heureux est celuil qui ne s'attache pas. (aurore)

❝ ne jamais s'attacher, sauf en voiture. ❞Rien ne comptais dans l'instanct présent, même si dans une minutes de claireter je m'excuse pour sa robe que j'ai endomager, mon sentiment de culpabilité d'efface aussitôt que ses lèvres frôle une nouvelle fois les miennes. C'est si bon, c'est bon parce qu'elle n'est pas comme ses filles qui se laisse berner et qu'elle sait exactement dans quoi elle s'engage. J'equarquille les yeux, haletant, lorsqu'elle décide de retirais sa robe tout en douceur. wow, dis-je dans un sourire, tandis qu'elle me rendais le même. Elle me demande de lui faire visité ma chambre, j'eu un moment d'absence absorber par son corps de déesse avant de me rendre compte que : merde, ça va se faire. Je secoue positivement la tête, et tel un gentleman, je la porte comme une princesse. Elle est pas bien lourde, c'est juste le geste qui compte, et puis le chemin n'était pas bien loin. Ma chambre était dans un Etat second, je vire rapidement les vêtements sur le lit pour les mettre sur le bureau et les livres sur le fonctionnement de l'anus au sol. Du bout de mes doigts, je la tire doucement par la taille, et l'enlace tout en l'embrassant sauvagement, avant de la jeter sur le lit. Allongé, je la recouvre avec mon corps, et embrasse avec douceur chaque partit de son être. D'abord ses lèvres, puis sa nuque, puis sa magnifique poitrine, tout en caressant ses hanches avec douceur et tendresse.

Je poussais un crie de surprise, ne m’attendant pas à ce qu’il me prenne dans ses bras. En espérant que je ne suis pas trop lourde, même après avoir tant travaillée à la gym, il m’emmena sans difficulté dans sa chambre. J’étais trop absorbée par lui  que je ne faisais pas attention à l’environ, continuant à l’attiser en parsemant son cou de baisés. Je laissais échapper un autre crie devant la fougue de Tom qui me jetais sur son lit. Ses lèvres retrouvèrent les miennes à la seconde que mon corps toucha le matelas. Je répondais à son baiser de la même vigueur. Mes mains partirent à l’aventure de lui, touchant son dos, glissant lentement vers ses reins puis se poser sur ses fesses. Je franchis la barrière de son pantalon et de son boxeur pour aller griffer la peau de son derrière. Je retirais mes mains de ses dessous pour aller défaire la boucle de sa ceinture et de lui enlever son pantalon. Maintenant on est à égalité.