SOS MAMAN EN DETRESSE. (macsen)

Beezus avait ramener bébé Lily-Rose avant le départ pour l’Ecosse. Elle avait encore quelque teste à passer, alors elle m’a demander de prendre en charge cette adorable petite bouille d’ange. Bien que je n’y conaisse rien en bébé, je connais assez Lily pour savoir ce qu’elle aime et ce qu’il faut pour la calmer. Sauf ce soir là, Bee est partit travailler de nuit au mcdo à cause des horraires d’été, et m’as confier bébé Rose jusqu’au lendemain matin. Elle m’a fait un topo sur comment s’occuper d’elle, bien qu’elle même est toujours un peu de mal à s’occuper de son gosse, ne l’ayant pas eu beaucoup de temps avec elle depuis qu’elle l’a mise au monde. Bref, je me suis dis qu’au pire : j’appel les pompier pour m’aider, au mieux : on s’endormiras toutes les deux devants un dessin animé et une soupe au potirons. Mais Lily a décidé de me mettre en rogne, il était minuits passer quand elle se réveiller brutelement, me réveillant au passage de mon someille réparateur. Elle beugle, hurle, à bout de souffle, et rien ne l’arrête. Le biberons, la télé, la musique du dodo, les tétines, les jouets : RIEN. Je suis à cours d’idée, et je suis surtout fatigué et triste de la voir ainsi. Ne sachant pas quoi faire, j’envoie un sms à Macsen pour lui demander de me rejoindre à l’appartement.

J'étais tranquillement en train de mater un bon vieux film qui date de quelques années maintenant, la solitude était mon fidèle ami en ce moment alors autant retourner dans le passé avec des films que je regardais quand j'étais adolescent. J'eus un sursaut quand j'entendis mon téléphone bippé signe que j'avais un message. J'étais en train de m'endormir devant le film, avec le pot de popcorn entre les jambes. Je passe une main dans mes cheveux avant de regarder le message qui venait d'Alaska. Elle m'appelait au secours parce que bébé lily faisait des siennes. J'eus un léger sourire aux lèvres avant de lui répondre vite fait que j'arrivais. Je me lève et éteint la télé. J'enfile rapidement un haut avant de prendre mes clés et de sortir de l'appartement. Je n'avais pas pu passé beaucoup de temps avec ma nièce mais ce n'était pas grave, je savais y faire avec les enfants. Je ne mis que quelques minutes avant d'arriver devant la porte de Beezus et Alaska. Je toque rapidement et entre voyant que la porte était ouverte. J'entendais les pleures de la petite, je me dirige rapidement vers la chambre où elles devaient sûrement se trouver. Alaska? Je suis là. dis-je en rangeant mes clés dans ma poche arrière.

J’étais en panique, et Macsen connaissait bébé Lily mieux que moi, c’est donc sans hésitation que je l’appel au secourt. Il me dis qu’il vient sans soucis, et je soupire alors de satisfaction, en sachant que je ne vais plus entendre hurler cette adorable, mais a présent insupportable bébé. J’essaie la dernière technique de Beezus, et l’attache autour de mon ventre comme si on partait en promenade, mais pas de promenade nocturne à minuit et quelque, non. Je la porte et me balade dans tout l’appartement, en chantonnant des musiques disney. Épuisée, je me rallonge dans le lit, ou elle arrête de pleurer, mais reprend de plus belle. La porte s’ouvre et je fais face à Macsen. « Mon sauveur ! » dis-je en souriant, et l’invite à venir sur le lit pour prendre Lily-Rose. Petite capriseuse, va.

