(-18) Lost in the holds of the boat. (Goran & Axel)

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Lost in the holds of the boat.

Goran & Axel

C'est bon de retrouver Goran, tu te sens soulagé, tu te sens de nouveau vivant, maintenant, Axel. C'est tellement agréable, tu te réveilles dans ses bras. Ça tangue un peu, c’est normal, en même temps, vous êtes sur un bateau. Il y a une croisière qui est organisé pour les Lowell. Tu lèves les yeux vers lui, il est déjà réveillé, tu lui souris et tu lui embrasses doucement la joue. Tu lèves la tête, vous êtes couché sur un transat. Y'a des bains de soleil qui ont été installés sur le pont du bateau. A la base, vous vous étiez allongé là seulement pour vous reposer quelques minutes, mais toi, t'as du finir par t'endormir. Tu sais pas si Goran à dormit aussi, tu lui demandes en souriant, "tu as dormit, toi?"

Tu bailles, tu te réveilles petit à petit en t'étirant. Les yeux diriger vers le ciel, qu'est-ce qui fait beau, qu'est ce qui fait chaud. Tellement chaud. T'as mis un jean, mais finalement tu vas peut-être finir par échanger ton jean par un short. "Dis, on va visiter le bateau?". Tu lui souris. C'est la première fois de ta vie que tu prends le bateau, du coup, t'es tout excité et euphorique à cette idée. Tu t'assoies doucement, à califourchon sur la taille de Goran et tu poses tes mains à plat sur son torse. Tu lui avoues avec un petit sourire, "j'aime bien passer du temps seul à seul avec toi."

Tu te penches sur lui et tu déposes doucement tes lèvres sur les siennes pour l'embrasser, d'abord timidement, les premières secondes, puis finalement langoureusement et lentement. Les yeux fermé, tu profites du baiser. Ceux de Goran sont probablement les meilleurs baisers du monde, c'est certain. Tu te lèves doucement et tu lui dis avec un grand sourire, "allons visiter ce grand bateau, après, il faut qu'on trouve une cabine?".

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La croisière, des vacances que beaucoup attendaient avec impatience, personnellement au début je ne comptais pas vraiment y aller mais l’histoire avec Axel m’avait retourné, j’en avais parlé longuement à Alba et cette dernière s’est occupée de me convaincre pour que j’y aille avec elle. Entre temps, j’ai revu Axel et tout s’est arrangé, je dirais même plus que cela, on est vraiment fusionnel à présent et l’un est devenu indispensable à l’autre et inversement.
Nous voilà donc sur le pont entrain de bronzer comme deux crevettes, personnellement je suis déjà bien bronzé, et cela depuis ma naissance, j’ai entre guillemet la chance d’avoir des origines d’Europe de l’est qui m’offre un teint déjà bien doré. Je le regarde dormir, et cela pendant tout le long de son sommeil. Je ne me suis pas endormi en effet, je n’étais pas fatigué mais j’avais la plus belle occupation au monde, regarder Axel paisible comment un chaton endormi. Je le sens se réveille, je souris en passant sa main dans ses cheveux en secouant la tête a sa question. Il m’annonce qu’il a envie de se promener sur le bateau, je pose mes mains sur son bassin en me redressant tout en répondant à chacun de ses baisers. Je fini par lui répondre en me levant, le soulevant d’un coup de bassin, en mode koala a mon cou avant de lui dire.
« Allons y mon bel Axel. Allons visiter ce grand bateau et trouvons un cabine rien que pour nous. »

Je souris en le posant, l’embrassant au passage avant de prendre sa taille et de commencer à marcher, accollé au jeune homme que j’apprécie tant.

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Goran & Axel

La meilleure place du monde, ce sont les bras de Goran, sans hésitation. Se réveiller dans ses bras, ouvrir les yeux doucement et voir son visage, c'est la plus belle chose du monde. Tu souris timidement et il passe ses doigts dans tes cheveux pendant que tu t'étires. Quand tu lui poses la question, il te dit que non, il a pas dormit, lui. Tu rougis en répondant, "tu as du t'ennuyer, fallait me réveiller.". Après quelques baisers, te voilà accrocher à lui. Tes bras accrochés autour de sa nuque et tes jambes accrochés autour de sa taille. Il accepte de visiter le bateau, avec toi. Il te dépose doucement au sol, tu te décroches de lui et il passe une main autour de ta taille en marchant.

