Silvia & Stefan
Je soupirais doucement alors que je remettais doucement mon jean à l’endroit tout en partant à la porte, l’écoutant tout en lui tournant le dos alors que j’envisageais sérieusement de quitter cette chambre pour retourner à ma soirée et profiter de mes vrais amis… Enfin… quand je disais vrais, j’entendais ceux qui n’allaient pas me blesser encore et encore jusqu’à l’épuisement comme elle, elle le faisait. Et je commençais vraiment à la soupçonner de prendre son pied à ça… Je serrais doucement les dents alors que la jeune femme parlait… c’était tout le temps la même rengaine, toujours les mêmes excuses pourries, toujours la même façon de dire les choses sans vraiment les dire, de se justifier de manière maladroite… J’en avais vraiment plein le cul de tourner en rond avec elle et de perdre mon temps, de m’en prendre plein la gueule et me ridiculiser dès qu’elle pointait le bout de ses seins. Je voulais la détester parce que ce serait plus simple pour moi. Mais voilà, j’étais terriblement faible quand il s’agissait de Silvia sauf qu’elle semblait avoir de la merde devant les yeux… A moins que son petit italien ai une place bien plus importante que ce qu’elle voulait bien me dire… Elle n’assumait strictement rien et quand on l’écoutait, c’était de ma faute ! Je la détestais tout en étant fou amoureux d’elle.
Ouai bah fais tes efforts avec ton rital, moi j’en ai marre d’en faire et qu’ils ne servent à rien !Ma main vint se poser sur la poignée de la porte que j’allais ouvrir quand je sentis la jeune femme venir comme une flèche poser sa main sur mon bras et je me tournais doucement vers elle pour la fixer calmement alors que j’écoutais sa question… Quoi ? Elle allait me faire croire qu’en fonction de ma réponse, cela allait changer quelque chose ?
Pourquoi tu veux savoir ça ? Qu’est-ce que ça peut te faire hein ?Je soupirais doucement en me rendant compte que je devenais bien trop agressif et que j’allais finir par sortir de mes gonds et je serrais doucement les dents. Je baissais doucement les yeux sur sa main toujours sur mon bras.
Tu sais on me préparer à diriger pas à faire la basse besogne… Mais tu sais je suis un danger à moi tout seul ! Alors oui je vais le faire… tuer, torturer et en plus je vais adorer ça ! Mais si tu es à mes côtés… merde à la mafia !Ma main vint attraper le poignet de la jeune femme pour la coller à moi et je finis par l’embrasser à pleine bouche, l’entrainant à nouveau dans le lit, l’allongeant en me glissant entre ses belles cuisses, ma langue allant chercher celle de la jeune femme.