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Mαrc “won't you stαy with me ?

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Petite emmerdeuse que tu es, songeais-tu. Tu n'avais eu de cesse que de te comporter de façon exécrable, à la limite de l'insolence. Non, c'est un fait, tu n'avais guère agressé quiconque, t'étant seulement contentée de tirer la tronche la journée entière. Une nouvelle fois, tu sombrais lamentablement dans ces périodes difficiles, durant lesquelles tout et/ou rien, suffisait à véritablement t'engrainer. Incapable d'octroyer la moindre parole sur cette -anomalie- qui te ronge depuis ta plus tendre enfance. Après tout, n'était-ce pas toi, l'unique responsable ? Personne d'autre à ta place, ne pourrait traiter tes propres troubles comportementaux, si tu refusais désespérément de t'en sortir. Tu restais habile d’enthousiasme déraisonnable, tout autant que tu ne parvenais guère à esquiver cette étendue désastreuse de morosité les semaines qui suivirent... C'est instantanément durant ces périodes déconcertante de connerie, que tu t'en remettais généralement à Mαrc. Tu subsistais naïvement persuadée qu'il était encore l'unique individu à pouvoir t'appréhender presque, totalement. Tu concédais à t'y en raccrocher toujours plus, tant tu avais évidemment conscience de combien votre relation ne représentait rien de franchement raisonnable. Tout ce dont tu aspirais, c'était sa présence sécurisante lorsque tu t’avérais dans l'incapacité d'enchaîner deux mots à la suite. △ Ce n'était assurément pas la première fois que tu t'introduisais dans les couloirs de la Eliot House, toi qui n'appartenait d'ailleurs, à aucune d'entre elles. Et puis, tu te foutais grandement de savoir si oui ou non, Mαrc avait du temps à te consacrer. C'était une sorte de nécessité, une journée aussi minable que la tienne, frustrée inlassablement dans tes angoisses, occasionnait logiquement une certaine conciliation de sa part. Rectification, en fait t'avais pas véritablement débarqué l'air de rien, espérant désespérément terminer la soirée à l'exemple d’innombrables autres, dans l'immédiat, tu souhaitais seulement être rassurée sur ton psychique fragile. Effectivement, tu aurais pu te contenter de cogner telle une forcenée, néanmoins tu privilégiais cette fois -étonnamment- la discrétion, désireuse qu'il ouvre enfin sa porte. Et puis, pourquoi prendre cette peine que de daigner mot, il y avait qu'à constater ton teint semi-décomposé, aussi bien dit, ta tête des mauvais jours.
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Je venais de finir mes dernières rapports à l'hôpital, je déteste la paperasse quand je suis ici, préférant deux fois plus assister les interventions chirurgicales mais c'est la loi du tout ou rien, je fais avec, j'ai pas le choix. Je viens juste de rentrer, regardant ma montre, le cadran affiche vingt heures, autant dire que j'étais épuisé mais je tenais le coup, me posant sur mon lit avec mon mac, pour réviser, comme d'habitude et je fus surpris qu'on toque à ma porte, je peux jamais être tranquille, je pose mon ordinateur à côté de moi sur le lit pour me lever et aller ouvrir et c'est Solène en face de moi, elle a la tête des mauvais jours, je tiens le bord de la porte en me penchant légèrement vers elle, sourire aux lèvres « Salut toi. T'as besoin de quelque chose ? » lui demandais-je attendant sa réponse.

