Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityRUBEN ✮ Parfois on regarde le ciel, on fixe une étoile et on pense à une personne. C'est ça, le manque. - Page 3
-17%
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à 49,99€
49.99 € 59.99 €
Voir le deal


RUBEN ✮ Parfois on regarde le ciel, on fixe une étoile et on pense à une personne. C'est ça, le manque.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai gagné, tu me dois des cookies !.
Qu'il soit un estomac sur patte ne t'étonnais pas du tout, rien qu'à voir les heures que vous passiez dans la cuisine tous les deux lorsque vous étiez ensemble. Puis bon, ce n'est pas comme si t'étais pas pareille, parce que tu l'étais, tu bouffais sans te soucier vraiment du kilo que tu allais prendre en trop parce que vous savez quoi ? Dame nature t'avais gâté, car elle t'avait donné un corps qui brulait rapidement les calories, so t'avais beau manger, tu ne grossissais pas et tes formes tout comme tes courbes restaient sans failles. Puis faut dire que t'avais aussi de la taille. En guise de réponse, tu hochais positivement de la tête sans te prier de lui tirer la lobe d'oreille parce que voilà, même si ces cookies n'égalaient pas les tiennes, t'avais quand même adoré la saveur du coco et même que tu voulais en garder pour pouvoir les manger pendant la pause déjeunez demain à l'université. « J'suis certaine que t'as fait exprès juste pour plus que j'en mange. De plus, là j'ai encore de petites miettes de cocos qui fondent dans ma bouche miam !. Méchant va !. » Ouai il allait en refaire, mais quand ? T'étais certaine de ne plus en manger avant longtemps et rien qu'en y pensant tu soupirais. VDM. Tu patienteras de toute façon. Pour l'heure, t'espérais que le sujet Alexander ne revienne plus sur le tapis, tu ne voulais pas être obligé de lui dire que t'avais couché avec un mec, même si c'était simplement dans le but de le sortir lui de ta tête et le résultat avait été le même depuis des années maintenant. T'arrivais pas. Par contre, sa réponse fut des plus étranges. Contradictoire en fait. « Si tu t'en moquais vraiment, tu ne te serais pas attardé dessus dès le début. » Et bam ! Tu lui balançais ça avec l'un de tes sourires qui en disait long. Qu'il ouvre les yeux enfin, il était jaloux J-A-l-O-U-X, voilà tout. Mais tu ne t’attardas pas dessus non plus. Préférant plutôt le couler et ce petit malin profita du fait que tu riais aux éclats pour t'attraper une jambe et te couler à ton tour. T'avais failli boire la tasse, car tu ne t'attendais pas du tout à celle-là. Arrf. Passant rapidement une main dans tes cheveux pour les repousser en arrière, tu suivais le dunster du regard. Lorsque soudain, les voix de tes pères parviennent jusqu'à vos oreilles. QUOI !? Ils ne devaient que rentrer dans trois jours. Gosh, ils ont dû finalement reporter leur voyage. Doux Jesus, ton padre n'avait donné qu'une heure à Ruben et surement que là, il avait dépassé la limite depuis bien des lustres. Faut dire que tu perdais rapidement la notion du temps lorsque t'étais avec lui. « J'crois plutôt que les une heure se sont écroulés depuis longtemps. » Affirmais-tu accompagnée d'un malicieux sourire tandis que tu reculais jusqu'à ce que ton dos heurte de nouveau le bord, mais cela ne l'empêcha pas de se rapprocher de toi, venant se mettre au-dessus et te faire remarquer que tu sentais la noix de coco. Pourquoi te demandait-il de mettre une certaine distance quand lui-même n'y arrivait pas ?. « Je sens la noix de coco et t'as envie de m'embrasser c'est ça ?. » Comme si tu lisais en lui. Oh et puis MERDE !. Tes mains agrippaient ses hanches et tu l'attirais doucement contre toi. « T'as qu'une chose à faire pour le sentir encore plus... » Tu t'humectais les lèvres en laissant ton regard faire des aller-retours entre ses lèvres et ses yeux. Plus qu'une question de temps avec que tes pères ne débarquent.
ruben & sunshine
Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai gagné, tu me dois des cookies !.
