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Mαrc “won't you stαy with me ?

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C'est un fait, tu t'étais plusieurs fois interrogée sur la manière de te sortir possiblement de ta détresse psychique, sans avoir nécessité de Mαrc, néanmoins, tu y revenais toujours. Tu savais au fond de toi, qu'il ne pourrait toujours être présent, que ce soit de façon intentionnelle, ou non. Tu ne désirais pas qu'il substitue indispensable, mais c'est tout naturellement que la situation s'était imposée-à-toi. Possiblement cinglée, cependant, pas stupide, tu craignais dans ta lucidité éphémère, de n'être qu'un fardeau au quotidien. Tu étais horrifiée à l'idée de perdre totalement le contrôle de tes agissements, tant ils s’avéraient contradictoires à ta songerie. Une nouvelle fois, tu confirmais la problématique par des réactions aussi soudaines que déconcertantes. Au fond, tu restais incapable de t'exprimer franchement sur ce dont tu désirais exactement, car tu n'en avais toi-même aucune idée. Tu l'observais, longuement, tant tes propos se firent plus rares. En effet, tu prenais l'initiative de couper court à cette distance que tu avais instauré sans la moindre raison apparente. Tu n'avais guère prémédité ton geste, en fait, plus rien ne te surprenait vraiment en compagnie de Mαrc. Lorsque ce dernier vint d'ailleurs t’interroger sur ton agissement, tu mordillais spontanément ta lèvre inférieure avant de baisser la tête, au même instant. ─ oui,.. çα l'étαit. Lançais-tu, tout aussi faiblement que tes précédents propos. Au fond, tu restais consciente qu'il ne s'agissait absolument pas d'une solution, mais ce fut comme au-dessus de tes forces. Fondamentalement, tu ne méditais pas sur la question. Relevant à nouveau la tête, ton regard cherchait encore où se raccrocher. ─ je veux rester αvec toi, vrαiment. Venais-tu de rajouter, observant à nouveau, ce dernier, avec insistance, tant tu ne flanchais pas cette fois. Tu désirais juste quelqu'un qui t'empêche de te remémorer ces incessants questionnements existentiels, ceux qui seront susceptibles de te faire rechuter instantanément, et tu savais que Mαrc pouvait faire face à la situation, plus que toi tu le pouvais. Acquiesçant d'un léger mouvement en surplace, tu venais finalement récidiver votre échange, l'une de tes mains à l'arrière de sa nuque cette fois, tant l'autre s’égarait naturellement sur son t-shirt. Irrémédiablement, tu ignorais ce qui te poussait à agir de la sorte, cependant, tu ne doutais pas que ton attitude aussi irréfléchie que spontanée en soient à l'origine. Espérais-tu possiblement, omettre, ouais, omettre ce qui avait été la cause de ta venue.
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Au début j'ai vraiment eu du mal à la percer, ça m'a fait flipper par moment quand elle faisait ses crises mais maintenant disons que j'ai passé ce cap et que je sais comment réagir et utiliser les bons mots avec elle. Elle est toujours dans sa crise de panique sur ce qui se passe dans sa tête, elle ne sait plus trop ce qu'elle fait, elle vient un coup spontanément dans mes bras, poser sa tête contre mon torse et d'un autre, elle se retire subitement, comme si elle était choquée de ce qu'elle venait de faire, mais je comprenais tout ça, elle n'avait pas à s'excuser et je voulais qu'elle arrête de penser à tout ce qui pouvait la tourmenter, elle était venu pour me voir car elle sait qu'avec moi elle peut tout oublier et justement c'est pour ça que je lui demande ce qu'elle veut pour tout oublier. Elle vient m'embrasser, un acte que je savoure mais qui pour elle est incertain et spontané comme elle vient de me l'avouer « Te poses pas de question, si tu m'as embrassée tu sais très bien que c'est parce que t'en as besoin. » par mes dires elle baissait la tête comme déçue de ce qu'elle venait de faire, mais je relevait son visage avec mon index sous son menton, pendant quelques secondes le silence était là mais elle ouvrait ses lèvres légèrement tremblantes pour me dire qu'elle voulait rester avec moi, je souriais posant une nouvelle fois ma main sur sa joue « Et bien restes dans ce cas. » j'allais pas l'abandonner, elle était fragile et je lui ai fais la promesse de toujours être là pour elle, après tout je suis le seul qui la comprend vraiment, pas parce que je vis les mêmes choses qu'elle mais parce que j'ai appris à la découvrir. Elle vient m'embrasser de nouveau, sa main venait s'appuyer sur ma nuque et l'autre sur les plis de mon t-shirt, je partageais ce baiser avec elle, le savourant puis je rompais le contact avec ses lèvres pour la regarder dans les yeux, mes mains sur ses joues « Tu te sens mieux ma belle ? » si elle voulait continuer plus loin, j'allais pas refuser, j'ai jamais refuser toutes ces fois où ça s'est fini sous les draps.
