Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(-18) Really too sick, poor little kitten. (Goran & Axel)
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(-18) Really too sick, poor little kitten. (Goran & Axel)

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Really too sick, poor little kitten.
Goran & Axel


Horrible, mais vraiment, Horrible. Le mot correspond parfaitement. Horrible, c'est dans l'état dans lequel tu te trouves en ce moment-même. T'as mal au ventre, à la gorge, à la tête, au dos, partout. C'est bien simple, oui. Partout. Tu vas rien pouvoir faire aujourd'hui. T'avais des cours, ben tu vas plutôt resté couché. Ou tout du moins tu vas rester dans la chambre. Tu sais pas trop si Goran est là, t'as pas envie de le contaminer avec tes microbes. Tu soupires et tu te frottes les yeux en restant allongé dans ton lit. Va peut-être falloir que tu bouges un peu quand même pour aller manger, aller aux toilettes, te doucher, ce genre de chose au moins. Avec toute la bonne volonté et tous les efforts du monde, tu trouves le courage de t'extirper de dessous la couette. Tu enfiles un jogging et tu te diriges vers la salle de bain. Wow, ça vacille au peu, tu te tiens au mur le temps que ça passe, tu tousses, tu tousses tu tousses, encore et encore. "Oh mais put..." que tu murmures pour toi même. Finalement, tu vas pas plus loin que la porte de la chambre, y'a Goran qui est assit sur son lit, tu le regardes. T'es tout pâle et t'es surtout brûlant de fièvre. Tu sais pas si ça se voit, tu n’espères pas. Tu lui souris doucement. "Salut Goran", que tu lui dit d'une petite voix cassée, toute timide. Merci ton mal de gorge, t'as une voix toute enrouée maintenant. Où est-ce que tu as choppé cette fichue maladie?

Tu soupires en t'adossant à l'encadrement de la porte et te frottant le visage pour essayer de te réveiller et tu passes tes mains dans tes cheveux pour essayer de faire passer le mal de crâne. Evidemment rien ne marche. Tu traînes des pieds en baillant et en t'étirant. Un bon verre d'eau, et ça ira mieux. Tu parles à l'attention de ton coloc, "je suis mal, mal, mal ce matin. J'vais pas pouvoir aller en cours". Tu te sers un verre d'eau avec un aspirine qui fond dedans, peut-être que ça t'aidera à passer un peu la douleur.

En même temps, ça date pas de ce matin, ton truc, hier tu commençais déjà à tousser et te racler la gorge, toutes les cinq minutes. T'as mal dormit en plus, t'as passé la nuit à tousser et a te tourner et te retourner dans ton lit. Tu regardes Goran et tu lui demandes "J'ai pas dormis de la nuit, ça t'as pas trop dérangé j’espère?" Tout ce que tu veux, c'est ne pas avoir dérangé Goran dans son sommeil, à force de tousser et de bouger, vu que lui, il va en cours. Tu fermes les yeux en soupirant. C'est bien ta chance tient, tomber malade un jour où y'a cours, c'est bien du Axel tout craché ça, tu te reconnais bien. Et puis pour le coup, tu es seul. D'habitude tes parents sont là pour s'occuper de toi et te caliner. Tu te rappelles quand tu avais attrapé une bonne grippe, l'année dernière. Tes pères t'avaient préparés une tasse de chocolat chaud chacun et ta mère, elle elle avait dormit avec toi. Ils commencent à te manquer un peu, tes parents, t'as pas l'habitude d’être loin d'eux comme ça. En sortant de tes pensées, tu regardes Goran et tu lui dis de ta petite voix enrouée, en te tenant la tête, "je pense que je vais retourner m'allonger, ça ira mieux.". Tu lui souris gentiment et tu retournes vers ton lit avec ton aspirine qui est totalement fondue, maintenant.

