(-18) Really too sick, poor little kitten. (Goran & Axel)

Really too sick, poor little kitten.

Goran & Axel

Ça te fait tellement de bien de dormir, t'avais pas réussi à lutter contre le sommeil. C'était plus fort que toi , tu t'étais doucement blottit dans les bras de Goran, t'avais enfouis ton visage dans son cou et tu t'étais tout bonnement endormis comme une masse. Dans ton sommeil, tu sens la douceur de son geste. sa main sur ta joue. Ça te fait tellement de bien. C'est un lourd sommeil, tu dors profondément cette fois, tu es tellement bien dans ses bras, tu te sens apaisé, protégé, que tu as du mal à te réveiller. On peut clairement dire que tu rattrapes le sommeil que tu n'as pas eu la nuit dernière.

C'est que quelques heures plus tard que tu finis par ouvrir doucement les yeux et te réveiller petit à petit. Tu souris, pour deux raisons. La première, ton mal de crâne cogne beaucoup moins contre tes tempes. La deuxième, Goran est juste à côté de toi, quelques millimètres tout au plus, collé par endroit, même. Tu es dans ses bras, il t'entoure, ça te fait rougir instantanément, un câlin de Goran. Il dort profondément, ça se voit à sa respiration lente et profonde. Tu lèves légèrement la tête vers lui, pour le regarder. Là, tu peux l'observer sous toutes les coutures sans gêne, puisqu'il dort. Tu regardes son visage, en détails, son corps, aussi. Tu le trouves beau, vraiment, il a de la chance, il est vraiment très grand en plus. Ça te fait doucement sourire, t'oses pas trop bouger, de peur de le réveiller. Tu l'as déjà empêché de dormir toute la nuit, tu vas pas en plus l'en empêcher la journée.

Tu repositionnes tout doucement ton visage dans son cou, il n'est pas exclu que tu te rendormes rapidement, tellement tu es bien. La tendresse te manque énormément, en fait, c'est ça Axel. Ça te fait tellement de bien d’être enlacé. T'avais tellement l'habitude d’être couvé et câliné par tes parents, que là, l'emménagement ici et que toutes ces attentions disparaissent d'un coup, ça te fait un grand vide, un grand vide sentimentale en quelque sorte, finalement. Comme il était prévu, tu te rendors facilement, sauf que cette fois, quand tu te réveilles, t'as pas le choix que de te lever. Il faut absolument que tu ailles aux toilettes et prendre une douche. Tu lèves les yeux vers Goran, est-ce qu'il dort encore? Si oui, il va falloir que tu t'extirpes tout doucement de ses bras, sans le réveiller.

Tu susurres, tout doucement, tout bas, c'est un murmure. "Goran..." Tu rougis, parce que peut être il va se réveiller, peut être pas. Mais tu rougis aussi parce que ta voix est étrange, on dirait un petit couinement enroué. On dirait une petite souris qui parle. Merci ton mal de gorge. Tu t'en veux un peu de devoir le réveiller, mais au fond, t'as chuchoté tout doucement, exprès, pour avoir des chances qu'il ne se réveille pas.