Si tu t'en moquais vraiment, tu ne te serais pas attardé dessus dès le début. Tu lèves les yeux au ciel et tu pffs. Du verbe pff-fer. J’m’intéresse à toi c’est tout. Tu peux pas m’reprocher ça quand même. Heureusement vous passez à autre chose. Elle te coule. La classe ouais. T’aurais limite préféré continuer de parler de cet Alex. Mais tu t’étais vengé, lui faisait presque boire la tasse avant de flotter sur elle. Mais bordel, ses pères rentraient quoi. Ils allaient t’virer d’ici à coup de ballais ! J'crois plutôt que les une heure se sont écroulés depuis longtemps. QUOI ? Mais non, il vous reste un quart d’heure. Tu regardes ta montre. Bein ouais, il reste quinze minutes. Mais là, tu remarques que la trotteuse n’avance plus. Oh putain. Elle s’est arrêtée ! t’écris-tu en tapotant le cadran de la montre. Han lala. Mais tu reportes ton attention sur la jeune femme, lui déclarant à quel point tu étais content de passer du temps avec elle. Tu voyais même pas le temps filer quoi. Mais bon sang.. elle sent la noix de coco. Et ça, ça craint. Je sens la noix de coco et t'as envie de m'embrasser c'est ça ?. Tu hoches la tête. Ouais. dis-tu sans quitter ses lèvres du regard alors qu’elle s’éclipse de l’autre côté du petit bassin. QUOI ? Mais non, tu venais encore de penser tout haut, putain. Ses mains te tirent par les hanches pour te ramener à elle. Mais euh.. elle serait restée au même endroit, vous auriez gagné du temps bon sang ! T'as qu'une chose à faire pour le sentir encore plus... Sa langue humecte ses lèvres et son souffle noix de cocoté caresse ton visage. Nom d’une noix de coco toute puissante ! T’approche ton visage du sien, prêt à capturer ses lèvres quand la voix d’un de ses pères – Mr Smith, t’en est sûr – résonne en bas de l’arbre. Sunny jolie ? Ton ami est parti ? Et merde. Tu soupires et laisse tomber ta tête contre sa poitrine. Quel mauvais timing. Tu la supplies du regard de dire quelque chose qui ne te mettrait pas trop dans l’embarras et tu sors rapidement du jaccuzzi. Crap, y’a pas de serviette. T’attrapes le drap sur le lit et t’essuie aussi rapidement que tu peux. T’enlève ton boxer trempé que tu laisse s’échouer par terre et enfile aussi rapidement ton pantalon et ton tee-shirt. Puis tes chaussettes et enfin tes chaussures que tu ne prends pas le temps de nouer. Fiou, tu ne t’étais jamais habillé aussi vite.
ruben & sunshine
Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai gagné, tu me dois des cookies !.
Il y a plusieurs façons de s'intéresser à une personne et c'est clairement pas en tant qu'ami, qu'il te posait des questions sur ton fameux coup d'un soir. Mais, tu choisissais de faire semblant de le croire parce que tu le connaissais assez pour savoir qu'il ne vendrait jamais la mèche aussi facilement. Et apparemment, t'étais pas le seul boulet ce soir, pas pour rien qu'on vous répétait toujours que vous vous ressembliez ou que vous êtes totalement compatibles. Le mec venait de se rendre compte que sa montre ne marchait plus. Je vous jure. Tu te forçais de ne pas exploser de rire parce que cela attisera la curiosité de tes pères. Et si t'avais aussi changé de côté, c'est parce que tu voulais voir jusqu'où monsieur voulait garder une distance. Et pour toi c'était clair, il n'avait pas du tout envie d'en mettre une au fond de lui, d'où le fait qu'il se contredisait depuis tout à l'heure. Même qu'il venait d'avouer qu'effectivement il avait envie de t'embrasser. Tu le savais tellement au fond de toi, tu le sentais. Ses lèvres t'appelaient tout comme les tiennes l'appelaient. Et au moment où tu sentais son visage approcher du tien, ses lèvres à quelques centimètres des tiennes, ton cœur sur le point de d'éclater en mille battements, la voix de l'un de tes pères résonnait comme une vilaine sonnerie de réveil. C'est dans ce genre de moments que tu détestais les parents. T'avais presqu'envie de pleurer, de crier, tellement t'étais frustré là. Ruben te ramena sur terre en se nichant contre ta poitrine et en s'évadant toute suite après histoire de te laisser t'occuper du reste. « OUI papa, il est parti depuis belle lurette !. Eh au fait, j'compte dormir ce soir dans la cabane et du coup, j'aimerais ne pas être dérangé d'accord !. J'ai besoin d'être un peu seule. » Criais-tu depuis le jacuzzi. Tu soupirais avant de sortir pour aller rejoindre Ruben et...lorsque tu le vis habillé comme ça, sa chemise à l'envers et sa braguette de pantalon ouverte, surtout qu'il n'avait pas mis de boxeur, tu explosais de rire en posant une main sur tes lèvres et en te laissant tomber contre le lit. Tu te cachais les yeux d'une main tandis que ton autre main montrait sa braguette du doigt. « Déjà ta chemise est à l'envers et ensuite ta braguette est ouverte...J'ai rien vu... » En fait si, t'avais vu et tes joues totalement rouges le prouvaient et sinon pourquoi tu cachais tes yeux ein ?. Ton autre main rejoignis également tes yeux, sourire aux lèvres. « Presse-toi pas, ils vont me laisser tranquille pour quelques heures encore. » Il avait donc tout le temps de se rhabiller correctement. Néanmoins, là, tu te forçais à ne pas rire ô combien t'en avais envie. C'était même au bord de tes lèvres et en repensant à ce que tu venais de voir, goshh.
