the one who makes you mad ⊰ MARC

THE ONE WHO MAKES YOU MAD

Et le baiser ne vint pas. Cette tempête qui s’était abattu sur tes lèvres là, mémorable. Attends, tu veux le faire là ici maintenant tout de suite, sur les gradins ? Tu réfléchissais toujours à ce genre de détails après.. si bien que tu n’y avais pas pensé. Tu poses tes poings sur tes hanches, réfléchissant. Sur les gradins ? Franchement, c’était carrément tentant. C’était de l’inédit un peu. Et le contexte sportif du truc, ça te rendait complètement folle. Je sais pas..Forse ? dis-tu en grimaçant. Ca veux dire peut-être, si ça peut t’éviter d’ouvrir google trad. T’avais tellement la tête remplit par le visage de Marc que réfléchir n’était pas chose aisée. Noon, t’as pas envie ? On peut aller ailleurs si tu veux. Ou…. Je sais pas. Chuuuut Bambi, chuuuut. Il a raison, arrêter de parler un peu.

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Je venais de lui foutre un vent assez monumentale, elle qui avait tapoter ses lèvres avec son index pour que je l'embrasse je ne le faisais pas, je préférais lui demander si elle voulait le faire là, sur les gradins et j'avais bien fais de lui demander puisqu'elle hésitait et je riais légèrement. ❝Et bien quelque part c'est vrai que ça peut être insolite, voir très mais je préfrère qu'on soient que tous les deux, genre dans ma chambre, t'en dis quoi mia cara ?❞ je souriais déposant mes lèvre sur les siennes, histoire de me rattraper du vent que je lui avais mis.

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C’est pas que tu hésitais, c’est que tu n’y avait pas réfléchi, nuance. Et bien quelque part c'est vrai que ça peut être insolite, voir très mais je préfrère qu'on soient que tous les deux, genre dans ma chambre, t'en dis quoi mia cara ? IL PREFERE QUE VOUS SOYEZ QUE TOUS LES DEUX ! Vous avez entendu un peu ou bien ? Sortez les trompettes et les tambours, c’est fanfare dans ton cœur là. Woop woop. Et en plus, il t’embrasse. Alors ça, c’est le triangle à la fin de la symphonie quoi ! J’en dis que si tu continues à me parler italien, on n’aura pas le temps de rejoindre ta chambre, carino. dis-tu en te mordillant la lèvre, reculant de quelques pas. Tes hormones peuvent bien attendre quelques temps non ? Alors zou, en route pour la chambre de l’Eliot. Et se serait une grande première.

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Honnêtement ça paraissait vraiment tentant de le faire avec elle ici en direct live sur les gradins, il n'y avait plus personne à cette heure mais l'équipe risquait de sortir des vestiaires dans peu de temps. C'est pour ça que je lui propose avec envie de l'emmener à la Eliot House, nous serons tous les deux, sans risque d'être dérangé et je pouvais constater que ça la tentait assez, enfin après l'avoir embrassé, la belle s'était légèrement reculer pour m'avouer que ça serait difficile d'aller à ma chambre si je continuais à lui parler italien, et ça m'amusait, j'en profitais pour le coup ❝se si prende la mia parola per il miele. si tu me prends au mot ma puce.❞ je souriais reprenant mon casque et mon sac au passage. si tu me prends au mot ma puce. ❝On y va ?❞.

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Se si prende la mia parola per il miele. Et tu fondais comme glace au soleil face à son accent frenchy, prononçant les mots dans ta langue natale. Tu lui donnes une petite tape sur l’épaule, il se joue clairement de toi et… t’adores ça ! Tu récupères ton écharpe aux couleurs de l’équipe en même temps qu’il récupère son sac. On y va ? Tu sautilles intérieurement de joie. Mais ressaisie toi, nom d’une cocotte en papier, Bambi ! T’es une femme, pas une gamine. Okéééé, c’est Montet, mais c’est pas une raison. Andiamo ! dis-tu dans un parfait accent italien en attrapant les clés de sa voiture dans la poche de son sac. Sans gêne la Burton. Arrivés sur le parking du stade, tu agites les clés sous le nez du garçon et cache ta main derrière ton dos, tout en t’adossant au capot de la voiture de Marc. J’conduis ? plaisantes-tu en sifflotant. T’avais même pas le permis, haha haha.

