zoyel ✗ I wish I could trust you

Un prédateur? Zoya fit mine de regarder tout autour d'elle à la recherche du gros vilain qui pouvait bien effrayer Gabriel puis mit ses mains sur les hanches et s'exclama : " J'vois pas de prédateur moi.. " Mais il entra bien évidemment dans son jeu et entreprit de retirer sa ceinture, puis son pantalon. Voilà qu'il se retrouvait en caleçon devant elle et Zoya avait d'un coup beaucoup de mal à se concentrer sur autre chose que son corps. Elle reprit ses esprits quand Gabriel lu dit qu'il était pudique ; elle lâcha un rire sarcastique et s'exclama : " GROSSE BLAGUE! T'étais pas pudique quand il s'agissait de changer de T-shirt devant moi parce que t'avais pissé le sang dessus ! " Puis il s'installa sur le bord de la piscine sans entrer autre chose que ses jambes dans l'eau ; il jouait avec sa patience. Elle nagea dans sa direction et lui répondit en amplifiant bien son accent russe : " Ça me rappelle les parties de chasse au phoque dans ma Sibérie natale. " Elle rit et s'avança encore plus près de lui, puis, soudainement, elle lui prit les jambes dans les mains et s'appuya sur le mur avec ses pieds pour le tracter dans l'eau. Une fois qu'il fut plongé dans l'eau jusqu'au cou, elle tenta de se donner un air innocent puis passa ses bras autour de son cou et ses jambes autour de sa taille avant de l'embrasser sensuellement pour se faire pardonner. Elle passa ses mains dans ses cheveux, les tirant légèrement en même temps qu'elle l'embrassait. Le désir l'envahissait à nouveau et elle n'avait plus aucune envie de plaisanter.

Moi j'en vois un beau devant moi , tu sais du genre dangereux en haute mer , bien rapidement j'entrais tout de même dans son jeu. Je me déshabillait rapidement, faisant mine d'être pudique et sa réaction ne tarda pas à venir. Ah bon, ça t'a fait de l'effet ? demandais-je avec un petit sourire en coin excuse moi si tu m'as explosé le nez à notre première rencontre dis-je en levant les yeux au ciel, faut dire que c'est pas banal, surtout qu'après, se fut à mon tour de la faire saigner, sans faire exprès je précise. Après m'être installé aux bords de la piscine , mais merde, c'est qu'elle était froide. Pardon ?! demandais-je un peu choqué de ce qu'elle venait de me dire Tu faisais ça ? est-ce que si jamais un jour on vient à se disputer, elle va me chasser comme l'un de ces phoques en Sibérie ? Merde, dans quoi je me suis foutu ? Sauf que je n'eu pas le temps de réfléchir qu'elle attrapait mes jambes pour me faire venir dans l'eau. Zoya la camioneuse. Rapidement, je sortais la tête de l'eau pour me retrouver avec une magnifique chasseuse de phoque accroché à moi. Ses bras, ses jambes, je penchais la tête en la regardant, je pinçais mes lèvres pour effacer une goute d'eau qui venait ruisseler sur ces dernières avant qu'elle ne m'embrasse pour le faire à ma part. Ses mains dans mes cheveux, elle me les tirait. Mes mains quant à elles, se logeaient contre son corps, passant sous sa petite culotte alors que tout doucement je la plaquais contre l'une des parois de la piscine. Je savais que t'étais une femme passionné dis-je tout doucement alors qu'elle me forçait presque à pencher la tête en arrière. J'ai envie de toi Zoya

Sa façon de faire me fait sourire. Elle me plait bien cette Zoya. Je la laisse partir en rejetant ma tête en arrière et en passant mes mains sur mon visage. Qu'elle femme ! Je la regarde ensuite faire son spectacle, sortir de l'eau telle une déesse en suivant ses gestes, ses courbes des yeux. Rapidement, je reprend mon boxer qui flotte dans l'eau pour sortir à mon tour. J'en ai rien à foutre de ce bal, alors je le remet bien rapidement en l'essorant avant. Je la suis bien rapidement attrapant une serviette qui traine pour m'essuyer et remettre mon costume bien rapidement et après ça, je la rejoins dans les vestiaires ou elle fait sécher ses sous vêtements T'as conscience qu'ils sécheront pas de si tôt ? lui demandais-je en riant avant de les attraper dans mes mains et les mettre dans les poches de ma veste. Tu devras faire sans ... dis-je avec un petit bruit de la bouche qui voulait dire dommage. et peut être que tu feras sans ça aussi ... dis-je en attrapant sa robe pour la garder dans mes mains J'ai toujours pensé que l'homme était fait pour vivre sans toutes ces commodités pas toi ? dis-je en me reculant, à reculons tout en profitant de la vue qu'elle m'offrait , sourire aux lèvres Je suis certain que ça fera plaisir à ton cavalier, tu sais savoir que tu t'es abandonné dans les bras d'un autre, alors qu'il est entrain de se faire cuisiner par ta soeur et sa copine

