Deux personnes, 125g d'attirance, 250mL d'écoute, 50g d'humour, 6 à 8 regards et un soupçon de complicité ₪ HOPEN

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Te transformer ? Non, tu restais le même gars. Elle te ne transformait pas. Elle t’attirait juste dans ses filets telle une sirène attirant vers elle un pirate. Sauf que toi, elle ne voudrait pas te tuer. Seulement te faire tomber amoureux. Et c’était ce qui arrivait. Oh ouais, c’était en train d’arriver. Je ne crois pas. avais-tu murmuré avant de l’embrasser avec un douceur incroyable. Puis tu avais quitté la chambre pour revenir quelques minutes plus tard avec des cookies. J'crois que la perfection existe vraiment. Son sourire était communicatif et fit éclater le tient sur tes lèvres. Ca lui avait fait plaisir, t’étais tout fier de toi. J'aime toujours tout partager avec toi et ça n'a pas changé, so bon appétit !. dit-elle en te tendant la moitié d’un cookie qu’elle venait de casser en deux. Juste cette moitiée ? T’étais un estomac sur patte, ça suffirait jamais ! Merci, merci, Sunny. Mais j’avais déjà prévu d’engloutir la moitié de cette assiette. dis-tu en haussant les épaules, ne faisant qu’une bouchée de cette moitiée de cookie. Oh et..merci !. Pourquoi ses lèvres sur ta joue t’électrisaient alors que tu avais connu bien plus, quelques dizaines de minutes plus tôt ? Derien. réponds-tu, la bouche pleine de cookie. Tu sais, j’crois qu’on devrait retourner dans la cuisine et le salon après pour tout ranger. C’est vraiment le bordel.. Et j’m’en voudrais que tu t’fasses engueuler par tes pères. Et j’m’en voudrais aussi de finir dans une marmite. pouffes-tu de rire après avoir avalé ta bouchée.
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que le meilleur cookie gagne !.

Lorsqu'il te répondit que tu ne le transformais pas, tu te trouvais idiote parce qu'il avait surement dû penser que tu changeais sa nature, or ce n'était pas ça, enfin "transformer" ça voulait tout dire aussi, du coup ouai, tu te sentais vraiment conne pour le coup. « Attends, j'parlais pas de transformer ta nature, enfin...c'est plutôt autre chose. » Même pas certaine qu'il pige là aussi. Ta gueule Sunshine, ta gueule tout simplement. Là tu rougissais, tu rougissais tout le temps en fait et surtout principalement devant Ruben, même quand t'étais confuses, tu rougissais. Gad, il te laissa le temps de reprendre tes esprits et calmer ton cœur qui ne voulait plus s'arrêter. Bon sang, t'étais complètement folle ce n'était pas nouveau, mais t'étais uniquement folle de lui. Il était trop mignon à t'avoir préparé des cookies que tu ne te privais pas de couper un en deux pour lui donner la moitié. Il te remercia et t'éclatas de rire à l'écoute de sa petite menace d'engloutir presque toute l'assiette. « Spèce de gourmand va !. Peut-être que c'est moi qui terminera toute l'assiette avant. » T'avais assez de place dans ton bide pour avaler tous ces cookies parce qu'ils étaient préparés à la main de l'homme que t'aimais et que surement t'en laisseras rien au final. Pendant que vous vous régalez, il te proposa ensuite de tout ranger dans la cuisine pour éviter que tes pères fassent une crise. « T'sais ? Si tu dois finir dans une marmite, c'est certainement par jalousie de mes pères. Ils sont très possessifs envers moi. » Et depuis le temps, Rubien devait le savoir. Avalant ta dernière bouchée de cookie, tu pousses l'assiette plus loin et tu te penches à quatre pattes vers le dunster. Prise d'une envie pressante, tu scellais à nouveau vos lèvres dans un ultime baiser très langoureux, jusqu'à même allonger Ruben sur le lit. Sa tête fut prisonnier de tes mains plaqué contre le drap. Après ce délicieux baiser au saveur cookie, tu recules la tête accompagnée d'un sourire. « Quelque chose que j'aurais dû faire il y a longtemps... Ça a pris du temps, mais vaut mieux tard que jamais non ?. » Tu parlais bien sûr de ton manque de démonstration d'il y a quatre ans. Là, t'étais plus démonstrative que jamais et dieu que tu faisais des efforts. « Puis... J'avais très envie de t'embrasser... » Peut-être que ouai, vous devriez descendre.

