Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(-18) Lost in the holds of the boat. (Goran & Axel) - Page 3
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(-18) Lost in the holds of the boat. (Goran & Axel)

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Lost in the holds of the boat.
Goran & Axel



Deux fois. Deux fois. Deux fois, que t'es grimpé au septième ciel. Ou plutôt, deux fois que Goran t'a fait monter au septième ciel. L'extase total, pour toi, Axel, c’est mieux que n'importe quoi. En t'agrippant au drap tu le vois rire, tu rougis et tu regardes dans la même direction que lui, il regarde. Tu vois les tâches sur le mur. Tu rougis directe en comprenant que c'est toi. Il te dit que c’est puissant parce que tu as réussit à en mettre sur le mur. Tu te caches dans son cou en riant légèrement, tout timide et tout gêné, tout rouge. "J'ai pas fais exprès", que tu dis, gêné et honteux. Il s’enlève et te demande d'attraper des mouchoirs dans son sac. Tu t’exécutes, tu récupères dans le sac et tu fais tomber une lettre, sans faire exprès. "Oups, j'ai fais tomber ça", que tu lui dis en rougissant et tu lui tends la lettre. Tu t'allonges doucement à coté de lui en lui demandant, avec une légère pointe de jalousie dans la voix, "C'est qui qui t'envoit des courriers?". Étonné, il te demande de la lui lire, tu lui obéis en te demandant pourquoi il te demande de faire ça.

"Messieurs Adrian Goran et Adam Sloan Kabashi,
Je vous prie de m’excuser pour ce qui va être révéler dans cette lettre mais il est temps que la vérité éclate au grand jour.
Votre père a eu une aventure passionnée avec une femme d’une haute famille d’Europe, elle a appris par la suite qu’elle attendait des jumeaux. Vous avez compris, vous et votre frère n’êtes pas les enfants de votre mère génétiquement. A votre naissance, votre mère vous a laissé auprès de votre père qui était marié à cette affreuse femme alcoolique. Elle ne voulait pas et surtout ne pouvait pas assumer deux enfants.
Sachez qu’elle le regrette infiniment aujourd’hui et pour se faire pardonner, elle vous offre la possibilité de retrouver vos racines. Elle a eu un autre enfant, une fille du nom d’Abby d’Orange.
Sachez aussi qu’en vous laissant dans le foyer de votre père en Serbie, elle vous a laissé un bijou a chacun pour que le jour où vous comprendrez son geste, vous sachiez d’où vous venez.
"

Quand tu termines de lire la lettre, tu baisses la tête, gêné, c'est un truc hyper personnel, t'étais pas obligé de le savoir. Ça te gêne, il avait pas forcement envie que tu saches un truc aussi privé. Tu sais pas si il avait lu la lettre avant ou pas. A priori, vu la tête qu'il fait, la réponse est non. Tu lui caresse doucement le bras en posant la lettre à coté. "Goran, je... je suis désolé que tu apprennes ça comme ça, et qu'en plus ça soit moi qui le lise à haute voix..."

AVENGEDINCHAINS
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J’avoue que le voir tout rougir de honte d’avoir sali le mur me fait rire de bon cœur, je le laisse aller prendre le mouchoir pendant que je jette ce qu’il fallait là ou il faut et voilà qu’il me parle d’une lettre qui est tombé de mon sac, c’est une lettre que j’ai reçu avant de partir et je dois avouer que je ne l’ai pas lu encore, n’ayant pas eu le temps de le faire avant d’embarquer sur la bateau. Naturellement, je lui demande de me la lire, puisque j’ai les mains mouillée du lubrifiant de ma protection jeter. Je prends un mouchoir et je m’essuie les mains avec pendant qu’il lit.
Plus il avance dans la lettre, plus je me décompose, ne serait-ce par le faite que la lettre m’appelle par mon nom complet, dont mon premier prénom que même Axel ne connaissait pas avant maintenant, et le second nom de mon jumeau, seul lui, notre père et moi le savions. Plus il lit plus je me mets à trembler, encaissant les coups de la lettre. Je reste figé, les larmes aux yeux, alors qu’Axel parle, prenant mon bras dans sa main, je tourne la tête vers lui, n’arrivant pas à parler. J’ouvre la bouche mais rien ne sort une larme coule le long de ma joue.
Je viens d’apprendre que j’ai une mère autre que cette alcoolique, je comprends à présent pourquoi elle en avait tellement rien a foutre d’adam et moi, je regarde Axel avec un air, et surtout un regard désemparé, désespéré, anéanti, toute ma vie n’a été qu’un mensonge, tout l’enfer que j’ai vécu aurait pu être évité si cette personne avait assumé…j’apprends aussi que j’ai une petite sœur dont je connait le nom à présent et ce bijou que j’ai toujours autour de mon cou, posant ma main dessus, il vient de ma véritable mère. Tout mon monde vient de s’effondrer.
« Axel… »
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Goran & Axel



