ELIWAN ❥ Just a second we're not broken just bent

Elizabeth est une romantique. Je le sais, elle le sait, et si une personne s'interresse un peu à la rousse elle le sait aussi. De ce côté là, je suis son véritable opposé. Noir versu blanc. Mais j'ai fais un effort en proposant une danse. Je n'irai pas monter sur un balcon comme a pu le faire le gars de Letters to Juliet - parce que je suis capable de finir paralysé en me cassant la gueule comme Charlie -, mais ça reste un acte qui ne me ressemble pas. Lizie finira par me rendre plus niais, plus sensible - si ce n'est pas déjà le cas -. Mon deuxième acte de gentillesse, soit celui de savoir comment s'est déroulé la suite de son bal casse toute l'ambiance. Je suis maladroit, c'est certain. Maintenant, j'ai peur que cette discussion parte en cacahuète à cause de ma curiosité. Mais elle accepte que je la ramène. Timidement. J'orne un sourire pour la mettre à l'aise puis commence à marcher. « Je suis garé par là. » Rapidement, on arrive près de ma voiture. Le retour se fait également dans la rapidité Quelques minutes et nous sommes à la Lowell.

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Sourire aux lèvres, vous rejoignez bien vite sa voiture. Les filles devaient se demander où tu étais passée. Tu avais disparu d'une minute à l'autre sans plus jamais revenir. Une fois assise dans la voiture, tu lui lances en rigolant Si mes copines s'inquiètent que je ne sois plus jamais revenue, je rejettes toute faute sur toi. Tu dis l'air taquine. Voilà la Lizie qui retrouvait un peu de joie et de bonne humeur. Elle retrouvait le sourire quand elle sentait ses petits problèmes s'enfuirent loin en courant. Le chemin du retour se fait dans la rapidité, un peu trop d'ailleurs, ce qui t'étonne. D'habitude on ne rentrait pas si vite chez toi. Tu jettes un coup d'oeil par la fenêtre. Pourquoi tu m'emmènes ici ? Tu dis l'air étonné en découvrant la Lowell derrière la vitre de la voiture. Tu sais que c'est pas là que j'habite normalement. tu ajoutes te retournant vers le brun. Ok t'avais une chambre de secours au cas ou à la Lowell, car t'étais la présidente et t'avais des petits avantages. Même si tu avais une préférence pour ton lit à toi. Tu ne quittes pas des yeux le jeune homme et le regardes l'air de dire : allez crache le morceau Antwan je sais très ce que tu veux. Tu voulais te l'entendre dire de ses propres mots.

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Très bien je prends toute la responsabilité de son départ. « Envoie leur un message avant qu'elles n'appellent les flics. » Aah, la technologie. Tout est plus simple avec ça. De sa remarque, je note une amélioration. Elle est moins timide qu'avant. Moins en colère aussi. Plus calme, avec un soupçon de joie sur la visage. Nous arrivons à la Lowell House. Pas que j'ai une soudaine envie de visiter la salle présidentielle, du tout. J'esquisse un sourire amusé lorsqu'elle me questionne sur mes attentions.  « C'était plus proche. » Plus proche de son appartement, et plus proche que ma confrérie -  parce qu’évidemment, cela aurait été un véritable plaisir de l'accueillir dans ma chambre pour une nuit. Un vrai gentleman, j'vous l'dis -. Je sors de la voiture, contourne cette dernière pour atteindre la portière du passager pour accueillir la rouquine. « Et je me dis que tu pourrais me faire visiter les endroits secrets, tant que t'y as accès. » L'année s'achève doucement. Se serait idiot de garder des secrets jusqu'au bout, nan ? De plus, l'occasion de passer du temps ensemble est à saisir. Cicatrisons tout ça.

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C'était plus proche. Voilà son excuse. Tu peux faire mieux Antwan, il y a une raison cachée derrière tout cela, tu le sais bien. Il sort de la voiture pour venir t'ouvrir. Bah dit donc, fallait-il plus souvent des disputes pour le rendre galant ? Car Antwan et le romantisme c'était les opposés, une énorme faussé les séparait. C'était bien connu. Lui c'était un réaliste, un pur, un dur (comme Charlie huhu). Tu sors de la voiture, attendant patiemment sa réponse, un fin sourire sur les lèvres. Il voulait donc visiter les coins secrets de la lowell, c'est vrai que c'était sympa d'avoir une petite amie présidente pour voir ce genre de choses. Bon fallait pas non plus s'attendre à une caverne d'Ali baba hein on restait plutôt soft à la lowell. Mais l'eliot était curieux, ça se comprend vue que la dernière tu lui avais caché le chemin de la loge présidentielle. Ce souvenir étire ton sourire sur tes lèvres. C'est vrai qu'on pourra plus en profiter très longtemps. L'année était passée à une vitesse fulgurante. Tu laisses Antwan fermer la voiture avant de marcher vers la Lowell dans la pénombre de la nuit. Sauf que tu t'arrêtes juste avant l'entrée. Tu te tournes vers lui Si je te montre, j'ai quoi en échange ? eh oui ça se mérite, t'as cru que j'allais te montrer tous mes secrets docilement ?

