the one who makes you mad ⊰ MARC

THE ONE WHO MAKES YOU MAD

Ce ne sont que des mots tu sais. Ses mains sous tes fesses firent immédiatement virer tes joues au rouge, encore. Toujours. Tu lui montrerais, un peu plus tard, à quel point il te fait tourner à la tête. Oh lalaa, si. Toujours dans ses bras, Marc pénétra dans l’Eliot House et grimpa jusqu’à sa chambre où tu regagnas le sol afin de lui laisser ouvrir sa porte. Voilà mon palace. Wow, eh bein dis donc. Rien à voir avec ta chambre à la Quincy House. Ici c’était bien plus.. grand ! Même le lit quoi. On échange ! dis-tu en te retournant vers lui, toute ébahit. Je veux ta chambre, elle est immense ! Sérieux ! Et, après avoir retiré tes chaussures, tu lâches ton sac et cours jusqu’au lit, te jetant littéralement dessus. Ca avait ses avantages d’être riches, quand même.

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A peine sortis de la voiture qu'elle retournait déjà dans mes bras, s'agrripant à moi, je la soutenias en l'air contre moi, l'emmenant à la Eliot House et la redéposant au sol pour ouvrir la porte de ma chambre et la laisser rentrer à l'intérieur. Elle semblait sous le choc de la trouver immense, moi j'étais habitué mais c'est vrai que je comprenais sa réaction, je rigolais refermant la porte ❝Désolé mais je garde mon palace.❞ elle allait sur le lit, se jetant dessus, je la regardas commençant à enlevé ma combinaison de football ❝Tu veux m'aider à l'enlever ou tu veux faire une sieste ?❞ lui dis-je en rigolant.

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Désolé mais je garde mon palace. Alors ça, c’était pas très gentleman, pas gentil, pas cool, pas tout ce que vous voudrez bien ! Alors j’viens squatter ici ! dis-tu en riant avant de sauter sur le lit, ouvrant les bras et les jambes comme une étoile de mer. Et t’étais encore trop petite pour remplir tout le lit. Ohlalaaa ! Tu veux m'aider à l'enlever ou tu veux faire une sieste ? Tu t’accoudes sur le lit, regardant Marc se dépatouiller avec sa tenue de sport. Dio mio, ce qu’il était beau ! APOFPOEKFO, il te demandait à TOI de l’aider à retirer sa tenue. Pfiou, mais quelle soirée tu vivais là ! Le spectacle vu d’ici est plutôt pas mal. Je t’aide mentalement, si tu veux. dis-tu en te mordillant la lèvre inférieure alors qu’il retirait son tee-shirt. Doux Jésus.

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On venaient d'arriver dans ma chambre et Bambi semblait immédiatement sous le charme, c'était assez amusant à voir comme situation, elle voulait cette chambre pour elle mais malheureusement je me devais de refuser, c'était mon petit palace après tout. ❝Voilà qui me parait plus raisonnable déjà.❞ je souriais avançant un peu plus dans ma chambre alors qu'elle s'était jeter sur le lit. Je commençais à enlever mon t-shirt et je lui demandais si elle voulait m'aider à retirer cette combinaison, la belle italienne se redressait, souriante, s'allongeant de l'autre côté, apparemment se régalant de la vue qu'elle avait. ❝Si tu veux.❞ lui dis-je lâchant le t-shirt que j'avais dans les mains, il retombait sur le col de ma chambre et je me rapprochais d'elle, avec envie, souriant ❝J'ai fais la moitié du boulot, trouve le courage de finir.❞ lui dis-je m'allongeant à ses cotés.