Fichue lettre. Pourquoi il a fallut que tu sois maladroit et que tu fasses tomber cette foutue lettre de malheur. Tout ce passait tellement bien avec Goran, votre moment de tendresse et de complicité. Tout est fichu en l'air à cause de ta maladresse. Tu lis la lettre, parce qu'il te l'a demandé. Au fur et à mesure que tu lis, tu te rends compte de ce que t'es en train de dire. La mère de Goran, n'est pas sa mère. D'accord, tait-toi, Axel, tait-toi. Les phrases sont dures, beaucoup trop dur à sortir, et ça va pas du tout à ta bouille timide. Mais tu finis la lettre et quand tu relèves les yeux vers ton Goran, ça te brise le cœur. Il a des larmes qui coulent. Non. Tu lui caresses le bras, ça te fait mal au cœur de le voir dans cet état. Tu passes tes bras autour de lui et tu l'enlaces en le serrant fort contre toi. Tu sais pas quoi lui dire, tu sais pas comment régir, t'es complètement bloqué. En plus de le voir comme ça, ça te fait pleurer aussi. Tu essuies ses larmes avec tes pouces, il a un visage tellement triste et malheureux. "Pleures pas...", que tu dis tout doucement en le regardant.

Tu regardes cette foutue lettre dépliée à coté de vous, elle est même pas signé, y'a pas de nom. Qui a écrit cette chose? Qui à rendu Goran si malheureux? Quelle est la personne capable de tant de cruauté. Enfoncer un poignard dans le cœur de Goran aurait été plus rapide, le résultat escompté est le même, autant de souffrance et de douleur, et toi, tu souffres avec. Tu te mets à sa place, aussi, si tu recevais une lettre de ce genre qui t'annonce que tes pères et ta mère ne sont pas tes vrais parents, ça te briserait en mille morceau. "Goran, ne te met pas dans cet état", que tu lui dis en le câlinant, le berçant presque. Tu te sens utile, adulte, t'as l'impression que les rôles s'inversent. Pour une fois, c’est toi qui est au petit soin pour Goran. Tu lui caresse le dos et tu lui demande, "qui t'as donné ce courrier? Il n'est pas signé, il n'y a pas de nom."