AVENGEDINCHAINS
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Tout la nuit j’ai entendu Axel tousser, se retourner, se racler a gorge, heureusement, je n’ai pas franchement un grand besoin de sommeil donc j’avais dormi d’une oreille, surveillant de l’autre qu’il allait bien, je sais que quand mes neveux sont malades, je reste a l’appartement pour m’en occuper pour laisser ma sœur respirer un temps, quand j’ai fini les cours. La bonne chose d’être en dernière année, c’est que les cours sont moins nombreux et que la plupart du temps les cours sont un moment de travail avec celui qui est chargé de ton sujet d’études. Donc c’est avant tout un boulot personnel. Je somnole quand j’entends Axel se lever, j’ouvre un œil, puis l’autre et je fini par me redresser en le voyant manqué de se casser la binette. Je n’ai pas le temps de me lever qu’il se retourne, blanc comme un cachet.
« Salut mon petit Axel, je vois bien que tu es vraiment pas bien, tu n’as jamais été aussi blanc, essaye de retourner dans ton lit et de rester calme. »

Je l’observe se servir ce verre avec ce sachet, je repousse la couverture de sur moi, j’enfile un bermuda car j’étais en boxer dans le lit. Axel est l’un des seuls à me voir ainsi, au réveil, pas maquillé, pas habillé, juste vêtu d’un pantalon ou d’un maillot. Je lui souris en me levant.
« Ne t’inquiète pas pour moi, l’essentiel c’est ta santé. »

Je le vois retourner vers le lit, je vois qu’il titube malgré tout. Je l’attrape d’un bras ferme alors qu’il manquait de tomber, attrapant le verre d’une main, Axel de l’autre et doucement je l’accompagne jusqu’au lit, je pose le verre sur la table de chevet, j’ouvre es couverture et je le guide jusqu’à l’intérieur, allant jusqu’à le border et m’asseoir sur le bord du lit, posant ma main sur son front.
« Tu es brûlant…Bois le verre et surtout ne bouge plus de ce lit sauf cas urgent. Je vais appeler le docteur pour qu’il t’examine, et je vais rester aujourd’hui auprès de toi. Ne t’inquiète pas pour tes cours, je vais demander à l’un de ses camarades de te faire parvenir le cours. »

Je lui souris et je vais dans la salle de bain avant de prendre un gant de toilette, d’y mettre de l’eau froide et je reviens, reprenant ma place auprès de lui et lui dépose le gant tout doucement sur le front, dégageant son visage de ses quelques mèches rebelle pour pouvoir poser à plat. Tout en composant de l’autre main le numéro du médecin.

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Really too sick, poor little kitten.
Goran & Axel


Ce mal de crâne te vrille les tempes, c'est monstrueux. Comme de bien entendu, ça se voit bien que tu es à l'article de la mort. Bon, là c'est exagéré de dire ça, mais t'es pas bien, et ça se voit sur ton visage. Tu dois être blanc comme un linge, avec des cernes énormes vu que t'as pas dormit de la nuit. Goran le voit dès la seconde où tu te tournes vers lui pour lui dire bonjour. Il te dit tout de suite de retourner au lit. Tu voudrais bien y retourner oui, mais le mal de tête est beaucoup trop intense pour le moment. Tu y retourneras lorsque tu auras pris un cachet. "Mon dieu, je dois avoir une tête affreuse pour que tu le voies tout de suite", que tu lui dis en te servant ton verre d'aspirine.

En tenant ton verre tu regardes Goran, il est en train de se lever et s'habiller. Oh non, tu espères que c'est pas de ta faute s'il se lève. Si ça se trouve, tu l'as empêché de dormir toute la nuit, ce que tu t'empresses de lui demander. Il te répond de ne pas t’inquiéter et que le principal c'est ta santé. Ok. Ça veut dire que oui, ça. Tu le regardes d'un air désolé en lui disant, "je suis désolé." Tu tousses à nouveau, rien que le fait de tousser, ça t'arrache la gorge, en fait. Horrible. Tu préviens ton coloc que tu retournes t'allonger un peu, t'embarques ton aspirine avec toi, ça vaut mieux. Tu manque de tomber, tu sens tout de suite qu'on te retient, c'est Goran qui t'as rattraper par le bras pile au bon moment. Heureusement qu'il était là, sinon, tu aurais finit les quatre fers en l'air. Il finit par t'accompagner sur ton lit et pose le verre à côté. Il t'aide même à te coucher correctement au fond des couvertures. "Merci" que tu lui chuchotes.

