oh yeah, that's perfect (trung)

J’étais impatiente de faire ce road trip avec les autres membres de ma fraternité. J’étais sûre que l’ambiance allait être à son comble et que nous allons bien rigoler. Nous venions tout juste d’atterrir à Chicago, alors qu’on avait un peu de temps libre avant de commencer le trip. J’avais été ravie de savoir qu’on avait pu inviter une personne de notre entourage, et je ne mis pas beaucoup de temps avant de me décider à demander à Trung de m’accompagner. Rien qu’à l’idée de savoir qu’on allait recréer des liens d’amitié, me faisait sourire. Et puis faire ce road trip, c’était une bonne façon de se mettre dans le bain, avant d’arriver au bal au bras de Trung. J’hésitais encore entre deux robes, et je voulais être renversante pour le bal, il n’y avait pas de mal à ça, pas vrai ? M’enfin là n’était pas le sujet, je voulais juste un peu profiter de Chicago en compagnie de Trung. Je tournais alors un regard malicieux dans sa direction, esquissant un fin sourire en coin. « Il est dit sur le programme qu’on ne part pour le trip que vers 22 ans. On a encore le temps d’explorer un peu la ville. » Je souriais d’avantage, alors que je passais une main dans mes cheveux bruns. Cette nouvelle couleur de cheveux avait du en choquer plus d’un, mais je m’étais dis « pourquoi pas, on va faire un road trip les gars ». Et puis tout ça, ça faisait un peu de changement, et ça ne pouvait qu’être bénéfique.

Ma vie était beaucoup trop calme en ce moment, je m’étais dis qu’il serait temps de tourner complètement la page. C’est pour cela que j’avais fais une demande de changement de nom de famille, je n’avais plus rien à voir avec la famille Boyle. Mais il fallait encore que je réfléchisse bien à ce sujet. Quand Carrie m’a demandé de l’accompagné au Road trip des Mathers. J’ai d’abord été réticent quand on connaît mon amour pour eux et surtout ma peur de retomber dans la drogue. Mais je ne m’y pas longtemps à accepter. Je savais que j’allais bien m’amuser avec elle et qu’il était temps que je m’ouvre un peu plus et que je bouge. J’étais, comme prévu, en compagnie de Carrie à Chicago et elle avait raison, on avait encore le temps de se promener un peu dans la vie. Allons explorer Chicago alors. dis-je avec un sourire au coin alors que je la regarde passer une main dans ses cheveux bruns. Cela lui allait plutôt bien et faisait ressortir son visage blanc et ses jolis yeux. Tu as décidé de faire sortir une nouvelle Carrie ? Ce changement, te va plutôt bien. dis-je avec un sourire au coin alors que je me mis à marcher en direction du centre ville, j’imagine que les magasins vont être mon ami.

Je savais dans le fond que Trung, n’était pas vraiment à l’aise avec toutes ces histoires de drogues, et vu qu’il était entouré de Mathers, question drogues il y aurait de quoi faire. Mon regard se posant sur le jeune homme, je souriais légèrement, alors que j’avais un bonnet sur ma tête. J’avais hâte de voir comment ce petit trip allait se passer, même si j’étais sûre qu’il n’y aurait aucun problème de ce côté là. « Oui ! J’ai faim. Pas toi ? J’ai envie d’un hot dog. » Je sautillais sur place, telle une enfant, alors que j’avais un large sourire sur mes lèvres. Je m’avançais alors vers Trung, posant un bras sur son épaule en faisant mine de réfléchir. Alors que je souriais grandement lorsqu’il me demanda si je voulais faire sortir une nouvelle Carrie, avant qu’il ne complimente mes cheveux. « Ca faisait un moment que je voulais m’essayer au brun. Alors je me suis dis pourquoi pas. Et puis pour ce petit trip je trouvais ce changement bien venu. » Je souriais d’avantage, alors que je me reculais finalement de lui, pour marcher à ses côtés.

J’étais venu juste pour elle, je me sentais pas spécialement à l’aise autour d’autant de Mather, même si j’avais appris à les accepter de plus en plus. Etant retombé un peu dans la drogue, je ne voulais pas y replonger totalement non plus et c’était difficile face à tout ce monde qui en prend. On a finalement décidé d’aller se promener en attendant que l’on parte en road trip. Allons manger un hot dog alors. dis-je avec un sourire au coin moqueur. Je rigole légèrement avant de m’avancer en direction d’un endroit où on pouvait trouver un vendeur ambulant d’hot dog. Je ne pus m’empêcher de lui faire un compliment sur sa nouvelle couleur de cheveux. Je me suis rasé les cheveux pour ma part, ça marque le début d’une nouvelle vie pour tous les deux alors. dis-je avant de rire doucement. Je m’arrête en face d’un vendeur ambulant et demande deux hots dogs. Je paye rapidement et en tend un à Carrie. Mange proprement si possible. dis-je avec un sourire au coin moqueur. Ben oui, je suis toujours aussi taquin avec elle pourquoi je changerai.