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Très honnêtement, tu n'ignorais pas combien la possibilité d'en arriver jusqu'ici à l'heure actuelle, était en réalité plus faible que tu ne l'avais imaginé. Paraissais-tu possiblement telle une véritable cinglée paranoïaque à l'extrême, tant il t'avait semblé le stéréotype du parfait con.rd. Tu devais franchement admettre combien une fois encore tu t'étais littéralement planté. La distance instaurée ces précédentes secondes, semblaient quant-à-elles, intiment rattachée à tes craintes inexistantes. Après tout, Arriverait bien ce jour durant lequel Mαrc se devrait irrémédiablement d'emprunter un chemin différent du tient. Comment pourrais-tu seulement envisager sereinement l'avenir, consciente qu'il ne pourrait éternellement pallier à tes angoisses. Submergée par ces questionnements incessants, tu parviendrais presque à le haïr de toutes tes forces. Combien de fois, à l'exemple de ce soir, avais-tu essayé de faire sans lui, convaincue jusqu'alors de pouvoir te résonner, en vain. Et si tu lui reprochais finalement, de s'être rendu indispensable ? Tu restais l'unique fautive, pauvre idiote. Ton refus catégorique de traiter tes propres troubles, te conduisait fatalement à d'autres solutions et pas foncièrement les plus raisonnables. Ton unique regret, subsistait au travers Mαrc, pleinement lucide à l'idée que cette situation ne perdure éternellement. Ne redoutais-tu par lui octroyer une certaine animosité au fil du temps ? Vos quotidiens bien distincts aboutissants irréfutablement sur des contradictions que vous ne pourrez indéfiniment détourner, et ce, malgré toute la volonté du monde. Toutefois, tu concéderais à endurer toujours plus, tant tu t’avérais incapable d'admettre la vérité. △ Concrètement tu n'ajoutais rien à ses paroles, tant tu ignorais toi-même ce dont signifiait réellement tes agissements."Réelle nécessité, ou banale envie", savais-tu uniquement faire la distinction entre les deux. Au fond, souhaitais simplement qu'il concède à ta présence cette nuit, persuadée que seule tu aboutirais à te cogner la tête dans le premier mur venu, afin de mettre un terme à tant de questionnements. ─ merci, se fut d'ailleurs, l'unique parole qui vint rompre ton silence, pour un murmure. Tant ses propos, que ses mouvements -bien que superficiels-, parvenaient futilement à te réconforter, t'obligeant ainsi, à ne pas exclusivement te confiner dans tes problématiques. On ne pouvait guère prétendre à l'inverse, tes prunelles fixes, se firent quant-à-elles, plus parlantes encore que tu ne l'étais toi-même. Bien que discernant l'interrogation de Mαrc, tu te contentais d'un infime mouvement de tête de haut en bas, à peine perceptible, comme si tu daignais faire preuve d'optimisme, sans avoir à t'exprimer ouvertement. Te voilà, le dévisageant toujours plus, si c'était encore possible, une question probablement à l'origine de ton silence. ─ Et si un jour, çα ne fonctionnαit plus ?, sous-entendu, "et si tu ne parvenais plus à faire face ?", toutefois tu ne t'étalais pas davantage. Penchant doucement ta tête sur le côté cette fois, tu désirais certainement appuyer tes propos, tant bien même ils appartenaient encore à des questionnements qu'ils n'eurent pas lieu d'être, pas dans l'immédiat. Tu l'observais sans répit, tu cherchais éventuellement à capter la totalité de son attention. ─ Tu peux toujours me dire que c'est pαs une solution., Envisageais-tu presque d'y demander son avis ? Pensais-tu qu'il était réellement raisonnable que de se taper le monde entier, pour omettre, un moment la souffrance psychique ? Il te suffisait seulement de t'éloigner de quelques pas, mais même un geste d'une telle simplicité s'avérait d'une complexité déconcertante.