ps: sorry pour cette réponse courte et minable mais je te répond entre deux cours donc c'est short Mαrc “won't you stαy with me ? 3850463188 j'espère que tu aime♥️♥️
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Toi, tu n'étais pas comme toutes les autres, tu ne l'as jamais été, et tu ignores véritablement la signification, d'agir comme... Comment peut-on seulement faire preuve de bonne volonté, tant tu n'as de cesse que de résonner de façon, parfaitement illogique. Tu daignes des agissements sans même n'en connaître la raison. Tu t'engraines pour des futilités sans la moindre importance, au risque de blâmer l’invraisemblable. Tu procèdes à l'exemple d'une gamine, tant foutre ta vie en l'air te semble désespérément plaisant. La faute à ton psychique fragile, éventuellement. Faut dire, que tes angoisses n'ont pas failli ces précédentes semaines, toutefois tu persistes à supposer que la situation s'estompera avec le temps. Tu aspires fatalement à ne plus subir tes sautes d'humeurs, dont tu prétends méconnaitre l'origine, cependant tu refuses catégoriquement de les traiter. Ton esprit de contradiction, finira malheureusement par te perdre. △ Tu ne savais pourquoi, mais tu avais envie de lui hurler dessus. Il ne t'avait absolument rien fait, tant sa présence se fit quasiment inexistante ces derniers jours, et pour cause, tu tentais fermement de te convaincre de combien, tu n'avais nullement besoin de lui dans ces moments-là. Tu l'avais observé bêtement, silencieuse. Ton attitude finement agressive trahissait irrémédiablement, le fond de tes pensées instables. ─ t'es déçu n'est-ce pαs, tu t’αttendαis certαinement ά mieux. Lançais-tu brusquement de manière totalement irréfléchie. Paranoïaque à l'extrême, il n'en serait possiblement pas stupéfait, trop accoutumé à ton tempérament brutal. Et sans attendre, tu te précipitais vivement dans sa chambre, contournant à peine ce dernier. Après tout, tu te foutais bien de savoir si ta présence était un fardeau. ─ fαut pαs que tu me lαisses, pαrce que j'αi peur de devenir cinglée. Tu l'es, inévitablement. Tu aurais uniquement dû ajouter, combien tu craignais de concéder à une connerie quelle qu'elle soit, et excepté Mαrc, tu excluais l'idée que quiconque tente encore de te venir en aide, ou te prenne pour une franche instable. Dès lors, que tu passais une main dans tes cheveux, tu t'obstinais à garder tes distances, guettant ton interlocuteur de tes prunelles fixes, limites accusatrices. Tu t'étais pointée l'air de rien dans sa chambre, consciente au fond de toi qu'il ne pourrait palier tes angoisses, te contentant de brefs mouvements en surplace pour subvenir à ce manque de parole qui te stressait davantage. Après tout, tu craignais les gens autour de toi, dans ces désastreux instants, tout autant que tu parvenais incontestablement à t’effrayer toi-même. ─ dis quelque chose. Vins-tu rajouter hâtivement, haussant instinctivement les épaules, avant de te rapprocher de quelques pas de Mαrc, afin d'être à nouveau à sa hauteur.


c'est pαrfαit, ne t'inquiète pas. Mαrc “won't you stαy with me ? 2511619667
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J'étais clairement ko, j'aimais pas passer autant d'heure à l'hôpital surtout quand c'est pour de la paperasse, je suis rentré à vingt-et-une heure ce soir, c'est tard oui mais il faut croire qu'il n'est jamais trop tard pour mes révisions, aussitôt arrivé que je me cale sur mon lit avec le mac pour lire les dernières fiches de cours mais ça ne dure pas bien longtemps, on vient frapper à ma porte, je laisse l'ordi de côté sur mon lit et une fois la porte ouverte, c'est Solène que j'ai devant moi, assez perturbée, la tête des mauvais jours et si elle est venu me voir c'est pas par hasard. « Oulà pourquoi je serai déçu ? » lui dis-je intrigué alors que la seconde d'après elle avançait le pied pour rentrer dans ma chambre, je refermais la porte derrière elle, m'adossant à cette dernière pur l'entendre me dire que je ne devais pas la laisser, elle semblait vraiment paumé putain, elle se rapprochait pour être à ma hauteur et me dire justement de dire quelque chose, je venais lui prendre la main sans quitter son regard « Je te laisse pas. » lui dis-je, j'étais habitué à son comportement, son tempérament, et je pense être le seul à pouvoir la gérer quand elle commence une crise comme celle-là où elle ne comprend plus rien, qu'elle à peur, j'allais pas la laisser dans cet état, j'étais pas comme ça puis je ne l'ai jamais laisser ainsi, toujours là à la rassurer et à lui faire comprendre que dans mes bras elle pouvait tout oublier.
