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The start of a new story | Marcenzie

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   C'était dingue ce que tu pouvais te perdre dans son visage. Comme si tu ne pourrais jamais te lasser de le regarder encore et encore. Et peut être que c'était le cas. Peut être que tu ne pouvais vraiment pas. C'était comme une dépendance en fait. Une dépendance qui expliquerait pourquoi tu n'avais pas résussis à te décrocher de lui pendant ces trois longues années alors que lui ne voulait rien de plus avec toi. C'était aussi dans ce moment là que tu te rendais compte que t'avais bien fait de persévérer parce que sans ça, jamais tu n'aurais pu avoir la chance de vivre une histoire avec lui. ❝A toi aussi.❞ Un sourire venait étirer tes lèvres et tu finissais par te hausser sur la pointe des pieds pour pouvoir l'embrasser. Au final, t'étais tellement petite que même avec une paire de talon, t'étais obligée de faire des efforts pour arriver à sa hauteur. Tristesse. Mais n'empêche que tu ferais plus ou moins n'importe quoi pour l'embrasser. Juste parce que t'aimais sentir le contact de ses lèvres sur les tiennes et que forcément, t'avais pas envie de t'en priver.
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Je profite de ce petit moment avec elle, c'est assez bizarre de danser tous les deux hors du bal mais à croire qu'on ne veut être que tout les deux pour cette danse, être entourés de personne, juste nous deux, nos pas de danses et nos regards. Depuis trois ans, nous avons jamais cessés de jouer, de se provoquer, je n'aurais jamais pensé que ça aille si loin entre nous, après tout à la toute base des choses elle n'aurait du être qu'une aventure de quelques semaines, une fille de plus dans mon lit, un nom inscrit de plus dans mon tableau de chasse, c'était vraiment les pensées qui me traversaient l'esprit au tout début mais maintenant, tout est différent, je suis avec elle, en couple, moi le don juan de service, le Casanova français qui ne pense que par son appareil reproducteur avec les femmes, je me suis engagé à ne rester proche que d'une femme, elle, j'ai du mal à y croire mais c'est la réalité, j'ai trouvé le courage de tirer un trait sur mon passé pour elle, elle vaut vraiment le coup. Après que nos pensées furent réciproques, je la vois sourire, se hisser sur la pointe des pieds et venir m'embrasser, c'était presque une obsession de sentir le gout de ses lèvres légèrement relevé par le rouge à lèvres qu'elle porte, un baiser de quelques secondes avant que j'y mette fin, m’apercevant alors que a musique que j'avais mise quelques minutes plus tôt venait de s'arrêter ❝Cette danse vous à t-elle conquise mademoiselle Lazarus ?❞ lui demandais-je sourire aux lèvres, pendant peut-être qu'l ne faudrait pas tarder à retourner à l'intérieur.
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   T'avais aucune idée de combien de temps tu mettrais avant de réaliser tout ça. Avant de réaliser qu'une simple aventure de vacance venait de devenir ton petit ami. T'y aurais jamais cru. Pas quand tu l'avais rencontré. Certes, t'avais immédiatement craqué pour son charme mettant de côté tout tes principes pour t'envoyer en l'air avec lui jour après jour. Mais ce qui ne devait être qu'une passade avait reprit cours quand il s'était avéré que vous étiez dans la même université. Et bien sûr, t'avais tenté de l'ignorer les premiers temps mais, c'était plus fort que toi. Tu faisais toujours par revenir vers lui. Et voilà maintenant, après trois ans de jeux, vous étiez ensemble. Bien sûr, tu savais que ce serait dur, tu savais très bien que y aurait sûrement des tonnes d'obstacles mais tu voulais croire en cette relation parce que tu savais que ça en valait la peine. T'en étais certaine. Te mordant la lèvre inférieure, tu le laissais rompre votre baiser avant de sourire doucement. « Il faut croire que oui. » Tu souriais à nouveau avant de reprendre. « Ais-je réussit à vous changer les idées Mr. Du Montet ? » Parce qu'il ne fallait pas oublier qu'en tout premier lieu, si tu étais venir le rejoindre ici c'était tout simplement parce qu'il s'était prit la tête avec son père. Pas pour une danse, pas pour un moment en amoureux, juste pour lui remonter le moral à lui.