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Je me demandais toujours comment ferait-elle sans moi, c'est vrai non après tout ? Si je n'avais pas été là, comment aurait-elle pu trouver mes bras dans lesquels elle sait qu'elle est en sécurité où qu'elle peut s'abandonner à toute les craintes dans sa tête ? Si je n'avais pas été là, aurait-elle trouver quelqu'un qui la comprenne tel qu'elle est, surtout intérieurement ? Je me pose souvent ces questions et j'ai du mal à l'imaginer, qu'elle trouve une autre personne que moi parce que tout simplement je suis là pour elle et que je ne compte pas la lâcher de si tôt. Elle venait de m'embrasser une seconde fois, ce n'était plus spontané comme la première fois, cette fois-ci c'était voulu et en réponse à ma question, elle me remerciait, ce fut sa réponse et je souriais légèrement mais je lisais toujours le doute dans ses yeux, et j'avais eu raison parce qu'après les quelques secondes qui ont suivit elle m'a fait par de sa crainte qu'un jour ça ne fonctionne plus, je soupir alors légèrement « Si un jour ça ne doit plus fonctionner, ça ne fonctionnera plus, on sait jamais ce qui peut arriver, profite simplement que ça fonctionne encore. » lui sortais-je en réponse à ses doutes et ses craintes. « Solution ou pas Solène, je vois que ça marche. » après tout c'est vrai, elle se calmait sans qu'elle s'en rende réellement compte, elle ne tremblait plus puis je sentais une certaine aisance revenir en elle, comparé aux quelques minutes qui ont suivit son arrivée dans ma chambre, à la limite de la panique.
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C'était un fait, au fond de toi, tu doutais encore que ça fonctionne à l'avenir. Que ta bipolarité déjà extrême, s'aggrave probablement au fil des difficultés, et que fatalement, Mαrc, ne puisse plus rien y faire, que toute la volonté du monde ne soit de loin suffisante. Constamment tu te questionnais quant à l'avenir, et ce fut possiblement tout le problème. Au fond, que ferais-tu, quand la fermeté et la compassion associées, ne pourraient plus atténuer tes angoisses. Présentement, tu doutais encore de ton enthousiasme habituel, de ton engouement déconcertant. Tu redoutais cette désagréable sensation de perdre totalement le contrôle de tes agissements, tout simplement parce que ta songerie s'avérait irrémédiablement contradictoire, inévitablement à l'exemple même de la situation actuelle. Put.in, tu aurais tout donné, seulement pour omettre durant l'espace d'un instant ta souffrance psychique, et pourtant, tu doutais encore qu'il s'agisse de la meilleure solution. Ce n'était assurément pas la première fois que ce genre de circonstance aboutissait indéfiniment de façon similaire. Le plus innocemment du monde, tu essayais vainement, de ne pas te laisser submerger par la facilité, néanmoins tes agissements précédents te trahissaient, irrévocablement. Tout serait évidemment plus simple, si tu prenais enfin cette initiative que de cesser de te confiner toujours plus dans ta déroutante fierté, si tu admettais de toi-même, combien il s'avérait l'unique individu à t'appréhender entièrement. ─ Que comptαis-tu fαire αvαnt que je sois lά ?, lançais-tu, sur un ton parfaitement anodin. Tu ne répondais pas franchement à ses propos, et tu semblais même les éviter, tant il n'avait absolument pas tort. Il fallait que tu arrêtes, que tu arrêtes de te poser ce genre de questionnements absurdes, alors qu'au même instant tu t’obstinais à lui faire face. Tes craintes à peine tempérées, que tu tentais encore de te convaincre que ne pas te jeter entièrement sur Mαrc, serait davantage