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Une nouvelle fois, tu bouleversais ses plans. Tu omettais littéralement qu'il ne subsistait pas seulement pour toi. Au fond, tu savais désespérément qu'il ne pourrait palier tes angoisses, que toute la volonté du monde ne serait franchement pas suffisante. Tu t'étais lamentablement raccrochée à Mαrc en t'imaginant possiblement qu'il pourrait t'extraire de ces périodes de détresse intense, durant lesquelles tu ne dissociais le faux du vrai. Ces moments incontrôlables où tu ne parvenais plus à maîtriser cette souffrance psychologique dont tu étais victime, convaincue de devenir littéralement cinglée. Tu l'observais, longuement, silencieusement, bêtement, tu désirais solliciter son aide, tant tu restais incapable d'ouvrir la bouche, ce n'était pas si nécessaire, après tout. Tu exerçais une ferme pression sur sa main, tes prunelles à la base si fixes, ne cessèrent quant à elles de dévisager leur interlocuteur, inquisitrices. Tu cherchais probablement à te rassurer, tant tu savais mieux que quiconque qu'il ne pourrait t'aider, car il ne s'agissait pas dans ce cas de douleur physique, rien à l'évidence qui puisse lui permettre d’atténuer les effets. ─ Je suppose, que tu αurαis préféré αutre chose, qu'une cinglée ά tα porte, éventuellement. Lançais-tu froidement. Après tout, tu ne pouvais lui en vouloir. Ta façon d'extérioriser tes propos, s'avérait étrangement contradictoire à tes gestes. Pas une fois tu n'avais songé à lâcher sa main, autour de laquelle tu n'avais d'ailleurs de cesse, que de renforcer toujours plus ton étreinte. Tu ne t'exprimais certes, que très peu, cependant, ton regard le suppliait de mettre un terme à ton bordel psychique.  ─ Toi αussi tu penses que je suis folle, j'en suis certαine. Une nouvelle fois, tu sombrais pitoyablement dans ta paranoïa, ton regard lorgnant presque machinalement Mαrc de haut en bas, avant même que tu te risques à reprendre la parole faiblement, comme si tu craignais que quiconque ne perçoive tes propos, outre ce dernier. ─ Çα tourne en rond, c'est sαns répit. Çα ne s'αrrête jαmαis, Mαrc.. Ta main encore libre vint automatiquement effleurer tes lèvres, à l'exemple d'une enfant ayant prononcé une mauvaise parole. Tu accusais irrémédiablement ses questionnements existentiels de toujours auxquels tu ne trouvais réponse, personne ne le pourrait, puisque personne ne se posait ce genre d’interrogations absurdes, excepté, toi. ─ J'αi essαyé, je te promets, de fαire sαns toi et sαns ton aide. Ta phrase restait inachevée, néanmoins en rajouter aurait été parfaitement inutile, c'était amplement suffisant. Ton attitude se fit traitre, tout simplement parce qu'elle dévoilait nettement le fond de ta pensée. Après l'avoir longuement observé, ta main défaisait enfin son étreinte, -s'il aspirait à être débarrassé, ce dernier en serait inévitablement déçu- tant tes deux mains cette fois, s'agrippèrent brusquement au vêtement de Mαrc, contre lequel tu vins déposer ta tête, sans le moindre mot. Tactile ? Tu ne l'as jamais été, c'est un fait, cependant, tu ne pouvais te confiner dans ta solitude, plus longtemps.
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Je connaissais Solène, elle n'est pas une femme normale, attention il ne faut pas comprendre par là qu'elle est un monstre, loin de là, je veux juste dire qu'elle a des problèmes qui ne cessent de la tourmenter, et ils se trouvent dans sa tête. Elle a débarquée chez moi ce soir, l'air perdue, le visage fermé et pourtant je peux transe-voir dans la prunelle de ses yeux perdus, une instabilité qui ne cesse de la faire douter d'elle-même. Elle est entrée, se fichant d'une quelconque réponse, se fichant que je sois occupé ou non, elle entrait et elle me faisait part de ses craintes, refermant la porte, elle s'était rapprochée et j'avais pris sa main, et je sentais la sienne exercer une pression à chaque fois plus forte lorsqu'elle me parlait, au final espérant une réponse de ma part, elle avait peur que je la délaisse mais ce n'était pas le cas et je le lui faisais savoir. « Tu sais très bien que je ne te prends pas pour une cinglée Solène. » bien qu'elle m'est dit ça dans une froideur déconcertante, je passais outre parce que j'étais habitué à ce genre de tons avec elle, c'est sur que n'importe qui d'autre, aurait été sur la défensive si elle parlait avec un tel ton mais moi je comprenais, je savais. « Tu penses mal alors. Si les autres peuvent penser que tu es folles, moi pas. » et c'était le cas, je sais très bien qu'elle est venu ici parce qu'elle sait qu'elle en a besoin, besoin de moi, de mes paroles et là elle n'arrêtait pas de me faire part de ce qui n'allait pas, que dans sa tête ça n’arrêtait pas de tourner en rond et si au début je ne savais pas du tout comment agir et réagir, là je savais « Tu sais très bien que j'arrêtes pas de te le dire, ne penses plus à rien. » les quelques fois où elle l'a fait, elle s'était calmée et c'était différent, une autre Solène. Elle m'avouait qu'elle avait essayée de faire les choses sans moi et juste par ce début de phrase je savais ce que ça voulait dire, elle ne pouvait pas y arriver sans moi, sa main quittait la mienne pour rejoindre son autre main plaquée sur mon torse, tirant sur les plis de mon t-shirt elle se colle à moi pour poser sa tête en plu, je la serre alors contre moi déposant un baiser sur son crane « Et alors, ça a donné quoi ? » je voulais savoir, l'entendre de ses lèvres.