Tu le regardes s'asseoir au bord du lit et poser une main sur ton front, machinalement, tu fermes les yeux en le laissant faire. Il te dit que tu es brûlant, il a raison, tu crèves de chaud, sous tes couvertures. "Oui je meure de chaud", que tu lui dis en rouvrant les yeux pour le regarder. Il parle de docteur, oh non, tu détestes ça. Il te dit de ne pas t'inquiéter pour tes cours, qu'il va demander à quelqu'un de ta classe de s'en occuper. Tu le regardes partir, puis revenir finalement et poser un gant frais sur ton front, à nouveau tu fermes les yeux. Ça fait du bien, ça rafraîchit. Tu lui chuchotes quand tu le vois composer le numéro du médecin sur le téléphone alors que tu rouvres les yeux, "tu sais, un peu de repos et ça ira mieux, ne t'en fais pas pour moi.". Tu souris en le regardant, t'as l'impression d'avoir un papa poule avec toi, tu adores ça, en fait.

Tu refermes les yeux en soupirant et tu profites du bien que le gant frais sur ton front te fait. Malheureusement, le gant ne reste pas longtemps frais vu à quel point tu es brûlant. Tu te relèves légèrement pour attraper le verre d'aspirine et le boire lentement, gorgée par gorgée. Tu grimaces, c'est jamais délicieux les médicaments. "Goran, j'ai peur te te passer ma maladie." Tu t'en voudrais pas mal, si Goran tombait malade aussi, par ta faute.
AVENGEDINCHAINS
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Non seulement vu la tête qu’il a ca se voit, surtout quand tu as des enfants dont tu t’occupes, j’ai mes neveux et ma petite sœur, je vois tout de suite quand ils sont malades, il y a un quelque chose qui se dégage quand la personne en face de toi est malade. Moi j’ai la chance d’avoir tellement galérer enfant que je ne tombe plus trop malade, surtout par virus viral, non moi c’est plus des merdouilles ponctuelles qui me clous au lit deux semaines sans voix entre deux changement de températures trop brutal. Il comprend tout de suite que j’ai peu dormi mais cela m’importe guère, je suis inquiet pour lui c’est pour cela que rapidement je m’étais levé pour le rattraper et quelques minutes après il était couché, un gant froid sur le front pendant que j’appelle médecin, alors que je l’entendais parler par rapport au médecin. Je souris et je fini par me lever, le téléphone à l’oreille, pour remettre du froid sur le gant.
Quelques minutes plus tard je reviens avec une petite bassine d’eau froide que je pose a coté du lit et je repose le gant de nouveau froid sur son front tout en raccrochant alors qu’il parle du faite qu’il ne veut pas que je tombe malade à mon tour. Je lui souris, attendrie par cette attention de sa part.
« Ne t’en soucie pas, j’attrape jamais les maladies des autres, les rares fois où je suis malade c’est quand y a un violent changement de température donc ne t’en fait pas. Le médecin ne va pas tarder, et aujourd’hui, je vais rester avec toi »

Je lui souris et tapote délicatement du bout des doigts le gant pour libérer quelques gouttes d’eaux froides sur son front pour le rafraichir. Je prends le temps de bien m’occuper de lui. Je fini même par lui dire de fermer les yeux, et de dormir un peu en attendant le médecin, lui faisant la promesse que je ne partirai pas, que je serais toujours à coté de lui. Je passe d’ailleurs doucement ma main dans ses cheveux humides de sueur et d’eau fraiche pour les lui ramener vers l’arrière, étant donc un peu penché au dessus de lui, remontant la couverture un peu plus haut pour qu’il soit bien dans le lit. Je ne quitte pas le bord du lit, m’occupant de rafraichir le gant quand celui-ci ne l’était plus, en le trempant dans la bassine d’eau et lui épongeant délicatement le front et le visage pour le soulager de cette sensation de fièvre jusqu’à l’arrivée du médecin.