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Qu’il est bon de dormir, il faut avouer que je me rattrape bien de la nuit que j’ai passé, inquiet de l’entendre aussi malade. Que voulez vous, je suis un grand cœur alors forcément quand mon coloc est malade je suis inquiet, je veux l’aider à aller mieux, je suis ainsi avec tout le monde, enfin surtout avec lui vu que je vis dans la même chambre que lui. Alors c’est comme si nous avions un lien très fort car on se voit tous les jours, on voit les états d’âmes de l’autre, on se confie, on se parle, on se remonte le moral, tous les matins on se dit bonjour et tous les soirs on se dit bonne nuit. Je sais qu’il s’inquiète quand j’ai mes soirs de concerts et que je rentre assez tard. Même s’il l’a jamais dis, je le vois et cela me touche.
Je dors tellement comme une masse que quand il se réveille, je ne bouge pas, toujours profondément endormi, mes bras le tenant contre moi, mon visage calé contre le haut de son crâne, il y a bien longtemps que j’ai pas dormi avec une autre personne que ma petite sœur ou l’un des jumeaux dans les bras et j’avoue que ce soit Axel me plait beaucoup, j’ai ce besoin de le protéger comme une petite chose précieuse. Je souris dans mon sommeil quand je sens un mouvement. Le tenant bien contre moi.
Ce n’est que lorsqu’un murmure parvient à mon oreille que tout doucement je plisse les yeux, je passe doucement ma main sur mon visage et lentement j’ouvre les yeux, le visage basculer a l’opposé d’Axel avant de légèrement retourner la tête vers Axel et de lui sourire doucement, les yeux semi ouverte encore embrumé par ce long sommeil réparateur. Je le vois légèrement gigoter et que comprend qu’il veut aller au toilette. Alors je défais lentement l’emprise de mes bras pour le libérer. Je m’étire un peu avant de lui demander tout simplement d’une voix mielleuse de réveil
« Pardon..je me suis endormi aussi je crois, tu te sens un peu mieux mon bel Axel ? »

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Goran & Axel

Le regarder, l'observer en détails, l'admirer, probablement le contempler, même. Parce que tu le trouves vraiment beau, à la limite du parfait, finalement. Il t'impressionne, tu aimerais tellement être comme lui, du moins lui ressembler, ne serait-ce qu'un tout petit peu, le quatre de ce qu'il est, même moins. Mais tu ne le seras sûrement jamais, jamais. Quand tu susurres son prénom, il se réveille, doucement, à son rythme. Il est beau, dès le réveil, tu le trouves beau, toi. Il finit par te regarder en souriant, tu rougis légèrement et tu souris timidement à ton tour, parce que ça fait bien plusieurs longues minutes que tu le regardes dormir. T'aurais bien continué, si ta vessie te rappelait pas à l'ordre.

Quand il finit par desserrer ses bras d'autour de toi; tu te lèves sur tes avants bras en baillant. Il te demande si ça va mieux, tu lui souris en répondant, "Oui ça va un peu mieux, c'est grâce à toi, t'es confortable". Tes joues prennent une légère teinte rosées quand il t'appelle "bel Axel". Aussi, il s'excuse de s’être endormit. Si t'étais pas aussi timide, tu lui aurais répondu que c'était pas grave, au contraire, que ça t'as permis de pouvoir le contempler ouvertement. Mais au lien de ça tu lui chuchote en le regardant, "c'est pas grave, je t'ai empêché toute la nuit."

Tu plonges ton regard dans le sien, il a des beaux yeux, vraiment, en plus, avec le soleil qui rayonne à travers la fenêtre, vu qu'il fait jour, ça le rend mille fois plus beau, tu trouves. Tu te lèves doucement et tu enfiles un débardeur, en plus du jogging que tu avais déjà. Tu files aux toilettes, tu te laves les mains et quand tu reviens, tu lui dis, "pour me faire pardonner, je vais nous préparer le petit déjeuné".

Tu le regardes, tu bloques légèrement, il est allongé sur ton lit, encore un peu endormit. Tu te rassois à coté de lui, sur ton lit, et tu lui poses, la question a mille euros. "Goran... est-ce que... est-ce que tu es en couple?" Tu rougis à mort, c'est une question hyper délicate et personnelle, mais t'as envie de savoir. Si son petit ami arrive dans la chambre et le voit allongé sur ton lit, ça risque de mal se passer. Et puis en plus, tu te sens tellement bien dans ses bras, que ça te rendrait probablement légèrement jaloux de savoir qu'un autre y dort. Légèrement? Non assez jaloux, finalement. Tu te met à rougir en pensant à ça.

