Je me colle à elle, appréciant le contact physique avec mon élève et écoute Elizabeth demander la suite. Cette suite sera très mal décrite, parce que moi joueuse derrière le magnifique Antwan n’ai jamais fait de moto et ai la flemme de se renseigner. Pour le reste de ce post, il faudra utiliser beaucoup d’imagination. Bref. « Tu fais ça. » J’actionne quelque chose qui fait démarrer le moteur du véhicule. « Et t’avance avec ça. » Et voilà, comme par magie la moto démarre. (C’est si simple le rpg). Doucement, Lizie s’éloigne de moi et je la regarde avec un sourire satisfait sur le visage. « Par contre va pas trop vite. Faudrait pas que tu tombes et que t’ais des blessures trop voyantes pour le bal. Ca gâcherait tout. » dis-je suffisamment fort pour que la rouquine m'entende.
T’écoute d’une oreille attentive les consignes de ton petit ami, même si tu comprends un peu rien à son charabia (a). Et hooop par magie (comme le dit si bien Lison), l’engin se met à ronronner et tu avances, t’éloignant de lui. Sur le moment tu trouves ça trop cool, pas de problèmes à l’horizon quand soudainement t’entends le brun crier « Par contre va pas trop vite. Faudrait pas que tu tombes et que t’ais des blessures trop voyantes pour le bal. Ca gâcherait tout. » « Pardoooooon ? » tu dis histoire qu’il répète, juste pour le plaisir de l’écouter encore une fois. T’avais bien cru qu’il allait jamais le faire. C’est qu’il se faisait désirer l’eliot. Tu fais un demi tour avec la moto pour revenir vers lui, un grand sourire aux lèvres. Sauf que quand t’arrive à sa distance, t’as un petit problème technique. Ton copain il avait juste oublié de te préciser où se trouvait le frein. La panique monte en toi d’un coup, tu perds tes moyens, regardes affolée les commandes, ne sachant plus où donnait la tête. Tu testes une manette mais rien, une autre à côté, toujours rien, mais c’est qu’il y avait cent mille boutons aaah ! « Antwaaaaaaaaaan ! Tu m’as pas dit comment on arrêtait ce truuuuuuuc ! »
J'ai enfin trouvé un moyen de parler du bal, tout en subtilité, pour en venir à la fameuse demande d'accompagnement. Autant profiter de ce moment à deux pour la faire une bonne fois pour toute, et arrêter de faire attendre Marie. Pour autant je ne répète pas mes mots, mais préfère me concentrer sur la démonstration de ma petite amie. Elle se débrouille assez bien pour faire un demi-tour. « Tu t'en sors vachement bien. » Pour cette première fois, je suis épaté par Lizie et j'orne un sourire lumineux et satisfait. C'est que je ne suis pas mauvais comme prof. Du moins c'est ce que je pensais avant que la rouquine affiche une mine paniquée. Le frein. Fuck, je ne lui ai pas dit comment s'en service. A mon tour j'ai peur pour Lizie et je n'ose pas m'approcher au risque de voir mon pied écrasé. « Le frein est là. » Je pointe un endroit de la moto et prie pour qu'elle le repère bien.
Catastroooooophe ! Comment on arrêtait ce truc ? Franchement Antwan, t’oublies l’essentiel à me dire : comment stopper l’engin. Pas très bon prof décidément. Il fallait faire des progrès. « Le frein est là. » te dit-il en te montrant un truc. Haha il était marrant lui, comment il veut que je trouve le frein dans ces conditions ? Alors tu retentes une mannette au hasard, tu pris pour que ça soit la bonne. Tu fermes les yeux très forts et soudainement, tu sens la machine infernale se stopper d’un coup. Tu pousses un soupir de soulagement avant de rouvrir les yeux. Saine et sauve. Piouf c’était moins d’une. Maintenant que tu savais à peu près comment manier l’engin, tu décides de revenir vers le jeune homme et t’arrêter correctement devant lui cette fois-ci « Bon t’as des progrès à faire en tant que prof à toi. » tu lâches à ton petit ami. « T’as voulu te débarrasser de moi c’est ça, pour avoir plus de place dans le lit ? » tu dis en rigolant.
