heureux est celuil qui ne s'attache pas. (aurore)

❝ ne jamais s'attacher, sauf en voiture. ❞« J'trouve que ça te vas bien comme surnom, pas toi ? » je lui lance un petit clein d'oeil. On passe à l'étape suivante, à peine sortit des chiottes, je lui présente six verres de shoot tequila, j'avais peur qu'elle soit choquer et penser que j'essaie de la soûler, mais au contraire, elle prend place derrière le bar et me défit même de participer avec elle. « Normalement, je n'ai pas le droit, je suis barman c'est moi qui fait en sorte que les gens soit bourée, mais je pense que ce soit je peut faire une exception. » dis-je en lui lançant un petit sourire au coin. Bon, je me la pète un peu, je prends un briqué et met une autre boisson secrète au-dessus des shoots de tequila avant de les enflammais. « ATTENTION LES YEUX ET MAINTENANT : CUL SEC ! » la flamme encore allumée, je pose le creux de ma main par-dessus, pour la stopper. Elle s'accroche à celle-ci, et je la pose juste devant le nez de notre Dunster préféré. Je lui adresse un sourire charmeur, ce petit tour et des plus simple à réaliser, au début, je me brûler toujours la main, j'suis allé trois fois aux urgences et avec le temps, j'ai fini par m'y faire. Je prends un verre, refait la même chose et boit les trois chocs d'affiler. « Bouillant ! » dis-je dans une grimace, avant de rire bêtement. Je remplis les shoots une deuxième fois, la bouteille est encore pleine, on ne s'arrête pas tant qu'elle n'est pas finit.

« Pas vraiment » lui répond-elle en référence au surnom. Elle croisa les bras sur le bar et l'observa en plein action. « Tu veux dire plutôt que tu ne blesseras pas ta fierté d'homme des cavernes» lança-t-elle espiègle. Elle n'avait pas peur de relever le défi, Aurore tient très bien l'alcool. Ces six verres de shoots n'étaient rien pour elle, c'était qu'un amuse-gueule. « Ne me sous-estime pas, tu serais très surpris de ce que je suis capable d'endurer. ». Elle retira immédiatement ses bras du bar et recula légèrement, il était peut-être doué dans son truc, mais le feu n'est pas un grand ami pour la Dunster, elle préfère éviter de l'affronter pour l'instant. « Je vois, on essaie d'épater la galerie ? » elle prit entre ses doigts le shoot, l'examina, puis le bus d'un coup. S'en suivis des cinq autres qu'elle avala sans difficulté. À peine vidées qu'il les rempli aussi vite. « Je vois où sont des intentions, j'approuve. » en levant un shoot en sa direction avant de le boire. « Minute papillon, pourquoi j'ai droit à six verres et toi que trois ? Ce n'est pas très fair-play. » L'accusa-t-elle du doigt.

❝ ne jamais s'attacher, sauf en voiture. ❞« Homme des cavernes ? Un homme des cavernes t'aurait laissé uriner entre le vomi et les capotes dans les toilettes de la Mathers House. » dis-je en arquant un sourcil. Le spectacle n'a pas fait son effet, elle semble plus terrifier qu'autre chose. Mais ça ne change pas réellement le goût de l'alcool, on s'enfile les shoots en moins de trois secondes. J'avoue tenir super mal l'alcool, et je sens que ce n'est pas son cas. D'ailleurs, je prends mon temps avant de boire, au bout de trois je me sent déjà un peu dans les vapes, alors je la contemple enchaîner les six shoots d'un coup. « J'te sous estime pas, je me dis juste que ça doit être marrant de te voir bourée. » dis-je en passant de l'autre côté du bar. Elle me reproche d'ailleurs de ne pas la suivre, certes, mais j'ai peur de ma laisser trop aller, si je suis trop bourée j'agis comme un gros goujat, genre le mec trop lourd qui laisse balader ses mains, mais je joue le jeu. Je lui lance un sourire au coin, et prends la bouteille pour remplir six shoot à mon tour. « CONTENTE ? ça te dis qu'on fasse un action ou vérité ? » dis-je en posant ma main sur son épaule, mes yeux dans les siens, j'avais déjà chaud.

« Hum, je te l'accorde, mais tu resteras toujours un homme des cavernes pour moi. » le taquina-t-elle. Elle lui fit un clin d'oeil complice dont elle avait le secret. « Faudra travailler fort pour ça » ria Aurore. Il y a bien longtemps qu'elle ne s'est pas soulée la gueule, en fait, pas si longtemps que ça. Le résultat de ce mariage non voulu est un peu en cause par ce bourrage d'alcool entre deux zicotos qui ne savaient pas mieux faire. Par reflex, elle caressait du bout du doigt son annuaire où logeait autrefois sa bague de mariage, qu'elle a finalement réussi à enlever. Elle l'avait soigneusement caché dans sa boite à bijoux, non comme souvenir, mais au cas que le jeune homme la redemande, comme ça elle n'aura rien à lui redevoir à leur peut-être futur, si désespérément voulu, divorce. « Très contente. » dit-elle en affichant un sourire de gamine. « Avec joie ! C'est moi qui demande en premier » Le coupa-t-elle avant. « Fais pas la gueule, tu te rattrapas. Alors, action ou vérité » depuis le début de la soirée il ne cessait de la regarder de la sorte. Elle recoulait de joie voyant que son charme n'avait pas perdu de sa vigueur.