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Oui, t’avais bien compris de quoi elle parlait en disant qu’elle te transformait. Enfin, t’étais même pas certain, en fait. T’étais le même homme. La seule chose qu’elle transformait, et encore, tu dirais même plus qu’elle s’appropriait, c’était ton cœur. Mais ton cœur, ne lui avait-il toujours pas appartenu, finalement ? T’inquiète, j’vois ce que tu veux dire. dis-tu en riant doucement, parce qu’en fait, t’étais plus perdu que tu ne le laissais paraitre. Spèce de gourmand va !. Peut-être que c'est moi qui terminera toute l'assiette avant. Alors là, t’avais du mal à y croire. C’était toi qu’en mangerait le plus, c’était toi qui finirais cette assiette, ne laissant que deux ou trois misérables cookies à Sunshine. Me tente pas Sunny ! J’suis certain que j’mange plus de cookies que toi en une minute. J’parie c’que tu veux. dis-tu en lui tendant la main, pour lancer ce défi. T'sais ? Si tu dois finir dans une marmite, c'est certainement par jalousie de mes pères. Ils sont très possessifs envers moi. Et t’en savais quelque chose, hein. Y’a quatre ans bien tassés, tu avais subie pendant des semaines entières des interrogatoires poussés sur tes intentions envers leur fille. Vos cinq années de différences n’avaient pas semblées plaire aux trois hommes. Mais tout s’était arrangé au bout de deux mois. Deux mois quand même. Je sais, ouais. Ca fait rien, j’affronterais le supplice de la marmite si c’est pour toi. pouffes-tu de rire en passant un bras autour de la taille de Sunshine. Et à ce moment là, elle grimpa à quatre pattes sur toi, t’allongeant sur le lit. Ses lèvres agrippent les tiennes, ses mains entourent ton visage, sa langue danse avec la tienne. Tes mains glissent de ses hanches à la naissance de ses fesses. Elle ne t’avais jamais embrassé comme ça, juste pour t’embrasser. Et bon sang, à en écouter ton cœur qui bat la chamade, t’aimais ça. Quelque chose que j'aurais dû faire il y a longtemps... Ça a pris du temps, mais vaut mieux tard que jamais non ?. Puis... J'avais très envie de t'embrasser.. Ok, maintenant ce que vous étiez l’un pour l’autre était juste indéfinissable. Mais ça te plaisait qu’elle te saute dessus à n’importe quel moment juste parce qu’elle en avait envie. Et que tu puisses faire la même chose. C’était pas raisonnable, mais ça te plaisait. Mieux encore que les noix de coco. Une de te mains glisse sous le haut de son pyjama, caressant le bas de son dos, juste un peu plus haut que son tatouage. Wow, tu m’impressionnes, Smith. Où est passée la jeune femme timide et réservée dont j’étais amoureux ? dis-tu avec un sourire, caressant le bout de son nez avec le tient. ]On devrait vraiment descendre ranger la cuisine. Après ça, on sera tranquilles. Alors au boulot, mademoiselle Strawberry. dis-tu en lui donnant une gentille claque sur les fesses.