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Marc était un très bel homme habillé. Mais alors imaginez un peu sans ses vêtements ce que ça donnait. Vraiment, t’en bavais que beaucoup plus lorsqu’il laissait tomber son tee-shirt. Une bouffée de chaleur s’enroula autour de ton corps lorsque Marc te rejoint, sur le lit. J'ai fais la moitié du boulot, trouve le courage de finir. Tu te met à trembler, comme une feuille. Oh non, pas de froid, pas de peur. Mais.. d’excitation ? Tu tires sur la ceinture du pantalon de sport de l’Eliot pour le faire tourner vers toi et plaque ton autre main sur son torse. Pas besoin de courage pour ça, juste de l’envie. dis-tu avec un sourire jusqu’aux oreilles en venant embrasser son menton, tout en défaisant le cordon qui retenait son pantalon serré à sa taille. Tu le baissais légèrement, dévoilant le V juste sous sa taille. Tes doigts y trainaient, s’imprégnant chaque ligne de son corps si parfait.

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Je souriais la voyant presque baver sur mon torse nu, oui j'avais enlevé mon t-shirt le laissant tombé au sol. Je m'étais rapproché d'elle, m'allongeant sur le lit, lui disant qu'elle pouvait finir le travail si elle y trouvait du courage mais sa réponse me fit sourire, c'est vrai que dans ce contexte c'était l'envie ❝C'est pas faux.❞ elle tirait sur ma ceinture de pantalon pour que je me rapproche d'elle puis posant sa main sur mon torse elle embrassait mon menton avant de désserer ma ceinture de jogging et d'épouser les formes de ce v à mon bassin ❝La vue te plait ?❞ demandais-je posant une main sur l'arrière de son crâne pour la rapprocher de moi et l'embrasser, avec une certaine envie, je l'appuyais un peu plus allant chercher sa langue.

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Si la vue te plaisait ? Il faudrait être plus que difficile pour ne pas apprécier la vue du corps de ce garçon. Les mains de Marc passèrent derrière ta tête et ses lèvres s’emparèrent des tiennes. AOIKFPAEIKAL. Ouais, ça te fait toujours cet effet là quand ce type-là t’embrasse, quand il te touche, quand.. tout ! T’en oublie son jogging et te concentre sur sa langue, dansant avec la tienne. Quand son visage recule, quittant tes lèvres, c’est le manque qui te surbmerge. Non fermati.. souffles-tu contre ses lèvres. Qu’il ne s’arrête pas, jamais, t’étais bien trop éprise du corps de ce garçon, tu avais bien trop envie de ses mains sur ton corps, de ses lèvres, de tout !

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J'adorais cette situation, elle était allongée sur le lit, sa tete dans ma direction, ses yeux fixant mon torse nu, je la voyais même se mordre la lèvre et elle devait surement parler italien dans sa tête. Je venais m'allonger aussi sur le lit, elle faisait en sorte que je sois presque collé à elle, raison de plus pour plaquer une main derrière sa têt et coller mes lèvres aux siennes, appuyant ce baiser en dansant avec sa langue. Je savourais chaque seconde avant de rompre le contacte et je l'entendais me murmurer en italien que je ne devais pas m’arrêter, je souriais ne répondant rien, déplaçant mes lèvres dans sa nuque tout en glissant mes mains sous son haut, caresser les parcelles de sa peau. J'avais envie d'elle, qu'on le fasse là maintenant tout de suite, elle partageait les mêmes pensées que moi, je pouvais le savoir juste par ses petits soupirs qu'elle avait à chaque contact de mes lèvres sur la peau de son cou

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C’est un soupir d’aise qui s’échappa de tes lèvres lorsque les mains de Marc glissèrent sous ton tee-shirt caressant chaque parcelle de ton corps. Les yeux fermés, la poitrine bombée, tu l’incitais à continuer en murmurant dans un italien inintelligible. Ton corps répondait à chacune de ses caresses et ce n’était que le début, imagine un peu ton état dans quelques instants. Tes mains, après avoir défait le cordon de son jogging, terminèrent de le baisser et découvrirent le doux tissus de son boxer cachant si peu l’objet de ton désir. Lui. Marc.. touche-moi, embrasse-moi. Rends moi plus folle de ton corps que je ne le suis déjà. gémis-tu contre ses lèvres.

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