Plusieurs jours étaient déjà passé depuis que tu avais atterri en Écosse avec ta confrérie, et que tu te prenais pour Severus Snape au féminin, et en bien plus sexy. T'étais toujours incroyablement excitée face à ce voyage totalement déluré, t'avais des étoiles dans les yeux vingt-quatre heure sur vingt-quatre, mais t'oubliais pas non plus que tout n'était pas beau, tout n'était pas magique dans la vie, et que t'aimerais tellement avoir la chance de partager cela avec ta meilleure amie. Et certes, il était vrai que tu l'avais invité anonymement, et qu'elle était venue même sans savoir qui souhaitait la voir ici. Mais elle était chez les Poufsouffles, et toi étant Serpentarde, tu n'avais pas vraiment eu le temps de la croiser plus que ça. Et les autres fois, t'imagine que vous avez juste tout fait pour ne pas que vos regard se croisent, pour ne pas vous retrouver proche l'une de l'autre. Alors oui, elle était là, elle était venue, mais vous ne partagiez rien de tout ça. Et ça ça te donnait un sentiment de culpabilité que tu ne supportais pas, et ça te faisait mal, tout simplement. Ta fille dans les bras, tu t'étais donc mis à la recherche de Charlie, qui devait t'en vouloir après ce qui s'était passé lors du bal – autant que toi tu étais en colère quand elle avait commencé à gâcher ta soirée. T'as du tourner une bonne heure dans tout le château, avant d'enfin finir par la croiser par hasard, assise seule sous un arbre. Tu t'approchais donc, la voyant de dos, sentant tes mains devenir moites. Tu devais avouer que t'avais un peu peur de comment ça allait se passer. Tu venais donc à ses côtés, t'asseyant à ton tour sous l'arbre, comme si elle t'avait inviter à le faire – alors que pas du tout. « Salut. » Tu commençais doucement, posant ta fille sur tes genoux tout en la tenant, son petit hochet dans les mains.
Poudlard, j'en rêvais depuis toute petite et voilà que j'y étais. Comment ? Grâce au voyage de la Dunster house auquel j'avais été invité. Aucune idée de l'identité de la personne qui m'avait invité... en faite, peut-être était-ce une erreur ? Après tout il y avait plein de Charlie à Harvard, il suffisait que quelqu'un écorche le nom de famille pour que je me retrouve invité à la place d'un ou d'une autre ! Bref quoi qu'il en soit : j'avais fait mes valises sans me poser de question, bien contente de rejoindre la Dunster pour ce voyage en écosse. J'étais par la suite devenue jaune. Non pas jaune Dunster, mais le jaune des Poufsouffle ! J'avoue que dans mes rêves je m'étais toujours imaginé Serdaigle, mais bon j'étais tout de même ravis de ma nouvelle maison et d'être une vrai sorcière le temps du voyage. Je connaissais quelques Dunster, je n'étais donc jamais seule. Je traînais avec Milo de temps en temps, l'embêtant comme à mon habitude, puis je passais pas mal de temps avec Charlie, évitant Beezus dès que je l’apercevais. On ne c'étaient pas adressé la parole depuis le bal. Ce fameux soi où l'on c'étaient giflé et disputer, par ma faute. Pour une fois j'avais tenu le coup. C'était assez rare, il faut bien l'avouer. J'étais presque toujours celle qui faisait le premier pas, qui m'excusait pour nos disputes débiles. Mais cette fois ci, j'avais tenu bon, me rappelant ce qu'avait dis Beezus au sujet d'Augustus durant notre dispute, pour me rappeler dans mes moments de faiblesses combien je la haïssais. Il n'était pas question que je lui pardonne, elle était aller trop loin. Après avoir passé une mâtiné en cours de potion, à me faire péter des trucs dégueulasses à la figure, j'étais parti m'installer sous un arbre pour me reposer et écouter un peu de musique. Mes écouteurs dans les oreilles, j'avais fermé le yeux un moment appréciant le dernier album de Taylor Swift Beyoncé, lorsque je sentis quelqu'un s’asseoir à coté de moi. Je retirais un écouteur, me retournant légèrement pour croiser les yeux bleu de Beezus. J'échappais un court soupire, m'apprêtant à me lever pour partir avant de renoncer en croisant les petits yeux globuleux de sa fille. J'étais nulle avec les enfants, en faite... j'avais le dont pour les faire pleurer dès que je les prenais dans mes bras ce qui m'agaçais et me poussais à les éviter. Pourtant je ne pouvais pas résister à leur petites frimousses... Surtout celle de Lily ! Elle ressemblait tellement à Bee et était tellement mignonne que j'aurais pu la croquer. Je reposais mon dos contre l'arbre, esquissant un petit sourire à l'égard de Lily. « Salut. » Dis-je enfin, froidement, en remettant mon écouteur dans mon oreille. Je n'étais pas décidé à lui parler, je n'avais pas envie qu'elle gâche ce voyage qui était parfait... Enfin parfait: quand je ne culpabilisais pas à l'idée de ne pas partager tout ça avec mon ancienne meilleure amie.