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Parier ce que tu voulais ? Autant cela était intéressant et autant t'avais pas envie de prendre le risque de perdre, car tu savais que lorsqu'un pari était en jeu, Ruben se donnait à fond pour le gagner et du coup, t'étais pas certaine de gagner parce que voyons la réalité des choses, t'étais plus lente qu'une tortue lorsque tu mangeais. Oui tu prenais le temps de bien mâchouiller tes aliments. « Je dois bien admettre que je n'ai aucune chance de gagner ce pari, parce que toi t'es plus rapide que flash en mangeant, alors que moi j'suis comparable à une tortue en train de marcher. Ce n'est pas équitable !. » En clair, t'étais une mauvaise perdante. Mais bon, tu savais de temps à autre avouer ta défaite. Et lorsqu'il ramena le sujet de tes pères au tapis, tapis que vous allez devoir nettoyer d'ailleurs, tu n'avais pas pu t'empêcher de lui faire une petite remarque sur la vraie raison qui pousserait tes pères à sortir les crocs. Mais ce fut touchant d'entendre qu'il était près à affronter le supplice de la marmite pour toi. Ton cœur répondit en battements incontrôlables, depuis t'aleurs t'arrivais plus à le contrôler de toute façon. « Une soupe à la Ruben, ça doit être le meilleur plat de tous les temps ça. Doux et fondant. » Sans te rendre compte, tu venais de passer ta langue sur ta lèvre supérieure et lorsque tu te reprenais tes esprits, trop tard, tes joues avaient rougi. Dans ta tête, t'avais d'autres pensées concernant le goût qu'il pouvait avoir et tu ne parlais pas de soupe ou de marmite, tu parlais de chaque partie de son corps contre tes lèvres. Oh god ! Tu chassais rapidement tes pensées, mais à cause de ça, tu fus poussée d'une envie pressante de l'embrasser et donc tu venais d'assouvir cette envie en scellant vos lèvres dans une position un peu, un peu trop provocante. Mais cela avait l'air de plaire au dunster puisqu'il glissa une main sous ton pyjama au creux de ton dos juste au-dessus de ton tatouage. Tu frémissais et c'était comme ça à chaque nouveau baiser ou caresse qu'il pouvait te faire. Ton corps répondait tout seul. « C'est le but Werner. La femme timide et réservée a décidé de ne pas refaire les mêmes erreurs du passé. » Confias-tu le plus sincèrement possible accompagnée d'un sourire. Tu redresses la tête, quitte son corps et descends du lit en riant vu la fessée qu'il venait de te donner. « T'as raison, on descend... Ahem... Tu viens de me donner une fessée...là. » Petit sous-entendu et même que tu faisais semblant de siffloter tout en marchant. Tu lui faisais évidemment croire que son geste était assez pervers rien que pour le maître mal à l'aise. Une fois au salon, vous vous êtes empressés de nettoyer comme-ci de rien était et bien entendu, la cuisine également. Tout travail mérite du réconfort, tu grimpais sur le plan de travail de la cuisine y posant ton fessier en croisant tes jambes et tu ne te rendais même pas compte de la farine que t'avais au bout du nez. « J'crois que j'ai mérité un câlin là !. Pas vrai Nut ?. » Ouai, tu sollicitais les encouragements du chimpanzé et tu attrapais le col de chemisier de son maître que t'attirais rapidement vers toi, entre tes cuisse, refermant tes jambes dans son dos et contre ses fesses. « Et maintenant que t'es prisonnier j'veux mon câlin, même un gros bisou et là... » Ton index retraça le contour de tes lèvres pour lui montrer ce que tu voulais précisément. Qu'il t'embrasse comme jamais il ne l'avait fait à une autre fille. Tu voulais avoir un baiser différent de tout ceux qu'il donnait aux autres nanas.

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Je dois bien admettre que je n'ai aucune chance de gagner ce pari, parce que toi t'es plus rapide que flash en mangeant, alors que moi j'suis comparable à une tortue en train de marcher. Ce n'est pas équitable ! Quoi ? Alors elle tentait même pas ? Tu lui faisais si peur que ça ? Arborant une mine faussement boudeuse, tu croises les bras contre ta poitrine. Tu me déçois Sunny. J’pensais que t’étais plus courageuse que toi. Et puis.. j’t’aurais laissé gagner. Mais tant pis. J’savais que t’étais toujours une poule mouillée de toute façon. Mais tu trouvera bien d’autres terrain sur lesquels la défier. Pour l’heure, tu