SOS MAMAN EN DETRESSE. (macsen)

On danse réellement un slow, l'un contre l'autre, un écouteur chacun dans l'oreille. Ce n'est pas la grande danse, en mode rock and roll et fou rire, plus quelque chose de doux et agréable qui se limite à deux trois pas à gauche à droite, afin de ne pas faire grincer le parquet. Je lève mes yeux vers lui, après qu'il est dit cette adorable phrase et lui adresse un sourire. « J'aurais toujours besoin de toi, voyons. » dis-je avec un petit rire, avant de me tourner sur moi même, dans de petit geste pour ne pas réveiller mademoiselle capricieuse. J'aime ça. J'aime le calme, j'aime son odeur, j'aime sa présence, j'aime qu'il s'occupe de moi comme il s’occuperait d'un enfant, j'aime rester la tête contre son épaule robuste et viril, et sentir le toucher de ses doigts contre ma peau. « J'espère que je ne t'ai pas déranger en fait ? Je ne t'ai même pas demander, t'avais pas un rencard, un diner avec potes, une soirée foot ? » dis-je en espérant que rien de tout ça n'étais prévue, je me sentirais mal d'avoir gâcher sa soirée.

Ce n'était peut-être pas l'endroit rêver pour faire ce genre de chose, soit pour danser mais c'était déjà calme ce qui n'était pas plus mal. Je dansais avec elle, un slow que je n'avais pas pu lui offrir durant le bal de fin d'année qui a été plutôt mouvementé d'après elle. Enfin l'importance est que je pouvais le faire maintenant, en cas de problème, elle savait que je prendrais soin d'elle dans toute situation. Je posais mon regard sur elle en souriant à ses paroles. Je n'en doute pas un seul moment. dis-je avec un léger clin d'oeil que je venais de lui offrir. Je la fis tourné doucement avant qu'elle ne se remette dans la position initiale soit sa tête sur mon épaule. Je secoue la tête doucement en repensant au vieux film que je regardais avant qu'elle ne m'envoie un message. Surtout que j'étais en train de m'endormir en plus de cela. Ne t'inquiète pas, j'étais juste avachi sur mon canapé en train de m'endormir devant un vieux film à l'eau de rose. Donc non, tu ne m'as pas du tout gêné bien au contraire. dis-je en souriant légèrement. Puis niveau rencard honnêtement, j'ai pas spécialement la tête à faire ce genre de chose et j'en fais jamais en fait.

Je glisse doucement, en écoutant la musique. J'me dis soudainement que j'ai peut être gâcher sa soirée et lui fait part de mes inquiétudes. Ses yeux dans les miens, il me rassure que ce n'est rien. Que ce n'est pas grave, qu'il n'avait rien d'autre à faire, et je sourit lorsqu'il ne relève pas quand je lui parle de rencard. Est-ce qu'on peut considéré ce baby sitting sauvetage comme un rencard ? Je n'en ai aucune idée. « Est-ce que si tu m'avais rencontrer avant C, il y aurait eu quelque chose entre nous ? » quelque chose qui soit plus que du sex, de l'attirance physique, ou quelque chose qui nous mènes quelque part. On sors tout deux de relation bien compliquer, alors à quoi bon se fatigué à se poser ce genre d’énigme, mais je voulais tout de même savoir. La chanson finit, je me détache de lui, et l’entraîne jusqu'au salon, pour laisser la petite dormir, je voulais parler de vive voix, et je n'avais plus envie de chuchoter. Le canapé était déballer, alors on pouvait ENFIN s’asseoir dessus, je prend place et lui fait signe de me rejoindre. « C'est pas pour te faire peur, je veux juste savoir. » parce que si ça ne tenais qu'à moi, j'aurais déjà sauter le pas avec lui depuis des lustres.

Les filles ont toujours peur d'être un poids pour un mec, si je lui avais dis qu'elle m'avait dérangé, elle l'aurait sûrement mal pris. De toute façon, ce n'était pas comme si cela était le cas, à part commencer à ronfler devant un vieux film je n'ai pas fais grand chose de ma soirée. La musique s'arrêta finalement et je lui fis un léger sourire quand elle finit par me demander si finalement, j'aurais été avec elle si je l'avais rencontré avant C... Je n'en avais aucune idée, je ne pouvais pas savoir si Chrissy aurait réussi à me retourner le cerveau comme elle l'avait fait. Je ne sais pas, j'imagine. Mais on ne peut jamais être sûr à 100%, mais il y aurait eu de grande chance. dis-je avec un léger sourire aux lèvres. Après tout, on a toujours eu une relation bizarre tous les deux pourquoi cela changerait maintenant. Je la suivis sans rien dire en direction du salon qui était maintenant totalement rangé contrairement à la dernière fois où je suis venu. Je m'installe à côté d'elle dans le canapé. Tu ne me fais pas peur à ce sujet, je suis plus ouvert qu'avant. Mais j'imagine qu'on aurait pu formé un couple oui. dis-je en appuyant mes mots par un hochement de tête. Mais on ne peut être sur de rien.