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Plus la lettre avance dans ce qui est écrit, plus je me décompose tout bonnement. Rapidement mon visage d’habitude joyeux et souriant se transforme en un visage dévasté, tendu de désespoir déjà que j’ai les joues abimé chose que je masque a coup de fond de teint la plupart du temps comme les brulures entre mes taches de rousseurs, mais Axel a la possibilité maintenant qu’il sait la vérité de me voir tel que mère nature m’a laissé après l’incendie. Mais passons. Même lors de mes aveux, je n’avais pas été si dévasté. Mais je lutte pour retrouver un minimum de force mais rien à faire, je baisse la tête et les larmes coulent toutes seules.
Je e sens me prendre dans ses bras, je le sens me caresser, le dos, je lutte pour retrouver ma force mais pour l‘instant c’est au dessus de mes forces, autant dire que j’éclate littéralement en sanglot dans ses bras, sanglotant bruyamment comme un enfant, ce n’est pas dans mes habitudes mais là, je cède, c’est trop pour moi, entre ce que j’ai appris avant la croisière que je garde tout pour moi et maintenant cela, j’ai pas assez de force. Je fonds.
Il me demande si je sais qui m’a donné ce courrier, je secoue la tête lentement, enfouie dans son cou avant de réussir à lui dire quelques mots, entre deux sangots.
« Je…j’ai trouvé cette lettre dans la boite….j’ignore…qui…qui ose faire cela… »
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Ça te fait vraiment mal au cœur. Puis au fond de toi, en même temps, t'es en colère, t'es en colère contre cette personne qui fait du mal à Goran et qui le met dans cet état là. Tu le gardes dans tes bras, tu le lâches pas, tu le câlines, tout doucement, tout tendrement. Tu lui caresses le dos et tu lui demandes qui lui à donné cette lettre. Il te répond qu'il sait pas parce qu'il l'a trouvé dans la boite. Il pleure vraiment, il pleure beaucoup trop, tu sais pas du tout comment faire, ni quoi dire pour le consoler. Tu l'as jamais vu comme ça, tu l'as jamais vu pleurer autant. C'est la première fois que tu le vois dans cet état et tu espères sincèrement que ça sera la dernière fois.

Il reste blottit dans ton cou en pleurant et en sanglotant, ça te rend vraiment triste de le voir comme ça, lui qui d'habitude est tellement heureux et épanouit, ça te brise le cœur en mille morceau. "Goran, je t'en prie, pleure plus...". Ça te fait pleurer de le voir comme ça. Tu réfléchis à cent à l'heure, tu essayes de trouver de quoi lui remonter un peu le moral, ou alors de quoi éclaircir cette histoire. Tu te poses néanmoins une question, tu lui demandes, "est-ce que tu veux vraiment savoir qui est ta vraie mère? Finalement, elle t'a abandonné aussi..."

Tu lui fais un bisou sur les cheveux et tu fais ce que tes parents aurait fait si c'était toi dans cet état là. "Est-ce que tu veux que je te prépare un bon chocolat chaud, ça ira mieux après". Tu te sens ridicule, ça te va tellement pas de jouer le protecteur et l'adulte. S'en est presque ridicule, mais tu veux tellement aider Goran et être utile, même si tu sais pas comment faire, ni t'y prendre.  
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Pour le moment je suis dévasté tout bonnement, je me sens comme un enfant abandonné, chose que je suis d’un sens depuis ma naissance, j’ai toujours été abandonné par mes parents, d’abord par ma mère génétique, puis par mon père, puis par ma mère d’adoption qui en faite ne m’a jamais adopté ni jamais occupé de moi. Mais là, me rappeler que je ne suis qu’un enfant indésiré que même ma propre mère m’a abandonné alors que l’enfant suivant a été élevé, je l’imagine par notre mère, c’est dur surtout que je me dis que si on avait pas été abandonné, Adam serait encore en vie surement. Mais il faut que je pense à autre chose, que je cesse de me faire du mal comme me demande Axel. Je lève les yeux vers lui d’un air désespéré à sa question et je lui dis en sanglot.
« Je n’étais pas désiré…et ca on me l’a rappeler toute ma vie, et là…j’apprends que ma propre mère elle non plus n’a pas voulu de nous, mais que l’enfant suivant a été gardé…Suis-je si nul que cela… ? Jamais je n’aurai une vie de famille normale…jamais…je suis maudit….Axel…Jamais je ne pourrais être heureux…. »