Tu savais que ça allait être dur et pour tout avouer, tu ne savais pas par où commencer. C'était con à dire, mais tu n'avais pas forcément l'habitude d'être celle qui s'excusait, ce qui rendait le tout encore plus effrayant. Tu ne te sentais pas bien, comme maladroite avant même d'avoir ouvert ta bouche ou d'avoir fait un geste, et il manquerait plus que tu lui dégueules dessus sans le vouloir pour sceller un pacte de paix. Alors que tu t'asseyais, elle se tournait pour voir qui était là, et pendant quelques secondes elle semblait sur le point de se lever, avant de poser tes yeux sur sa filleule. Les petits enfants, y avait que ça de vrai pour amadouer les gens dans la plupart des cas, et t'espérais que Lily-Rose te soit d'une petite aide dans ce moment-là. Si au moins elle l'a faisait rester, c'était ça de gagné non ? Lily-Rose battait un peu ses bras quand Charlie lui faisait un petit sourire, comme si elle la reconnaissait, et tu fus gratifiée d'une froide salutation, comme tu l'imaginais. Elle remettait ensuite ses écouteurs et tu mordais doucement ta lèvre. « Tu sais que t'as pas l'droit ? La technologie ça marche pas à Hogwarts. » Tu disais doucement, la regardant. Bon c'était toujours pas des excuses mais tu tentais d'abord de l'amener à être plus ouverte, histoire qu'elle t'écoute un peu : ça servait à rien que tu parles dans le vent si elle était concentrée sur sa musique de toutes manières.
Elle n'avait visiblement pas prévu de partir, puisque à peine mon écouteur droit fut de retour dans mon oreille qu'elle m'adressa de nouveau la parole. N'écoutant pas ma musique très fort, je n'eu aucun mal à comprendre ce qu'elle venait de me dire. « Tu veux quoi ? » Demandais-je agacée, en retirant de nouveau mon écouteur. Je tirais mon portable de la poche de mon uniforme, faisant tomber ma baguette au passage, pour mettre pause à ma musique. « T'es venue pour me faire la morale ? » Ajoutais-je en ramassant le précieux bout de bois. L'idée qu'elle vienne m'embêter juste pour le plaisir m'agaçait au plus haut point. C'est vrai que j'aurais adoré partager mon aventure à Poudlard avec elle, ça aurait été génial de me balader dans les couloirs à ses cotés et d'apprendre des sorts avec Bee. Après tout, on était toute les deux assez fans du monde merveilleux de Harry Potter, et il n'était pas rare que l'ont se fasse des soirées à bouffer de la pizza devant les films de notre sorcier préféré. D'ailleurs en y réfléchissant bien, j'étais persuadée que l'on s'étaient déjà promis d'aller en Angleterre visiter le musée ensemble. Ça devait faire partie de notre bucket list à toute les deux. Seulement voilà: on ne se parlait plus. Et je n'avais en aucun cas envie que les mauvaises ondes de miss Darling viennent gâcher ce voyage dont j'avais toujours rêvé.