raisonnable, possiblement pour vous deux. Quelle ironie pour une gamine qui ne l'a jamais été, et qui ne le sera éventuellement, jamais. ─ αrrête. Repris-tu, faiblement tant tu acquiesçais d'un léger sourie, bien que finement imperceptible. Ce ne fut certainement pas une exclamation lancée sèchement, bien au contraire. Tu lui implorais vaguement de ne pas te donner amplement raison de te jeter complètement sur lui, tout naturellement parce que ce fut une sorte, d'accoutumance. Cependant, tu n'avais de cesse de l'observer longuement, te préservant difficilement de t'en rapprocher. Un bref hochement de tête, et te voilà, contournant Mαrc une nouvelle fois, t'avançant en direction de son lit, sur lequel tu te laissais finalement tomber. Tes prunelles fixes jusqu'alors, vinrent lorgner sa chambre d'un bout à l'autre, tant elles se reportèrent immédiatement sur ce dernier, comme si tu refusais obstinément de te focaliser sur autre chose.  
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Marc A. Du V.-Montet a écrit:
Elle m'avait embrassée une première fois spontanément mais lorsque ses lèvres se posaient une seconde fois sur les miennes, c'était du voulu et fallait pas qu'elle regrette son geste et j'étais ravis qu'elle ne le regrette pas, elle appuyait son baiser en déposant ses mains sur ma nuque et mon t-shirt. Après elle relâchait ses lèvres pour me demander ce que j'avais prévu de faire avant qu'elle ne vienne « Et bien rien en particulier. » j'avais finis mes révisions et je savais pas vraiment ce que j'aurais pu faire, ça aurait été surement une question d'envie et maintenant qu'elle était là, je savais ce que je voulais faire. Alors que je lui disais que ça semblait être une solution qui marchait sur son état, elle me disait d'arrêter mais c'était pas dis de façon méchante, elle voulait surement que j'arrête de la lancer sur ce sujet, je ne disais rien, la voyant me contourner pour venir sur mon lit, s'allonger et se redresser en finissant par poser ses yeux sur moi. Je me dirigeais vers elle, m'allongeant à côté d'elle sans quitter son regard.
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C'était dans ta façon d'agir, tu détournais constamment un sujet pour un autre, lorsque tu ne te confinais pas dans ton silence. Te voilà, tentant de prendre désespérément sur toi, comme presque jamais auparavant. Tu n'étais malheureusement pas convaincue quant à l'utilité de ton obstination, en effet, tu doutais qu'elle te mène quelque part. Tu ne faisais que repousser la situation, consciente de ne pouvoir maitriser véritablement ce genre de convoitise. Après tout, tu étais définitivement la première à ne savoir préserver tes excès, raison pour laquelle tu concevais la totalité de ton absurdité à désirer t'en éloigner, malgré ta songerie franchement contradictoire. Tu restais ce genre d'individus à trop cogiter, et pas assez en même temps, le voilà tout le problème. △ Ton regard n'avait de cesse que de se stabiliser sur Mαrc, depuis ton arrivée. En te focalisant uniquement sur ce dernier, tu espérais probablement atténuer ces réflexions ininterrompues. Tu venais à peine de t’écarter, que tu t'imposais difficilement de transférer la totalité de ton attention sur tout autre chose, en vain. Tant il vint répondre à ton interrogation des secondes précédentes, que tu l'observais à nouveau, se rapprochant à son tour, pour finalement s'allonger à tes côtés. Ce fut futile et véritablement sans importance, néanmoins, ça te tranquillisait plus que de raison. En effet, tu ne pourrais irrémédiablement pas te comporter de manière similaire avec un autre. Faut dire, que tes agissements