" Rho putain.. " jura Zoya qui n'arrivait pas à faire sécher ses sous-vêtements. Elle sursauta en entendant la voix de Gabriel dans son dos et vit qu'il était déjà tout habillé. Exaspérée, elle rétorqua : " Contrairement à certains qui peuvent remettre leur caleçon trempé, j'peux pas me balader avec un soutif mouillé si je veux pas qu'on voit mes tétons pour le restant dans la soirée ! " Elle lui tira la langue mais fit moins la maligne quand il lui prit ses sous vêtements des mains avant de les mettre dans ses poches : " Heeeeeey " protesta-t-elle. Puis il prit aussi sa robe dans les mains, essayant de la tenir hors de portée pour elle : " Et moi j'ai toujours pensé qu'il y a certaines personnes que j'aimerai vraiment pas voir à poil ! " Elle s'approcha de lui, joueuse, tandis qu'il reculait et dit d'une voix mielleuse : " T'inquiètes pas pour lui, je compte bien lui apporter tout le réconfort dont il aura besoin. " Un sourire malicieux sur les lèvres, Zoya attrapa son bras, tentant de le retenir bien qu'il soit nettement plus fort qu'elle. Gabriel ne put plus reculer car il était bloqué par un mur : Zoya en profita pour se rapprocher encore plus près de lui jusqu'à pouvoir sentir son souffle sur son visage et murmura : " T'es plutôt mal placé pour faire ce genre de remarques en plus.. " Elle déposa alors à nouveau un baiser sur ses lèvres, tout en passant ses mains dans ses cheveux. Puis elle les fit descendre le long de son corps en le caressant et s'arrêta au niveau de ses poches pour récupérer ses sous vêtements. Elle se détacha alors de lui pour enfiler à nouveau sa culotte et son soutien gorge en disant : " Y'a pas de raison que je reste à poil alors que toi tu t'es rhabillé ! "

Moi je suis pas contre à croiser tes tétons au bal dis-je en haussant les épaules, mettant ses sous vêtements dans ma poche pour finalement attraper sa robe . Elle protestait, je répliquais, puis elle s'approchait telle une prédatrice qui venait de cibler sa proie. Je m'inquiète pas Zoya, je te signa que je viens d'avoir un aperçue, je pense qu'il peut être satisfait elle essayait de me retenir, mais je me dégageais rapidement de son emprise pour continuer mon petit jeu, sauf que je n'avais pas prévu qu'il y aurait un mur derrière moi. Loose. Ses yeux dans les miens, son souffle qui se répercuté contre ma peau, je me pinçais la lèvres en haussant les épaules Ma cavalière se fait cuisiner par personne, j'en suis certain Ses mains me caressait, à vrai dire, je ne voyais pas le coup venir. J'étais tellement absorbait par ses mains, que je ne remarqua que tardivement qu'elle avait repris ses sous vêtement. Et merde ! C'est un appel, tu me préfère à poil c'est ça que t'essaye de me faire comprendre ? je secouais la tête, en attrapant sa robe pour me mettre dans son dos. Je me baissais pour la mettre à ses pieds. Soulève ta jambe, je vais t'aider à être présentable doucement, je faisais remonter sa robe le temps de profiter encore un peu. Une fois en haut, je passais ses bras dans les bretelles, ma bouche dans son cou, je me permis de suçoter sa peau tout en faisant remonter la fermeture éclaire et en laissant, un beau suçon. Une sorte d'empreinte, que je caressais du bout de la langue, avant de chuchoter à son oreille Comme ça il saura que tu m'as apporté un peu de réconfort avant un baiser sur sa joue et je m'en allais de là, fier, en lui faisant un clin d'oeil et un signe de main. Je te dis à bientôt Zoya