J'étais en train de m'endormir quand je reçu un message d'à l'aide d'Alaska. Lily était en train de faire des siennes et je savais y faire avec les enfants surtout les filles, allez savoir pourquoi. Je m'étais dirigé vers son appartement pour lui venir en aide même s'il était minuit passé. Quand j'entre dans l'appartement, j'entendis les pleures de la petite, elle faisait plus une grosse colère qu'autre chose. Elle ressemble vraiment à sa maman celle-là. J'eus un sourire en entendant le surnom que venait de me donner Alaska alors que je m'étais dirigé vers sa chambre. Quand on parle de ma nièce, je suis toujours là. dis-je en souriant alors que je m'étais posé sur le lit pour prendre la petite dans mes bras. Je la laisse jouer avec mes doigts alors que je voyais déjà qu'elle se calmait. Je penchais la tête tout en faisant des petits bruits avec ma bouche en attendant qu'elle se calme complètement. Bee travaille ce soir? J'aime vraiment pas l'idée qu'elle bosse la nuit. dis-je en en grommelant mon mécontentement avant de venir déposer un baiser sur le front de ma princesse lily-rose.

Je sais même pas pourquoi j’ai proposer de garder Lily. J’suis un enfant, et un enfant qui garde un enfant c’est juste pas possible. Alors quand j’suis à bout, et qu’elle aussi, je finit par demander à notre beau gosse préféré de venir. J’pense qu’elle avait besoin de sa présence, autant que moi j’en avait besoin actuellement. Il n’y a pas eu de lendemain à notre petite aventure, et j’avais juste envie d’avoir sa présence dans la même pièce que moi. De plus, il en sait un rayon sur les bébés, surtout quand il s’agit de sa nièce adorer, je le regarde avec stupéfaction. Il est vraiment douée, et voit la réaction de Lily qui passe du petit diablotin à l’adorable ange qu’elle est habituellement. « Tu sais bien t’y prendre. » dis-je en la regardant s’endormir. « Oui, les horaires ont changer puisque maintenant c’est ouvert 24h/24h, je ne sais pas si elle rentre, parfois elle attend le matin pour ne pas réveiller Lily. » dis-je en caressant son petit bidou, pour qu’elle s’endorme rapidement.

Je savais calmé les enfants, je ne savais pas pourquoi exactement, c'était juste un talent innée chez moi. D'un côté, cela me servira quand j'aurais moi-même des enfants, en imaginant que j'en ai plus tard. Je souris en entendant les paroles d'Alaska et je tourne la tête vers elle doucement. J'ai toujours réussi à charmé les femmes, à croire que cela marche aussi avec les bébés. dis-je en lui faisant un clin d'oeil. Je déconnais bien sûr, même si je savais que mon charme ne laissait jamais une femme indifférente, même si elles n'osaient pas toutes le dire. On finit par parler de Beezus et de son travail au macdonald la nuit. Je n'aimais pas spécialement cette idée, on tombe souvent sur des louches le soir. Il faudra que je pense à aller la voir pour être plus rassuré. Je vois... Vivement l'hiver alors, où qu'elle trouve un nouveau travail. dis-je en fronçant les sourcils. Quand la petite se mit à dormir, je me lève pour la déposer dans son landau doucement. Je mis son nounours à côté d'elle ainsi que sa tutute et remet la couverture. Elle dort maintenant. dis-je en me tournant vers elle en souriant.

C’était le côté paternelle dont il m’avait parler, ce qui prouve que je ne serais jamais une bonne maman, une mère bien sur, tout le monde peut être mère, mais une maman c’est pas la même chose, j’ai pas ce truc qui fait que mon gosse seras fan de moi. J’le regarde donc faire avec des étoiles dont les yeux, il était si beau, que j’en avait des frissons. On parle de Bee, « Elle devait changer de boulot depuis longtemps mais elle n’a pas eu le temps de chercher et de toute façon, j’lui ai dis que si Angel et elle c’était officiel elle devrait profiter de son fric, comme il a profité de son utérus. » dis-je dans un murmure, alors qu’il pose la petite dans son bercau, ils n’avaient rien d’une famille unis, mais Angel fait des efforts et a meme proposer à Bee d'enménage ensemble, c’était le minimum mais bon, je vais me retrouver seule. « Je peut avoir un calin, moi aussi ? J’ai du mal à dormir avec tout ce bruit. » dis-je avec un sourire au coin. Il faisait tomber toutes les nanas à ses pieds, moi la première.