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Really too sick, poor little kitten.
Goran & Axel


T'avais pas vraiment envie que le médecin vienne te voir. Il va y avoir tout un bordel avec la paperasse et tu détestes ça. Ou plutôt ça t’énerve parce que tu n'y connais rien et tu n'y comprends rien, toi, Axel. Avec les cartes de maladies, les ordonnances machins. C'est l'horreur quoi. En plus t'es pas d'ici donc c'est pas la bonne adresse et tout. Tu regardes Goran faire, il est au petit soin pour toi. Il s'occupe de toi en même temps que d’appeler le médecin. Il se fiche de ce que tu lui racontes, il se fiche que tu ne veuilles pas voir le médecin. Tête de linotte. Tête de bois, Axel, tu insistes un peu en lui disant, "Non, vraiment, le médecin ne sera pas utile, tu sais". Parle à un mur, Axel, ça te fera le même effet.

Il revient avec une bassine d'eau froide en raccrochant le téléphone, le gant sur ton front te fait vraiment du bien, ça te soulage beaucoup. Tu lui dis que t'as peur qu'il devienne malade à son tour. Il te rassure tout de suite en te racontant qu'il attrape jamais les maladies des autres. Il est malade que quand y'a une brusque changement de température, qu'il te dit. Il dit qu'il va rester avec toi. Tu rougis légèrement. "Merci Goran..." que tu lui dis timidement en le regardant sincèrement. Ça te touche le fait qu'il veuille rester prés de toi. Ça te fait bizarre le fait qu'il s'occupe de toi autant. T'as pas l'habitude, excepté ta famille, jamais personne ne s'est occupé de toi à ce point, jamais.

Il te sourit, tu lui souris à ton tour, toujours un peu timidement, t'as toujours un peu de mal à t’habituer. Mais c'est vrai qu'avec Goran, tu te sens plus à l'aise qu'avec les autres. Tu fermes doucement les yeux, comme il te le demandes. Tu soupires d'aise, c'est tellement agréable, c’est fou. Tu te sens bien, malgré le mal de tête qui te transperce le crane de part en part. Il te dit que si tu veux, tu peux dormir. De toute façon, avec la nuit blanche que tu viens de passer, Axel, c'est certain que d’être aussi bien, tu risques fort de t'endormir, même malgré toi. Il te promet qu'il ne bougera pas de là et qu'il restera à tes cotés. Tu l’espères vraiment, parce que c'est tellement agréable quand il s'occupe de rafraîchir le gant, de passer ses doigts dans tes cheveux. Il remonte légèrement les couvertures pour que tu sois plus à l'aise. Tu ouvres légèrement les yeux et tu rougis directe, rouge tomates. Il est juste au dessus de toi, là. Déjà que tu avais chaud à cause de la fièvre, là tu as chaud à cause de la timidité. Tu es encore un peu plus brûlant que tu ne l’étais. Ça te donnerait presque des bouffée de chaleur. Tu le vois remettre doucement le gant sur ton front. Tu le regardes faire timidement, les joues rouges. Tu murmures tout doucement, "personne ne s'est jamais occupé de moi comme ça, sauf ma famille..." que tu lui dis, tout bas, en le regardant dans les yeux. Tu rajoutes, "C'est la première fois..."
AVENGEDINCHAINS
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Je suis de nature très attentionné pour ceux qui m’entoure, enfant je couvais mon frère jumeau, et depuis que j’ai ma petite sœur, je la couvre également, encore plus ses jumeaux de quelques mois, je suis un vrai grand frère poule alors imaginez avec mon coloc, surtout qu’il a l’air si fragile, si vulnérable, depuis le premier jour j’ai envie de le protéger, depuis le premier jour je n’ai qu’un objectif, qu’il soit à son aise, et je suis comme ca, j’ai un grand cœur qui me pousse a m’occuper des autres avec attention, même mes fans ont droit a se traitement de faveur, enfin pas au point d’Axel mais je les protège en cas de conflits avec la sécurité…etc. Il essaye de me dissuadé d’appeler le médecin mais je suis têtu comme une mule alors autant parler à un mur. Je le regarde dans es yeux une fois que j’ai raccroché pour lui dire.
« Je préfère le faire venir pour rien plutôt que de ne pas le faire venir et que cela s’aggrave. Ne te soucie de rien, je me chargerai de tout pour toi, tu n’auras pas a bouger du lit, tu as juste a te reposer. »