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“Putain, ce fut présentement le mot qui te vint à l'esprit. Tu crèverais de douleur que d'admettre ouvertement combien tu avais besoin de lui, et de sa putain de présence sécurisante. Au fond de toi, tu supportais visiblement mal l'idée qu'il puisse avoir raison. Concéder à lui balancer franchement l'ampleur de la situation reviendrait à échouer davantage. Tu craignais visiblement d'émerger plus faible encore à ses yeux, et il subsistait d'après toi, ce genre d'individu auquel on ne divulgue jamais véritablement la totalité de son attachement. D'autant plus, que Mαrc n'avait assurément pas nécessité de distinguer combien il était indispensable. Tu ne semblais pas réellement convaincue par ses propos, après tout, la majorité des autres étudiants te considérait comme une cinglée, pourquoi serait-il l'exception ? Tu bouillais intérieurement, tu t'engrainais contre l'unique personne qui ne méritait pas ton animosité., Au fond, pourquoi prendrait-il cette peine de conserver son calme, lorsque quiconque t'aurait tout naturellement mentionné de te faire interner, depuis belle lurette. ─ Tout le monde pense que je le suis, pourquoi pαs toi, αprès tout ? Lançais-tu d'un ton parfaitement anodin. Tu ne cherchais pas à l'attaquer, uniquement à t'apaiser et constater sa sincérité. Tu savais qu'il l'était, néanmoins, au fil du temps, tu sollicitais davantage, possiblement parce que ta bipolarité s'avérait tout aussi extrême encore. Intimement tu te foutais irrémédiablement de ce dont pouvait bien colporter des individus dont tu ignorais le nom, mais tu refusais de reconnaitre, combien ça te ferait tout aussi mal que Mαrc concède lui aussi à ta folie.  ─ Penser ά rien n'est pαs αussi simple, et tu le sαis pαrfαitement. Ce n'est pas facile, bien plus lorsque te vient à la songerie une obscurité à te glacer le sang. Tu doutais même du retour de ton enthousiasme habituel. Toute la difficulté de ce trouble psychique. Une attitude parfaitement normale durant quelques mois, à l'encontre d'une morosité presque morbide tout aussi soudainement. Parfois, clore ton esprit fonctionne, et d'autres, tu plonges toujours à ne plus t'arrêter, uniquement parce que tu ne parviens pas à stopper tes raisonnements existentiels, et dont te cogner la tête contre un mur s'avérait la meilleure solution. Cependant, voilà que tu t'étais franchement agrippée à Mαrc, le plus innocemment du monde. Tu agissais brusquement, et ça ne devait pour ainsi dire, plus le surprendre. La douceur ça n'a jamais été ton truc favori, davantage dans ce genre de situation. Tu ne le lâchais pas, non, ce n'était pas dans tes intentions. Ça te réconfortait, plus encore que tu ne pouvais l'imaginer. Malgré tout, tu n'avais absolument pas la détermination ni même le cran nécessaire, pour lui exposer ouvertement combien tu avais nécessité de lui, une nouvelle fois. ─ tu n'αs pαs besoin de cette réponse. Repris-tu, en relevant à peine la tête, tant tu ne défaisais toujours pas ton étreinte, comme si tu craignais encore qu'il détale soudainement.  
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J'étais bien l'un des seuls à pouvoir la gérer, cette fille est foutrement instable, dans sa tête rien est simple, c'est même compliqué, un véritable bordel mais j'ai su apprendre à la connaitre, à la démasquer, et je sais quand Solène va mal et là elle va clairement mal, c'est ce genre de fille qui se foutrait d'avoir mal physiquement mais psychiquement, c'est le pire pour elle. « Parce que je ne suis pas tout le monde et surtout parce que je te connais. » je voulais la rassurer, c'était la première étape pour que son état se stabilise, il fallait qu'elle soit rassurée avant de faire quoique ce soit d'autre. J'essaye de lui dire, elle doit se vider la tête, ne plus penser à rien, c'est sûr que c'est plus facile à dire qu'à faire et elle me le fait vite savoir, elle ne lâchait pas on t-shirt, je pouvais toujours sentir ses doigts le serrer, plaqué contre moi, sa tête reposant sur ma poitrine, elle me fait aussi savoir qu'elle a essayée de faire sans moi mais visiblement, ça n'a pas marché. « C'est vrai. » lui sortais-je alors qu'elle relevait la tête vers la mienne «  Qu'est-ce qui peut te changer les idées ma belle ? » ma main venait caresser sa joue, elle n'était pas habitué à autant de douceur mais avec moi elle en trouvait et au fond c'est peut-être pour ça qu'elle ne pouvait pas se passer de moi, parce qu'elle savait qu'elle en avait besoin et que je lui en offrais gratuitement.