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Je me réveille doucement, j’ouvre les yeux et je le vois toujours près de moi, tout de suite ma question est de savoir s’il va mieux et il me dit que oui, que je suis confortable et que grâce a moi ca ira mieux. Je suis touché par ses propos et je vois ses joues rougir, ce qu’il est vraiment mignon ce petit bout d’homme c’est incroyable comme il me fait totalement fondre avec sa petite bouille parfaite d’ange. Je m’excuse de m’être endormi, je trouve ca légitime c’est lui qui est malade et malencontreusement c’est moi qui m’endors comme une grosse masse, alors que je devais veiller sur lui. Il me dit que ce n’est en rien grave car il m’a empêcher de dormir toute la nuit.
Ce qu’il est adorable n’est ce pas ? Je le laisse aller au toilette, profitant d’avoir le lit a moi tout seul pour m’étiré comme un gros chat, ne portant qu’un bermuda, étant torse nu sur le lit, je prends même plus la peine de réfléchir a ce que je fais, ou je suis et le pourquoi je suis là. D’ailleurs il revient vers moi en me proposant de nous préparer un petit déjeuner, je souris en me redressant.
« Tu es sur d’etre en état de cuisiner mon beau ? Ce n’est pas grave sinon, je peux m’en charger sans le moindre soucis tu sais. »

Mais voilà qu’il me prend de court avec cette question, me demandant clairement si je suis en couple. J’avoue que je reste bloqué quelques secondes, étonné par son audace de me demander ca, lui l’homme si timide, mais a la fois, je cherche quoi lui répondre, pourtant la réponse est simple, je n’ai pas d’homme dans ma vie, enfin, je ne suis pas amoureux de quelqu’un, enfin vous voyez quoi. Après un beug de quelques secondes, je reprends mon sérieux et la vue de ses rougeurs me font sourire, je l’attire dans le lit, du moins je le bascule près de moi avant de lui répondre.
« Non, je n’ai personne dans ma vie, je le cœur libre comme l’air, tu sais avec mon métier, ce n’est pas évident d’avoir une stabilité sentimental, tu ne sais jamais si c’est le faite d’être sur scène que la personne aime ou si c’est vraiment sincère. »

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Goran & Axel

Quand tu lui proposes de t'occuper du petit déjeuner, il te demande si tu es sur d’être un état de cuisiner. Tu baisses la tête. Cuisiner? En fait, toi, quand tu dis que tu vas préparer le petit déjeuner, tu veux dire, juste remplir des bols de céréales, mettre du lait dessus, et voilà. La base, en fait. Tu sais pas du tout cuisiner, toi. "Ben, je peux faire des bols de céréales", que tu lui dis timidement. T'as peur qu'il soit déçu, t'as l'impression qu'il a pensé que tu cuisinerais un gros petit déjeuner compliqué.

T'es en train de te demander ce qui se passerait si le petit copain de Goran arrivait à l'improviste ici, dans la chambre. Goran est allongé sur ton lit, et torse nu, en plus, ça pourrait prêter à confusion. Tu rougis direct en pensant à des choses vraiment censurables. Ça t'intimide de penser à des trucs comme ça. Tu lui demandes si il est en couple, pour en avoir le cœur net. Et aussi, pour arrêter de t’inquiéter pour rien, finalement. Il marque un petit temps de pauses. Temps où tu te met à rougir un peu plus en te rendant compte de ton audace, du culot et du courage dont tu as fait preuve pour lui demander ça. Il sourit et te fait basculer sur le lit, à côté de lui. Tu le regardes timidement quand il te répond. Tu hoches doucement la tête, positivement, sans le quitter des yeux. "Ces gens là sont des profiteurss", que tu lui dis, quand il te raconte qu'il a du mal à savoir si les personnes l'aiment à cause de sa célébrité ou pas. Au moins, t'es rassuré, y'a pas de petit copain qui va arriver pour te taper dessus d'avoir dormit dans les bras de son mec.

Tu t'allonges bien à côté de Goran, tu te demandes combien d'aventures il a eu, lui. Probablement des tonnes, vu toutes ses qualités et son sans-gêne, dans la vie. T'aimerais bien savoir comment ça se passe, ce qu'il faut faire, comment ça fait. Ce genre de chose. T'avais déjà essayé d'en parler avec tes pères et ta mère, mais à chaque fois, ils contournent le sujet et te parlent d’abeille qui butinent les fleurs, exprès pour te taquiner et ne pas avoir à répondre. Tu restes allongé à coté de lui et tu reposes doucement ta tête sur son épaule à nouveau. Toujours un peu chaud et fiévreux, mais pas autant que tout à l'heure, le sommeil t'as vraiment fais du bien. Tu lèves la tête vers lui pour le voir et tu lui murmures, "merci pour tout... Vraiment...".