étais bien trop occuper à penser à la femme que Sunshine était devenu. Elle n’était plus la jeune ado de quinze ans que t’avais connu, oh ça non. Elle avait grandement muri et ses formes de femmes s’étaient sculptées. Y’a pas à dire, Sunshine est une femme magnifique. Est-elle seulement pour toi, après toutes ces années ? Et pourquoi pas, après tout. C'est le but Werner. La femme timide et réservée a décidé de ne pas refaire les mêmes erreurs du passé. C’était un message caché ça ? Tu te promis d’y repenser plus tard. Pour l’heure, il fallait vite que tu sortes de cette chambre avant de laisser tes ardeurs d’homme prendre le dessus. Tu l’avais repoussé gentiment, lui donnant une claque sur les fesses, pour la pousser à aller dans la cuisine tout ranger. T'as raison, on descend... Ahem... Tu viens de me donner une fessée...là. Un énorme sourire dévoile toutes tes dents. Je sais. Et j’t’en donnerais une autre si tu n’avances pas plus vite ! réponds-tu en levant tes mains devant toi en mode zombie prêt à claquer le popotin de la demoiselle. Balais et éponges en main, vous aviez ranger la cuisine et le salon en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Vous êtes des supers héros du ménage mais tu te promets de ne plus recommencer ça. Sunshine s’installa sur le plan de travail, un peu de farine sur le bout du nez. Mais c’était mignon, alors tu ne dirais rien. J'crois que j'ai mérité un câlin là !. Pas vrai Nut ? Elle voulait un câlin de Nut ? Uhg ? Tu hausses un sourcil, t’as pas tout compris. Ton chimpanzé par contre à tout compris et saute de joie en hochant la tête. Est-ce que quelqu’un pourrait t’expliquer là ? Et tu comprends lorsque Sunshine t’attire par le col et t’entoure de toute ses jambes. Oh, je voie. C’est donc de moi qu’il s’agit. dis-tu avec un petit sourire en coin posant tes mains de part et d’autres de Sunshine sur le plan de travail. Et maintenant que t'es prisonnier j'veux mon câlin, même un gros bisou et là... annonce-t-elle en dessinant le contour de ses lèvres. Bon sang, cette nouvelle Sunshine entrepreneuse te plait décidément beaucoup. Tu glisses tes mains sous ses fesses et l’attire un peu plus contre toi posant tes lèvres sur le coin droit de sa bouche. Comme ça ? Puis sur le coin gauche. Ou comme ça ? Puis un délicat baiser sur la totalité de sa bouche avant d’agripper sa lèvre inférieure. Ou encore comme ça ? L’une de tes mains glisse derrière la nuque de la jeune femme et tu plaques avec une passion naissante tes lèvres contre les siennes, lui entrouvrant doucement les lèvres du bout de ta langue afin qu’elle parte à la rencontre de la sienne pour une danse passionnée. Tous ces baisers depuis tout à l’heure te font perdre la tête. Sunshine te fait perdre la tête. Alors.. voilà.
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Toi ? Une poule mouillée ? Mais c'est du n'importe quoi. Bon okey ! Il avait raison, t'étais une grosse poule mouillée, mais en même temps, c'était parce que tu manquais un peu de confiance en toi et du coup, tu préférais plutôt abandonner vite fait plutôt que perdre et recevoir pleins de moqueries ensuite, c'est comme ça que t'as toujours marché. Mais une chose est cependant certaine et en passant, c'était ta plus grande qualité. La détermination. Une fois que t'étais déterminée à faire ou dire quelque chose, Soyez en sûre que la Sunshine douce et réservée que vous connaissez, disparaît rapidement pour ne laisser place qu'à une fille possédant une détermination hors du commun. Et ce soir, Ruben pouvait enfin découvrir cette partie là de toi que tu n'avais jamais su lui montrer et t'espérais que ce petit côté de femme là, le plaira autant que ton autre bout de petite femme. « Oh c'est très aimable à toi d'avoir décidé de me laisser gagner, mais j'suis pas dupe, car après tu t'en serviras pour me provoquer et me rappeler comment tu m'as laissé gagner !. Et ce que je trouve encore plus bizarre, c'est que moi aussi j'avais décidé de te laisser remporter le pari de cookie en faisant exprès de saboter mes propres cookies histoire qu'ils soient ratés. » Avouas-tu en fronçant les sourcils surprise que vos cerveaux soient à l'unissons ce soir. Apparemment, le mode pervers de Ruben s'était activé puisqu'il t'avait carrément donné