Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySienna l'entremetteuse! - Page 3
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


Sienna l'entremetteuse!

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'étais pas mécontent d'avoir sorti la petite veste du soir pour le coup, même si je n'avais qu'un simple tee-shirt en dessous, c'était plus classe qu'un sweat où, j'aurai vraiment eu l'air d'un clochard. J'en revenais toujours pas que Sienna nous avait fait ce coup-là et pourtant, je pense qu'au fond j’appréciais ce moment qu'elle nous avait crée parce que je n'en avais pas autant que ça avec la Cabot. Je ne l'avais même pas félicité pour son statue de vice présidente et je comptais me rattraper. Et puis, j'avais en tête de lui faire partager les dernières informations que j'avais appris depuis les enchères. C'est pas "cool" de ma part mais juste évident. Ah, j'ai aussi oublié de te félicité pour ta place de VP la dernière fois, bravo. Répondis-je en prenant la carafe d'eau afin de remplir mon verre d'eau avant d'ajouter Sienna m'a parlé aux enchères avant que tu n'entre sur scène. Elle m'a dit que tu lui parlais de moi. C'est nouveau non ? Je ne pouvais cacher mon air de satisfaction sur mon visage suite à précieuse information qui allait certainement l'a gêner. Mais je voulais voir comment elle allait se débrouiller pour se dépatouiller de cette situation. J'espérai que Sienna allait se faire remonter les brettelles, c'est ma vengeance à moi, et toc ! Tu peux rester enfermé dans notre chambre mais crois-moi qu'avec la chaleur, ça sera pas agréable. Répondis-je en sachant pertinemment qu'elle ne désirait pas y rester. J'avais même éviter une de mes phrases perverses, j'évoluais plutôt bien, non ? A cette phrase je lui aurai bien répondu que si on y restait coincé, ce ne serait certainement pas pour faire du scrabble mais je n'ai rien dis. On applaudis Charlie Isaac Wilcox pour sa délicatesse ce soir sil vous plaît. J'esquissais un sourire à ma propre connerie avant de regarder mon assiette et d'y goûter un bout. Finalement c'était pas si mal que ça la gastronomie, bien que ce soit la spécialité en France, je n'avais jamais mangé dans un restaurant. Sauf celui de Macdo, enfin si s'en est un. J'aime bien ça mais disons que je préfère quand tu me caresses et non quand tu me donnes des coups. Répondis-je en pouffant, me remémorant de cette nuit où j'avais eu sa main collé sur mon visage en me réveillant. Un cochon qu'on égorge ? Sérieusement ? Je grimaçais en m'imaginant émettre un bruit aussi horrible que ça. Je en préférai pas répondre pour oublier très vite cette information gênante, et surement hilarante pour elle. Buvant une gorgée d'eau, je posais ma main gauche sur la table et mangeais de l'autre avec aisance, enfin même si la coquille de ce crustacé me donnait du fil à retorde. Mais bien vite une pince arrivait jusqu'à ma main passive, surpris, je fronçais les sourcils et tombait sur Briny mangeant avec les doigts. Dawn, une princesse mange avec les doigts de nos jours ? Tantôt elle rougissait, timide, frêle et à cet instant elle semblait plus bourru et dévorant ce qui pouvait se trouver dans son assiette. Je n'avais encore jamais vu ça de ma vie et les bonnes manières ? Tu veux de l'aide ? Demandais-je en pouffant de nouveau en vu d'une carapace abjecte. Tiens ta pince. Je lui rendais alors, me levant, penchant au dessus de la table avant de m’apercevoir que nos assiettes aux premiers abords similaire ne l'était pas tellement que ça finalement. Je prenais donc ma fourchette, et piochait dans son assiette en goûtant ce que je n'avais pas. Putain mais c'est bon ça, pourquoi j'en ai pas ? J'étais légèrement frustré de cet oubli. C'était délicieux, comme des noix de saint jacques, non ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Sienna avait peut-être bien fait de prendre les choses en main, après tout la dernière soirée que tu avais passé en la compagnie du winthrop avait été lors du summer camp, autant dire pas des souvenirs très