Tu gardes la tête levée légèrement vers lui, sans le quitter des yeux, les joues encore un peu roses. T'as des millions de choses dans la tête, t'aimerais tellement ne pas être timide. Si seulement tu lui ressemblais, si seulement tu étais comme lui. Ça serait vraiment bien, tu serais tellement heureux.

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Alors que je m’inquiète pour son état de santé pour penser a faire le petit déjeuner, il me répond qu’il peut faire des bols de céréale, je ris et je passe avec douceur ma main sur sa joue avant de la glisser doucement dans ses cheveux pour remettre ses mèches en arrière, tendrement amusé.
« Je ne voudrais pas que tu risques de tomber comme tout a l’heure si tu restes trop debout, tu es encore un peu fiévreux »

D’ailleurs, j’aime l’idée qu’il veuille essayer de préparer le petit déjeuner, bien que cela m’inquiète avec son état mais mes pensées sont vite balayer quand il me demande si j’ai un copain et que je lui expose mon point de vue la dessus. Il me dit que ses gens là ne sont que des profiteur. Naturellement je l’enlace de nouveau, lui offrant encore mon épaule pour sa tête glissant la main du bras autour de lui sur le bas de son dos, caressant naturellement sa peau, souriant avant de lui dire.
« Il faut de tout pour faire un monde, mais je ne m’inquiète pas pour cela, pour l’instant, je suis bien comme je suis »

Foutaise à vrai dire, car oui je rêve d’un homme pour qui je pourrais bouger les continents, un homme pour qui je pourrais composer les plus belles chansons de mon répertoire, un homme dont le sourire m’inspirerai les plus belles paroles. Un homme qui me fasse me sentir utile dans ce monde de brute, un homme qui m’aimerai moi Goran, un savant fou complètement allumé du bocal. Un jour j’espère trouver cet homme pour qui ma vie sera d’être près de lui. Il me sort de mes pensées en me remerciant encore, je souris et naturellement je me penche pour embrasser délicatement son front tout chaud avant de glisser mes lèvres jusqu’à son oreille pour murmurer.
« Et si on préparait ses bols de céréales, j’avoue que j’ai un petit creux la maintenant. »

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Goran & Axel

Tu te mets à rougir timidement en riant légèrement quand tu l'entends rire alors que tu lui dis que tu peux préparer des bols de céréales. Tu rougis un peu plus quand il te caresse la joue et passe ses mains dans tes cheveux. C'est la vérité, c'est pas dur de faire des bols de céréales. Il te fait part du fait qu'il s’inquiète que tu tombes à cause de la fièvre, ça te touche vraiment. Tu t'allonges auprès de lui en souriant. "Oui, je suis chaud", que tu lui dis en te touchant le front machinalement.

En reposant doucement ta tête sur son épaule et en te calant bien contre lui à nouveau, tu te révoltes en disant que les gens qui s’intéressent à Goran sont des profiteurs s'ils n’aiment que sa célébrité. Tu l'écoutes quand il te dit qu'il est bien comme ça pour le moment. "Tu as raison", que tu dis en souriant. De toute façon, Goran à toujours raison. Tu frissonnes en sentant ses doigts le long de ta peau, sur le bas de ton dos, ça te donne la chair de poule, ça te chauffe tout le long de la ligne où ses doigts ont passés. Tu rougis en baissant la tête.

Tu le remercie pour tout, il t'embrasse doucement le front et tu fermes les yeux, timide. Il te murmure à l'oreille, il te propose d'aller préparer les bols de céréales. Tu frisonnes encore une fois en sentant son souffles prêt de ton oreilles. Tu ris légèrement, parce que ça te chatouille un peu. En souriant, tu t'assoies doucement sur le lit et tu bailles légèrement en t'étirant. Tu tournes la tête vers lui et tu lui dis, "On y va tout les deux?"