ruben & sunshine
Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai gagné, tu me dois des cookies !.
OUI papa, il est parti depuis belle lurette !. Eh au fait, j'compte dormir ce soir dans la cabane et du coup, j'aimerais ne pas être dérangé d'accord !. J'ai besoin d'être un peu seule. HAN. Mais il va débarquer là son père. Il va croire que tout c’est mal passé, que j’ai anéanti sa petite fille. Il va peut-être même croire qu’elle pleure et qu’elle noie ses larmes dans le jacuzzi. Et puis quand il va voir l’assiette de cookies par terre, il va croire qu’on s’est battu. Non, il faut pas qu’il monte parce que s’i te trouve là, t’es mort. Alors tu t’habilles vite, trop vite d’ailleurs. Déjà ta chemise est à l'envers et ensuite ta braguette est ouverte...J'ai rien vu... Elle est morte de rire sur le lit, les joues rouges écrevisse et les yeux cachés par ses mains. Mais chuuut, y’a son père en bas. Et il continue, il lui tape la discussion en bas. Puis s’en va finalement. Tu ne t’étais pas rendu compte que tu t’étais figé sur place comme une statue, retenant ta respiration. Maintenant qu’il est parti, toute la pression redescend. Oh ça va hein ! On est pas tous habitué à s’habiller en quatre seconde et demi. Et puis.. regarde ailleurs, allez ! dis-tu en remontant ta braguette. Il avait envie de prendre l’air le p’tit monstre, c’est pour ça. Presse-toi pas, ils vont me laisser tranquille pour quelques heures encore. Tu retires ta chemise pour la repasser à l’endroit en prenant ton temps cette fois ci et viens t’assoir à côté de Sunshine en terminant de t’essuyer les cheveux. Je préfère pas m’éterniser. On sait jamais.. tu sais comment ça va s’passer s’ils me trouvent ici.. dis-tu en te passant la main sur la nuque. Mais tu n’avais pas envie de partir. Tu voulais rester là des heures durant, la regarder dormir comme au bon vieux temps. Tss, mais qu’est-ce qui t’arrivait ? Alors on s’revoit vite ? Avec des cookies ! J’t’enverrais un sms en rentrant pour te dire quand est-ce que j’ai un peu de temps. Puis tu te lèves et marche d’un pas lent jusqu’à l’échelle qui te refera descendre sur la terre ferme. Remarque, c’est peut-être tout cet endroit emprunt de nostalgie qui te rend.. nostalgique.
ruben & sunshine
Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai gagné, tu me dois des cookies !.