J’avais hâte d’explorer tout les environs, de rire jusqu’à en perdre haleine mais surtout de rattraper du temps perdu avec Trung, je sentais qu’on commençait à reprendre nos aises tout les deux, et son départ précipité d’y il a quelques années, n’était plus qu’un mauvais souvenir pour moi. « Ouuui ! Au faite, pourquoi on appelle un hot dog, un hot dog ? C’est vraiment glauque je trouve. » Je lâchais un rire amusé, alors que je suivais le jeune homme jusqu’à un vendeur ambulant. Trung me complimenta sur ma coiffure, et moi j’avais aussi remarqué la sienne. Fallait avouer que ça faisait un sacré changement, il avait plus sa touffe de cheveux sur la tête. Je passais alors une main dans ses cheveux rasés en souriant grandement, et gardait ma main posée derrière sa nuque. « Et dit moi comment pendant nos ébats, j’vais pouvoir m’accrocher à tes cheveux. » Je pris un air faussement choqué, alors que je mis finalement à rire. Bien évidemment je le taquinais. « Ca te donne un air de gangster. Ca te va bien. » Je souriais d’avantage alors que j’attrapais le hot dog qu’il venait de me payer rapidement. « J’suis vraiment honorée que tu m’ai payé mon hot dog. Et tu sais bien que je mange toujours proprement. » J’approche alors mon sandwich de mes lèvres et croque dedans, alors que je me met de la moutarde au coin des lèvres.

Je souris à la question totalement débile de Carrie, elle se questionnait vraiment pour tout en fait. J’eus un sourire au coin avant de montrer un poteau de la main. Pourquoi on appelle cela un poteau et pas une poubelle ? Tu essayes de philosopher ? dis-je en me moquant légèrement d’elle. Elle était en train de tout remettre en question comme le fond les philosophes après tout. Je finis par lui acheter le hot dog et lui tendit en lui disant de ne pas en foutre partout, ça me mettrait trop dans l’embarra. Elle était jolie en brune, je ne pouvais pas dire le contraire et je ne pus m’empêcher d’hausser les sourcils plusieurs fois avec un sourire au coin. Tu pourras toujours t’accrocher ailleurs et les cheveux, ça repousse vite. dis-je en lui faisant un clin d’œil très significatif. Je remis bien ma veste sur le dos avec un regard du tueur. Je suis de la mafia d’Ecosse, tu crois quoi ? dis-je avec un air hautain de bad boy. Well, ça ne va pas vraiment avec ma personnalité mais bon. Je mange finalement mon hot dog en souriant à ses paroles, elle mentait plus comme elle bouffait celle-là. J’approche ma main de son visage pour retirer le peu de moutarde qu’elle avait au coin des lèvres. Ouais, tu manges vraiment proprement ces dingues. dis-je en portant mon doigt à mes lèvres.

Est-ce que j’avais enfin de philosopher ? Non pas vraiment. Je me demandais juste pourquoi un hot dog, s’appelait hot dog. Parce que à ce que je sache, ce n’était pas du chien qu’on était entrain de manger, pas vrai ? « Arrête de te foutre de ma gueule insolant. » Je le poussais alors légèrement d’un coup d’épaule, en lâchant un rire amusé. Hot dog en main, je souriais en coin, alors qu’il me fit un clin d’œil significatif. Ouais ouais, j’sais que tu me veux dans ton lit, Trung. Je lâchais un ricanement, avant de secouer négativement la tête. « C’est vrai, j’arrive toujours à trouver des prises intéressantes. » Je souriais en coin, alors qu’il remit sa veste pour finalement se donner l’allure d’un gangster. Je restais un moment interdite, alors que quelques secondes plus tard je partais dans un fou-rire quasi incontrôlable. « C’est super intimidant. T’es tellement chou. » Je lui tapotais l’épaule avec la paume de ma main en souriant grandement, alors que je croquais dans mon hot dog et que je m’en mis partout, comme d’habitude. Je louchais alors sur le doigt de Trung qui vint retirer le surplus de moutarde, alors qu’il mit finalement son doigt jusqu’à ses lèvres. Je mordis ma lèvre inférieure en penchant légèrement sur le côté. « C’est vraiment sexuel ça. » Ben quoi, c’est vrai non ?