Tu te colles à lui en regardant partout, surtout la mer, tu tournes la tête vers Goran en lui disant, "tu as vu comme c'est beau?". Tu te mets à rougir, si ça se trouve, tu t'extasies pour pas grand chose. T'as jamais vu ça, toi, t'as jamais voyager, Goran, lui il a beaucoup voyager, il a déjà vu plein de truc comparé à toi, Axel. Lui, il voit ça souvent, il va te prendre pour un bêta de t'extasier sur un truc débile comme ça. A la place tu blottit ton visage dans son cou en chuchotant. "Tu as déjà visité quel pays toi?". Tu continues de marcher pour visiter les moindres recoins du bateau.

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Il rougit quand je lui avoue que je n’ai pas dormi le temps où lui était entrain de le faire et que donc pendant plusieurs heures je suis resté immobile pendant qu’il dormait. Il pense que j’ai du m’ennuyer, je ris tendrement en secouant la tête avant de lui répondre tout simplement.
« Pas le moins du monde, au contraire, je t’ai regarder dormir, rêver, tu avais l’air si paisible, tes rêves devaient être très beaux »

Je souris puis nous partons sur le pont, regardant la mer que je trouve magnifique, il a l’air tout émerveillé ce que je trouve totalement mignon alors qu’il se met a rougir. Je souris en hochant la tête en lui confirmant que c’est magnifique jusqu’à qu’il se blottisse dans mes bras. Je caresse tendrement son dos avant de répondre à sa question.
« Et bien, j’ai vu la Serbie et la Croatie enfant. J’ai vu les états unis. Après avec mes tournées j’ai vu : le Canada, le Brésil, la France, l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre. Les pays Scandinaves, l’Europe de l’est, le Japon, L’océanie, la Russie. Je crois que j’ai tout dis là. »

Je me souviens encore de toutes ses dates de concerts, je me prenais d’Avril a Octobre certaines années pour faire quelques dates de concerts mondiale mais en réfléchissant je ne connais pas tant que ca tous ses pays, d’ailleurs je ne me retiens pas pour lui dire.
« Mais tu sais, appart voir la salle de concert et l’hôtel, je n’ai pas plus vu que cela les pays, j’y passais maximum trois jours, bien souvent je jouais qu’un seul soir. Donc je ne sais pas grand-chose de ses pays, j’y passais juste en coup de vent. Un jour, tu partiras avec moi sur les routes, et je te ferai découvrir le monde. »

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Goran & Axel

Il a pas dormit, il te dit qu'il t'as regardé dormir pendant que tu dormais. T'étais déjà un peu rouge, alors là, c'est pire. Il dit que tes rêves semblaient beaux, tu souris et tu lui dis, "je me souviens jamais de mes rêves". T'aimerais bien te souvenir. Il parait qu'en sachant de quoi rêvent le gens, ont connait leur personnalité, y'a une phrase qui dit : si tu veux voir l’âme de quelqu'un, demande lui à quoi il rêve. C'est dans le film Arizona Dream, avec Johnny Depp.

Une fois debout, vous vous baladez sur le pont. Tu te blottis dans ses bras en regardant le paysage, tu lui dis que tu trouve ça vraiment beau. Il te sert contre lui en te caressant le dos, t'adores tellement quand il fait ça. Quand tu lui demandes, il te cite plein de nom de pays. Tu le regarde, Bouchée béé, tout impressionné et étonné. "Waaaaah! tout ça??!!", que tu lui dit d'un air admiratif, "la chance!", que tu rajoutes, ébahit. Il te précise qu'il connait pas tout et qu'il se contenté des hôtels et salles de concert. Il te dis qu'un jour, tu partiras avec lui sur les routes. Tu le regardes, les yeux fixés dans les siens, t'en reviens pas de ce que tu viens d'entendre, de ce qu'il vient de te dire. T'es presque à deux doigts de pleurer sous l'émotion et le choque de sa phrase. "C'est.. c'est vrai..?", que tu lui demandes tout timidement, "Tu m’emmènerais avec toi? Ça serait un rêve, tu sais."

Tu restes fort blottit dans ses bras un long moment en marchant, puis vous finissez par quitter le pont et vous retrouver dans les couloir avec toutes les cabines. Interrogateur, tu lui demandes, "On choisit celle qu'on veut? Ou on en a une de donné déjà?". Apres avoir arpenté les couloirs vous descendez plusieurs marches, "C'est graaaaand!". tu en viens a repenser à cette histoire de voyage, tu lui demandes "Tu voyages comment? Moi j'ai pris l'avion qu'une fois dans ma vie, c'était pour quitter Los Angeles et venir ici."