glorieux. Même si étrangement, tu étais encore capable de sentir sa peau contre la tienne. Tu devais vraiment être désespéré comme fille pour penser à des choses aussi niaises. Et mordu pensas-tu, avant de faire taire ta conscience. Non, non, non voilà. Sauf que tes actions prouvaient tout le contraire, tu venais tout de même d'accepter de partir avec lui en Egypte. Mon dieu tu étais vraiment bête comme fille. En tout cas, Charlie semblait bien sérieux ce soir, très guindé avec son costume deux pièces dans ce beau décor. Plus de ton milieu en faîte. " Tu arrives un peu tard Wilcox, mais merci." répondis-tu d'une voix douce. Cet homme avait toujours la tête ailleurs, surement dans les nuages à contempler le ciel, et semblait complètement perdu lorsqu'il s'agissait de tout le reste. Après tout tu n'avais même pas reçu ne serait ce qu'un joyeux anniversaire par sms, toi qui pensait qu'il aurait profité de la saint valentin pour tenter quelque chose. Comme quoi tu te trompais. Au final le jeune homme devait avoir raison, tu possédais beaucoup trop de préjugés. "Bah oui je parle de toi ça te pose un problème?" dis-tu plus froidement que tu ne l'avais souhaité devant son petit air satisfait. Le tout c'était de conserver un visage impassible. Mais c'était plus fort que toi tes yeux déviaient pour se concentrer sur ton assiette. Gooosh si tu attrapais Sienna, tu allais lui faire sa fête. Tu ne savais pas vraiment ce qu'elle avait bien pu lui révéler, mais tu espérais que ce n'était rien de trop gênant à ton sujet. C'était déjà assez le bordel dans ta tête pour devoir en plus penser à ça. "Bah j'peux très bien rester dans notre lit avec un ventilo juste en face de moi. Mais bon ça serait gaché le voyage non? En plus je n'ai jamais vraiment eu l'occasion de visiter ce pays. Alors ça sera ma première fois." répondis-tu avec un grand sourire. Puis c'était un peu comme une sorte d'étude pour toi, voir comment la bête évolue dans son habitat naturelle. C'était une opportunité de voir comment Charlie était lorsqu'ils étaient avec ses "frères".  "De toute façon ce n'est pas comme si je te caressais beaucoup non? C'est que je m'entraine à faire de la boxe dans mon rêve tu vois." t'exclamais-tu du tac au tac. Genre au cas où quelqu'un tente de faire quelque chose pendant que tu dors, et bah paaf un coup à la jackie chan sur le visage.  Bref ce fut à ce moment là qu'une sorte de pince volante provenant tout droit de ton assiette arriva sur Charlie. Tu avais tellement honte de toi, et de l'image que tu renvoyais que tu ne savais plus où te mettre. Forcément le tout n'était pas passé inaperçu. "Merci mais je suis une grande fille je crois que ça va aller." Foutu fierté, surtout que tu étais réellement en train de galérer. Récupérant ta pince, tu la posais sur le coin de ton assiette le regard mauvais.  Au moins tu avais réussir à faire sourire le français, qui semblait d'ailleurs bien s'y connaitre niveau nourriture, faisant carrément comme chez lui. "Tiens je te le donne, j'ai pas faim de toute façon." dis-tu gentiment en lui tendant ton assiette. Plus tétûe qu'une mule. Tu ne préférais pas manger plutôt que de demander de l'aide.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
A sa remarque sur son statue au sein des Cabots, je ne pouvais que me pincer les lèvres en devinant que je loupais pas mal de chose l'a concernant mais en même temps que faire ? Je ne pouvais pas être tout le temps-là et tout comme elle, j'avais besoin de prendre du temps. Sauf que ce temps nous le mettions pas dans la même chose. Elle pour se lâcher et moi pour enfin me mettre à jour sur ce qu'elle devenait. C'est le geste qui compte. Répliquais-je au tac au tac, afin de me laver de toute culpabilité pointant le bout de son nez. Je l'avais même pas apprit par elle, je devais le savoir comment ? Mais le plus surprenant c'était la réponse à ma taquinerie pourtant mignonne que je lui avais faîte. Un ton froid, distant, j'en étais presque vexé. Je détestais qu'elle me parle sur ce ton, et si c'était pour