une fessée et qu'il te menaçait de t'en donner une autre si jamais t'avançais pas vite. « Ouai ouai c'est ça, dis plutôt que t'as envie de les toucher d'une quelconque manière oui !. » Et c'est en riant de tout ça, que vous avez fini par nettoyer tous les dégâts que vous avez faits. Installée sur le plan de travail, t'avais réclamé sans retenue, un câlin et un baiser. Bah quoi ?. T'en pouvais plus, t'estimais avoir trop attendu pour te retenir aujourd'hui. Ta patience avait des limites quand même. Alors, une fois qu'il fut entre tes jambes, il posa ses mains sous tes fesses et te plaqua contre lui afin déposer multiples baisers tendres tendres et sensuels aux coins des tes lèvres en terminant ensuite par t'embrasser passionnément. Ton cœur s'était soudainement remis à battre, tu l'entendais de plus belle et encore plus fort. Bon sang !. Un cocktail explosif d'émotions en pagailles explosait dans ta tête. Contact, chaleur, douceur. Tu l'embrassais délicatement et même que ta tête se mettait à tourner un peu et de petits paillons naissaient à ton bas ventre. T'aurais voulu que le temps s'arrête là et que cela dure toujours, mais tu reculais la tête à contrecœur en ne laissant pour seul souvenir, qu'un frisson et un peu de douceur sur tes lèvres que t'humectais rapidement pour ne pas y perdre goût. « Je.... Ce serait trop te demander si... Si j'pouvais avoir le copyright de ce genre de baisers ?. J'crois que ça ne me plairais pas que t'embrasses d'autres nanas de cette façon... » Voilà, t'étais franche là, même que tu ne voulais clairement pas qu'il embrasse une autre tout court. Soudainement, tu glisses le long de son corps posant tes pieds au sol et attrapant ensuite sa main. Là, il devait se poser des tas questions. Mais on y arrive, on y arrive. T'attrapes le pot de Nutella et tu lui fais plonger l'index à l'intérieur pour en retirer une bonne quantité. « Cette fois-ci, si tu ne touches à aucune fille jusqu'au bal, je te ferais passer la plus belle nuit que t'as jamais eu à passer avec une nana !. Et ça, c'est juste un avant goût... » Dis-tu en insérant son doigt dans ta bouche histoire de retirer tout le chocolat sensuellement. Un sourire langoureux étira ensuite tes lèvres tandis que tu relâchais sa main, laissant tes yeux plonger dans les siens.

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Je.... Ce serait trop te demander si... Si j'pouvais avoir le copyright de ce genre de baisers ?. J'crois que ça ne me plairais pas que t'embrasses d'autres nanas de cette façon... Vos lèvres venaient tout juste de se séparer et pourtant, tu n’avais que l’envie d’y replonger. Tu venais de te rendre accroc aux lèvres de la jolie Sunshine. Une addiction plus intense que la nicotine. Et plus rapide, surtout. Tu réfléchis à sa demande. Ne plus embrasser d’autres filles comme ça.. c’était comme lui appartenir un peu, non ? Est-ce que retenter quelque chose avec Sunshine te tente ? Bordel, ouais, carrément. J’te promet d’y réfléchir.. dis-tu avec un joli sourire, repoussant une mèche de cheveux blond derrière son oreille. Elle se laisse glisser pour regagner le sol. Mais qu’est-ce qu’elle fabrique avec ce pot de nutella ? Elle te plonge la main à l’intérieur, un frêle sourire sur ses lèvres. Ton regard se fait plus interrogateur encore, jusqu’à ce que les mots sortent de sa bouche. Cette fois-ci, si tu ne touches à aucune fille jusqu'au bal, je te ferais passer la plus belle nuit que t'as jamais eu à passer avec une nana !. Et ça, c'est juste un avant goût... Et elle glisse ses lèvres sur ton doigt, léchant le nutella tout autour d’une manière si… évoquante ! Nom d’une noix de coco, ça la rendait foutrement sexy de faire des choses comme ça, putain ! Ton cœur accélère, boum boum boum, dans ton boxer c’est la folie aussi. Normal quoi, vous avez vu ce qu’elle te fait ou quoi ? Ca donne des idées pas catho’ du tout ça. Bon sang, Sunny. grinces-tu entre tes dents, sentant sa langue s’enrouler autour de ton doigt. Aucune fille. D’accord. Mais toi ? Tu ne lui laisses pas le temps de répondre que tu plaques ta bouche sur la sienne, laissant tes mains glisser jusque ses fesses que tu malaxes doucement. Elle n’avait pas le droit de t’exciter comme ça. Attendre le bal serait long. Très long maintenant.