Je lui souris et je e laisse se reposer alors qu’il me remercie et que je vois bien qu’il rougit du faite que je suis penché sur lui, ce qu’il est mignon quand même. D’ailleurs, il me dit que personne ne s’est jamais occupé de lui ainsi en dehors de sa famille. Je m’assois vraiment sur le bord du lit pour lui répondre.
« J’aime prendre soin des gens, depuis toujours, et cela changera jamais, j’aime me rendre utile, tu sais, ma petite sœur je la surcouve aussi ainsi que ses jumeaux, je suis un vrai je ne sais quoi poule, comme on dit. »

Je ris doucement avant de tremper ma main pour la passer dans ses cheveux pour lui rafraichir le crâne un peu. D’ailleurs, ca toque. J’ouvre et je laisse le médecin s’occuper d’osculter Axel, je reste a coté de lui et j’écoute tout ce qui se dit, puis je remplis les papiers naturellement et je récupère l’ordonnance avant de payer et de le laisser repartir, je fais bien attention a tout ce qui est demander sur l’ordonnance et je me lève pour m’habiller plus confortablement pour sortir. Je me tourne vers lui avec un sourire tendre.
« Je vais aller chercher tes médicaments, j’en ai pour 10-15min, repose toi, je reviens tout de suite, et au moindre soucis tu m’appelles sur le champs. »

Je reviens vers lui pour rafraichir le gant et lui reposer sur le front avant de filer, faisant mon maximum pour en avoir pour le moins de temps possible. D’ailleurs comme promis, je reviens une 10aine de minutes plus tard.

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Really too sick, poor little kitten.
Goran & Axel


Il t'explique qu'il préfère que le médecin vienne pour rien, plutôt qu'il ne vienne pas et que ça s'aggrave. Il te rassure en disant qu'il se chargera de tout, ça te soulage, ça. Tu le remercies encore. Il n'est pas obligé de faire tout ça pour toi, pourtant il le fait quand même. Cet homme a un cœur en or, vraiment. Tu souris en le laissant s'occuper de toi, tu profites. Tu apprécies, vraiment, tu adores ça. Tu fermes les yeux, et quand tu les rouvres, ça te fait rougir de le voir penché juste au dessus de toi. Ça te donne chaud, t'as pas l'habitude. Lui, il a l'air de trouver ça normal. C'est peut être normal après tout, t'as jamais vraiment eu d'amis proches, tu sais pas trop comment se passe ce genre de relation.

Tu lui avoues que jamais personne n'a prit soin de toi, comme ça, à ce point là. Il te répond qu'il est comme ça, que c'est dans sa nature. Il te raconte qu'il fait pareil avec sa petit sœur et les jumeaux. Tu lui souris en répondant, "Ils ont de la chance de t'avoir." Toi t'as jamais eu de frère et sœur, tu sais pas comment ça se passe. Tu sais pas grand chose en fait, toi, Axel. Tu'y connais rien aux relations, que ce soit relation d'amitié, relation d'amour, relation de fratrie. T'as jamais rien connu , ni vécu, finalement.

Tu lui souris, il se lève pour aller ouvrir au médecin. Tu sors des couvertures pour te laisser ausculter, t'es resté en jogging. C'est un vieux pantalon de sport qui te sert de pyjama. Après les questions bateaux du docteur et t’être laissé ausculté, il s'occupe des papier avec Goran. T'es bien content de ne pas avoir à t'en soucier, c'est vraiment un fardeau. Une fois le médecin partit, Goran te dit qu'il va aller chercher les médicaments, qu'il en a pour quinze minutes maximum. Tu le regardes et tu lui dis oui avec la tête en souriant. "Merci..." que tu lui répètes encore. T'as jamais autant remercier quelqu'un en l'espace de quelques minutes. Goran te repose le gant une dernière fois sur le front et finit par s'en aller. T'as pas vraiment envie qu'il parte, mais bon, pas le choix. Tu préfères quand il est prêt de toi, qu'il s'occupe de toi, juste au dessus de toi. Tu te mets à rougir tout seul à cette pensée.  