Je le tire dans la salon à présent vider, et l’entraîne sur le canapé, mettant des hypothèses, entourant notre relation de « et si ». Je l'ai réellement apprécier durant un moment, cherchant constamment son attention et au final, je me suis dis qu'il aimer C, qu'il l'aimais vraiment, et que le girl code nous interdisait de nous faire des crasses. J'ai laisser tomber, mais à présent, nous sommes tout les deux à la case départ, et une mise en situation ne serais pas de refus. Je lui demande maladroitement ou nous aurions pu être si nous avions décidez, dans le passer, de se donner l'un à l'autre. Alors que je m'assoie sur le canapé, et passe mes jambes sur les siennes, le dos caler contre le dossier du canapé. « ça t'aurais plus? Je suis une horrible copine. Je ne sais rien faire d'autre à manger que des crêpes, et tu as pu remarquer que j'hurle beaucoup trop quand on fait l'amour. Et je suis chiante, comme maintenant, je cherche des calins et des plans sur la comète. D'ailleurs, je peut avoir un calin et un autre bisou ? » dis-je en me redressant, lui tendant mes lèves, avec un regard de petit chat. Je suis vraiment chiante quand j'm'y met, mais ça faisait si longtemps que j'essaie d'avoir l'attention de Macsen Doyle-Fernandez, que l'avoir rien que moi était comme un rêve.

Maintenant que nous étions en dehors de la chambre, on pouvait enfin parler normalement sans pour autant baisser le ton à chaque fois. J'étais à côté d'elle dans le canapé, qui était maintenant déballé. On finit par parler de la relation qu'on aurait pu avoir si je n'avais pas rencontré Chrissy et si je n'avais pas eu de sentiment pour elle. Il est vrai, qu'il aurait été fort probable que je finisse avec Alaska, il faut dire qu'on a toujours eu une attirance plus que flagrante l'un pour l'autre et cela depuis le début. Je ne pus m'empêcher de rire en l'entendant dire tout ce qui faisait d'elle une mauvaise petite amie. Les filles crient toujours quand elles font l'amour, je sais sûrement mieux cuisiner que toi mais cela s'apprend. Et les filles câlines sont souvent les plus appréciés. dis-je en finissant ma phrase par un petit clin d'oeil. Surtout que cela allait très bien avec la demande qu'elle venait de me faire. J'eus un sourire au coin avant de l'approcher de moi puisqu'elle s'était déjà mise à l'aise en posant ses jambes sur les miennes. Je finis par déposer un baiser sur son front alors que je la serrai dans mes bras venant lui voler un petit baiser tendre déposer sur ses lèvres. On ne peut pas dire ce que l'avenir aurait été si je n'avais pas rencontré C. mais on peut s'imaginer que l'avenir à toujours le moins de changer quand on s'écart un peu de la voie.

« Macsen Doyle-Fernandez, j'aime vos baiser. » dis-je en gloussant, tandis que son corps muscler m'enroule. Je n'ai jamais compris pourquoi toutes mes copines craquer sur lui, avant de comprendre le pourquoi du comment. Il était gentil, doux et sexy. Je caressais une mèche de cheveux, que j'enroule dans mes doigts, avant d'embrasser sa joue. « Je ne sais pas quel vieux film tu étais entrain de regarder, mais j'en ai des pas mal aussi. » dis-je en me redressant, je cours presque chercher Breakfast at Tiffany avec Audrey Hepburn. Et met le dvd à l'écran, je fais gaffe de baisser le son bien sur pour que princesse capricieuse ne fasse pas les siennes, et sors les couettes de ma chambre, ainsi que les coussins. Je lance le tout sur le canapé, et m'enroule dans le draps, Macsen près de moi. « Tu dors ici bien sur, c'est pas une question. » dis-je en gloussant, le film démarre, tandis que je me colle à Macsen pour le début du film. Je ne me souvient plus vraiment de la fin du film, je me souvient juste avoir merveilleusement bien dormis dans les bras de mon espagnol préféré.