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Il est là. Son sourire. Il est de retour. Mesdames et messieurs Elizabeth n'est plus en colère, ni triste ni quoi que ce soit de péjorative. Elle est plutôt intriguée, taquine et contente. C'est une victoire mes amis. Reste maintenant à continuer sur cette lancée et par la même occasion trouver le chemin de la loge des présidents. Je suis resté sur ma faim la dernière fois. C'est frustrant d'ignorer les couloirs à emprunter pour arriver jusqu'à bon port. Et puis comme dit, puis relevé par la présidente, bientôt elle n'aura plus accès à cette pièce et donc j'aurais plus aucun moyen d'y retourner. « Autant me partager tes secrets avant qu'il ne soit trop tard. » Il n'y a pas d'autres arguments qui me viennent à l'esprit, alors je continue sur cette lancée. Des petites remarques par ci, par là, ça devrait passer. Jusque là tout se passait bien. On marchait vers la Lowell.. mais non. Madame m’empêche d'entrer. C'était trop facile pour que ça dure. « Dis moi ce que tu veux. » Je ne lui offrirai pas tout, mais elle peut négocier beaucoup de choses. Sauuuf qu'évidemment, Lizie va me demander de trouver un truc parce qu'elle a pas d'idées. « Je te dirais un secret sur moi. » Montre moi le tien d'abord.

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Il ne fallait pas croire qu’avoir accès aux endroits secrets de la Lowell étaient une chose facile. Le doux regard  d’Antwan n’allait pas te faire craquer, du moins pas tout de suite. La dernière fois, tu t’étais amusée à lui cacher le chemin, maintenant il voulait le connaître. Monsieur est décidément bien curieux. Tu t’étais volontairement arrêtée juste à l’entrée de la Lowell, posant tes conditions et attendant une réponse. Allons voir si cette dernière allait te satisfaire ou non. « Dis moi ce que tu veux. » Mauvaise réponse Antwan, tu attends cependant une suite, tu savais bien qu’il allait se rattraper. Il était aussi déterminé que toi quand il voulait quelque chose.   « Je te dirais un secret sur moi. » tu souris Cela me semble équitable. tu dis avant de pousser la porte et rentrer dans le bâtiment. Les couloirs étaient desserts au vue de l’heure tardive. Soit les gens dormaient ou bien ils étaient sortis. Je te préviens si tu m’arnaques, tu vas avoir le droit à une visite spéciale des salles de tortures de la Lowell. tu dis en cours de route en plaisantant (à moitié huhu). Il croyait quoi qu’on était tous gentils et qu’on vivait dans le monde des bisounours ? Etre un lowell se méritait, et les pauvres devaient passer de terribles épreuves. Finalement, au bout de quelques minutes, vous arrivez devant la porte de la loge présidentielle. Tu sors les clés, toi seule détentrice de cet objet précieux (avec Irina bien sur). T’ouvres la porte avant de lui lancer un sourire en coin sur le bout des lèvres Ca t’as manqué pour que tu me redemandes de la voir.

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En toute honnêteté, je ne sais pas du tout ce que je pourrais bien raconter à ma petite amie. Des secrets, je n’en ai pas des masses et ces derniers sortent souvent dans une discussion, pas à la demande de quelqu’un. J'inventerai quelque chose, ou bien même je flatterai la lowell pour faire passer les choses. C’est que je ne veux pas visiter les salles de torture de la Lowell House. Finalement, on arrive devant la salle et je me réjouis d’avance d’entrer dans cette dernière. Sans compter que j'ai bien enregistré le chemin à prendre pour arriver jusqu’ici. « Ouais énormément. » Que j'ironise un peu. J'ai bien choisi l’activité pour faire oublier les tensions. Certes, de mon côté je n'ai pas tout oublié - même que la black liste des exs de Lizie s’inscrit dans ma mémoire -, mais comme assuré plus tôt je n’en parlera plus. « Y a quelqu’un d’autre que t’as amené ici ? » Dis moi que je suis le seul privilégié.