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Si Mack avait du mal à poser le pied sur le sol de la réalité depuis que nous sommes ensemble, je devais avouer que c'était aussi le cas pour moi, j'étais vraiment heureux d'être enfin l'homme de ses pensées, qu'elle soit la femme de mes pensées mais il faut comprendre qu'à la base nous étions censés n'être qu'une aventure d'un été pour l'un et l'autre et se revoir dans la même université à tout bousculé entre nous. Je souriais légèrement en rompant notre baiser, lui demandant si notre danse l'avait conquise et j'étais ravis d'entendre de ses lèvres que c'était le cas ❝Vous m'envoyez ravis dans ce cas.❞ je lâchais un petit rire alors que ce fut son tour de vouloir savoir si elle avait réussit à me changer les idées ❝Totalement.. je te remercie.❞ mes lèvres se posaient de nouveau sur les siennes, un bref instant avant que je les retires pour venir les ouvrir, encore ❝On retournent à l'intérieur en espérant passer une bonne soirée ?❞.
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   Et puis c'était ton rôle non ? Faire en sorte qu'il aille mieux. Peut être qu'avant t'aurais pu tout simplement t'en moquer mais plus aujourd'hui. Parce que vous étiez ensemble et que pour la peine, il était logique que tu cherches à lui remonter le moral autant que tu pouvais. Et t'étais bien heureuse qu'il confirme que tu avais totalement réussit pour le coup. Ses lèvres venaient à nouveau s'poser sur les tiennes et tu te laissais totalement allé, bercé dans ton monde. C'était le genre de truc où tu pouvais devenir totalement accro sans aucun problème. Sa peau, son odeur, sa voix.. Au final, t'aimais tout chez lui. Absolument tout. « Tant qu'on reste ensemble, tout iras bien. » Ouais. T'étais convaincue que même si vous retourniez ensemble à l'intérieur, tant que vous resterez tout les deux, tout irait bien. « J'veux vraiment pas te perdre. » Tu murmurais doucement passant ta main sur son visage avec une douceur infini. Oh non, tu ne voulais pas. Parce que t'étais bien avec lui là et que t'avais l'impression qu'il y avait bien longtemps que tu n'avais pas ressentis un truc pareil.
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Je crois que j'aurais finis par péter un câble si elle n'était pas venu me rejoindre tout à l'heure, me changer les idées, me faire oublier mes problèmes de famille, j'avais de la chance de compter sur elle, de l'avoir prêt de moi. Je voyais ses lèvres s'étirer pour dessiner un petit sourire lorsqu'elle m'entendit lui avouer qu'elle avait totalement réussit à me changer les idées et je la remerciais par un baiser particulièrement doux et tendre sur ses lèvres. Une fois le contact rompu je lui proposais de revenir à l’intérieur du gymnase, quitter notre bulle pour retourner avec tous les autres et elle n'a pas tort, tant qu'on restent tous les deux, je pense que la soirée ne peut qu'aller pour le mieux ❝C'est vrai.❞ sa main venait se poser sur ma joue, ses yeux étaient plongés dans les miens et elle me sortait qu'elle ne voulait pas me perdre, je posais ma main sur la sienne qui avait glissée sur ma joue et je la retirais en la serrant, entrelaçant mes doigts aux siens ❝Tu me perdra pas, ça fait trois ans que tu me supportes.❞ lui dis-je rigolant légèrement avant de déposer un baiser sur son front.
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   Tu souriais tendrement alors qu'il prenait ta main entrelancant ses doigts autour des tiens. « La vie est imprévisible. » Tu ne pouvais prévoir ce qui allait s'passer le lendemain ni même les semaines d'après mais.. Tu voulais y croire. Tu voulais croire en tout ça parce que t'en avais besoin. Le tirant un peu vers toi tu souriais à nouveau avant de prendre la direction du gymnase. Autant s'confronter à la foule maintenant. Au fond, tu savais que tu ne pouvais pas rester éternellement dans cette petite bulle que tu avais créé en étant seule avec lui. Et puis.. Tant que vous restiez loin d'Erwan, tout irait bien. Faudrait juste que t'arrives à lui faire avaler tout ça au court des prochains jours mais, il n'avait pas tellement le choix. Et puisqu'il semblait évident qu'il allait s'taper ta meilleure amie, tu lui interdisais catégoriquement de dire quoi que ce soit contre tes choix. Il en avait juste perdu le droit et faudrait qu'il arrête de penser qu'il pouvait contrôler chacun de tes faits et geste. « J'passe vite fait voir Talya et je reviens. » Un rapide baiser au coin de ses lèvres et tu t'éloignais. Pour quelques minutes seulement.
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