« Tu veux quoi ? » Tu soupirais par son ton, mais au moins, elle retirait son écouteur et pausait sa musique. Parce que tu pouvais totalement comprendre à quel point elle t'en voulait et n'avait surement rien avoir à faire avec toi pour le moment mais heeeey, vous aviez la chance d'être à Hogwarts. Dispute ou pas dispute, c'était la semaine rêvée pour pouvoir vivre comme vos sorciers préférés, et il fallait au moins qu'elle le fasse bien non ? Ce qui voulait dire : pas de portable. Tu faisais pas vraiment chier, tu rappelais juste les règles comme une Hermione Granger l'aurait fait. « Parler. » Tu lui répondais, humidifiant doucement tes lèvres, avant de lever tes yeux au ciel à sa prochaine question. « Nooon. J'suis pas venue pour ça. » Tu disais, avant de glisser une mèche blonde derrière ton oreille, qui prenait un malin plaisir de toujours dériver dans tes yeux. Tu tremblais un peu, mais t'espérais aller mieux avec les minutes. « J'voulais m'excuser. Mais j'ai cherché partout et ils ont pas de putain de Starbucks ici. Alors j'sais pas trop comment m'y prendre. » Tu avouais, aussi lamentable que tu pouvais être. Tu ne pouvais même plus l'amadouer avec son café préféré..
Parler ? Justement ce que je ne voulais pas faire, ou en tout cas, pas avec elle. Je glissais mon portable dans ma poche, bien consciente que c'était contre les règles, mais bon ; personne n'était là avant qu'elle n'arrive et en gâche tout. « Tu vas tout raconter pour que les Poufssoufles perdent des points par ma faute ? » Demandais-je à mi-voix, toujours ce même air agacée sur le tronche. Je reposais mes yeux sur elle, la regardant se recoiffer, me pinçant les lèvres. Qu'est ce qu'elle me manquait cette garce. Je rebaissais les yeux sur ma baguette -soit disant magique- qui était sur mes genoux. Je l'attrapais pour jouer avec alors que Beezus s'excusait. En entendant ces mots je reposais immédiatement mes yeux sur elle, assez surprise. Puis je ne pu m'empêcher de sourire en l'entendant évoquée l'absence de Starbucks dans le coin. Je m’efforçais de ne pas rire, ce qui me faisait grimacer comme une idiote. Je rebaissais aussitôt la tête, continuant de triturer ma baguette nerveusement, laissant tomber mes cheveux devant mes yeux pour cacher un peu le sourire débile qui c'était dessiné sur mes lèvres. J'aurais voulu être plus forte et ne pas rentrer dans son jeu, ne pas sourire. Mais c'était plus fort que moi, elle était trop chou dans sa robe de sorcière avec son blason serpentard, puis sa remarque sur le starbucks... c'était trop ! je ne pouvais pas rester là, à coté d'elle et l'ignorer.« J'avoue que sans café ça va être difficile de se faire pardonner... » marmonnais-je, sans relever la tête. « En faite tu m'énerves. Je voulais pas rire bêtement à ta remarque.... J’essayais de faire ma cold hearted bitch et t'as tout gâché. » ajoutais-je, toujours en marmonnant, caché derrière mes mèches blondes, les yeux rivé sur ma baguette.
