zoiel + I see her dancing on a fool

❝ But you
can’t stay away from me ❞
GABRIEL & ZOYA

Non, non, non, ce n'était pas une crise de jalousie, n'est-ce-pas ? Lorsqu'elle me disait que je voulais juste coucher avec elle, je fronçais les sourcils, ce n'est pas vrai, on ne se voyait pas que pour coucher ensemble c'est elle qui me parlait du pêché de chair à chaque fois qu'on devait se voir, qui y faisait allusion. Alors je ne répondais pas à ses attaques, non. Elle commençait réellement à me prendre la tête. Restes calme Gabriel. Souffles. J'ai jamais demandé à ce qu'elle me parle de ses mecs, oui parce que maintenant je savais, qu'elle en avait plusieurs, plus celui dont elle était en train de tomber amoureuse. D'ailleurs c'est bien drôle de penser à ça sachant qu'elle va voir ailleurs. Celles que je pourrais éventuellement avoir en parallèle, tu penses quoi, que j'en ai une pour chaque jour de la semaine ?! Y'a personne ... oui, en fait, depuis un petit bout de temps, les soirs où je passais mes nuits avec une femme, c'était avec elle, Zoya. Elle me repoussait, puis me demander de m'asseoir d'une manière qui ne me plaisait pas du tout. Alors je faisais le contraire. Mais je m'en fou que t'ai le sang chaud Zoya, ça veut pas dire que je vais me mettre en sourdine pour te ménager depuis notre première rencontre, ça, elle devait s'en douter. Puis je ne la comprenais vraiment plus, elle voulait que je la ménage, que je ne dise pas ce que je pense, pourtant, ce n'était pas le genre de femme à prendre des pincettes avec les gens, voulait-elle que je la prenne en pitié vis à vis de son passé ? Que je me dise, pauvre petite chose, même si elle n'est pas correct, je devrais peut être lui passer de la pommade et la caresser dans le sens du poil. Foutaise ! Je ressens rien Zoya, c'est bien connu, on se voit pour faire nos affaires et puis basta, c'est pas ça le deal ? dis-je en affrontant son regard moi aussi. Cependant, si elle était assez maligne, elle pourrait comprendre que je m'étais peut être attaché à elle, je ne voyais plus personne, mise à part elle ... Toi par contre, tu devrais être honnête avec ton Warren, va lui dire ce que tu ressens et laisse tomber, c'est pour moi dis-je en lui montrant d'un geste rapide la table, d'ailleurs, j'allais m'y asseoir pour manger mon burger seul, me doutant que la seule chose qu'elle allait faire, c'était de partir. Après tout, elle n'a plus envie de m'écouter non ?
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Gabriel semblait tout aussi énervé que la jeune femme et n'en démordait pas. Il finit par lui dire qu'il ne voyait qu'elle en ce moment, ce qui lui donna un coup au coeur. Elle s'était toujours imaginée que cette relation n'était qu'un jeu pour lui, et qu'elle devait la prendre telle quelle, mais cette révélation remit en cause tout ce qu'elle pouvait bien penser. Elle déglutit difficilement à l'idée qu'à vouloir trop se protéger, c'était peut être elle qui au final lui avait fait de la peine. Le grand brun continua de parler, toujours aussi énervé malgré sa révélation, mais Zoya n'entendait plus qu'un sourd bourdonnement. Elle se sentait mal, cette conversation lui donnait la nausée. Elle ne s'était jamais sentie aussi perdue qu'auprès de Gabriel alors qu'au Mexique, elle avait eu l'impression que tout était simple. Elle reprit ses esprits lorsque le jeune homme lui parla de deal. Elle le regarda s'assoir et commencer à manger, silencieuse. Elle se tint ainsi un petit moment, sans bouger, se contentant de le regarder. Elle s'avança ensuite vers lui et lui demanda : " T'es sûr? " Elle fit une petite pause, se disant qu'elle allait probablement regretter sa question, mais il fallait qu'elle la lui pose pour pouvoir lui tourner le dos. Elle ajouta donc, la gorge nouée : " Tu ressens vraiment rien? " Elle ne s'attendait pas à grand chose de sa part, mais elle avait besoin de l'entendre sortir de sa bouche : " Si maintenant je pars, tu ne ressentiras absolument rien? " Il n'aurait pas à le répéter deux fois ; si c'était non, elle partirait, elle le laisserait trouver quelqu'un d'autre pour partager ses nuits sans jamais se retourner.