avoir une soirée de la sorte juste parce que je veux l'embêter, ça ne sert à rien. Et ça ne me donne pas envie de rester. Non, mais tu pourrais me répondre sur un autre ton. Lâchais-je sur un ton plein de remord et les sourcils froncés. Je ne me cachais pas, je lui montrais aisément que je n'étais pas en accord avec la dureté de ses mots. J'avais passé le stade de bouder à table jusqu'à ce que quelqu'un remarque ce que j'étais entrain de faire. Faut bien une première fois à tout. Répondis-je sèchement, encore énervé par sa réaction, j'arrivais pas à faire semblant et ça se voyait sur ma tête. D'ailleurs entre temps, je m'étais assit de nouveau à ma place et à l'aide de ma fourchette, je déplaçait la nourriture sans vraiment l'a manger. Pourquoi fallait-elle qu'elle gâche toujours tout ? Même quand je fais un effort ? C'est sur que la dessus, on ne peut qu'être d'accord avec toi. Alors arrête de faire de la boxe dans ton rêve quand tu dors avec moi. J'enfournais dans ma bouche, une nouvelle bouchée, m’efforçant de finir mon assiette même si je n'étais pas un fan de poisson. Juste pour être polie envers le cuisinier. La musique toujours aussi douce et charmante commençait à m'agacer par la tournure que le dîner avait prit. Parfois j'avais vraiment envie d'abandonner et de me libérer de l'emprise qu'elle avait sur moi. Franchement ? Je faisais la totalité des efforts et j'en étais récompensé que par des bisous. Et même si elle s'offrait à moi, elle est tellement pudique avec ses sentiments que ça ne pourrait pas marcher. Je proposais juste mon aide. Heureusement que le bateau était en mer sinon, je serai parti. J'espère au moins que notre chambre contient deux lits séparés. Finalement, j'étais entrain de faire la gueule, mais c'était uniquement parce que j'arrivais à une saturation. Pourtant si je flanchais maintenant mon plan allait capoter d'avance. Mais c'était plus fort que moi, j'étais en colère, et quand je ressens cette émotion mon jeu d'acteur en pâtis, forcément. Quand elle m’annonçait qu'elle n'avait plus faim, je refusais son assiette d'un signe de tête. J'avais déjà du mal à finir la mienne.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu le toisais quelques secondes, cherchant quelques choses à dire, cherchant quelques choses à faire. Tu ne trouvais rien, parce qu'il n'y avait rien. Ton regard se glissait doucement vers ses yeux, avant de finalement le détourner. Tu reposais ton assiette sur la table, comme si elle t'avait brûlée. Boom boom. Ton coeur battait tellement fort contre ta poitrine, que tu sentais tout au fond que tu en avais dit trop. Les mots étaient sorti de ta bouche, sans filtre, comme ça, simplement. Tu n'avais pas voulu te montrer méchante, mais il semblait que tu l'avais blessé. Pour la première fois depuis que tu le connaissais, le jeune français venait de te réprimander. Tes lèvres se pinçaient délicatement l'une contre l'autre, embarrassée et honteuse de lui avoir effectivement parlé de la sorte. Plus le temps passait, plus la situation se détériorait, même si tu ne croyais pas que c'était possible. À croire que tous les mots qui sortaient de ta bouche, empoisonnaient votre 'relation'. Et dire que Charlie faisait des efforts, toi tu faisais tout le contraire. "Je ne voulais pas le dire comme ça, je suis désolé." chuchotais-tu d'une voix à peine audible. Tu tentais de te rattraper, mais c'était déjà trop tard. Bravo, tu venais de pourrir l'ambiance. "Si tu veux on ne dormira plus ensemble ça sera plus simple." Ta voix montait d'un octave, c'était comme ça tes sentiments étaient trop fort. Tu avais le sang chaud, c'était dans ta nature. "Putain non ce n'est pas ce que je voulais dire. Sérieux j'ai un problème c'est pas possible de tout ruiner ainsi." Tu passais nerveusement la main dans tes cheveux blonds, n'osant pas relever ton regard vers lui. Tu ne savais pas ce que tu faisais encore là. Tes sentiments se mélangeaient, se confrontaient. Tu venais même de jurer, chose que tu ne faisais jamais à pars quand tu perdais le