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Tu ne savais pas ce qui t'avais pris de lui demander le copyright de ce baiser, mais t'avais été honnête et tu ne voulais pas qu'une autre puisse profiter des lèvres que toi comme personne d'autre, pouvait les aimer. Sérieusement, est-ce que ces nanas l'auraient attendu presque quatre ans ? Non tu en doutais fortement, alors que toi, oui. Tu l'aimais plus que ces nanas c'était certain. Alors, tu prenais sa réponse comme une petite flamme qui ravivait et qui te donnait à nouveau un petit espoir. « Prends ton temps...mais pas trop quand même. » Murmurais-tu en lui tirant la langue, car tu te languissais déjà de ses lèvres, de sa personne tout simplement et t'étais ultra jalouse à l'idée de le partager avec une autre. Et puis, tu venais de lancer un nouveau pari, pari que tu allais tenir si jamais il le tenait jusqu'au bout cette fois. Même que pour lui montrer un avant goût de ce qui l'attendait, t'avais user de ton charme et d'un peu de Nutella. Et comme tu t'y attendais, Ruben craqua et se jeta complètement sur tes lèvres qu'il kidnappa sans retenue. Tu l'avais excité et ce fut à ton tour d'être excitée par ses caresses sur tes fesses. God, au diable le pari !. Tu le voulais à présent. De ce fait, tu séparais vos lèvres à contrecœur et lui attrapais la main pour le guider jusqu'au jardin histoire d'utiliser la cabane, laissant Nut à son aise dans le salon. Là, vous ne risquez rien. Debout devant le lit de la cabane, ton regard plongea dans le sien. Tu adorais ces instants magiques où vos regards se croisaient, ces regards qui en disaient longs sur votre désir, quel que soit le moment, quel que soit le lieu...T'aimais lorsque vos corps se rapprochaient, que votre instinct prenait le pas sur tout le reste, que l'envie de faire l'amour est aussi forte que l'envie de s'embrasser... Une fusion parfaite. « J'crois que je pourrais plus attendre jusqu'au bal... » Murmurais-tu alors que tu retirais ta chemise et glissais ton pyjama le long de tes jambes. Poussant tes vêtements un peu plus loin, tu plaquais ta poitrine contre son torse et enfoui ton visage dans son cou histoire d'y poser tes lèvres dans l'intention de marquer ton territoire. C'était toujours mieux que lui faire pipi dessus non ? Beurkkk. Anyway, t'usais de ta langue et de tes dents pour lui procurer un énorme frisson de plaisir, mais surtout pour le rendre fou fou fouuuu.

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Prends ton temps...mais pas trop quand même. C’était juste pour ne pas faire le mec crevard, mais t’avais déjà ta réponse. Tu lui laisserais volontiers le copyright de ces baisers, c’était Sunshine quoi, merde. C’était la première fille dont tu avais réussi à tombé amoureuse après ton Olive australienne. C’était pas rien quoi. Avant l’année prochaine, juré ! pouffes-tu de rire. Naaan, c’était carrément trop long pour elle ça. C’est bien pour ça que t’avais dit ça. Puis maintenant, elle te chauffait. Mais carrément quoi. Avec son nutella.. Et toi, homme faible que tu étais, tu n’avais pas résisté à lui sauter dessus, malaxant ses fesses du bout des doigts. Puis t’y allais bien quoi. Ses lèvres te quittent bien trop tôt à ton goût mais ton cœur s’emballe lorsqu’elle te prend la main et te guide jusqu’à la cabane du jardin. Nom d’une noix de coco. Vous montez en silence et tu t’affaises sur le meuble, toujours torse nu (en fait, je sais plus si j’lui avais fait remettre son tee-shirt xD). J'crois que je pourrais plus attendre jusqu'au bal... Tu la dévores des yeux tandis qu’elle retire son pyjama, se retrouvant en sous-vêtement avec son adorable culotte à fraise. C’était tellement elle tout ça. Ton regard se perd sur sa poitrine voluptueuse, sur ses hanches délicieuses puis se ferment lorsqu’elle se colle contre toi, liant ses lèvres aux tiennes. Une main dans le creux de son dos, tu la pousses doucement vers le lit où tu l’allonges, t’accalifourchant sur elle sans la quitter des lèvres. Ta main caresse chacune de ses formes.. elle a tant changé que tu te jures de toutes les réapprendre par cœur. Oh Sunshine.. Si seulement tu savais où j’ai envie d’te toucher. souffles-tu contre ses lèvres, laissant ta main vagabonder sur ses cuisses, puis ses hanches, puis son cou. Même si le ton était donné, t’attendais un semblant de permission pour.. le reste.
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