Tu le regardes et tu lui attrapes la main en essayant de le tirer du lit. Même si c'est peine perdu, du haut de ton mètre soixante-cinq, Goran est un géant. Il fait bien deux bonnes têtes de plus que toi. Tu le regardes en riant légèrement, même en y mettant toute ta force, t'es tellement petit par rapport à lui que tu n'arriverais pas à grand chose, même en y mettant toute la bonne volonté du monde.

Tu te rhabille un peu mieux et tu vas à la cuisine pour préparer les deux bols de céréales. Tu regardes si Goran te suis et tu sors tout ce qu'ils faut. Du lait, des chocapic et deux bols avec deux petites cuillères. Tu le regarde en souriant, "j'ai envie de regarder un film avec toi", que tu lui dis en versant les céréales dans les deux bols.

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La façon dont il répond au faite qu’il ai de la fièvre me fait rire, oui j’ai un esprit très mal tourné mais que voulez vous, je suis le roi de la provocation. Je préfère ne rien rajouter la dessus pour ne pas empirer les choses et nous passons au sujet sur couple sur lequel je préfère ne pas m’étendre non plus, après tout je n’ai jamais eu vraiment de chance en amour, j’ai bien sur eu quelques relations, quelques coups d’un soir comme tout homme normal, en même temps a 28ans, j’ai du vécu comme on dit mais jamais les histoires n’ont duré bien longtemps, je finissais toujours par me rendre compte de la connerie faite de donner mon cœur a un tel ou un tel. Bref passons.
Il se lève, je le regarde faire, mais je ris quand il me tire du lit pour qu’on puisse aller en cuisine, je me laisse faire et j’enfile un maillot pendant qu’il s’habille plus aisément avant de le suivre jusqu’en cuisine et je fini par m’installer près de lui, l’observant faire, il a envie de préparer, je le laisse faire ce qu’il faut. Je souris alors qu’il s’atèle a ouvrir le lait, j’ouvre les céréales et autant dire que le gourmand que je suis reprends le dessus vu que je picore les chocapics un par un le temps qu’il finisse de préparer le lait. J’entends sa question et je souris.
« Avec plaisir, c’est une bonne occasion de se poser bien au calme. Mais as-tu une idée de film ? Car personnellement je n’ai pas une grande culture des films »

Je me mords doucement la lèvre en lui avouant mon ignorance sur la culture des films, a vrai dire, je passe tellement peu de temps devant un ordi ou une télévision, et encore moins au cinéma avec mes emplois du temps de ministre comme on dit. Je lui souris avant de me placer derrière lui et naturellement sans réfléchir, je passe mes bras autour de lui et je pose ma tete sur son épaule.
« Tu préfères qu’on mange ici ou que l’on s’installe tranquillement devant le film avec nos bols ? »

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Really too sick, poor little kitten.

Goran & Axel

Tu rougis en riant en te rendant compte de ce que tu viens de dire à propos de ta fièvre, Goran aussi, ça le fait rire apparemment. Après avoir discuté du petit ami de Goran, qui n'existe pas, tu le tires du lit pour finalement t'habiller et aller en cuisine préparer tout ce qu'il faut pour avoir des bons bols de céréales. En préparant tout, tu lui dis que tu aimerais bien regarder un bon film. Par contre, il te demande si tu as une idée de film. Tu réfléchis un peu, tu ne sais pas vraiment toi non plus. "Tu aimes quoi comme genre?", que tu lui demandes en versant le lait sur les céréales. Tu le regardes, il se mord la lèvre en t'avouant qu'il a pas une grande culture au niveau des films. Toi non plus à vrai dire, enfin, pour tout avouer, tu regardes des films mais t'es pas un grand connaisseur. Tu connais quand même quelques films bien. "On va déjà aller voir ce qu'il y a, à la télé."