contrôle. Pour le coup tout ça venait vraiment de te couper l’appétit, et tu poussais ton assiette sur le coté. "Je...je...oui j'ai parlé de toi à Sienna, je lui ai dit que je te trouvais mignon et sympa voilà. Et c'est vraiment super gênant de le dire à voix haute, là maintenant juste devant toi." Tu déglutissais, espérant que le winthrop voyait tous les efforts que tu étais en train de faire. Tu ne voulais pas te disputer avec lui, pas encore, pas une nouvelle fois. Vous n'aviez pas forcément toujours l'occasion de vous voir et tu voulais profiter de ce moment. Ta main se refermait sur l'une des siennes, la serrant doucement. Il faudrait que tu apprennes à lui faire confiance, il faudrait que tu apprennes à croire en lui à aller de l'avant, mais parfois c'est tout simplement pas facile pour une constipée des sentiments.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me retrouvais à faire la tête de cochon, têtu et carrément mal pour le coup. Je m'étais refermé aussi sec qu'un huître pour montrer que je ne voulais plus qu'elle me parle ainsi. Une sorte d'alarme que je venais pour une fois d'utiliser. Ce qu'elle avait dit à Sienna m'importait peu, après tout, du moment qu'elle parle de moi j'en étais vraiment fier. C'est sa réaction jugé trop excessif qui m'avait fait voir rouge tout à coup. Je culpabilisais tout de même de me montrer sous un jour plus inexpressif à bouder de l'a sorte. On partait sur une soirée inutile, plus fâcheuse que prévue, mais à ma plus grande surprise, Briny s'excusait. Je relevais le regard vers elle en n'en croyant pas mes oreilles. Doucement je m’adoucissait à chaque phrase qu'elle prononçait même si parfois, elle s'énervait. Je préférai ce genre d'émotion, si forte, et tellement plus intéressante qu'un regard froid et des paroles aussi gelé que le pôle Nord. Faut vraiment qu'on se mette au point sur certaines choses Brynn. Répliquais-je en posant mes coudes sur la table et même si ce n'était pas dans le livret des bonnes manières que j'avais acheté, j'en avais rien à foutre. Y'a des choses plus importantes que la politesse parfois. Tu gâche pas tout, arrête de dire ça. C'est juste que j'ai besoin que tu montre plus tes émotions. Je sais que j'ai dis que je voulais t'attendre tout ça, mais si tu me montre pas ce que tu ressens au moment où justement ça arrive. Je suis sensé tout deviné ? Tu compte beaucoup pour moi, mais je sais pas si ça marchera entre nous si tu ne partage rien avec moi. Je sais que je t'en demande énormément, et peut être même trop, mais si nous n'attendons pas les mêmes choses, on se trompe alors. J'avais pourtant bu que de l'eau, mais les mots s'étaient échappés avec une telle légèreté de ma bouche que j'en étais moi même déconcerté. Je faisais preuve d’honnête, pour ne pas me tromper. Tout comme elle. Et si on était pas compatible finalement ? J'étais perdu, et je ne voulais pas m'enfoncer encore plus dans cette spirale infernale si c'était une fois de plus pour me casser la gueule. Pour la première fois depuis longtemps j'avais envie d'une femme toute entière mais j'avais peur. Peur de ne pas arriver finalement à aller jusqu'au bout de l'aventure si elle ne me dit rien. Si elle se cache sans arrête sous des apparences trompeuses. Je mordais intensément l'intérieur de la joue en sentant une brûlure au niveau de ma cage thoracique. J'avais du mal à respirer, à lui avouer mes doutes, mon ressentiment. Pourtant, mon regard franc ne cessait de quitter le sien, et je sentais qu'à ce moment si elle déviait le regard, je me sentirai hébété et d'autant plus perdu. Ça me rendait presque triste. Mais j'appréciais tout de même qu'elle m'avoue ce qu'elle pensait de moi, et que finalement sans vraiment le vouloir, j'accédais à cette information. Sa main dans la sienne était un sentiment agréable et unique. J'ouvrais alors ma main pour l'a serrer délicatement. Mon dieu, ça tombe vraiment dans un registre romantique, et bien que je m'en rende compte, ça me convenait. Parce que c'était pas classique mais façon Brinlie. Je n'avais absolument plus faim. On fait quoi ? Lui demandais-je en soupirant. Pourquoi on s'emmerdait autant ? Cette une question qui se posait pas mal à mon esprit depuis un petit moment, et je n'avais pas la réponse. Du moins pas encore. Peut être un jour ? 