Tu gardes les yeux fermés, y'a plus aucun bruit. Tu finis par t'endormir, l'aspirine commençant à calmer la douleur et le manque de sommeil se faisant sentir, tu finis par tomber en sommeil. Ca te fais du bien de dormir, ça te soulage.

C'est trente minutes plus tard que tu te réveilles, en nage. Tu transpires, t'es trempé, en sueur dans tes draps. Tu rouvres doucement les yeux. Tu sais pas si Goran est encore là, tu sais pas combien de temps t'as dormit, t'es un peu dans le pâté là. "Goran..?" que tu chuchotes pour voir si il est toujours là.
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Rapidement la conversation dérive sur ma petite sœur et les jumeaux, il faudra que je les lui présente un jour, enfin pas aujourd’hui vu son état, après tout, il a droit de connaitre ma famille, le peu de famille qui me reste dans le monde cruel de ma vie familiale. Je lui souris à ce qu’il dit et continue d’être aux petits soins pour lui jusqu’à l’arrivée du médecin, ne laissant pas pour autant Axel tout seul, restant assis a coté de lui, écoutant très attentionné ce que dit le médecin, puis je m’occupe des papiers, demandant des précisions sur certains détails afin de bien soigner Axel, je le raccompagne, je le paie, et je retourne vers Axel lui expliquant que je vais m’absenté le temps d’aller en pharmacie, ce qui ne prendra pas longtemps vu la proximité. Je lui conseille de se reposer, il me remercie encore. Je file et lorsque je reviens, je vois qu’il dort.
Je souris tendrement, je remonte la couverture sur lui, le bordant bien, je prépare les médicaments pour quand cela sera l’heure et je m’installe avec mon calepin sur mon lit et je griffonne quelques mots sur la feuille blanche, car il est temps que je renouvelle mon répertoire de chanson. Et j’avoue avoir un peu d’inspiration. Mais au bout d’un quart d’heure je l’entends se réveiller, enfin j’entends surtout sa voix m’appeler. Je referme mon calepin que je pose sur mon lit et je me redresse. Allant jusqu’au lit, m’asseyant sur le bord, reprenant le gant frais pour éponger doucement son visage.
« Hey, calme toi Axel, je suis là, regarde, je suis a coté de toi… »

Je lui souris pour essayer de l’apaiser, allant jusqu’à m’allonger sur sa couverture pour être tout près de lui, passant mon bras autour de lui pour qu’il sente ma présence, allant jusqu’à le blottir contre moi, pour qu’il sente ma présence et qu’il s’apaise un peu plus, je passe le gant froid sur tout son visage lentement pour lui redonner des couleurs saines. J’ignore pourquoi j’en suis venu a m’allonger a coté de lui, mais je ne bougeais plus, et je glisse ma main dans ses cheveux naturellement.
« Tu te sens un peu mieux ? »

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Really too sick, poor little kitten.
Goran & Axel


Du sommeil, on peut pas dire sommeil réparateur, mais du sommeil quand même. Tu t'es endormit une trentaine de minutes. T'étais tout seul quand tu t'étais endormit, Goran était partit à la pharmacie. Quand tu te réveilles, tu dis son prénom, pour voir qu'il est là. T'es mieux quand il est là, à coté de toi. Ça te rassure, c'est une présence rassurante, ça te protège. Il arrive rapidement quand tu l'appelles. Tu souris, soulagé, il est là, il recommence à s'occuper de toi. Tu soupires d'aise et de soulagement en souriant quand tu le sens arranger le gant et le passer sur ton visage. Tu gardes les yeux fermés, juste un œil légèrement entrouvert, tu le vois, il te sourit, tu lui souris en retour. Tu entends sa voix, il te dit qu'il est juste là et qu'il faut te calmer.