se voulaient propres à Mαrc. Il percevait chez toi, ce dont tu dérobais aisément, en temps normal. Il est si superficiel que d'avoir l'air parfaitement normale, même lorsque psychologiquement il ne fut pas plus, qu'un monstrueux bordel. Certainement, ce principe que de ne pas avoir instauré une distance suffisante, dès le commencement. Tu ne pourrais t'en prendre qu'à toi seule, car jusqu'à présent il avait pleinement connaissance de ton existence, jusqu'à tes raisonnements invraisemblables qu'on ne dit habituellement, pas. Au fond, ne craignais-tu pas que cette situation ne te retombe froidement dessus ? Votre relation ne subsistait pas anodines des relations amicales basiques. Elle n'avait foutrement aucun sens, bien que ton psychique te contraignait désespérément à t'y en raccrocher, un peu plus à chaque fois. Tu décrochais un rapide coup d’œil en direction du plafond, dès lors que dans un mouvement brusque et rapide, tu t'abaissais à hauteur de ce dernier. Jusqu'à présent sur le dos, tu pivotais légèrement sur le coté, l'observant sans un mot durant de longues secondes. Faut croire que tes propos ne seraient strictement d'aucune utilité. C'est ainsi, que tu venais rompre cette distance presque anormale, en te rapprochant au possible de Mαrc, l'une de tes mains effleurant son bras. Tu n'étais pas particulièrement tactile, en fait tu ne l'as jamais été. Tu supportais difficilement les gens se sentant dans l'obligation de te toucher à chaque fois qu'ils t'adressaient la parole, cependant, la situation s'avérait particulièrement différente et ton état psychique, en plus. ─ Je ne sαis même pαs pourquoi, je fαis çα. Parce que tu es cinglée ma grande. Parce que tu n'as aucune idée de ce qui est bon ou mauvais, pour les autres, comme pour toi, et que tu en n'avais strictement rien à faire. Soupirant doucement, il était presque indéniable que ce dernier pouvait quant à lui, discerner ton souffle au vu de votre proximité actuelle. Tu ne savais pas réellement ce dont tu désirais, au fond tu te perdais toi-même dans tes retranchements et questionnements sans importance. Et s'il n'avait pas tort, après tout, solution ou pas, tu finirais possiblement par tout laisser tomber. Tu ne devais rien à personne, et agir de façon favorable ou non, serait sans intérêt, dans l'immédiat. Ta main ne se défaisant pas de ton léger contact sur son bras, vint instantanément s'abaisser jusqu'à ses doigts auxquels tu vins entremêler les tiens sans un mot. Ouais, un peu comme si tu souhaitais encore l'empêcher de décamper soudainement, et te rassurer par cette occasion.    
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Elle était là, elle venait de me contourner pour aller sur mon lit, je la laissais faire, je ne voulais pas la brusquer, la perturber parce que savais comment ça tournait à l'intérieur de sa tête. Elle m'avait embrassée et il fallait pas qu'elle regrette son geste et pour lui prouver qu'elle n'avait pas à s'en faire, je la rejoignais, m'allongeant à ses cotés, sans la quitter du regard. Je la sentais se rapprocher légèrement de moi, ses doigts effleurant mon bras et ses lèvres qui me disaient qu'elle ne savait pas pourquoi elle avait agit ainsi, et je souriais faiblement lui répondant « Parce que t'en as besoin ou que t'en as envie peut-être. » je sentais ses doigts glisser le long de mon bras jusqu’à venir s'entrelacer à ceux de ma main, je les regardais quelques secondes avant de reporter mon regard sur ses yeux et de venir rapprocher mon visage pour l'embrasser, tendrement, ma main livre venant se poser sur sa joue en prolongeant ce baiser pour quelques instants.