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pourquoi te mettais-tu toujours dans un état pareil? Si facilement, passant d'un extrême à un autre . C'était lui qui te rendait comme ça, faible et vulnérable, humaine. Tu ne savais jamais quoi dire, ni faire, de peur que ça ruine ce que vous commenciez ou essayez de construire. Tu ne cessais de repenser à ce que vous vous étiez dit, à l’attachement que tu lui avais enfin confessé… Tout cela était la pure vérité. Après tout ce que tu lui avais déjà avoué, le jeune français semblait en vouloir plus. Toujours plus, plus que ce que tu étais prête à lui donner. Pourtant, en lui avouant à quel point il comptait à présent pour toi, tu n’avais jamais été aussi sincère. Et même si cela te faisait du mal de l'admettre, il avait raison, tu commençais à parler de lui à tout le monde.Tes dents vinrent instinctivement mordre ta lève inférieure. Tu aurais presque aimé effacer tes paroles. Pourquoi devais-tu être une telle idiote ? Tu pris une grande inspiration, pensant à ce qui allait se passer par la suite, à ce qui était inévitable. Et tu n'aimais pas du tout le ton très sérieux que venait d'employer Charlie, porteur de mauvaises nouvelles. "J'essaye...je te jure vraiment que j'essaye. C'est juste tellement nouveau pour moi je...je...voilà."  Tes mots n'étaient sont plus qu'un souffle et tu ne savais pas du tout quoi faire, ni quoi ajouter. C'est tellement gênant, humiliant. Tu savais que le jeune homme attendait surement plus de ta part mais tu en étais incapable.Comme si cela changeait quelques choses, il en avait vu bien trop... Mais qu'avait-il vu exactement? Quelle connerie.  Tu ne lui en voulais pas pour cette métaphore maladroite, tu ne lui en avais jamais voulu, tu avais simplement ce que tu méritais. Pas étonnant que tu n'ais eu une relation sérieuse qu'avec un seul homme dans ta misérable vie, qui voudrait de toi?. Ses paroles étaient tellement directes, que tu avais l'impression d'être une moins que rien. Nulle. Tu voulais tant remonter en arrière, que tu aurais tout sacrifié, rien que pour prendre les bonnes décisions. Mais qu’étaient les bonnes décisions ? Qu’aurais-tu dû abandonner pour remettre les choses dans le bon ordre, pour que tout s’arrange ? Tu n’en avais pas la moindre idée. Tu sentais, au fond de toi, que tu avais pris, à chaque fois, les mauvaises décisions. Pourquoi tu n'arrivais pas à exprimer ce que tu ressentais?  Tu n’étais qu’une gamine, tiraillée par ses envies, confronté à ses choix."Apprends moi okay?" Tu pouvais faire des efforts, et ça c'était une promesse que tu étais capable de tenir. Votre dîner romantique ayant tourné cour le winthrop te demandait ce que tu souhaitais faire. Le vide. "Je peux monter sur ton dos?" Tu affichais ton plus beau sourire, tentant un comportement plus optimiste, plus dynamique, plus pétillant, plus toi. Tes talons te faisaient mal aux pieds, et où que vous alliez tu refusais de marcher, te prenant comme toujours pour une princesse. Puis c'était con mais tu voulais pouvoir sentir ses cheveux, et le sentir près de toi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Plus personne n'avait vraiment faim et nous avions tellement vrillé que un autre sujet qu'il était difficile de s'en défaire. Briny, essaie. Elle le veut, et c'était un pas mais est-ce que tout ça m'allait dans le fond ? Je ne pensais pas qu'attendre relèverait d'un calvaire pareil. Peut être que le problème entre nous d'eux, c'était moi et pas elle. Je dévoilais peut être mon impatience en rejetant la faute sur la jolie blonde. Mais j'étais peut être pas aussi fort que ce que je pensais. J'en savais rien, mais en attendant, je vivais chaque jour avec la frustration de ne pas pouvoir m'attacher à la femme qui me plaît vraiment. Parce