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Alors que je parle de ses rêves, il m’avoue ne jamais se souvenir des siens. J’avoue que moi non plus je me rappelle jamais des miens, ce qui est étrange mais passons. Nous voilà entrain de nous balader tous les deux main dans la main, ou plutôt l’un contre l’autre, mon bras autour de lui, caressant son dos tout le long de sa colonne vertébrale que j’aime stimuler de mes caresses, je sais qu’il adore ca. Il fini par me demandé quels pays j’avais pu voir, je lui fais donc une liste non exhaustive des pays que j’ai vu via mes tournées de chanteur dans le monde, mais je lui avoue n’avoir pas vu grand-chose, n’y restant jamais assez de temps pour visiter, ne voyant que chambre et salle de concert. Après tout c’était les seules choses dont j’avais le temps. Tout allait à cent à l’heure à cette époque.
Je lui fais après une promesse, il réagit de suite ce qui me fait sourire, j’hoche la tête sans lâcher mon sourire, me tournant face à lui, venant prendre doucement son visage entre mes mains et je l’embrasse, tellement content de lui faire si plaisir.
« Oui, je t’emmènerai avec moi, tu sais là j’arrive au bout de mon show actuel, il est temps que je renouvelle mes chansons, mon spectacle pour faire du tout nouveau, les chansons sont en écritures, les show sont en préparation avec ma professeur de danse. Bientôt je passe a une nouvelle étape de ma carrière. »

Je lui souris, il a déjà entendu l’une de mes chansons, mais avant de refaire des show comme celui que je fais en ce moment, il va falloir enregistrer les titre, sortir les album et préparer la tournée, cela devrait prendre un peu de temps mais j’ai un bon nombre de chanson déjà écrites. Passons. Nous allons dans les couloir et on regarde les cabines, je réfléchis sauf que j’en ai aucune idée, je le regarde en haussant les épaules l’air tout penaud de ne pas pouvoir répondre a cette question.
Puis il pose la question sur comment je voyageais, je me tourne vers lui et j’enroule mes bras autour de lui pour répondre simplement avec un sourire doux.
« Surtout l’Avion mais sinon c’était en bus de tournée, un immense bus super spacieux où toute l’équipe était, on aurait vraiment dit un mini salon a l’intérieur, je te montrerai des photos, mais il a la classe. »

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Goran & Axel

Sentir sa main glisser tout le long de ta colonne vertébrale, ça te fait frissonner et rougir à la fois. Tu souris en l'écoutant citer tout les noms des pays qu'il a vu, tu le regardes d'un air ébahis et impressionné. Même si il n'a vu que les chambres d’hôtels, tu trouves qu'il a une sacré chance. Tu le regardes en pleurant quand il te dit qu'il va t'emmener avec lui. Il te prend doucement le visage en t'embrassant, tu laisses couler les larmes en l’embrassant toi aussi. Tes baisers sont souvent timides, mais ils finissent par se faire confiant à la longue, au fur et à mesure que tu te sens à l'aise. Il te raconte qu'il arrive au bout de son show actuel et qu'il va tout renouveler. Les chansons et les chorégraphies, il travaille dessus, qu'il dit. T'aimerais vraiment voir ça, toi, Axel. Tu lui avoues, "j'aimerais vraiment voir ça." Tu lui souris et tu l'embrasses tout doucement en accrochant tes bras autour de sa nuque.

Avec air de gosse amusé, tu lui demandes son chiffre porte bonheur. Quand il te répond que c'est le quatre. Tu lui prends la main en longeant le couloir et tu comptes les portes de chambre. "Une...deux...trois...QUATRE! On prend celle-ci!" Un grand sourire de gamin sur le visage et ouvre la porte et tu entres dans la cabine. Voilà. Tu t'assoies doucement sur le lit en le regardant d'un air amusé avec un petit sourire timide.

Il te raconte comment c'est en tournée, en avion ou en tourbus. Tu le regardes rêveur. Quelle chance il a. Il t'enlace en ta parlant. Tu l'écoutes intéresser, le visage blottit contre son torse mais le regard levé vers lui malgré tout pour le regarder parler. "Ça doit être trop bien", que tu lui dis.