Tu levais à nouveau tes yeux au ciel quand elle parlait des points pour chaque maison, comme si tu avais que cela à faire en venant lui parler. Et de toute façon, même en vous étant disputé, elle restait ta meilleure amie, et t'aimerais vraiment pas qu'elle se fasse engueuler par tous les autres poufsouffles pour avoir perdu quelques malheureux points pour tentative d'utilisation d'objet non identifié. Ou un truc du genre. « J'ai lu sur tumblr que les Poufsouffles sont censés être super potes avec les Serpentards, comme ils ne se basent pas sur des rumeurs négatives qu'on peut colporter sur eux. Alors non. » Tu disais, une tentative de sourire sur le visage malgré que le sien gardait son air agacé de ta présence. Tu essayais ensuite de t'excuser, ou du moins, de commencer à le faire, de lui faire comprendre que c'était ton intention en venant t'asseoir à ses côtés. Tu ne pouvais te retenir la petite remarque sur le Starbucks, puisque c'était votre technique à vous, et que tu avais sérieusement passé plusieurs heures dans le château ou à Pré-au-Lard, voir s'ils n'avaient pas miraculeusement placé un café dans l'un des recoins. Tu t'étais même arrêtée devant la salle sur demande, et noooope, y avait rien qui avait apparu. Rien du tout. Et finalement c'était peut-être une bonne chose à en juger la nouvelle expression de Charlie, qui semblait devenir amusée de tes paroles. Bien, ça c'était bien. Tu fronçais ensuite un peu tes sourcils quand elle reprenait la parole. « Y a bien d'la Bierraubeurre ici, mais il paraît qu'c'est dégueulasse alors. » Alors il valait peut-être mieux éviter si tu voulais qu'elle te pardonne. Tu riais ensuite doucement à son nouveau marmonnement, la regardant alors qu'elle jouait avec sa baguette. « Tu aurais surement atterri chez les Serpentards si t'étais une vraie cold hearted bitch. Ou les Gryffondors, j'aime pas les Gryffondors. » Tu disais dans une petite moue.
Tumblr, la source du savoir de toute une génération ! Enfin trêve de plaisanterie : je ne savais pas que les Poufsouffles et les Serpentards étaient de bons amis. Je savais que les Poufsouffles étaient des amis fidèles et étaient neutre pour ce qui est des conflits entre les maisons (comme les Quincy en faite) mais de là à ce qu'ils soient potes avec les serpents... je n'y aurais pas cru. En faite, notre amitié illustrait assez bien ce qu'elle venait de dire, puisqu'on étaient amies et chacune dans l'une de ces maisons. La seule chose qui ne collait pas était cette histoire de 'rumeurs négatives'. J'étais la première à me baser sur les rumeurs, surtout quand elles concernaient ma meilleure amie. En faite, j'étais la première à la juger sur ses choix, et ce, toute le temps... Ce qui ne semblait pas très Poufsouffle comme comportement. Mais si je faisais ça c'était, simplement, parce que j'étais une amie fidèle et dévouée ! Je ne voulais pas la voir souffrir, et le seul moyen que j'avais trouvé pour lui ouvrir les yeux était de l'emmerder et de la critiquer. Beezus évoqua la Bierraubeurre et je marmonnais : « J'aimerais bien goûter ça... » toujours cachée derrière mes cheveux. « C'est pour ça que t'es Serpentard ? » Lâchais-je en relevant enfin la tête pour planter mes yeux bleu dans les siens. C'était presque sortie tout seul, mais au fond : elle avait fait sa cold hearted bitch au bal, elle méritait assez bien sa place chez les vert. « Je suis Poufsouffle donc je suis supposée être : dévouée, travailleuse, patiente, fair-play, gentille et tolérante... Mais c'est pas totalement vrai. Puisque je suis une mauvaise amie, méchante, chiante, pas vraiment tolérante, alcoolique... bref. Je crois pas qu'il y ai de maison avec ce genre de caractéristique. »