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Éventuellement, tu admettais combien ta venue n'était pas un hasard. Qu'importe toutes les justifications du monde, seule, de ton unique et infime ambition, tu ne parviendrais irrémédiablement pas à t'en sortir. Tu en étais parfaitement consciente, s'il advenait cet instant durant lequel Mαrc concédait à t'abandonner... En fait, tu préférais encore ne pas l'imaginer. Pourraient-ils êtres une trentaine autour de toi, que tu ne pourrais te sentir plus délaissée encore, car aucun d'eux ne saurait quoi faire pour atténuer tes angoisses. User de paroles n'était pas forcément nécessaire, et ce dernier semblait appréhender des attitudes favorables, face à tes craintes inexistantes -chez les personnes normales, disons-. Tu ne bronchais pas particulièrement aux propos de Mαrc. Tu savais oui, qu'il n'était pas tout le monde, s'il l'avait été, tu n'en serais d'ailleurs, probablement pas ici à l'heure actuelle, qu'il te connaissait aussi possiblement mieux que toi tu prétendais le connaitre. Ton obsession à t'en raccrocher, forçait franchement le respect, tant tu assimilais notamment, combien ce genre de relation ne conduisait généralement à nulle part. Au fond, rien n'avait vraiment de sens avec toi. Tu conservais promptement le silence, acquiesçant finalement les faits. Tu l'écoutais, essayant même de te focaliser sur sa voix un bref instant, toutefois, tu émerges difficilement comme si tu ne percevais pas la totalité de ce qu'il t'était destiné. La tête à peine élevée tu relâchais lentement ton étreinte, toujours sans le moindre mot, tes prunelles fixes dévisageant longuement ce dernier. À peine daignait-il un mouvement à son tour, que tu t'en défaisais brusquement d'un pas en arrière, ignorant ainsi ce qui t'amenais à agir de la sorte. ─ Excuse-moi. Lançais-tu tout naturellement, sans même ne le lâcher une seconde du regard. Ta façon de l'observer témoignant véritablement de ton incompréhension face à ta propre manière de réagir. Avais-tu seulement tenté soudainement, de te convaincre que tu n'avais strictement rien à faire ici, en vain. Tes doigts vinrent instantanément effleurer tes cheveux, avant que tu ne te décides finalement de combler cette distance idiotement instaurée ces précédentes secondes. Un pas, un seul, et tu lui faisais face une nouvelle fois. Un banal haussement d'épaules accompagné d'un sourire presque timide, en guise de réponse à son interrogation des précédentes secondes, et te voilà, embrassant Mαrc, comme s'il y avait rien d'anormal, tant tu étais malgré ce, convaincue que ce n'était pas forcément la solution à tes problèmes. ─ Putα.n! Venais-tu de reprendre dans un murmure presque imperceptible, tes gestes à cet instant, s'avérant catégoriquement contradictoires à tes paroles. Décidément toi qui subissais l'angoisse constante de perdre le contrôle, te heurtait lamentablement à ta propre problématique. Tu l'observais inlassablement, ignorant encore si tu devais vivement combler cet instant de paroles, qui quant-à-elles, ne vinrent pas.
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Elle était pas bien et j'étais là pour elle, je la comprenais, je savais comment elle était, ses changements d'états, psychologiquement dans sa tête c'était pas la joie et là c'était une belle crise qu'elle me faisait. J'essayais de trouver les mots pour la calmer, la rassurer mais c'est vrai que c'était plus facile à dire qu'à faire mais qu'elle soit là , contre moi, je savais que ça lui faisait du bien, qu'elle sache que j'étais là, que je n'allais pas la laisser, que je ne la prenais pas pour une folle comme beaucoup. Suite à mes dires elle se reculait brusquement, s'excusant, je la regardais ne quittant pas ses yeux, je voyais bien qu'elle était perdue mais elle pouvait arrêter de penser bien lorsque je lui demandais ce qu'elle voulait faire pour justement arrêter de se prendre la tête, elle se rapprochait de moi, silencieuse, avant de venir poser ses lèvres sur les miennes, ce fut un baiser doux je dois dire, j'avais apprécié et j'avais même entendu le mot qu'elle avait presque murmurée « C'était spontané ou ? » lui demandais-je après avoir quitter ses lèvres, si c'était de cette façon qu'elle voulait oublier et ne plus penser à rien, pourquoi pas.
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