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Ne rien voir des villes où l’on joue est la dure loi du métier d’artiste de scène, toute personne qui fait de grandes tournées avec énormément de ville diront combien c’est dur de visiter une ville quand on passe seulement deux jours là-bas. Je prévoie d’ailleurs un dernier gros show avant de faire peau neuve pour un nouveau show dès la rentrée prochaine. Mais je travaille encore dessus. Il me dit qu’il aimerai voir cela. Je lui souris en lui promettant de lui montrer un jour.
On arrive devant les chambres, on ignore laquelle pendre, il me demande mon nombre favoris, je lui dis alors le nombre qui correspond au mois de ma naissance, Avril. Donc le numéro quatre. Il agit comme un enfant ce qui a le don de me faire rire de bon cœur. Autant dire que j’explose de rire littéralement. Je le suit à l’intérieur de la chambre et je m’assois a ses cotés alors qu’on parle de comment je voyage en tournée. En un mouvement je le bascule, allongé sur le lit et je le chevauche, un genoux de chaque coté de son corps, penché au dessus de lui et je vais titiller son oreille comme il aime bien du bout de ma langue en lui murmurant.
« Dans quelques semaines, je vais essayer de calé un gros concert au canada, tu viendras avec moi mon bel Axel, si tu le veux bien sur »

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Réaction de gosse, l'entendre rire de tes bêtises, ça te fait rire encore un plus. Finalement, vos deux rires se rejoignent. Vous entrez finalement dans la chambre numéro quatre, dans votre chambre, maintenant. Quand tu t'assoies sur le lit, il te pousse pour t'allonger et s'assoie à califourchon sur toi. Tu poses tes mains sur ses genoux qui sont de chaque coté de ta taille et tu lui fais un petit sourire timide. Il te titille l'oreille en te parlant, il te raconte qu'il va essayer de caler un gros concert au canada, il te demande si tu vas venir. T'as bien envie de lui répondre que oui, oui tu vas venir, sans hésiter. Mais à la place, c'est un long soupire d'aise qui s'échappe de tes lèvres en le sentant t'attaquer à ton oreille. Tu passes tes bras autour de sa nuque en rigolant légèrement et tu penches la tête sur le coté et lui chuchotant, "ça chatouille".

Pour finir, tu glisses tes mains le long de ses épaules et son dos en passant par ses omoplates et tu lui avoues, "oui, je veux venir avec toi". T'as plus envie qu'il s'éloigne de toi, tu veux plus prendre le risque de ne plus le voir pendant plusieurs jours et le perde, c'était vraiment trop dur, quand ça s'est passé. "Je souffre, quand je suis loin de toi, tu sais...", que tu lui chuchotes en rougissant timidement en remontant finalement tes mains pour te raccrocher autour de sa nuque, à nouveau. Tu baisses tes yeux au niveau de ses lèvres, tu finis par fermer les yeux en relevant légèrement la tête pour l'embrasser lentement et langoureusement.

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Rapidement après être entrer dans la chambre, Axel se retrouve allongé sur le lit, alors que je suis installé sur ses cuisses, très bien installé même, penché au dessus de lui, j’aime ses moments de complicités entre nous, c’est doux, c’est tendre, c’est câlin, j’aime tout simplement. Alors que je viens de lui demander s’il viendrait avec moi si j’arrive à caler ce concert. Mais je l’empêche de répondre en titillant son oreille avec le sourire, il rit en me disant que sa chatouille. Je fini par redresser la tete pour le regarder dans les yeux, me faisant alors bien sage quelques secondes.
Il me répond qu’il veut venir ce qui m’emplit d’une joie immense, mais j’ai un pincement au cœur quand il parle de la souffrance quand je suis loin de lui. Je passe tendrement ma main dans ses cheveux pour lui murmurer dans un sourire rassurant.
« La semaine loin de toi a aussi été une torture pour moi, plus jamais je ne veux revivre ca. »

Je le laisse faire, aimant lui laisser prendre des initiatives, j’aime quand il prend les devant en m’embrassant, j’aime de plus en plus le voir s’ouvrir au monde, s’ouvrir à moi comme un chaton qui ose de plus en plus de chose dans ce vaste monde. Je le laisse m’embrasser, je souris et je prolonge le baiser, en lui offrant tout simplement ma langue comme bon lui semble. Je me laisse doucement basculer pour être a dos sur le lit et l’avoir au dessus de moi, posant mes mains sur le bas de son dos. Inversant donc les positions d’il y a quelques secondes.
« Plus jamais je ne repartirai loin de toi, c’est une promesse mon bel Axel »

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