La petite était en train de s'endormir tranquillement dans mes bras. J'avais un don avec les enfants, ou seulement avec elle, je n'en savais que trop rien. Beezus travaillait de nuit, elle avait laissé la garde de sa fille à Alaska qui a fini par m'appeler. J'espérais vraiment qu'elle change de travail. Mais elle n'avait pas eu le temps d'après sa colocataire, même si ses paroles m'ont fit rire, elle n'a pas tord non plus. Tu as raison, mais le fric ne fait pas tout. Faut qu'elle soit heureuse aussi. dis-je en lui faisant un clin d'oeil. Je sais que je dis cela alors que j'ai eu le coeur brisé et que j'en ai brisé plus d'une dizaine dans ma vie, mais j'avais grandi... En quelque sorte. Je m'étais levé pour aller couché la petite dans son berceau et m'était retourné vers un autre bébé qui quémandait un câlin. J'imagine que tu le mérites pour avoir supporter les pleures de ma nièce. dis-je en m'approchant d'elle. Je me pose sur le lit et l'attire vers moi pour la coller contre mon torse, venant caresser ses cheveux doucement. Tu vas bien toi? lui demandais-je en regardant en face de moi. Elle avait des problèmes de coeur aussi, si je m'en souviens bien.

Macsen remet la petite dans son berceau, en la berçant. C’est vraiment fou, ça faitp lus de trois heures qu’elle se casse la voix à pleurer dans tout les sens et il ne lui a suffit qu’un quart de minutes pour lui redonner le someille, un vrais magicien. J’ai arrêter de donner mon avis dans la vie de Beezus, de peur de me prendre une gifle comme Charlie le soir du bal. « Oui, mais Angel est riche, et qui dis riche dit : amour matériel et tu sais comme moi que Bee est très très très porter sur les choses matériel. » C’est une fille géniale, mais elle est un peu trop matérialiste, et c’est pour ça et à cause de ça, qu’elle est tomber pour Angel. Je lui demande un câlin, alors qu’il était debout à mes pieds, et ouvre les bras pour l’accueillir et me blottir contre lui. « Tu m’as manquer. Est-ce qu'on a le droit de s'embrasser ? Juste un petit. » dis-je en faisant ma tête de chat potter, elle marche tout le temps normalement. il me manque vraiment, parce que je ne me suis plus sentit aussi vivante que la nuit dernière. Est-ce que ça va ? Peut être, je n’en sais rien. « Je sais pas. Et toi, ça va ? »

Beezus était sûrement matérialiste mais qui de nos jours ne l'était pas? Je n'en connais que très peu et encore, je ne peux même pas dire s'ils ne le sont vraiment pas. Comme toute personne de nos jours. dis-je en haussant les épaules. La petite était maintenant endormie et dans son lit, on aurait pas pu demander mieux pour avoir enfin le calme. Je viens la prendre dans mes bras quand elle me demande un câlin, elle le méritait bien. Je baisse la tête vers elle quand elle me demande si elle pouvait m'embrasser parce que je lui avais manqué. Tu m'as aussi manqué ma belle. dis-je avec un sourire au coin alors que je dépose un léger baiser sur ses lèvres. Un peu de douceur ne fait pas de mal. Je m'intéressais à son état de santé, parce qu'elle était mon amie et la dernière fois, elle semblait être vraiment perdue. Moi, cela va mieux... J'avance on va dire. dis-je avec un léger sourire au coin. Je m'étais promis d'arrêter de déprimer pour elle car c'est elle qui perd quelque chose pas moi. Qu'est ce qui ne va pas? dis-je en caressant ses cheveux doucement une nouvelle fois.