C’est vraiment idiot de laisser Lizie conduire une moto sans l’informer du frein. Pourtant, je l’ai laissé faire sans penser aux conséquences. Même si elle ne roule pas vite la rouquine peut se faire vraiment mal, et réellement avoir des blessures voyantes pour le bal. Ce qui serait très.. moche. Finalement, accompagné d’un soupir de soulagement Elizabeth arrive à stopper la moto. Thank God. Elle va bien, mais cette taré pour je-ne-sais qu'ai-je envie suicidaire re allume le moteur de la moto. A peine remise de ses émotions, elle retente. « Mais qu'est-ce que... » tu fous ? Elle a lieu quand la minute de repis ? Elizabeth arrive vers moi, s'arrete correctement et critique mon travail de prof. « Tu t'en es quand même bien sortie. » Je ne suis pas le meilleur prof du monde, c'est clair, net et précis maintenant. Jamais plus je n'oublierais d'évoquer le frein. « T’as voulu te débarrasser de moi c’est ça, pour avoir plus de place dans le lit ? » Il suffirait de la pousser malencontreusement pendant la nuit et hop le lit est tout à moi. Et pour une fois, j'ai plein d'autres idées pour virer Elizabeth du lit sans lui faire de mal. « Mon plan n'a apparemment pas marché. » Je ris doucement avant de reprendre plus sérieusement. « Je peux te poser une question ? »
T’étais du genre aventurière mais surtout auto suicidaire. Tu remets en route la machine du diable, cette fois-ci savant comment dompter la bête. Tu reviens vers l’eliot avant de te stopper et descendre. Ca faisait du bien de retrouver la terre ferme après cette petite mésaventure. D’un coup de pied, t’actionnes la béquille de la moto pour que cette dernière ne tombe pas à la renverse. « Tu t'en es quand même bien sortie. » un sourire illumine ton visage à ce compliment « Je sais, je sais. » tu lui réponds en riant. La modestie et toi, ça faisait deux. Heureusement que t’avais fini par trouver le frein, sinon t’allais finir dans le mur à cause de ton petit ami et il aurait été dans un sacré pétrin. Moi j’vous le dis. « Mon plan n'a apparemment pas marché. » « Oh ! T’avais donc l’intention de te débarrasser de moi ! » tu dis l’air faussement outrée, croisant tes bras sur ta poitrine. Bien sur, tu rigolais, comme toujours. « Je peux te poser une question ? » t’hausse un sourcil surprise. Qu’avait-il soudainement à prendre son air sérieux ? Mille et une questions se bousculent dans ta tête. « Ouais que si tu te rattrapes. » tu lui réponds en le regardant dans les yeux. Allez j’te tends la perche Lison, je suis trop gentille, je sais. Tu fais ça bien heeeeeeeein (a)
« Je sais, je sais. » Je pensais ça pour moi. Que je n'étais pas un si mauvais prof vu qu'elle s'en était sortie et qu'elle avait même roulé jusqu'à moi - en s’arrêtant correctement d'ailleurs -. Mais soit, qu'elle le prenne pour elle histoire que ses chevilles gonflent de temps en temps. « Oh ! T’avais donc l’intention de te débarrasser de moi ! » Je ris doucement en m’approchant un peu plus de la jeune femme. « Arrete de te mettre tout le temps au milieu du lit et j’arrêterai de manigancer. » Nouveau sourire, puis je deviens un peu plus sérieux. Roulement de tambours, ça y est j'vais enfin lui poser la question. THE question que Marie attends depuis une mois erm. Gaaad un mois déjà, t'as vu j't'apprends à être patiente. « Comme t'es toujours en vie, pas de blessures toussa, peut-être que tu pourrais venir avec moi au bal ? » On passe le romantisme des mots. Faut pas en demander trop déjà qu'on est dans un cadre splendide et propice à ce genre de demande. Je la fixe avec ce petit sourire qui l'a fait craquer et attends sa reponse sagement.
