Que tu es beau -- AXORAN

Le petit fourbe, il s’amuse a me torturer, il sait comment me rendre fou, il sait ce qui me rend incontrôlable surtout vis-à-vis de lui. Il me dit en même temps qu’il aime mes bisous et mes câlins, je sais combien il aime c’est pour ca que j’aime quand il me le dit. Je l’entends me proposer qu’on aille s’asseoir, je souris en secouant la tête, me mordant la lèvre en le regardant droit dans les yeux, après ce qu’il venait de faire je refuse de le laisser se défiler ainsi, en plus j’ai bu un peu, pas au point d’Axel d’avoir les neurones a l’ouest mais j’avais les idées en feux. Je prends sa main en souriant et je l’attire en souriant jusqu’aux toilettes et je le plaque a la parois.
« Coquin, comme si j’allais te laisser t’échapper alors que tu viens de me rendre fou. »

(Invité)

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T'adores le torturer, tu sais très bien que ça le rend vite fou. Depuis le temps que tu t'amuses à le torturer, tu sais très bien ce qui lui fait le plus d'effet. T'essayes de le chauffer, comme on dit vulgairement. Et à priori, tu y arrives bien, parce qu'au lieu de vouloir s'installer à table, il te tire aux toilettes, en te plaquant contre le mur. Il te traite de coquin, il te dit que tu vas pas t'en sortir comme ça alors que tu l'a rendu fou. Ça te fait rire, un petit sourire triomphant illumine ton visage. Tu fais exprès de bien te plaquer, dos au mur pour qu'il te coince entre la parois et son corps. Tu te mordilles la lèvre, tu adores ça. Tu lèves un petit regard coquin et excité vers lui, et tu essayes de prendre un petit air innocent en lui demandant d'une petite voix langoureuse, "qu'est-ce que tu comptes me faire alors...?". T'es un peu un allumeur, toi, en fait, quand t'es bourré, Axel.
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(Invité)

Rapidement nous voilà dans une cabine des toilettes, mon corps coller au sien alors que je l’embrasse, n’en pouvant déjà plus d’être séparé de son corps. Le coquin, je le sens tout excité contre moi, je le sens tout désireux que je passe à la vitesse supérieure, je sais qu’il adore quand nous cédons à la tentation, mais là, il m’avait poussé à bout et il ose faire une tête innocente, je grogne de désir alors que j’enfouie mon visage dans son cou que je dévore de baiser en murmurant, tout en défaisant d’abord un bouton de sa belle chemise bleu clair, rien de plus.
« Hum…tu le verras bien assez tôt et je sais que tu vas adoré ! »

(Invité)

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AVANT, Y'AVAIT PAS LE HIDE. MAIS CA, C’ÉTAIT AVANT.

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AVANT, Y'AVAIT PAS LE HIDE. MAIS CA, C’ÉTAIT AVANT.

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