Je pleure encore un peu jusqu’à qu’il me propose un chocolat chaud. J’hoche lentement la tête, lui suppliant presque de m’en faire un. Il sait comment me redonner un peu le sourire le chocolat chaud avec tout ce qu’il faut pour qu’il soit bon, chantilly, caramel, éclat de chocolat ou de biscuit, quelque chose de sucré a toujours eu le don de me redonner un peu le moral et Axel le sait parfaitement. Je réussi a me calmer un petit plus que tout à l’heure.
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Quand tu lui demandes si il veux vraiment connaitre sa vraie mère, il te répond un truc horrible, aberrant, t'en es presque choqué. Il te dit que jamais personne ne le désire et qu'il ne serait jamais heureux. Tu secoues négativement là tête, l'air affoler, les yeux humides, faut pas qu'il dise ça. Tu poses tes mains sur ses joues, doucement et tu le regardes sincèrement. "C'est pas vrai, Goran, moi je te désire, et moi je ferais de mon mieux pour te rendre heureux, je ferais tout ce qui est possible." La dernière chose que tu veux, c'est le voir malheureux, alors oui, tu vas faire en sorte de le rendre le plus heureux possible. Tu sais pas si tu peux y arriver, c'est une lourde tâche, mais tu vas essayer et tu vas faire tout ce qui est en ton pouvoir.

Son regard et son hochement de tête te donne ta réponse quand tu lui demandes si il veut que tu lui prépares un bon chocolat chaud. Tu lui embrasses délicatement les lèvres et tu te lèves. Direction la mini cuisine de la cabine. Tu feras avec les moyens du bord. Heureusement que tu as ramener des provisions dans ton sac à dos. Tu fais chauffer du lait. En attendant tu verses du chocolat en poudre au fond d'une tasse. Quand le lait est bien chaud, tu le verses sur le chocolat en remuant et tu mélanges bien pour faire mousser la crème. Tu mets des petits copeaux de chocolat dessus avec des morceaux de gâteaux écrasé en miette sur la mousse et la crème. Tu lui apportes vite et tu lui donnes. "Fait attention, c'est très chaud".
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Je suis vraiment dans un état de décomposition avancé, au point de ne plus avoir foi en rien, c’était vraiment un coup de massue violent pour moi, les nouvelles qui s’accumulent, toutes plus fracassantes les unes que les autres. C’est une véritable torture en ce moment, plus j’essaye de remonter la pente, plus le destin me met des bâtons dans les roues. C’est si dur de rester fort quand tout s’effondre autour de moi, il ne me reste plus que mes amis, ma petite sœur ainsi que ses jumeaux et surtout Axel, l’un des derniers êtes à m’aimer tel que je suis. Tout de suite il me reprends pour me dire que lui me désire et qu’il fera tout pour moi, pour que je sois heureux. Je le regarde avec émotion et j’enfouie mon visage dans son cou, contre son tatouage que j’ai toujours tellement aimé, comme si sa peau avant le don d’absorber mes souffrances et mes peines.
Je le laisse partir en esquissant un sourire au baiser qu’il m’offre, je m’allonge dans le lit, du moins, je me mis semi assis, recouvert de la couverture, et je le regarde faire les yeux mi clos tellement fatigué par nos ébats et par mes pleurs. Je me demande s’il ne faudrait pas que je lui parle de la nouvelle que j’ai eu avant la croisière, concernant mes études. J’attends qu’il soit de retour vers moi, me redressant souriant doux en voyant qu’il l’avait fait comme je l’aimais. Je prends le chocolat d’une main, j’attire Axel dans mes bras de l’autre, comme le jour où nous avons fait l’amour pour la première fois, je le remercie d’une petite voix rauque avant d’oser parler.
« Axel…il faut que je te parle…a…a propos de mes études…je…j’ai appris quelque chose avant la croisière qui remet en question tout mon avenir… »
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Goran & Axel



