant inconsciemment les derniers effluves de ces baisers.
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Ses lèvres étaient la pomme d'Eve, la tentation ultime, un appel à la trahison et à la luxure. Leurs courbes n'appelaient qu'à être caressées, comblées au point que chaque mouvement serait le bonheur incarné. t'avais envie, non tu désirais et avais besoin de le sentir se pâmer sous toi. Ses caresses sur tes courbes t'électrisaient et te prouvaient qu'il suffisait d'un simple touché, pour perdre absolument tous tes moyens. Mais monsieur Bleeker était l'homme le plus indécis de toute la planète que tu connaissais et le plus têtu aussi, car monsieur profitait du moment pour te désavantager à nouveau et te montrer qu'il était Cody Tout Puissant. Ouaich, il pourrait même égaler Jim Carrey dans son rôle de Bruce tout puissant. Tu ne répondais pas à sa remarque parce que ça serait te lancer dans un nouveau labyrinthe de réponses sans fin et faut dire que tu étais plutôt occupée à lui bouffer les lèvres là. Non pas que t'étais en chaleur, mais juste en manque de lui tout simplement. Alors il aura beau te le reprocher, tu savais qu'il était plus faible que toi. Car sinon, il serait venu faire ce qu'il avait à faire et partir aussitôt. Le lowell pouvait convaincre un enfant de cinq ans qu'il te détestait, mais pas un majeur et vacciné. Non parce qu'avec la façon dont il te touchait et t'embrassait, prouvait absolument le contraire. Cependant, il te stoppa au bon moment avant que tu ne t'égares à nouveau et re-bouffe ses lèvres. Vous étiez à présent debout et tu faisais quelques pas en arrière tendant une main vers lui en mode STOPEUHHHH SENS INTERDIT. « J'sais pas ce que j'fous... Tu devrais peut-être partir, maintenant. Et... T'approche plus !. » Criais-tu avant qu'il ne fasse un pas de plus et que tu ne répondes plus de toi à nouveau. « Qu'étais-je en train faire putain ?. » Te murmurais-tu à toi-même cette fois-ci tout en passant tes mains dans tes cheveux inspirant et expirant nerveusement. Vrai, il avait raison, t'avais pas le droit de lui montrer à quel point il te manquait. Alors la seule solution que tu avais trouvé pour te rattraper, fut de lui faire croire qu'il n'y était pas spécialement pour quelque chose si tes hormones partaient dans tous les sens, explosant comme un volcan. « Six mois d'abstinences ce n'est pas rien ! Ça aurait été un autre homme ce soir, j'aurais réagi pareil !. Ne va donc pas t'imaginer que je suis en manque de toi !. » Grillée comme un canard laqué parce que personne n'avait envoyé ce sujet non ?. Quoi qu'il en soit, t'avais quand même profité pour glisser "un autre homme" afin de te sauver -même si t'étais presque certaine que cela ne marchera pas avec lui- et quelque part d'autre, le rendre malade de jalousie à l'idée que tu puisses toucher un autre homme ou inversement, que ce soit un autre homme qui te touche.