qu'on ne sait jamais ce qui pourrait se passer, elle me pense Winthrop et donc le pire séducteur de tout les temps, mais elle, elle pouvait très bien me l'a faire à l'envers aussi. Adriel, ce type avec qui elle avait couché, ça je pouvais pas me l'ôter de la tête. Quel con ce mec. Je doutais de plus en plus de tout et surtout de nous. Cette affaire avec le mather m'avait bien assommé, mais je ne disais rien pour le moment. La rage qui m'arrachait le coeur s'était tût pour ressortir quand nous seront au Caire. Je me retenais d'y penser et de faire des réflexions cinglantes la dessus, ça ne valait pas le coup, pas ce soir. Je soupirai une fois encore en asseyent de me concentrer sur la soirée que nous devons passer. Elle était foutue. Depuis notre voyage au Spring Break, tout prenait une allure si sérieux, et tellement plus profond. Je ne savais pas si j'étais prêt à de nouveau m'attacher, surtout avec une hérétique de l'amour et des sentiments en général. "Apprends moi okay?" Hébété devant cette demande si spéciale, je ne pouvais que trouver une ressemblance avec le film 50 nuances de Grey, quand l'autre brune lui demande "Initiez-moi". Mon dieu, je ne m'attendais pas à un tel choc dans ma tête que ça me donnait envie de rire. Mais aucun son ne sortait de ma bouche. T'apprendre ? Répétais-je, me mordant la lèvre inférieur. Je sais apprendre le français, ça c'est facile, mais l'expression des sentiments ? Allons-y. De toute manière c'est pas comme si j'étais déjà embourbé jusqu'au cou au niveau de notre situation. Mais je me promettais que si le plan de Royce ne marchait pas, je commencerai à voir ailleurs. Il avait raison, si je perdais plus de plume dans cette aventure qu'elle, c'était pas très bénéfique. Tu veux monter sur mon dos ? Si tu veux. C'était assez original. Me levant, je lui tournais le dos en dehors de la table en attendant qu'elle grimpe. Elle avait pas une robe ? Ça risque d'être compliqué.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu ne savais pas vraiment pourquoi, mais tu avais l'impression que vous aviez tous les deux franchis une sorte de cap. En un an votre relation avait tellement évolué, si vite, si rapidement à tes yeux que tu en étais presque perdu. Et comme tu venais de l'avouer à Charlie c'était quelque chose de foncièrement nouveau pour toi. Tu n'avais pas beaucoup d'expérience dans ce domaine, n'ayant eu pour tout qu'une seule relation sérieuse avec un homme. Pourtant tu avais aussi l'impression de t'être ouverte à lui plus qu'à d'autres. Tu lui avais révéler des choses, et lui seul les connaissaient. Comme ta manie de parler avec tes seins, ou ta famille. Alors oui tu avais définitivement besoin qu'il t'apprenne à extérioriser tes sentiments, parce que tu étais incapable de le faire naturellement, de manière spontané. Si lui était à l'aise avec le fait de dire qu'il appréciait quelqu'un c'était loin d'être ton cas, phénomène tout simplement inexistant dans ta culture. Tu opinais donc silencieusement de la tête, avant de lui demander si tu pouvais monter sur son dos. Tu t'attendais un refus le plus total, comme lorsqu'il t'avait rejeter lors de votre balade au Cap Vert, mais à ta plus grande surprise il accepta. Tes sourcils se levaient, te demandant bien où pouvait se trouver le piège. Comme quoi vous étiez tous les deux en train de faire des efforts pour plaire à l'autre, et tu aimais ça. "Ow merci génial!." t'exclamas-tu aussitôt de peur qu'il change d'avis. Monsieur te tournant le dos, tu en profitais pour remonter ta robe jusqu'au dessus de tes hanches dévoilant ainsi ta lingerie fine; petite culotte. C'est que sinon tu n'allais pas pouvoir grimper, ta robe gênerait, et tu te refusais tout bonnement de la couper. De toute façon Charlie et toi aviez depuis fort longtemps dépasser ce stade d'intimité non? Prenant un léger élan, tu grimpais à son dos, enroulant tes bras autour de son cou. Tu te sentais définitivement mieux, là, là tête nichée dans le creux de son épaule, les fesses à l'air. "Tu veux faire quoi maintenant du coup?" glissais-tu le long de son oreille. Parce que toi tu n'avais plus envie de bouger d'un centimètre, t'accrochant à lui comme une moule à son rocher.