Comme presque toutes les jeunes filles de ton âge tu passais ton temps sur tumblr lorsque tu avais besoin de décompresser entre deux séances de révisions, et il n'y avait pas à dire, c'était devenu un peu ta bible pour tout et n'importe quoi. Puis ça, c'était plutôt une bonne trouvaille que tu avais faite non ? Puisque le choixpeau t'avais admise chez les verts, et que Charlie elle avait rejoint les rangs des jaunes pour la semaine. Donc Serpy et Pouffy, c'était censé aller ensemble, c'était censé pouvoir être amis plus facilement, c'était soutenir l'autre si quelqu'un des Gryffondors ou Serdaigles le faisait chier, bref, c'était le couple et le duo parfait. « Si tu veux on s'en prendra un aux Trois-Balais... » Plaçais-tu pas si subtilement que cela, alors que tu avais toujours du mal à discerner son visage puisqu'elle ne te regardais pas, se cachant sous un rideau blond. « C'est pour ça que t'es Serpentard ? » Elle répondait en levant enfin ses yeux vers toi, et aouch, ça faisait un petit mal quand même ça, avec la facilité étonnante avec laquelle elle l'avait sorti. « J'sais pas. Peut-être. » Tu commençais en haussant tes épaules. Tu ne savais pas si c'était LA raison pour laquelle on t'avait mis là. Et tu ne faisais rien pour vraiment être une meuf froide et sans coeur. Seulement parfois ça arrivait, et tu te défendais trop – ou trop bien – oubliant complètement le fait que tes paroles pouvaient blesser, et que tu pouvais devenir comme une toute autre personne dans ses moments-là. « Mais ont a aussi des qualités qui sont totally awesome chez les Serpentards, faut pas croire. » Tu disais en tentant de faire un sourire enthousiasme, et puis de toute manière, c'était assez vrai. T'étais ambitieuse, t'étais intelligente, t'étais déterminée, il n'y avait pas que le mal chez les verts. Tu fronçais ensuite tes sourcils quand elle continuait de parler. « Charlie, chut. C'est moi qui suit censé m'excuser là, pas toi. » Tu disais un peu confuse, face à tous les défauts qu'elle avait listé. « J'fais pas attention quand je parle parfois, et je fais pas attention quand je vais trop loin et que je franchis cette barrière invisible entre le respectable et le non-respectable. » Tu disais, mordant ta lèvre.
Elle m'invitait pour une bierraubeurre et quelques part ça m'agaçait, parce que ça prouvait qu'elle me connaissait trop bien et qu'elle savait qu'on allait très rapidement faire la paix et qu'on rentrerait à Harvard main dans la main. Je ne la quittais plus des yeux, elle sourit bêtement en affirmant que les Serpentards avaient aussi des qualités, je n'en doutais pas, sinon elle ne serait pas verte. Parce que, que je lui en veuille ou non, je ne pouvais nier qu'elle avait des tas de qualités. Bee n'était une vraie garce que quand on la cherchait trop. Le reste du temps c'était un petit ange... enfin avec moi. « Charlie, chut. C'est moi qui suit censée m'excuser là, pas toi. » Je me pinçais les lèvres, échappant un petit : « Merde. » Même sans le vouloir elle arrivait à me manipuler. Je me retrouvais à m'excuser, à me rabaisser, alors que pour une fois ELLE était venue s'excuser et pas l'inverse ! Mais en même temps c'était plus fort que moi. Parce que même si elle était vraiment aller trop loin le soir du bal : j'avais quand même été la conne qui avait commencé la dispute, celle qui avait lancé les hostilités en m'invitant à sa table et en pourrissant son ''mec'' sous ses yeux. « Je connais bien cette barrière là,je la franchis souvent aussi... » Dis-je dans un soupire. « Honnêtement : j'avais pas envie de venir m'excuser. Parce que je sais que j'ai pas été cool pendant le bal, mais t'as été pire que moi. Et je t'en veux. Vraiment. T'as utilisé le pire truc qu'on puisse utiliser contre moi. LE truc que je t'avais confié à TOI et à quasiment personne d'autre. T'es certainement la seule personne qui sait combien j'en ai bavé et pourtant, POURTANT, tu trouves le moyen de me lancer ça à la gueule. » Plus je parlais et plus je montais le ton. C'était pas mon genre mais voilà : même si je voulais qu'on mette les choses au clair et qu'ont fasse la paix, je l'avais encore de travers. Je lui en voulais toujours beaucoup. En faite, j'allais avoir bien du mal à me confier à elle comme je l'avais fait auparavant.