❝ ne jamais s'attacher, sauf en voiture. ❞ « Si faut que j'te fasse boire toutes les bouteilles que j'ai en réserve, je le ferais. » dis-je en gloussant, en remplissant une ligne de shoot de nouveau. J'en bois une ou deux au passage et remplis celle-ci de plus belle. J'avais chaud, très chaud et je pense que l'une des raisons pour lesquelles je ne voulais pas boire plus, mais comme un idiot je me suis dit que la meilleure solution d'enlever cette envie de me déshabiller, c'est de prendre un autre shoot. QUEL CON. Je m'assois à côté d'elle avec déjà un peu de difficulté, avant de proposer une action ou vérité. Je la sentais un peu perdu dans ses pensers, et je me suis dit que caresser son visage du bout de mon pouce pourrait la ramener sur terre. « Action, mais ne me demande pas un truc débile comme enlevé mon tee-shirt, parce que ça, je le fais gratuitement ! » dis-je en gloussant, d'ailleurs, je me lève et je m’exécute.enlevé Je me rassois à côté d'elle, plonge mes yeux dans les siens, et lui adresse un petit sourire flatteur. « T'es belle, Aurore. T'es comme une rose, tu piques, mais ça vaut le coup. » Mes mains sur les siens, je me penche pour couvrir sa joue d'un doux baiser, je suis conscient d'empester l'alcool et la cloque, mais elle était dans le même état, alors à quoi bon.

« Je crois que ça sera suffisant » ria Aurore à son tour. Elle tenait bien l'alcool, mais pas au point d'en vider la moitié de sa réserve. Elle but pour un second tour ses shoots et grimaça au dernier. Sacrément corsé cette téquila. Contrairement au barman du Républic, Tom la resservit à la seconde qu'elle ait vidée ses verres. « Tu sais, tu devrais postuler au nightclub. Des barmans aussi serviables comme toi, ça ne court pas les rues. » Dit-elle en attachant par la même occasion ses cheveux dans un chignon décontracté, elle avait chaud et sa crignasse n'aidait en rien. « Qu'est-ce qui te fait dire que j'allais te le demander. » c'est vrai que l'idée lui ait venue en tête et allait légèrement traverser ses lèvres, mais bien sûre, il avait deviné facilement ses intentions. Était-elle devenue transparente ? 'Fin bref. « Mais qu'est-ce que tu fais ? » elle éclata de rire en le voyant enlever son t-shirt. Oh doux bon dieux, jamais je ne serais assez redevable envers toi. Elle ne se privera pas de le dévorer du regard, comme il le faisait avec elle. « Toi aussi t'est pas mal dans ton genre.» Plutôt pas mal. Pourquoi soudainement tous ses compliments à son égard ? Si l'alcool ne la faisait toujours pas rougir, après ça, c'est certainement le cas maintenant. Quand ses lèvres s'étaient déposées sur sa joue, Aurore avait légèrement tourné la tête, ses yeux fixant cette bouche tentante. « Soit sérieux Halberstam, on n'est plus gamin. Si tu veux m'embrasser fait le pour de vrai. » Chuchota-t-elle avant de lui agripper le menton et l'embrasser pour de bon.

❝ ne jamais s'attacher, sauf en voiture. ❞ « J'suis sûre que même après avoir but tout mon stock, tu seras encore debout. » dis-je dans un rire. Je m'élance un peu trop, c'est la chaleur dans cette pièce, qui me semble brûlante ou juste l'alcool qui fait doucement son chemin jusque dans mon cerveau. Quel petit pervers, je deviens le Tom qui a les mains baladeuses et qui aime couvrir de compliment. « Je sais que t'as envie de voir mes muscles virils, et peut être plus ? Plus tard ? » dis-je dans un sourire, avant de me pencher vers celle-ci. Plus tard, tout de suite, maintenant, pourquoi attendre ? elle me lance un défis. Je ne suis pas un gamin, non, je prends mon temps, comme un gentleman, mais mademoiselle à l'air de vouloir plus à présent, et plus vite. Je vire les verres d'un coup de main, ils s'écrasent tout au sol et fort heureusement pour moi, ils sont assez solides pour ne pas se briser en mille morceaux, j'ai bien fait de les payer cher ceux-là. Je n'attends pas, et la porte sur le comptoir, déchire ce qu'elle porte en haut de son corps et recouvre sa nuque et sa poitrine de mille baisers. C'est la chaleur qui me fait faire des choses aussi débiles, ou juste l'envie immense de pouvoir dominer cette fille qui ne se laisse pas dominer. Mes mains autour de sa taille, j'enroule ses jambes autour de la mienne, afin de pouvoir me positionner le plus possible de sa personne. J'embrasse alors ses lèvres avec tendresse et fougues à la fois, comme quelqu'un de presser et de passion, deux en un, c'est bien moi ça. « C'est  ça l'action, Hemingway. »