Well, je ne pouvais pas m’empêcher de me moquer d’elle. C’était clairement plus fort que moi et cela faisait partie de ma vie, si j’arrêtais maintenant je pourrais très bien en mourir… Bon, faut pas exagérer mais tout de même. L’insolence est de mise avec toi ma belle carrie. Oui, il y a bien un jeu de mot la dedans, j’en suis fier. Il fallait toujours que cela part en couille quand on est tous les deux et le sujet « sexe » est notre principal sujet après tout, on est jeune et on en profite au maximum. Je rigole doucement à son sous-entendu. J’en doute pas venant de toi. Je fis mon possible pour essayer de ressembler à un gangster pour que cela aille avec ma nouvelle coupe, mais en voyant le fou rire de Carrie. Je compris que c’était totalement mort. Je partis même en fou rire avec elle quand elle me dit que j’étais mignon. Je m’arrête finalement d’un coup et dit d’un air sérieux. Je ne suis pas mignon. dis-je en lui lançant un regard perçant. Bref, c’était maintenant qu’il fallait que je me retienne de rire, chose difficile. Je retire ensuite la moutarde qu’il y avait au coin de ses lèvres, je porte ensuite mon doigt à ma bouche pour simplement me ressuyer le doigt. Il n’y a RIEN de sexuel là-dedans mais bien sûr, quand on est en présence d’une perverse… Cela ne peut que tourner de cette manière. Tu vois du cul partout c’est dingue ça, allez mange ton chien chaud et n’en met pas partout si tu veux pas que je recommence mon geste sexuel qui t’excite tant que cela. dis-je en levant les yeux au ciel amusé de la situation. Bon, j’avoue que j’aurais pensé la même chose si elle l’avait fait.

Toujours il se foutait de ma gueule, mais alors toujours. Un jour, je le descendrais et il ne l’a verra même pas arriver celle-là. « Tu me trouves belle. » Je souriais en coin, en tournant mon regard noisette dans sa direction. Puis je souriais en coin alors que nous partions dans nos délires pervers, comme à notre habitude. A croire qu’on était sérieusement en manque, oui parce qu’il pouvait parfaitement parler de moi, mais dans son genre, il n’était pas mieux non plus, vous voyez le truc ? « Si t’es trop mignon. Un petit ange tombé du ciel, tout chou. » Je riais de nouveau, alors que j’haussais les épaules en dansant devant lui. Oui parce que là tout de suite, j’avais eu cette folle envie de danser comme-ci tout était parfaitement normal. Ca ressemblait un peu à du street dance, même si je n’étais décidé pas douée pour ça. « Tu peux parler. J’sais que t’es aussi pervers que moi, et ça sert à rien de me dire le contraire, parce que je te connais, et BIM. » Je lui donnais alors un coup de hanche en souriant grandement avec amusement puis je me replaçais face à lui, comme-ci rien ne s’était passé et je croquais dans mon hot dog une nouvelle bouchée.

La question ne se posait même pas, bien sûr que je la trouvais belle. Je préférais même pas y répondre, cela lui ferait trop plaisir. Je lui fis un sourire au coin pour toute réponse. On finit par tomber une nouvelle fois dans nos délires sexuels. Je n’étais comme cela qu’avec elle et j’avoue que cela m’a vraiment manqué quand j’ai du la laisser de côté pour mon propre bien. Je grogne en l’entendant dire des propos mignons à mon sujet, je sais que je suis gentil mais tout de même. Arrête tes conneries, tu me fais passer pour un faible là. dis-je en la regardant totalement outré de la situation. J’arque un sourcil quand je la vis se mettre à danser devant moi, elle est pas seule dans sa tête. Je le savais déjà mais là, c’est clairement la honte qu’elle fasse cela. Puis voilà qu’elle me bouscule en me disant qu’elle me connaît. Tu déteins sur moi c’est pour cela et ya ! tu m’as poussé là ! dis-je en plissant du nez. Je viens lui mettre une pichenette sur le front alors qu’elle est en train de manger et elle se fout de la moutarde sur son nez. Je ne pus m’empêcher de rire avant de reculer d’un pas. Tu vois, t’es une vraie cochonne… Dans tous les sens du terme. dis-je en lui faisant un clin d’œil avant de partir d’un pas rapide pour ne pas mourir.