Il te demandait de regarder ailleurs tandis que toi, t'avais les yeux cachés comme si t'avais jamais vu mini Ruben. Et pourtant tu le connaissais dans les plus brefs détails. Quoi qu'il en soit, il s'assoit à tes côtés et tu te redresses doucement en remarquant son col de chemisier encore déplié, alors, tu l'arrangeais tout en l'écoutant parler. Il avait raison, si tes pères le trouvaient ici alors qu'ils avaient quand même été clair, vous passerez un sale cardeur. Pas qu'ils seront contre une relation avec qui que ce soit, mais voilà, ça devait se faire toujours selon leurs règles. Et s'ils avaient donné une heure à Ruben, vous deviez le respecter. Puis merde pour une fois t'avais pas envie de respecter ça. « J'sais, tu finiras surement dans l'une de leurs marmites bouillantes spécialement mise pour ceux qui ne suivent pas les règles. Leurs règles. » Loin de toi l'idée de lui faire peur, ni d'aggraver son cas, mais voilà, il connaissait les règles de la maison et il savait lui-même ce qui arrivera si tes pères le trouvaient encore ici. Petit un, ils n'auront plus confiance en lui et petit deux, ils te feront la tête jusqu'à nouvel ordre. C'est pourquoi tu n'insistais pas même-si tu crevais d'envie de lui demander de rester. « On se revoit vite et j'attendrais ton sms avec impatience alors n'essaie pas de me duper ou sinon, je serai sans merci à notre prochaine rencontre. » Tu le suivais et te laissais plaquer tête contre le bord de la porte tandis que lui se trouvait sur l'échelle. Le regard un peu triste quand même, car tu ne savais pas quand est-ce que tu pourras le revoir, tu jouais avec le collier de ta mère autour de ton cou. « Pars pas... » Murmurais-tu silencieusement à toi-même, piting non, il te manquait déjà. Gosh. Tu levais une main en signe d'au-revoir. « A très vite...j'espère. » Ouai genre pas dans quatre encore ein. Tu te mordillais la lèvre inférieure en le regardant descendre. Et sans te rendre compte, quelques doigts logèrent tes lèvres. Bon sang, il avait failli t'embrasser. T'allais bouder ton père rien que pour être arrivé au mauvais moment et d'avoir interrompu ce que t'attendais depuis tellement longtemps. VDM.
ruben & sunshine
Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai gagné, tu me dois des cookies !.
J'sais, tu finiras surement dans l'une de leurs marmites bouillantes spécialement mise pour ceux qui ne suivent pas les règles. Leurs règles. dit-elle en arrangeant le col de ta chemise. Elle était si prévoyante cette fille. L’idée de finir comme un homard ne t’enchantait pas vraiment. Pas du tout même. T’avais encore quelques années devant toi, autant en profiter plutôt que de mourir ébouillanté dans une marmite. Erk. Ce serait con tu trouves pas ? On vient juste de se retrouver.. Remarque, on pourra dire que j’me suis fait cuisiné par tes pères. pouffes-tu de rire. Voilà, t’es tout beau, tout prêt à partir. Tu partais alors d’un pas lent vers l’échelle de la cabane. Fallait pas que tu restes à la vue comme ça bien longtemps, au cas où l’un des trois hommes ne revienne prendre des nouvelles de leur fille. On se revoit vite et j'attendrais ton sms avec impatience alors n'essaie pas de me duper ou sinon, je serai sans merci à notre prochaine rencontre. Tu la regarde, tout sourire. Bien sur que non tu n’oublierais pas ce texto. Et t’espérais la revoir plus vite qu’elle ne le pensait. Oui, je t’envois un texto dès que j’suis chez moi je t’ai dit. T’en fait pas. Et tu descends l’échelle et disparait de son jardin après lui avoir fait un signe de la main. Tu faisais rapidement le point de tout ce qu’il s’était passé avec Sunshine ce soir et tu souriais comme un con dans la rue, les mains dans les poches. Puis tu t’arrêtes. Eh merde. Tu fais demi tour d’un pas vif et décidé, tu pénètres dans le jardin des Smith aussi discrètement que tu en étais partie et remonte l’échelle de la cabane. Tu frappes, trois fois, contre la porte et l’ouvre sans attendre que Sunshine ne te réponde. J’ai oublié un truc. Tu viendrais au bal avec moi ? Enfin tu voudrais bien être… Mais les voix des pères de Sunshine résonnent encore dans la nuit noire. Bon sang, un peu de tranquillité et quelques minutes de plus c’est trop demandé ? Penses-y et tiens moi au courant. Puis tu poses tes lèvres sur sa joue. Merde, c’est nul. Alors tu les poses ensuite sur ses lèvres pour un baiser volé, lui souris et redescend l’échelle de la cabane à vive allure pour sortir encore une fois de la propriété des Smith. Mais t’es grillé. Un des trois types te regarde t’échappé, un sourire sur les lèvres. Oops.
ruben & sunshine
Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai gagné, tu me dois des cookies !.