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Je faisais exprès de lui parler en italien, juste pour la faire fondre encore plus parce que c'est trop bon, que j'aime ça qu'elle soit sensible, même très sensible à mon charme. J'ai le droit à une petite tape sur l'épaule alors que je rigole puis alors qu'on prend nos affaires elle ne se gêne pas pour prendre mes clés de voiture dans mon sac, sourire aux lèvres alors qu'on se dirigent sur le parking puis une fois prêt de ma Lamborghini, elle s'adosse contre le capot, agitant mes clés du bout de ses doigts, me demandant si elle pouvait conduire, et je rigolais reprenant les clés ❝Non même pas en rêve.❞ je lui faisais un clin d’œil puis je déverrouillais les portes avec une pression sur la clé pour rentrer à l'intérieur, la laissant s'installer elle aussi. J'insérais la clé dans le contact et je démarrais la voiture quittant le stade pour me rendre vers la Eliot House en sa compagnie, oui j'étais en très bonne compagnie, une blonde italienne complètement dingue de moi, que rêvez de mieux ?

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Non même pas en rêve. dit-il juste après avoir rattrapé les clés derrière ton dos. Bien évidemment que tu l’aurais pas conduit sa caisse. Tous ces boutons, tous ces machins et ces bidules étaient bien trop compliqués pour toi. Tu serais capable de la faire exploser, si si. Boudeuse, tu grimpes dans la voiture, t’installant côté passager. La voiture démarre et quitte le parking, s’aventurant dans les rues sombres de Cambridge. Tu peux au moins m’laisser passer les vitesses ? Heeein, diiiit ? Gamine capricieuse. Et tu poses ta main sur la sienne qui n’a pas quitté le levier de vitesse. Et tu le regardes, un grand sourire sur les lèvres. Si tu pouvais pas lui résister, t’étais persuadée qu’au fond, lui non plus ne pouvais pas. De toute façon, ça va de paire non ?

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Même pas en rêve que je la laisserai conduire ma voiture, personne n'a le droit à part moi-même. Elle fait sa petite moue boudeuse mais n'est pas du tout crédible, ça me fait sourire et je la laisse s'installer sur le siège passager pendant que je fais de même coté conducteur, et une fois la voiture démarrée, on quittent le parking du Complexe Sportif pour rejoindre la résidence des Eliots. Sur le trajet, la belle me demande si elle peut passer les vitesses, je n'y vois pas d'inconvénients c'et vrai, sa main se pose sur la mienne et elle me regarde, je souris de plus belle en lui répondant ❝Juste pour tes beaux yeux alors.❞ je lâchais un petit rire et je la laissais passer la troisième, évidemment sa main restait sur la mienne, ce petit contact me faisait frissonner puisque je dois bien avouer que je suis vraiment pas indifférent à ses beaux yeux d'italienne.

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Et il te laissa, en effet, passer les vitesses. Juste pour tes beaux yeux alors. Parfait, t’en demandais pas plus. Et quelques minutes plus tard, vous étiez arrivé dans le parking de l’Eliot House. Ta main quitta la sienne à contre cœur et tu sortis de la voiture sans oublier ton sac et ton écharpe de supportrice. Tu fis le tour pour le rejoindre et sauta dans ses bras, enroulant tes jambes autour de sa taille et tes bras autour de son cou. T’étais complètement mordue de ce gars là, de ton numéro 75. Tu sais qu’tu m’fais tourner la tête, Montet ? souris-tu en frottant ton petit nez contre le sien alors que ton cœur bat à tout rompre, prêt à lâcher à tout moment.

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Je pouvais céder juste cette fois après tout, ce n'était que des vitesses, je n'autorise personne à conduire ma Lambo mais passer des vitesses, je peux bien me montrer clément. Elle souriait contente que j'accepte, sa main posée sur la mienne, passant les vitesse sur le trajet jusqu'à la Eliot House. Une fois arrivé, je me garais, coupant le contact, sa main quittait la mienne pour qu'elle descende de la voiture en prenant ses affaires, je faisais de même et à peine descendu et la portière refermée qu'elle me sautait au cou, croisant ses jambes autour de ma taille, ses bras autour de ma nuque, je la soutenais contre moi, mes bras posés contre sa taille et ses sa paire de fesses. ❝Ce ne sont que des mots tu sais.❞ qu'elle comprenne par là que je voulais qu'elle me le montre en passant à l'acte, clairement oui, j'avais envie d'elle et je lui souriais, 'emmenant à l'intérieur de la résidence et jusqu'à ma chambre dans mes bras. ❝Voilà mon palace.❞ lui dis-je une fois qu'elle avait relaché son étreinte pour que j'ouvre la porte, je la laissais rentrer puis je l'imitais, refermant la porte derrière moi.