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Wopopopooop, heureusement que Cody était là et qu’il avait un peu de volonté pour stopper tout ça avant qu’ils ne montrent tous les deux leurs talents de transformistes et se débarrassent de leurs vêtements à la vitesse de la lumière. Non mais c’était drôle, c’est Cody qui disait stop stoop stoooop, et c’est Diamantika qui faisait sa prude en demandant à son ex de ne pas avancer. « J’viens de te repousser, c’est pas pour te courir après une seconde plus tard. » lui rappelait-il en roulant des yeux. C’est bon quoi, peut-être qu’à une époque il avait envie d’elle 365 jours par an (sauf année bissextile où, dans ce cas, c’est 366), 24 heures par jour, 3600 secondes par heure, mais maintenant il savait se tenir. Enfin à peu près. A part là. Mais c’était juste une rechute. Même en cure de désintoxication ils autorisaient les rechutes car c’est tomber pour mieux se relever. Donc Cody allait faire ce qu’il savait faire de mieux et se relever toujours plus haut. Puis là, Kovache lui sortit son speech à propos de ses six mois d’abstinence, avant d’affirmer qu’elle aurait fait pareil avec un autre homme. OK. Elle pouvait dire ce qu’elle voulait, mais au moins Cody avait le respect de ne pas parler d’autres femmes quand il se trouvait avec elle. Soit. C’est sûr qu’il n’avait pas tout un harem sur le seuil de sa porte, mais il en fréquentait. Occasionnellement. « Alors va faire ce que les nanas de Cambridge savent faire de mieux et fais-toi sauter par le premier venu. » lâcha-t-il avec la chaleur d’un iceberg en pleine Mer Arctique (et c’est une fille qui a visité la Laponie et rencontrer le Père Noël qui dit ça). Ce n’était pas de la jalousie qui animait Cody, mais plutôt du dégoût. Bon, et de la jalousie aussi. Mais c’était finalement assez secondaire au moment où il parlait. Disons qu’il réalisait maintenant qu’elle était finalement comme toutes les autres. Parce que même s’il n’était plus en bons termes avec elle, il n’avait jamais cessé de penser qu’elle était différente. Jusqu’à maintenant. Sur ce, il fit volte-face et regagna l’entrée, ne se voyant pas rester une minute de plus dans la même pièce que ce radiateur à fuites ambulant. Ben quoi, si elle était en manque, il ne fallait pas qu’elle perde de temps et s’empresse de combler ses pulsions. Cody rendrait service à Diamantika en s’en allant.
© charney for ilh
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Tormented Sleeping...WTF ?.
Lorsque t'avais demandé à ce qu'il ne fasse pas un pas de plus, c'était comme lui dire STATUT et c'était un jeu que tu avais vu dans une série. Le mec ne bougeait plus, ne parlait plus, restant comme une statuette et ce, jusqu'à ce qu'on l'autorise à bouger. Mais tu ne pouvais pas lui dire "Statut", Bleeker et son cerveau un peu toc-toc ne capteront absolument rien. Aussi, en lui demandant de stopper, tu te l'ordonnais également, comme pour t'empêcher de craquer à nouveau ou de faire toi-même un pas de plus. Mais la suite fut bien plus choquante, oui c'était la fin de ton monde parce que Cody Bleeker venait de te traiter indirectement de muse pour ne pas dire le vrai mot ein. Il n'avait aucun respect pour autrui ce mec. Parler de toutes les filles de Cambridge de cette manière ? Non mais fallait pas généraliser quoi, puis si t'étais comme ce genre de filles, t'aurais pas attendu six mois. Il était vraiment con ou quoi ?. « Premièrement, je ne suis PAS ce genre de nanas, deuxièmement ne va pas généraliser TOUTES les filles de Cambridge parce que je te signale que tu as une fille. » Et que si on suivait sa logique là, elle se fera taper par le premier venu lorsqu'elle sera en âge de le faire. Franchement, il t'avait énervé et avant qu'il n'ouvre sa grande gueule pour parler d'une nana de cette façon, faudrait pas oublier qu'il en avait une de sa chair et son sang. « Si je voulais me faire sauter par le premier venu comme tu dis, je n'aurais pas attendu six mois. Mais tu sais quoi ?. » Dis-tu en le regardant partir vers l'entrée. « J'aurais dû voir un autre homme, il aurait peut-être réussi à te sortir de ma tête ! Parce que là, tu ne mérites même pas d'y être. » Tu ne faisais que te griller, mais tu t'en foutais à présent, il t'avait blessé avec ses propos et il ne s'en rendait même pas compte. « Et tu sais quoi encore ?. » Inspirais et expirais-tu nerveusement. « Ce n'est pas trop tard !. » Affirmais-tu en haussant quelque peu la voix. Sur le coup, tu ne mesurais pas vraiment tes mots, tu ne réfléchissais pas vraiment et donc tu ne savais pas si tu seras capable de laisser un autre homme entrer dans ton cœur. Non, en fait tu ne pourras pas, mais tu l'avais dit un point c'est tout. Il ne méritait que ça pourtant, que tu le blesses comme il te blessait, mais encore, toi tu ne dépasseras pas les limites.
(Invité)

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