Tu le sens s'allonger à coté de toi et passer un bras autour de toi. Tu sais pas trop si c’est la fièvre ou la fatigue qui te donne du courage, mais tu poses doucement ta tête sur son épaule, en fermant les yeux correctement. Il te rafraîchit le visage avec le gant et passe doucement ses doigts dans tes cheveux. Ça te fait du bien. Il te demande si tu te sens mieux, tu acquiesces doucement en te blottissant un peu plus contre lui. Ça te réconforte qu'il soit là. Tu peux pas expliquer pourquoi. Mais c'est comme si tu étais dans les bras de ton père, mais c'est quand même différent. C'est rassurant, tu te sens protéger, t'as l'impression de compter. C'est étrange, tu peux pas l'expliquer, t'as pas les mots. Tu ouvres les yeux et tu les lèves doucement vers lui en le regardant.

Il prend son temps pour toi, il s'occupe de toi, ça te fait tout drôle, mais tu aimes vraiment ça. Tu chuchotes, le visage relevé vers le sien, "Merci pour tout...". Ça doit être la fièvre et la fatigue mélangés qui te donnent du courage, parce que tu arrives à laisser tes yeux planté dans les siens, en temps normal, tu aurais rougis en baissant les yeux timidement. Mais là, non. T'as les joues un peu rouges, t'es quand même un peu intimidé, mais pas autant qu'au premier jour. T'as envie de le remercier, tu sais pas trop comment. Tu reposes ta tête doucement sur son épaule et tu enfouis légèrement ton visage dans son cou en soupirant de bien-être. T'es pas loin de te rendormir, là.

Machinalement, tu déposes un petit baiser sur son cou, les yeux fermés. Petit à petit et seconde par seconde, tu te rendors doucement. Comme ça. C'est le sommeil qui te rattrape, la fatigue, t'arrives pas à lutter contre.
AVENGEDINCHAINS
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Tout s’enchaine assez vite, il m’appelle, je viens, je fais en sorte qu’il se sent mieux et surtout, je prends place à coté de lui, je sens qu’il a besoin d’une épaule sur laquelle se reposer, il est toujours meilleur d’avoir quelqu’un près de soi quand on est malade, je sais d’expérience qu’être tout seul quand on est malade n’aide pas vraiment a guérir. Je me sens bien, je me sens à ma place, je n’ai pas besoin de réfléchir à ce que je dois faire, je le fais tout naturellement.
Je le sens se blottir contre moi, il me remercie, pour la énième fois de la journée ce qui me fait sourire toujours d’avantage. Savoir qu’il va mieux me fait un bien fou, cela me libère d’un léger poids, je suis heureux de savoir qu’il va beaucoup mieux. Puis je le laisse se placer dans mes bras à son aise, le serrant tout contre moi. Je sens naturellement son visage venir dans mon cou, la chaleur de sa fièvre contre la fraicheur de ma peau me fait frisonner de l’intérieur, je le regarde droit dans les yeux et je lui souris tout bonnement tendrement. Je l’observe se replacer et refermer les yeux, allant jusqu’à embrasser d’un léger baiser mon coup ce qui me fait sourire.
Non rectification, cela me remue l’être entier, mon corps frissonne de l’intérieur, un courant électrique traverse mon corps jusqu’à l’endroit de ses lèvres. Je me mords la lèvre tellement je me sens bien. Je baisse les yeux et je vois qu’il s’est endormi, je passe ma main sur sa joue, sans le reveiller.
Les premières minutes se passent très bien, je regarde le jeune homme dormir, mais la chaleur de son corps, et le manque de sommeil ont raison de moi, malgré que je lutte pour continuer a veiller sur lui, mes yeux se ferme et mon esprit s’envole dans le sommeil, mon visage apposé contre le sommet de son crâne. Mes bras l’entourant comme une barrière protectrice, comme si mon corps formait un cocon autour de lui par ma grandeur et ma corpulence.
Je rattrape le sommeil non eu cette nuit, paisiblement endormi contre lui, mon souffle chatouillant quelques mèches de ses cheveux. Axel pourrait se réveiller que je ne sortirais pas de mon sommeil tellement il est confortable et réparateur. Je suis tout bonnement paisible dans mon sommeil.

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