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je pense que mon rêve qu'un jour Brynn puisse finalement tout envoyé en l'air et me prendre dans ses bras. C'est même pas une histoire de câlin ou bien encore de coucherie, c'est juste celle de se laisser enfin aller. De prendre son temps mais en s'ouvrant d'avantage. Malheureusement pour moi, elle était telle une huître, n'ouvrant pas facilement sa coquille. Ça n'allait pourtant pas assez vite pour moi, même avec ses efforts. J'en voulais plus toujours plus et c'était toujours le même problème entre nous. Je ruminais tout ça depuis longtemps et ça me pesait sur le coeur. Montrant mon dos afin qu'elle puisse monter, j'acceptais tout de même perplexe. Remarque elle aurait très bien pu me demander de sauter dans l'eau, je l'aurai fait puisque j'étais mal, pas dans mon assiette. Je commençais vraiment à souffrir de cette situation, et je me demandais si je ne faisais pas une erreur. Réflexion de lâche comme d'habitude, et pourtant ça me semblait toujours une éventualité de me tirer et de couper les ponts. J'avais juste peur, rien de plus. Contente, je l'entendais retrousser sa robe derrière mon dos pour par la suite me sauter dessus. J'avançais de quelques pas, posant mes mains sous ses genoux, et Briny près de mon cou. On avait pas l'air con comme ça. La VP Cabot, me demandait par la suite je que je désirai faire, sur le coup, j'avais envie de lui dire de m'embrasser mais si c'était pour une fois encore se prendre la tête autant éviter. « J'ai envie de regarder les étoiles. » Répondis-je tout à coup en pensant au ciel, à la nuit et aux beautés qu'elle montrait. Je n'étais pas un poète dans l'âme mais j’appréciais les regarder même si en général c'est parce que je suis bourré jusqu'à la moelle. « T'as envie aussi ? » Puisque ce soir on devait réfléchir ensemble autant le faire bien. « Par contre, avant je veux  chercher mon dessert dans la cuisine alors si jamais tu as trop remonté ta robe, t'es prévenue. » J'avais retrouvé l'appétit, du moins pour un bon dessert j'étais bien partant.  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Même si au tout début tu n'avais pas osé lui demander de monter sur son dos de peur de te faire rejeter, tu ne regrettais plus du tout ta décision. Son odeur, la chaleur de son corps, tout te réconfortait et te donnait presque espoir. Finalement peut-être qu'un vous pouvait exister, peut-être que vous n'étiez pas des cas désespérés. Au fond c'est tout ce qui te fallait, avoir quelque chose à laquelle tu pouvais te raccrocher, te faire rêver. Alors que tu lui demandais ce qu'il voulait maintenant faire, tu fus plutôt positivement surprise par sa réaction qui te laissait sans voix. Tu passais délicatement une main dans ses cheveux bruns, pensive. Tu aimais cette idée, tu trouvais ça doux & romantique,ça te faisait presque rougir d'avance. Tu n'avais jamais l'occasion ni beaucoup pris le temps de regarder les étoiles. Il faut dire que les lumières de la ville bien souvent t'en empêchaient. Et tu étais encore plus touché lorsqu'il te demandait si cette idée te plaisait à toi aussi. En signe de réponse, tu te penchas un peu plus en avant pour marquer sa peau, l'agrémentant de bisous dans le coup pour finir sur la joue. Tu étais consciente que ce n'était pas exactement la réponse qu'il attendait de ta part, mais tu ressentais se besoin de te faire pardonner. "J'aime beaucoup cette idée." chuchotas-tu dans son oreille. Puis pour ce qui était du gâteau, dessert ou tu ne savais trop quoi ça ne te dérangeait point. Tu te contentais d'hausser les épaules, même si le français ne pouvait pas le voir de là où il était. Il faisait comme il le voulait. Même si le lien entre la cuisine et ta robe t'échappait encore. "Marche Wilcox au lieu de parler." Tu roulais les yeux au ciel amusé.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)