Ça te fait beaucoup de peine quand il te dit que personne ne le désire, et qu'il ne pourra jamais être heureux. Tu lui dis directement que c'est pas vrai, que toi tu le désires et que tu feras tout ce que tu peux pour le rendre heureux. Quand il enfouit son visage dans ton cou tu le serres fort contre toi en lui caressant le dos et en glissant tes doigts dans ses cheveux.  Tu décides de lui faire un bon chocolat chaud. Evidemment c'est pas facile dans la mini cuisine de la cabine. Mais tu t'en sorts, et tu espères qu'il sera délicieux. Aussi délicieux que ton Goran le mérite. Quand tu lui donnes enfin, il le prend d'une main et t'attires contre lui de l'autre. Tu t'allonges à coté de lui et tu poses ta tête sur son épaule. Le bout de tes doigts glissent lentement contre son torse nu, de haut en bas et de bas en haut, juste l'effleurer. Il prend la parole, il te raconte que ses études ont changées et que ça et met péril tout son avenir. Tu le regardes, espérant savoir si c'est une bonne chose ou une mauvaise chose. Réponse, il n'a pas l'ombre d'un sourire, au contraire, il a encore des yeux peinés. Trop de mauvaise nouvelles d'un coup, on dirait. Tu lui embrasses doucement l'épaule, un léger baiser sur ses taches de rousseur. "Dit moi ce qu'il y a...". Ça suffit de le voir souffrir. C'est ton Goran et tu as horreur de le voir aussi mal.

Il te raconte qu'il va devoir refaire son année à cause d'un professeur homophobe. Tu serres les dents, mine de rien. Ces gens là sont horribles. Ça te révolte, ça te rend triste, ça te rend en colère. Pourquoi ce genre de personne aime rendre en horreur la vie des gens à ce point, surtout pour de l'amour. C'est trop injuste. Ce n'est pas parce que Gora aime les hommes que ça donne le droit à ce professeur de bousiller la scolarité d'un homme aussi talentueux que Goran. "C'est injuste... Il a pas le droit de faire ça...", que tu lui dis, triste pour lui. "Mes pères font partit d'une association qui lutte contre l'homophobie, peut-être qu'ils pourraient faire quelque chose pour toi..? Je suis aussi dans cette association depuis que je suis en age de comprendre. Peut-être que ça pourra t'aider... Je ne sais pas, virer ce prof ou bien contrecarré sa décision". Tout le temps que tu lui parles, tu n'as pas cessé de lui caresser le torse et le ventre. Lui faisant des petits bisous sur son épaule entre chaque phrase ou presque.
AVENGEDINCHAINS
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Autour de ce chocolat qui me réchauffait les mains, et Axel qui était là contre moi, à me donner tous l’amour qu’il a en lui, je l’aime tellement, oh oui tellement, sans lui je me serais déjà jeter à la mer avec tous mes soucis, puis j’ose lui parler de mon soucis d’étude, lui disant que je dois lui parler. Il comprends tout de suite que c’est grave il me demande ce qui ce passe, je bois une gorgée, fermant les yeux quelques secondes avant de me lancé.
« J’ai reçu un mail de l’Université, me disant que mon professeur de musique m’a mis un 0 pour absence non justifié lors d’un contrôle…Alors que j’ai donné un justificatif à cette absence, j’avais une urgence pour ma petite sœur, je suis aller le voir et il m’a dit que les justificatif d’un espèce de sodomite ne lui faisait pas peur et qu’il avait honte que je sois sur sa liste d’élève. Axel…un 0 c’est éliminatoire pour l’année…Quoi que je fasse, je vais devoir refaire ma dernière année l’année prochaine…Tout ca car je suis homosexuel… »

Axel s’enflamme tout de suite, je l’écoute me dire que c’est injuste et il me parle de cette association, je tourne la tête vers lui. Je sais que le mieux qu’on puisse faire pour moi, c’est le faire viré, pour que l’année prochaine je puisse validé mon année. Car le 0 ne pourra pas être retiré, elle est enregistré dans mon dossier et l’élimination est prise en compte, je ne fais même pas parti des listes de partiel de cette année. Je regarde Axel.
« Le mieux a faire c’est le viré car mon destin pour cette année est scellé, j’ai reçu la lettre me disant que j’étais exclus des examens cette année…et que je devrais passer mes examens l’année prochaine…D’un coté…cela me permettra de rester encore un an auprès de toi dans notre chambre… »
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