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❝ But you
can’t stay away from me ❞
GABRIEL & ZOYA

Je mangeais silencieusement, si elle voulait partir, elle le pouvait. Je n'avais pas envie qu'elle me prenne la tête encore et encore avec ses sornettes en me disant que je voyais d'autre fille, que ce Warren était l'homme parfait, que j'étais odieux et méchant ... blablabla. Si elle ressentait réellement quelque chose pour lui, alors elle ne devrait pas être ici avec moi. Non, elle devrait être avec lui. Cependant, elle me parlait. Je ne la regardais pas, je continuais de manger tranquillement tout en buvant une gorgée d'eau. Oui ces derniers temps, j'avais déconné avec l'alcool. Elle continuait à me demander ce que je ressentais. Pourquoi tous le monde voulait savoir quoique c'est un peu égoïste de ne pas faire de choix, de ne rien dire, après tout, il n'y avait pas que moi. Je posais mon hamburger dans mon assiette en le lâchant, la bouche encore ouverte, prêt à y mordre une nouvelle fois. Je m'essuyais les mains en laissant tomber mon dos contre le dos de la chaise. Si tu pars maintenant ... je répétais ce qu'elle venait de me dire, parce que j'avais du mal à dire ce que je ressentais, parce que ce n'était pas dans mes habitudes. Je pense que je me ferais des films, même si je t'ai dis que tu devrais aller le voir lui, ça m'énerverait surement, puis je me sentirais con, parce que normalement, ça devrait pas arriver .. je fermais un instant les yeux, posant mes mains sur mon visage pour me le frotter. je me sentirais con, parce que toi tu veux me voir pour te sentir libre, alors que moi j'aime juste passer du temps avec toi, me demande pas de poser plus de mot sur tout ce que je viens de dire, je sais pas, je suis pas doué pour ça, je sais juste que j'aime passer du temps avec toi, que j'aime ta façon d'être et que ton histoire que tu crois être un fardeau et n'être qu'une valise honteuse que tu dois porter sur tes épaules, pour moi ... c'est ce qui fait que t'es une femme forte à l'heure d'aujourd'hui , que t'es pas comme les autres
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Encore une fois, elle avait dit les choses d'une manière un peu bourrine et même un peu fausse, et elle voyait que ses mots avaient atteints Gabriel. Maintenant il semblait croire qu'il n'était qu'un objet de plaisir pour elle, rien de plus. Elle leva les yeux au ciel, prenant terriblement sur sa fierté avant de répondre : " J'ai pas envie que tu t'énerves ou que tu te sentes con à cause de moi. " Elle le regarda à nouveau droit dans les yeux, oubliant son burger, et ajouta: " Je passe pas du temps avec toi juste pour me sentir libre, je passe du temps avec toi parce que je t'apprécie et que tu me fais rire.. " Elle regarda ses pieds, gênée, et ajouta : " C'est cool de passer du bon temps, sans se prendre la tête tout ça.. Mais ça ne pourra pas durer indéfiniment. Un jour je ferai ma vie avec quelqu'un Gabriel " Cela devait être la première fois qu'elle disait son prénom à voix haute : " Un quelqu'un qui m'aimera, qui voudra s'engager, qui voudra avoir des enfants.. Et si tu réagis déjà comme ça parce que je t'ai confié qu'un garçon me plaisait, alors peut être que tu n'es pas aussi prêt que tu le crois à te lancer dans ce genre d'aventure. J'veux pas te faire de mal Batista.. J'veux pas que tu te réveilles dans quelques années, quand j'aurai rencontré quelqu'un et que t'en pâtisse parce que ça mettra fin à nos bons moments passés ensemble "