« Et j'suis certaine qu'on aura jamais goûté un aussi bon plat de toute notre vie !. » T'accompagnais ses rire, mais en fait, tu voudrais bien le manger, le croquer et sentir chaque partielle de sa peau fondre dans ta bouche ou plutôt sur tes lèvres. Ohéééé, réveille toi Sunshine !. Tu secouais la tête pour chasser tes pensées tandis qu'il s'en alla ensuite en te promettant que tu le recevras ce sms et même là, tu cherchais ton portable du regard. MAIS L'EST OÙ CE PORTABLE ! Non d'un chien. Et pendant que tu le cherchais partout, t'avais complètement zappé que tu l'avais laissé en charge dans ta chambre. Faut dire que là, t'avais plus toute ta tête et tu cherchais encore et encore. Pauvre toi, t'étais complètement chamboulé, encore et toujours par le même homme. Lorsque soudainement, on toqua à la porte. C'EST LUI ! Tu le sentais, même que ton cœur venait de rater un battement. C'est lui pas vrai ?. A une vitesse lumière, tu te précipitais vers la porte que t'ouvris grandement. C'est lui. Une poignet de main se posa sur ta poitrine comme pour essayer de calmer ton cœur, même que t'arrivais plus à parler là et même que tu n'écoutais plus rien aussi. OMG. Il venait de te voler un baiser alors que tes grands yeux s'ouvraient de surprise. Ses lèvres, sur les... Tiennes ?. PITING, t'avais l'impression que tes jambes allaient t'abandonner et tu laissais même retomber ta main le long de ton corps. Tu l'attendais tellement, t'attendais ça depuis longtemps. Et lorsque tu fermais enfin les yeux dans le but de prolonger un peu plus ce baiser, il recula et tu lâchais un soupire de plaisir.  « Wow !. » Avais-tu pensé un peu trop fort. Il s'en alla de nouveau et tu t'étirais même histoire de te pencher et de le regarder partir sans en perdre une seule miette de sa silhouette. Puis lorsque tu fermais la porte, un éclaire frappa ta poitrine. « WAIT ! Il vient de me demander d'être sa cavalière j'ai pas rêvé ein ?!. » Ehhh oui, c'est maintenant que miss gaffeuse se rendait compte de ça. Là, t'avais triplement plus le cœur qui battait. Nah sérieux, c'était Noël avant l'heure pour toi ou comment ça ce passe ?. On toqua une nouvelle fois à la porte et là sans attendre une seule seconde tu l'ouvris toute enthousiasmée en pensant que c'était de nouveau lui alors que non, c'était l'un de tes pères. « Je croyais que ton ami était parti depuis belle lurette ?!. » Dit-il d'un ton sévère. « Pour nous avoir menti, tu n'iras pas au bal cette année ! Ce sera ta punition. » HEINNNNNN ! QUOI ! Il était vraiment sérieux là ?. Ton visage se décomposait immédiatement, il était devenu tout pâle. Pourquoi ! Pourquoi quand t'avais enfin le cavalier que tu voulais ?. Genre pourquoiiiiiii !?. VDM, trop injuste !. Et en voyant que t'étais sur le point de fondre avec ta tête toute hébété, la bouche encore ouverte, il explosa de rire et tu fronçais les sourcils. « Je plaisantais poussin !. Mais à l'avenir, tâche de ne plus nous mentir. Ce n'est pas comme-ci on allait le faire bouillir à la marmite non plus hein Sun...Quoi que... » T'avais peur là d'un coup, car il avait pensé à la marmite et t'avais parlé de ça à Ruben juste pour le taquiner. Trop chelou tcheuu. Mais finalement, tu sautais dans les bras de ton père. « J'vous déteste tellement !. » Traduction, je vous aime à mourir. Oui, tes pères étaient les premiers hommes de ta vie. De retour dans ta chambre, tu te changeais et tu plongeais sur ton lit en attrapant ton portable. Il attendait une réponse et t'avais envie de le faire poireauter un petit peu. Genre tu ne voulais pas te la jouer en mode hystérique, la meuf qui n'attendait que ça quoi. Même si de toute façon, ça c'était vu dans tes yeux pétillants tout au long de cette soirée.
ruben & sunshine
Copyright Clochette
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)