Tu le sens se placer derrière toi et t'enlacer avec ses bras, ça te fait rougir. Il pose sa tête sur ton épaule, t'aimes bien ça, toi, tu trouves ça agréable. Tu le regardes du coin de l’œil, du coup, il est tout près de toi, tu l'as jamais vu d'aussi près encore. Tu poses doucement ta tête contre la sienne en rougissant. Il te demande si tu préfères manger là, ou alors s'installer confortablement avec les bols. Tu lui réponds en souriant, "plutôt confortablement avec les bols. En plus, c'est prêt." Tu souris et tu prends un bol dans chaque main en faisant attention de ne pas te brûler.

Tu retournes dans la chambre avec les bols et tu les poses à coté de ton lit, tu chopes la télécommande en t’asseyant sur la couverture et tu allumes la télé. "J’espère qu'il va y avoir des trucs bien", que tu lui dis en le regardant et en t'allongeant sur le lit. Tu attends qu'il s’allonge avec toi, t'as envie de te remettre comme vous étiez tout à l'heure. Ou tout du moins, t'as envie de le sentir près de toi, Axel. Tu lui souris timidement en le regardant. Comme pour faire comme tout à l'heure, tu lui attrapes la main et tu le tires vers toi pour qu'il vienne sur ton lit. De toute façon y'as pas de risque, y'as pas menace petit copain, alors tu crains rien.

Tu te mets à rougir fort quand tu te rends compte que tu l'as tiré un peu trop fort et que finalement il tombe presque sur toi. "Oh pardon" que tu lui dis timidement en riant doucement. De là où tu es, tu vois hyper bien ses yeux, c'est fou à quel point tu trouves qu'ils sont beaux.

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Quand il me demande quel genre de film j’aime, je le regarde un peu tout con car j’en ai vraiment aucune idée, on va dire j’aime les films plutôt drôle, les comédies, mais j’aime aussi les parodies de film d’horreur, je suis plutôt ouvert d’esprit sur les films malgré ma grande ignorance dont je lui fait part de suite, lui avouant que je n’ai aucune connaissance la dedans, je regarde un peu ce qui me passe sous la main sans vraiment prendre le temps de faire attention a ce que je regarde, a vrai dire j’ai si peu de temps pour regarder les films alors j’avoue être bien d’accord avec ce qu’il me dit par rapport a se référé à ce qu’il y a a la télé. Je ne peux me retenir de lui dire avec amusement.
« On a une très belle télé, autant s’en servir c’est vrai ! »

C’est dans mes rires et je l’enlace et que je le laisse finir de préparer, me mettant de façon à ce qu’il ne fasse n’importe quoi avec les bols après tout il faut bien que j’évite de le gêner. D’ailleurs il répond a ma question, ce qui me fait sourire rien qu’à l’idée d’être tranquillement dans le lit devant un film avec cet adorable jeune homme que j’apprécie de plus en plus. J’hoche la tête avant de le suivre bien gentiment, lui collant aux semelles non seulement pour le suivre mais aussi pour le rattraper en cas de pépin, non je n’ai pas oublié la presque chute de ce matin, je ne veux pas qu’il se fasse mal. Je préfère attendre qu’il soit installé pour m’y mettre, mais alors que j’allais me poser, il m’attrape pour me tirer ce qui me fait basculer un peu trop en avant, j’ai juste le temps de me rattrapé avec mes bras, finissant a moitié avachi sur lui. Je ris alors qu’il se met a rougir tout en s’excusant.
« Ce n’est rien, mais dis moi quelle force de titans tu as quand tu t’y mets ! »

Un rire de nouveau éclate dans la salle et je m’installe confortablement et naturellement j’attire contre moi Axel, a vrai dire je suis semi assis, les jambes replié vers moi, et Axel se retrouve calé contre mon torse, dans l’écartement de mes jambes, bien câler de façon a ne pas risquer de glisser, confortablement enlacer de mes bras. Je ris et je pique la télécommande pour zapper les chaines avant de trouver le début d’un film qui me semble assez bien. Je fini par poser la télécommande, et je lui donne tout doucement son bol avant de prendre le mien. Je suis bien là, je pense qu’Axel aussi est parfaitement calé. Du moins je l’espère.

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