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Étrangement, tu ne parvenais à te remémorer l'ultime fois, durant laquelle tu n'avais pas eu besoin de son aide pour t'en sortir. Tu semblais omettre désespérément ces périodes difficiles de ta vie, celles où Mαrc ne se devait pas encore d'interférer. Parfois, tu regrettais d'être à l'origine de ta propre dépendance, car jamais, honnêtement, tu n'as tenté de faire changer les choses. Tu aurais certainement préféré qu'il t'appréhende à l'exemple même d'une individue parfaitement normale, à cette gamine complètement cinglée. Tu ne remettais irrémédiablement pas votre relation en question, toutefois tu songeais à combien la situation actuelle s'avérait assurément plus simple, si quatre ans, -environ- auparavant tu n'avais pas fait sa rencontre, par le plus grand des hasards. Si de ta propre volonté, tu avais seulement su te préserver de son attitude réconfortante, en l'éloignant au possible de ta personne. Si tout naturellement, tu avais appris à lui dissimuler tes faiblesses, pour ne laisser place qu'à l'enthousiasme, trop souvent superficiel. Tu supportais difficilement l'idée que de devoir te planquer lamentablement dans ses bras, par crainte d'être susceptible de faire une connerie dans ton instant de détresse, virulente. ─ Est-ce que tu regrettes, Mαrc ? Lui lançais-tu faiblement, faisant irrévocablement allusion à votre rencontre, mais pas seulement. ─ Pαrce que je me sens vrαiment désolée de n'être pαs plus qu'un fardeαu, pour toi. Acquiesçant d'un sourire presque imperceptible, tu te contraignais à ne pas en rétorquer davantage. Tes doigts encore entremêlés à ceux de Mαrc, s'obstinèrent toujours plus à resserrer leur étreinte, tant tu ne réagissais pas aux paroles précédentes émanant de ce dernier. Certainement n'avait-il pas tort, sois tu en avais réellement envie, sois besoin, dans les deux cas, ce ne fut pas plus qu'un sincère, n'importe quoi. D'autant plus, que tu choisissais mal ton moment, pour une quelconque remise en question. Cette fois, tu ne fuyais pas son contact, prolongeant instinctivement votre échange, tu l'incitais -si c’était possible- à se rapprocher, tant lorsque tu agissais tu finissais partiellement par négliger tes interrogations existentiels. ─ Au fond, j'αi pαs envie que tu αgisses, uniquement pαrce que tu αs, pitié. Te dissipant toi-même dans tes propos, tu finissais à contrecœur par détacher tes doigts de ceux de Mαrc, profitant de cet instant pour te redresser, légèrement. Néanmoins, ta main à peine libre, que tu vins presque instinctivement la déposer sur son torse, ta tête à hauteur de son épaule. Ton regard vrillant de part et d'autre de la pièce, se raccrochait finalement et, sans le moindre étonnement à ce dernier.
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❝Tu sais que tu commences à m'énerver avec toutes tes questions sur toi et notre relation ? Tu sais ce qu eje pense, j'ai pas à revenir sur ce que j'ai dis, je regrettes rien et t'es pas un fardeau.❞ lui sortais-je en soupirant légèrement, toujours collé à elle, dans le lit. Je voulais juste qu'elle se taise, qu'elle se laisse aller, alors agrippais à mon tour ses lèvres, un baiser langoureux pendant quelques secondes avant qu'elle ne rompe le contact pour me demander, encore, si j'agissais par pitié avec elle, je relevais légèrement a tête, plongeant mon regard dans le sien ❝Arrête Solène.❞ je commençais à en avoir marre qu'elle soit ainsi, aussi interrogative avec elle-même. Elle s'était légèrement redressé, enlevant ses doigts des miens, laissant une de ses mains sur mon torse et ma main venait se poser sur sa joue ❝Laisse toi aller s'il te plait, oublie tout juste pour un moment, ne pense qu'à moi.❞ lui sortais-je, caressant sa joue avec ma main que je ramenais sur les plis de son haut que je lui retirais avec mon autre main.
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