« J'aurais tout le temps de les voir Halberstam. » lança-t-elle d'un ton taquin. Oh oui, bien plus tard. Elle avait déjà la possibilité de les sentir sous ses doigts. Voilà son pécher mignon, les muscles. Elle trouve qu'un mec musclé s'est hyper sexy, quelle fille en dirait le contraire ? Comme rajout aussi une peau naturellement douce. Ses mains aventureuses caressent chaque once de sa peau. Son torse, ses bras et son dos, aucune partie de son corps n'était délaissé. Elle était tellement obnubilée par lui qu'elle ne fit pas attention au bruit des verres qui tombaient à terre. Elle lâcha un petit cri quand il la prit dans ses bras pour la faire monter sur le comptoir. Ses jambes entourèrent automatiquement ses hanches. Leurs mouvements étaient désordonnés par la fougue, mais précis. L'alcool aidait en beaucoup, surement pour le cas pour Tom ,car sans qu'elle ne puisse intervenir, il déchira le haut de sa robe. Elle allait certainement avoir quelques petits soucis pour retourner chez elle avec une robe dans cet état. « Sacré force » commenta-t-elle au moment que le jeune homme descendait ces baisers un peu plus vers le sud. « C'est ça l'action, Hemingway. », « Je te crois sur parole. » elle entoura ses bras autour de son cou et attrapa entre ses dents la lèvre inférieure du jeune pour la mordiller légèrement avant de la relâcher.

❝ ne jamais s'attacher, sauf en voiture. ❞ Faut vraiment que je me calme, parce que ok, les verres, c'est les miens donc je m'en fou un peu qu'il en reste que des miettes, mais le haut de robe qui devient chiffon, ce n'était pas forcement sympa. J'y pense après, il faut dire que la vu de sa poitrine généreuse me perturbe un peu, et sur le coup, j'arrive pas à penser à sa robe, ni au verre, ni même au bruit que ça doit faire en bas, actuellement, je ne pense qu'à presser ses magnifiques mamelons entre mes mains ou mettre ma tête dedans pour faire brrrrrr, avant de l'embrassais langoureusement. Je ne fais aucun des deux, pusiqu'elle redresse ma tête, de-là, on s'échange un long et langoureux baiser remplis de plein de chose : la passion qui nous domine, l'excitation de l'instant présent et cette tension sexuelle qui rôder depuis la salle de réunion des Alex. Je ne peux m'empêcher de m'approcher encore plus de sa personne, la tirant presque courber contre moi. Ses doigts se baladent le long de mon dos, ça me donne des frissons, et j'affiche un sourire au coin, lorsqu'on décide enfin de reprendre notre souffle. « Désolé pour ta robe. » Soufflais-je mort de rire, par la situation présente. Je me redresse et m'assois sur le comptoir avec elle, on n'est pas vraiment face à face, mais ça me va. Mes doigts se promènent sur ses cuisses que je caresse en douceur, tandis que l'autre main se pose sur sa mâchoire pour l'approchais de la mienne, et l'embrassais à pleine bouche. Toujours dans la même passion que précédemment.

« C'est pas trop grave » riais-je à mon tour. Seulement Wilhemnia ne sera pas de cet avis. J'ai un peu, disons, emprunter sa robe sans sa permission. J'avais l'intention de la lui remettre, discrètement bien sûre, sans qu'elle sache qu'elle a disparue. Bien sûre maintenant, elle le remarquera. Ouille, je peux entendre déjà son sermon. « Puisqu'elle est fichue, je ne vois pas pourquoi je la garderais.» dis-je en coupant notre baisé. Je descendais du comptoir et attrapais le bas de ma robe pour l'enlever, me retrouvant qu'en petite tenue. Sa réaction fut plaisir à voir. Je revenais vers lui, m'infiltre entre ses jambes et me mis sur la pointe des pieds, mes lèvres à deux centimètres des siennes. « Et si tu me montrais ta chambre ? » soufflais-je d'une voix charnelle. Ça devait se produire. L'alcool, des regards lourds de sens, un rapprochement physique continuel, ce qui devait arriver, allait arriver. « J'espère pour toi Helberstam tu termines ce que tu as entrepris. » le défiais-je pour le faire réagir.