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GABRIEL & ZOYA

C'était la toute première fois depuis Laora que je disais ce genre de chose. C'était la première fois que je disais ce que je ressentais, certes sans réellement poser de mot dessus mais tout de même. Je ne l'avais pas regardé dans les yeux parce que j'avais du mal, parce que c'était compliqué. Elle me disait, que passer du temps avec moi c'était sympa, que je la faisais rire... mais que tout ceci ne durerait pas indéfiniment. J'essaye de me reconstruire avec une quantité de colle hallucinante et elle arrivait, comme un cheveux sur la soupe, tel un solvant, décollant les petits bouts que j'avais mis du temps à reconstruire sans même s'en rendre compte, sans même que je ne m'en rende compte, du moins, jusqu'à maintenant. " C'est cool ... " J'avais l'impression d'être la bonne copine. Elle pensait que je n'étais pas près pour ça, "passer de bon moment " ? C'était devenu mon rythme de vie, depuis sa mort, parce que je ne voulais plus m'ouvrir à quelqu'un. Je me levais, sans répondre à tout ce qu'elle me disait , je jetais un billet sur la table pour nos commandes que nous n'avions pas toucher, ou du moins, pas entièrement. Je suis près pour passer des bons moment Zoya, je l'étais avant de te connaître, là, ce qui se passe, c'est de ta faute, parce que tu me fais ressentir des choses que je veux plus dis-je en fourrant mes poches dans mon jeans. Laisses-là en bas de chez toi je passerais la prendre dis-je en lui lançant les clés de la moto, non , je n'avais pas envie de la raccompagner, parce que j'avais besoin de marcher.
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Elle lui faisait ressentir des choses qu'il ne voulait pas? Est-ce qu'il était en train de sous entendre que lui, celui qui ne voulait pas s'engager, était en train de lui dire qu'il ressentait quelque chose pour elle. Pourquoi est-ce qu'il faisait ça? Il n'avait pas le droit de la laisser dans le flou comme ça ! Tandis qu'il tournait le dos, elle grinça entre ses dents : " Je contrôle pas ce que tu ressens.. " Mais il était probablement trop loin pour l'entendre. Abasourdie, elle regarda les clés de moto qu'il lui avait confié, puis elle le regarda à nouveau lui, s'éloigner en marchant. S'il ressentait quelque chose pour elle, cela changeait totalement la donne. Elle n'avait pas encore réfléchit à ce qu'elle ferait si il venait à avoir des sentiments pour elle parce que l'idée ne lui avait jamais effleuré l'esprit, mais maintenant qu'elle s'imposait dans son esprit, elle semblait s'installer un campement. Quand elle perdit Gabriel de vue, Zoya prit son burger en main, se rappelant soudain qu'elle était affamée et la dévora sur le chemin jusqu'à la moto. Elle la conduit un moment avant de rentrer à l'appartement, elle avait envie d'en profiter un peu pour s'évader. Quand elle arriva enfin chez elle, elle n'aurait sut dire combien de temps elle avait roulé, mais cela lui avait fait du bien, lui avait aéré l'esprit. Elle gara la moto devant chez elle et monta à son appartement pour s'installer près de la fenêtre. Elle voulait le voir quand il viendrait récupérer son engin. Au même instant, elle reçut un message de Warren lui demandant pourquoi il n'avait plus de nouvelles d'elle. Elle échangea quelque messages avec lui, et quand il lui demanda si elle avait besoin d'être tranquille un moment, elle répondit que oui. Elle avait besoin de faire une pause. De Warren, de Gabriel, des mecs en général. Elle ne voulait plus leur parler tant que ça ne serait pas plus clair dans son esprit.

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GABRIEL & ZOYA

J'avais eu besoin de marcher, de m'aérer l'esprit et toute ces conneries. Je ne savais plus ou j'en étais, cette fille me faisait perdre la tête, pourtant, ça n'aurait pas dû arriver. Pourtant cette scène aurait dû se passer avec une autre, une qui tenait à moi n'est-ce pas ? C'est peut-être ça le problème. Parce qu'elle ne tient pas à moi, parce qu'elle ressent des sentiments pour un autre. Dès notre enfance, on nous dit que les femmes sont compliqués, mais les hommes aussi le sont, dans ma tête, c'es le fouillis total. Je sais que Zoya compte pour moi, que j'aime passer du temps avec elle, que j'aime sa façon de rire, sa façon de répondre avec panache, sa façon de me dire que je suis qu'un con et sa façon qu'elle a de passer sa main dans ses cheveux ou de baisser le regard quand elle ne sait plus où elle en est . Sa façon de dire qu'elle n'aime pas le romantisme, alors qu'au fond, c'est ce qu'elle souhaite. Sa façon d'être contradictoire dans ses faits et gestes, dans ses paroles aussi, de vouloir être une femme forte, alors qu'au fond, c'est une femme blessée qui à peur de l'abandon. Qui a peur qu'on la laisse à nouveau. Je fronçais les sourcils d'ailleurs en y pensant. Je m'étais retrouvé près d'un lac sans m'en rendre compte à y jeter ma colère et ma fougue par le biais de petite pierre. Merde, qu'est ce qu'il m'arrive ?! Je peux pas être comme ça, je veux pas être comme ça. J'étais resté là, devant cette étendue d'eau pendant deux heures, voir trois, l'eau m'avait toujours aidé à m'échapper, à réfléchir et surtout à m'apaiser. C'est sur les coups de 18heures que je retournais devant chez Zoya pour y chercher ma moto. Automatiquement, je levais la tête vers sa fenêtre, mais bien rapidement je la baissais, je ne voulais pas voir si elle était absente ou pas, parce que j'allais me faire des films. Sauf qu'il n'y avait pas les clés. Fait chier. Je soufflais en baissant les épaules, l'idée de bidouiller les files pour l'allumer me traversait l'esprit mais je n'avais pas envie. Je me résignais à aller près de sa sonnette, tendant le doigts une fois, puis deux, me rétractant au bout du compte, jusqu'à prendre sur moi pour sonner. Lorsque j'entendis son souffle, je posais mon avant bras contre le mur, mon front dessus. Je viens récupérer les clés ...
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Au bout d'une petite heure, Gabriel fit son apparition devant l'immeuble qu'habitait Zoya. Cependant, elle avait beau avoir laissé la moto en bas de chez elle, elle n'allait pas laisser les clés sur le contact. Le grand brun allait donc devoir s'adresser à elle une dernière fois cette journée là. Lorsqu'elle entendit sonner, elle se précipita vers l'interphone et décrocha, sans parler, écoutant Gabriel lui dire qu'il avait besoin des clés. Elle raccrocha, alla ramasser les clés sur la console de leur entrée avant de descendre ouvrir la porte au jeune homme. Elle le regarda un moment, sans rien dire, songeant qu'elle l'aurait bien embrassé une dernière fois avant que tout s'arrête. Mais elle ne pouvait pas se montrer aussi égoïste, c'est pourquoi elle se contenta de lui tendre ses clés et de dire : " Ecoute Gab' je suis vraiment désolée si j'ai dis des choses qui t'ont blessées avant.. Je sais que t'as un passé sentimental très douloureux et que t'as aucune envie de souffrir à nouveau. Je sais aussi que j'ai jamais voulus te faire de mal et que je croyais que tu ressentais absolument rien pour moi et je.. " Elle se mordilla la lèvre, déviant le regard, puis elle ajouta : " Et je peux comprendre que tu veuilles plus prendre de risques. C'est juste.. Dommage parce que j'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi extraordinaire que toi. Même si tu veux pas le croire. " Elle lui adressa un pâle sourire, puis elle souffla : " Bon bah.. salut. " Puis elle ferma la porte, prenant la route de son appartement en trainant les pieds. Elle avait tout gâché.