« Arrete de te mettre tout le temps au milieu du lit et j’arrêterai de manigancer. » « Je me mets pas au milieu du lit, je veux juste te faire des câlins, c’est tout » tu dis l’air innocente, essayant de trouver une excuse. A moitié crédible au passage. Le beau brun s’était doucement approché de toi, prenant un air un peu trop sérieux à ton gout. Tu lui jettes un regard interrogateur attendant une suite à ces mots. Tu ne dis rien avant qu’Antwan ne brise le silence « Comme t'es toujours en vie, pas de blessures toussa, peut-être que tu pourrais venir avec moi au bal ? » ENFIN. C’est la première pensée qui te vient à l’esprit suite à sa demande. Il te faut quelques instants pour réaliser la chose, qu’Antwan te l’avait vraiment bien demandé, après 150 ans d’attente. Ouais il aimait se faire désirer ton copain, pire que toi, dans ces moments. Antwan te fixe avec son petit sourire là, celui qui te faisait craquer, c’était pas du jeu, il jouait clairement avec tes sentiments le vilain « J’ai cru que tu n’allais jamais me le demander » tu lui réponds tout d’abord en t’approchant un peu plus de ton chéri. Tu plonges ton regard dans le sien, fais mine de réfléchir encore un peu avant de finalement déclarer « Je veux bien vous accompagner Monsieur Wayans, ça serait un plaisir » tu lui dis tout sourire. Ca va, t’étais plutôt satisfaite, il avait bien fait sa demande, le cadre amplifiait le tout (a). Pas mal, pas mal, mais il pouvait encore atteindre le 20 pour que ça soit parfait.
« Même quand tu ronfles tu veux me faire des calins ? » Petit clin d’œil pour faire passer ce que je viens de sortir et hop j'entame un sujet sérieux. Enfin sérieux.. question de point de vue. Pour moi le bal n’est pas un événement que j'attend avec impatience. Même si je suis friant des petites anecdotes, disputes et toussa qui sortent inévitablement, se rendre au bal ou demander à une fille d'être son cavalier me passe au dessus de la tête. Il n’y a qu’à voir le temps mis pour poser la question à Elizabeth et ceci même si on sort ensemble depuis quelques semaines. « J’ai cru que tu n’allais jamais me le demander. Je veux bien vous accompagner Monsieur Wayans, ça serait un plaisir » Elle n'aurait pas fait mine de reflechir bien longtemps. Il est certain qu'elle mourrait d'envie d'accepter sa demande. « Merveilleux. » Loin de là la surprise de sa reponse, mais j'en reste content. Je viens embrasser la jeune femme pour cloturer cette parenthèse romantique. Puis je me retourne vers la moto. « Je vais quand même rouler pour le retour. »
« Merveilleux. » Te dit-il en scellant ses mots d’un baiser que tu prolonges avec passion. Ce petit moment de tendresse prend fin bien trop vite à ton gout. Le jeune homme décide de reprendre les choses en main, c’est-à-dire conduire la moto. « Je vais quand même rouler pour le retour. » Après ta petite mésaventure –qui était de la faute de ton petit ami au passage- il valait mieux qu’Antwan conduise pour le retour. « Si tu insiste. » tu dis avec un sourire avant de prendre place sagement derrière l’eliot. Tu mets ton casque de sécurité, prête à partir mais avant tu lui demandes « J’commence à avoir faim, pas toi ? » oui à crapahuter toute l’après midi ça creusait le ventre. Tu commençais à avoir faim, tu savais que ton petit ami trouvera bien un bon petit restaurant pour calmer ton appétit. Il était si parfait, n’est-ce pas ? Qu’il conserve sa perfection.
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Je me colle à elle, appréciant le contact physique avec mon élève et écoute Elizabeth demander la suite. Cette suite sera très mal décrite, parce que moi joueuse derrière le magnifique Antwan n’ai jamais fait de moto et ai la flemme de se renseigner. Pour le reste de ce post, il faudra utiliser beaucoup d’imagination. Bref. « Tu fais ça. » J’actionne quelque chose qui fait démarrer le moteur du véhicule. « Et t’avance avec ça. » Et voilà, comme par magie la moto démarre. (C’est si simple le rpg). Doucement, Lizie s’éloigne de moi et je la regarde avec un sourire satisfait sur le visage. « Par contre va pas trop vite. Faudrait pas que tu tombes et que t’ais des blessures trop voyantes pour le bal. Ca gâcherait tout. » dis-je suffisamment fort pour que la rouquine m'entende.