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GABRIEL & ZOYA

J'étais donc là, devant sa porte à vouloir récupérer les clés de la moto. J'aurais préféré qu'elle les laisse sous la roue, que je puisse repartir avec comme un voleur sans devoir lui faire face à nouveau. A l'interphone, elle me répondait rapidement et la voilà devant la porte de l'immeuble. Je pensais que la transaction allait être simple, qu'elle n'allait pas me parler, au fond, c'était ce dont j'avais envie, qu'elle n'ouvre pas sa délicieuse bouche, mais comme à son habitude, elle faisait le contraire. Je n'avais pas envie d'entendre ses excuses, je n'avais pas envie qu'elle me parle de mon passé, je n'avais pas envie qu'elle mette des mots sur ce que je ne voulais pas. Je ne la regardais pas, le bras toujours appuyé contre le mur, le visage rivé vers le soleil couchant. J'avais envie de rire lorsqu'elle me disait que j'étais une personne extraordinaire. Elles se sont données le mot non ? T'es une personne extra Gab mais ... Sauf que là ... elle trouvait ça dommage que je ne veuille pas m'engager ? Pourquoi ? Je tournais le visage vers celui de Zoya, qui m'adressait un pâle sourire avant de me saluer et de partir. Je restais là, devant sa porte, un peu perplexe. Je voyais encore sa silhouette dans la cage d'escalier, alors je décidais de toquer à la porte pour qu'elle m'ouvre à nouveau.
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Tandis que Zoya commençait à monter les escaliers, elle entendit toquer à la porte. Elle s'appuya sur la rampe et se tourna, restant un moment immobile. Elle ne savait pas si elle devait lui ouvrir, elle s'était promit de ne plus parler ni à Warren, ni à Gabriel pour ne pas en favoriser un des deux dans cette histoire. Cependant, quelque chose en elle l'attirait dangereusement vers cette porte. Elle savait que Gabriel avait mal depuis la mort de sa fiancée, cela se lisait dans son regard quand il parlait de romantisme, d'engagement et de toutes ces foutaises. Cependant, il ne pouvait pas continuer à se cacher éternellement de l'amour, de la vie. Il fallait qu'il affronte sa peur, qu'il prenne la décision de se laisser aller à aimer et à être aimé pour pouvoir panser ses blessures une bonne fois pour toute. Pas forcément avec Zoya, elle ne disait pas ça égoïstement. Cela pouvait être avec n'importe quelle fille qui saurait qu'il avait besoin qu'on prenne soin de lui, bien qu'il pense le contraire. Poussant un soupir, la russe redescendit les marches qu'elle avait monté à peine quelques secondes auparavant et se trouva à nouveau face à Gabriel. Elle ne dit mot, attendant qu'il prenne la parole.

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